Je me souviens de notre rencontre, elle était magique. Presque irréel.

? temps auparavant

Jean était entrain de se deshabiller, il faisait déjà très tard dehors. Son nouveau colocataire de lit n'était toujours pas arriver. Soudain on frappa à la porte. Il ouvrit et le gars le regarda de haut en bas. C'est vrai que un caleçons et un débardeur n'est pas vraiment accueillant.
Il le laissa entrer.

_C'est quoi ton nom ? demanda Jean.
_Jérôme, et toi ?
_Jean.

Une mouche passa puis Jérôme fit la moue, il aurait voulu que se soit une fille. Et ça, Jean l'avait remarquer. Pauv'chou. Le blond -Jérôme- se coucha sous la couette en caleçons et Jean le rejoignit dans la même tenue où il l'a accueilli.

Jean se mit sur Jérôme et lui chuchota à l'oreille.

_Tu aurais aimé que je sois une fille... Je le sais car si j'étais une fille tu aurait baisé avec moi.
_Et alors ?
_Tu peux toujours le faire.

Il commença a ondulé sur ses hanches.

_Je n'ai peut-être pas des boobs et une chatte mais j'ai des courbes de femmes.
_Hm...

Jean pris sa main et la passa sur les courbes.

_Vas-y. dit-Jérôme d'une voix autoritaire qui plaisait à son partenaire.

Jean déposa des baisers sur son corps. et commença a les déshabiller. Il garda son débardeur que le blond releva pour passer ses mains sur tout son corps et le brun -Jean- s'empala sur Jérôme. Celui-ci essaya de retenir un soupire de plaisir mais le brun l'avait entendu. Puis Jean fit des mouvement de va et viens sur Jérôme.

_Gnh. gémit-Jean

Jérôme qui trouvait la cadence trop lente à un moment, retourna les rôles et défonça le cul de Jean pour son plus grand plaisir.

Jean étais un peu dans les vapes alors que Jérôme enlevait sa capote. Il sourit et le colla contre le corp du dominant.

_On pourrais devenir sex-friends. dit-Jean
_Tu aimes tant que ça baiser ?
_Et toi ?
_Tu es un bon coup. Alors oui, on pourrait.
_Cool

Puis les séance de baise se sont succédé. Je lui parlait de plus en plus après chaque partie de jambes en l'air. Il m'écoutait a chaque fois, on devenais de plus en plus proche.

? temps après :

_Du coup tu as baiser avec tout le monde et partout. dit-Jérôme pendant que Jean redessinait ses muscles
_Ouais, une fois on la fait dans un cimetière
_C'est glauque
_Tu es un vampire, je pense que je ne dois pas avoir peur.

Oui j'avais appris qu'il était un vampire il y a peu. Mais la conversation ne s'arrête pas là.

_Hey... commença le blond
_Oui ?
_J'ai un pote ange qui voudrait passé le cape, j'lui ais dit que je connaissais un professionel. C'est la que tu intervient.
_Si il est mignon je veux bien.
_Cool. Bah je te l'amène demain. On feras un plan à trois.

Et on baisa, d'ailleurs j'avais beaucoup aimé Enzo, l'ange. Il était sympa drôle, et très bon au lit. J'aurais aimé le refaire avec lui mais...

Après la baise:

Je ris encore une fois, Enzo était drôle, très.

_Sérieusement ? Et tu as dit quoi ? dis-je
_Bah j'ai simplement pris la boutielle et je suis partit aussi rapidement que j'ai pue.
_Mais les anges sont des vrais cochons.
_Une partie. On surnomme cette communauté "Les anges fu 7eme ciel" Et je croie que je vais en faire parti si je te revois souvent.

Il me caresse la hanche, je frémit et note distraitement que Jérôme c'est allumé une clope, il est silencieux se soir !

_Jerooome ? Y a des vampires qui sont pas des gros pervers comme toi ?
_Plein, on est tous différents, mais par contre je porte pas un surnom de merde moi.
_Jérôme !
_Quoi ?

Je ne trouve pas quoi lui répondre, je baisse la tête et Enzo ne sait pas ou se mettre, le pauvre. Je croie que mon vampire aimé est jaloux. Oui je l'aime et alors ? Les vampires lise pas dans les pensées donc je m'en ballek.

Il soupire et retourne a sa clope. Je me colle a lui, il me repoussa mais je suis plus têtue et me met contre lui et ferme les yeux pour dormir contre lui. Il est confortable mon vampire.

Et pourtant...

Le lendemain:

Je me levé, il est pas là, et Enzo non plus. J'y suis habitué de toute façons. Je reçois un coup de fil et je raccroche, ma chieuse de mère:

_Quoi ?
_Bonjour Jean, c'est pour te dire que tu dois rentrer a la maison.
_Tu sais ce que ça veut dire, s'émanciper.
_Tu vas te marier.
_Quoi? Mais-
_Je t'ordonne de venir sinon je dis a ton patron que tu as du pas-
_J'arrive a ce soir.

Je fais mes valises et part. J'ai même pas put dire a Jérôme que je l'aime. J'ai même pas put lui dire que je voudrais qu'il me mordre. J'ai même pas put lui dire au revoir.

Mais, le soir j'ai eu mal au coup, j'ai eu mal au ventre, j'ai eu mal partout. Je me suis vue dans le miroir et j'ai compris.

Le lendemain soir :

Je rentre a la vollet dans mon ancien appartement. Je vois Jérôme enfin je devais tant lu-. Il est accompagné de femme. Il leur disait qu'elle était son meilleur coup. Meilleur que moi ? Plus que moi sûrement. Il me regarde, étonné de me voir. Je regrette subitement d'être venu. Je porte une mon a mon ventre, il le voit, il comprend. Il me regarde mais je n'étais plus là. Je me suis enfuie lâchement, encore.

Je m'etais enfuis pendant plusieurs semaines, deux. Pendant ses deux semaines j'étais seul, à la rue.

Deux semaines plus tard:

Je regarde le vide encore, je dois survivre, survivre pour nous. Je caresse mon ventre encore. En ce moment j'ai l'impression de voir Jérôme partout, peut-être que c'est des hallucinations. Ou pas.

Je le vois encore une fois, il me regarde aussi, ainsi que mon ventre. Ses yeux sont rouges. Il court vers moi et me prends dans ses bras. Je vois floue jusqu'à sombré dans l'inconscience.

J'ai dormi deux heures, 5 jours, un an. Je ne sais pas. C'est très flou.

Le réveil :

J'ouvre doucement mes yeux, je vois d'habord le plafond de l'appartement, puis le mur ainsi que tout nos posters. Je suis seul. Je regarde par la fenêtre et je remarque qu'on est en période hivernale. J'ai dormi beaucoup de temps. On était en octobre la dernière fois que je me souvient.

Une heure ou deux passe, et enfin j'entend une activité extérieur dans l'appartement. On rentre dans la chambre et je vois Jérôme. Il me regarde et va a mon chevet. Il est moche.

_Jean !
_Tu pas très beau, tu prends plus soin de toi ou quoi ?

Il sourit doucement et caresse mes cheveux. Il a les yeux rouges, un rouge plus profond que n'importe quelle rouge. Il m'embrasse et je répond mollement a son baiser. Ses baisers dérive et il me mord le cou. Je suis plongé dans un mélange de sentiments très fort. Entre la douleue, la joie, le plaisir, la fatigue et pleins d'autre.

_J'avais autre chose à faire.
_Ok.

Un blanc s'installe. J'ai envie de lui parlait, de la morsure, du nous, de tout.

_Je suis enceinte.
_J'ai vue, je l'ais senti. C'est une fille.
_J'aurais préféré le savoir à l'accouchement mais au moins je peux réfléchir a un nom.
_Laura ?
_J'aime bien.

Il sourit, ça me fais sourire. Son sourire est resplendissant, c'est la première que je le voie aussi éclatant.

_Quand est-ce que-
_Sûrement dans le plan a trois sans faire exprer. J'ai dut faire ça dans l'ivresse de l'amour.
_Comment on va faire pour-
_Tu accoucheras pas césarienne et on vivra tout les trois ensemble, comme une famille.
_Je t'aime.
_Moi aussi.

Et c'est comme ça que papa et maman se sont mis ensemble. D'accord.
_D'accord Papa.

~GryfPanda-