Un amour compliqué (Salut Les Geeks , partie 2, lemon)
Il ne reprit ses esprit quand il senti un souffle chaud dans son coup et l'image de l'homme qu'il aimait sur lui...
Tout était irréel pour lui, il aimait se prince qui était au dessus de lui. Mais ce prince, était plutôt obnubiler par les chose morbide et le dessein, rien qui à de rapport avec l'amour. Pourtant il sentit une main agile frôlait sa peau, depuis quand était-il torse nue ? Et depuis quand Théo avait entreprit de telle caresse ? Toute aussi maladroite que sensuelle, mais pourtant une certaine sûreté émanait de ces mains, il savait se qu'il faisait, il n'étais pas roi pour rien.Tout se qu'il faisait était réfléchie et pleine d'assurance. Mathieu gémit, le future gouverneur aurait-il trouvait un point sensible de son amant, d'un soir ? Où de plusieurs, le comte n'était pas sûr mais il ne voulait pas se triturée ses sept neurones pour cela. Il sentit sa ceinture s'écrasait sur le sol dans un bruit sourd, puis le courent d'air vint lui donner plusieurs frisson le long de tout son corps. Mais pourquoi faire attention à ça, tout se qui compter pour l'instant était les mains gracieuse et habile qui redessiner chacune des courbes de son partenaire. Faisait-il ça souvent ? Une question lui vint à l'esprit alors que Théo se déshabillais, puis... Il était avec la comtesse de Buldingour, un adultère alors que les fiançailles ne sont même pas encore officialisé, même tout le monde savait que leurs parents avait vendue leur enfant pour la sûreté du royaume. Enfin, sûreté... Quand le prince tombera amoureux, leur plan tombera avec lui. Et si... La question interdite surgit dans son esprit, et si...Il était amoureux de lui ? Il ne savait pas, et ne préférait pas demander, ayant trop peur d'affronter les rires de son ami et l'humiliation qui suivrait. Pourtant il devait se concentrer sur autres chose, sur les biens fait que Théo lui prodiguait, d'autres frissons le secouèrent, mais pas de froid. Non, il avait chaud même... Mais, se sont plutôt des frissons de plaisirs, Théo était l'homme le plus habile de ses mains, comme si son corps n'était qu'une extension de lui que, pars ses caresse, il essaye d'en reprendre le contrôle. Et il va réussir, trois doigt, trois doigt avait repris se corps qu'il n'appartenait qu'aux Prince dès qu'il était née. Mathieu n'était rien à se moment, juste des sons et des vibrations... Juste... l'extension de Théo. Les doigt s'en allèrent pour laisser place à quelque chose de beaucoup, BEAUCOUP plus gros et long. Un crie, un simple crie stoppa se mouvement d'attraction... Pour que ce mouvement recommence après un sourire. Un sourire change tout, il peut changer une nuit, un repas, une vie ! Puis les mouvement d'attraction et de dessablement commencèrent, comme des aiment : ils s'approche mais pas trop longtemps car après il y a une explosions. Et cette explosions venu, qu'elle minute plus tard. Une explosion blanche et visqueuse tachât tout se qu'elle pouvait. Les vêtements à côté, les draps autour d'eux et bien sûr... Eux-mêmes. Ce n'étais pas une grosse explosions, facile à enlevait mais encombrante, qui enleva un poids aux deux personnages. Le dominants s'écarta, Mathieu crut qu'il allait partir, le laissait comme un chien, comme le chien qu'il était... Mais il sourit vite en voyant l'homme qui hanter ses esprits se coucher à côté de lui, tout aussi souriant et ils s'endormir dans cette note de joie.
Le lendemain Théo se réveilla en premier, il était heureux d'avoir put sortir ses sentiment comme il le voulait, et son compagnon le recevait plutôt bien, était-il lui aussi amoureux ? Le plus jeunes se réveilla peu de temps après, souriant niaisement en voyant le plus beau tableau qu'il eu put voir le matin, un ange. Ou alors un démon, car même les ange ne peuvent être aussi diaboliquement beau. Si seulement, ils pouvait le voir tout les matins. Il vit sur la table de chevet que deux assemblement de vêtement, l'un plus riche que l'autre, posait délicatement avec un petit mot. Il pu lire "Qu'elle jolie tableau vous fête, Victoria" Oui, la reine Victoria les avait vu, mais bon. C'était plutôt la réaction du père qu'il redoutait. Il s'assit sur le lit et s'habilla avec les vêtements qui lui était proposée, son amant fit de même.
Théo: Bonjour.
Mathieu: Oh ! Euh.. salut.
Théo rit de la timidité de son ami, il l'embrassa et partit mangeait son petit déjeuner. Mathieu ne comprenait pas, il ne l'aimait pas ? Alors pourquoi ce baiser ? Devenait-il sa maîtresse ? Mais, il était un homme, est-ce que cela était possible ? Trente minute plus tard la reine rentra et invita le jeune homme à mangeait, il le suivit et un silence de mort pesait sur la table qu'il découvrit, pour cause. Le roi était attablé avec son fils qui perdait son sourire à chaque fois qu'il voyait son daron comme disent les jeunes de la rue. Mathieu salua le roi et s'assit, sous les conseils de la reine et de son fils, à coté du prince et malheureusement, en face du roi aussi strict que pointu. Le roi faisait peur au jeune comte, il faisait peur à tout le monde, et il se demandais encore comment la reine a pût le choisir. Mais c'est une question silencieuse que personne n'osait dire à vois haute de peur de finir dans un endroit croupissant de sueur et de saleté.
Roi: Bon, comte Sommet. que faites-vous chez moi ? Il me semble ne pas avoir donner un accord pour cela.
Mathieu frissonna, le père du royaume faisait aussi peur que l'ancien roi, décapité par l'homme qui se trouvait en face de lui.
Roi: Alors ?
Théo: C'est moi qu'il est invité, il faisait tard et il y avait un orage alors, il ne valais mieux qu'il reste ici.
Son fils était vraiment la seule personne à tenir tête au roi, d'ailleurs, il n'avaient pas hésiter à faire une scène devant des millions de gens alors qu'ils s'engueulaient, même la reine n'osait pas intervenir dans les discutions explosives comme celle-ci.
Roi: Pourtant tu n'as pas hésiter à jeter ta femme chez elle en aucune forme de politesse.
Théo: Je ne l'aie pas jeté, je ne l'aie pas empêche de partir, c'est pas pareille. Et puis elle habite un vingt minute de marche.
Roi: Et puis, où a-t-il dormir ton...ami.
Mathieu déglutie en entendant la question, tout le dégoût que le roi éprouvait pour lui juste en un mot et en rencontrant ses yeux remplie eux aussi de haine et de dégoût, la mère décida d'intervenir.
Reine: Ne vois tu pas que tu fais peur à notre inviter Yvain (Dedic' à mon oncle qui ne sait plus à quoi je ressemble).
Roi: Ce n'est pas mon invité, c'est celui de mon fils et puis s'il a peur qu'il aille retourner dans les jupons de sa mère.
La reine Victoria lâcha un "Oh !" indignait avant de partir dans une marche rapide comme font toute les femmes énervé. Quand à Mathieu, lui ce liquéfiait a chaque mot prononcé et Théo était énerve il se leva et osa haussait le ton.
Théo : Père, arête tout de suite tes enfantillages !
Le roi le suivit dans se qui était dans le ton alors que Mathieu ne voulait que disparaître sous terre.
Roi: Tu me parle sur un autre ton !
Théo : Je fais se que je veux d'abord !
Roi: Non, car sans moi tu serait entrain de cirer mes chaussures, alors estimes toi heureux que j'eu choisi ta mère pour femme !
Théo : Ne mêle pas ma mère dans tout ça, elle est mille fois plus mature que toi, c'est elle qui devrait gouverner le pays à ta place !
Roi: Car tu pense que ce peuple peut accepter une femme comme gouvernante ? Tu te fout le doigt ou je pense mon grand !
Théo : Et bien au revoir !
Le garçon, prit Mathieu pars le bras puis parti au salon où Constance les y attendais.
Constance: Tu t'es encore engueulait avec ton père ?
Théo: Oh ta gueule !
La jeune femme n'en croyait pas ses oreilles, il l'avait insulter et de surcroît inviter a fermer le trou du cul qui lui sert de bouche, ce n'étais pas possible. Mais si, Théo l'avait bien fait surprenant toute l'assembler, il s'assit sur le canapé qui lui avait servit hier puis amena le comte contre lui pour le serrer comme une peluche le réconfortant d'un trucs qui n'a jamais existait. Mathieu se laissa faire regardant le jeune prince avait un peu beaucoup d'incompréhension. Théo finit par le remarquer et devant tout le monde, dont le roi qui était venue finir cette discutions, il l'embrassa et murmura ses mots :
Théo : Je ne supporte pas mon père, tu peux l'inviter chez toi ?
Constance cria, comment était-ce possible ! Elle s'approcha de son amant et le gifla avant de partir en disant au roi.
Constance: Je ne me marierais pas avec ce gougeât !
Puis elle parti laissant son majordome la suivre avec précipitations. La mère, elle sourit devant se baiser et leva les yeux au ciel en entendant la comtesse, elle n'aimait pas cette femme. Le public était partagée entre la joie et l'attendrissement ou le dégoût et le mépris. Et le roi... Mon dieu le roi, lui il était plus fou de rage que lorsqu'il a pris le trône de force. Et même plus, comme lorsque que son fils avait embrassé le garçons qui le dégoûtait le plus au monde devant ses yeux et ruinant ainsi tout son mariage avec le manoir Buldingour. En faite, c'est ce qu'il venait de faire. Il s'approcha et saisit le comte au col et le balança sur le sol, dans un coin. Puis il giffla son fils lui arrachant presque la peau. Puis le roi fit signe d'emmener son fils dans sa chambre au garde et a d'autre d'emmener le damné en dehors de sa propriété et de l'y conviait à jamais chez lui.
Bon, il y aura la partie finale dans quelque mois XD A plus les pepitos !
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