Gay ?

C'etait une journée normale. Une journée sans rien pour m'embêté. Moi Lucas Brown, 17 ans, je pensais passer une journée banale sans rien pour m'embêté. Et pourtant je le tromper tellement.

Je m'habillait de mon uniforme scolaire et part dans mon lycée, mes basket au pieds, mon casque vissé sur ma tête et mon sac mis négligeament sur mon épaule.

Pendant ma marche je voyait le dos du plus redouté du bahut. Antoine, 17 ans tout comme moi est le bad boy du lycée. Même les homophobes avait peur de lui alors qu'il était de l'autre bord.

D'ailleurs en parlant de ça me rapelle que ce con c'était mis en tête que moi aussi et du coup, comme tout les gays du bahut, allait m'avoir dans son pieu. Pourtant j'aime les filles.

Antoine s'arrête brusquement et je n'ais pas le temps de lz fairebaussi du coup je le heurte en plein fouet. Je tombe par terre alors que je me frottait la joue qui s'est prise la colonne vertébrale du grand con.

_Alors Lucas, on tient plus sur ses jambes.
_Ta gueule, pourquoi tu t'es arrêté.
_Parce que c'est drôle.

Je tiqua de la langue et me relève.

_Pourquoi, tu n'as pas aime notre contact physique. J'ai sentie ton érection contre mon cul.
_Je bande pas, c'est toi qui a une déficience mentale.
_Homophobe.
_J'ai deux pères, tu crois que je suis homophobes?

Il soupire et part. J'en ai marre de ce mec, oui j'insulte le mec du lycée, mais voyait vous il trouve mes insulte "si mignonne". Quand je dis que ce mec a une déficience mentale !

J'arrive au lycée et je voit qu'il y a presque tot le monde a la cour fumeur et personne a la cour normale. Bande de cancer sur pattes. Je soupire encore une fois et va dans ma classes reviser mon cour.

Je sens une présence derrière moi, encore l'autre con sûrement qu'est venu me faire chier. J'ignore cette présence et continue de faire des petites annotations sur mon cours pour que ce soit plus clair.

Je fais ceci car des fois le prof prends notre cours pour savoir si on a bien pris nos cours en note. Ça nous donnes des points en plus sur l'evaluation annuelle. Donc, imaginé maintenant tout les cancres prendre des notes. Comme ça il travaille inconsciemment et leur notes monte. C'est un bon stratagème du lycée.

_Lucas.

Je reconnais cette voix, encore Antoine. Je soupire et lève la tête. Je ne pus répliqué que ce connard plaque ses lèvres sur les miennes. Tout le monde nous regardes, je le sens. Et je ne peux même pas le frapper ou enlever ma tête car celui-ci tenait ma tête et mon poing dans ses mains.

Il finit par se retirer en souriant alors que je le maudissait sur dix milles générations. Le cours commençait avant que je ne pus le frapper ou autre.

Je suivis mes cours en prenant tout en notes sous les regards homophobes des autres élèves et celui amusé de la tête de blonde d'Antoine. Non je vais le maudire sur vingt milles générations en faite. Il y a aussi des regards indifférent ou même pas de regard pour certains mais ils sont rares on va dire.

La journée fini vite en fiasco. Au récré je me faisait frapper alors que des sbires me tenait pour ne pas que je réplique et Antoine avait disparu. Au moins un con en moins dans mon champs de vision.

Je rentre avec des hématome a peu près partout sur le corps qui je cachais avec mes vêtements mais bon, c'est peine perdue. Mon père biologique va le remarquer, il a des yeux partout ce mec.

Pendant le trajet, je ne vis pas l'autre con, heuresement pour lui sinon je l'aurais frappé et il aurait remarqué ma peau couleur du ciel mais en même temps ça fait chelou. Je suis pas habitué a être seul sur le chemin du retours.

Je rentre a la maison et directe mon père de naissance me saute dessus en regardant toutes les coutours de mon corps en s'inquiètant. Je vous l'avait dit qu'il avait des yeux partout.

_Viens on va te soigner ça.

Je me mis a nue et il me soigna, j'avais un bandage tout le long du bras droit et sur le haut de mon torse. Je vais crevé de chaud moi. Je sourit a mon père par aliance et nous mangions en silence alors que je regarder mes cours en même temps.

Le lendemain, je me reveille et me prépare comme tout les jours. Je vais sûrement me faire frapper aussi. Je grogne en ouvrant mes volets alors que le soleil attaque mes yeux. Je egarde un peu la rue et je vois l'autre cons avec un sourire béat entrain d'embrasser un mec.

Tss, il m'embrasse et après il en embrasse un autre. Non je suis pas jaloux. Je mets mes affaires et part de la maison après une embrassade à mes parents. Je traverse la rue et je vois qu'il se bouffe littéralement la mâchoire.

_Y a un truc formidable qu'il s'appelle un hôtel Antoine.
_Tu pourrais m'en conseillé un, tu a l'air connaisseur.
_Ton cul.

Je continue la route seul, encore. Pas que cette tête blonde me manque mais au moins je m'ennuyait pas. En plus, les homophobes m'ont volé mes écouteur. Je soupire et passe une main dans mes cheveux bleux et continue ma route. Je rentre et va dans la classe comme d'habitude.

La journée se passait comme je le pensais, la routine qui va s'installer dans les jours qui suiveront.

Regard dégoûté pendant les cours. Harcèlement. Et Antoine qui bouffe le visage de sa pute. Ensuite je rentre chez moi et mon père me soigne.

Et j'avais raison cette routine s'installa pendant deux mois et pendant ces deux moi je me suis rendons compte d'une chose horrible.

Antoine me manque, je ne saurais dire parce que je l'aime bien ou que je l'aime tout court mais il me manque, lui avec ses piques chelou. Lui et ses cheveux en désordre. Lui sans sa pute qui se bouffe le putains de visage !

Je suis un peu jaloux de cette pute, et dans ces deux mois j'ai sut son nom, Noé. Encore un nom de merde bien fraaaancais.

Donc aujourd'hui comme il y a deux moi je pensais vivre une journée normale mais non. Pas de bouffage de dent, pas de coup, pas de regard. Comme avant. Je me demandais vraiment ce qui se passais.

En rentrant du bahut j'eu ma réponse. Je vis Noé en pleure assis sur un troytoir avec une pièce en mode clodo. J'm'en bah le couilles donc j'allais continué ma route mais non! Ce fils de pute me tient le poignet, se révèle et me colle un pain avant que je ne puisse faire quoi que ce soit. Je devrais avoir de meilleur réflexe.

Il m'assainait coup sur coup, je fus bientôt recouvert de bleu avant que je n'ais put dire "Yolo le camenbert". Mais un coup ne vient pas et l'autre non plus, d'ailleur je ne sentait plus sa présence sur mon corps m'empêchais de respirer.

J'ouvre un œil puis deux et je vois Antoine engueulais sa pute, je comprends seulement quelque vride, j'avais la tête sonnais a ce moment.

_Comment a tu put... C'est pas sa faute si.... Quitté !
_Espèce de con... Je suis.... Tu m'avais pris pour... -blier

Et là Noé se prend un gifle et le blond dit quelque chose que je ne compris pas et tourna la tête vers moi, je crois qu'il était inquiet.

Il ignora totalement Noé et vint me voir et me pris dans ses bras alors que je sombrait des l'inconscince avec un acouphènes aiguë dans ma tête.

Je me réveille dans une pièce que je ne connaissais pas, ou que je ne reconnais plus. Il devait être l'après-midi car le soleil avait bien entamé son aprèm. Je regarde un peu la pièce autour de moi et je raye déjà la possibilité que je sois chez moi. Pas dans un hôpital, c'est une chambre d'ados. Alors où?

Des gens entrent dans la pièce, mes parents accompagné de ducon ou de mon sauveur, je ne sais plus. Mon père hurle a la vie et vient me voir  sortant sa trousse a pharmacie. Vous ais-je dis que mon père était médecin ?

Ensuie c'est mon autre père qui vient me voir en souriant, un peu plus posé. Je sais pas comment il fait pour supporter mon père. Et Antoine se contente de me regarder comme un poisson crue. Si je venais pas de sortir de l'inconscience, je me torderais de rire.

Mes pères sortent après m'avoir briffe la situation. J'ai dormir deux jours, je suis dans la chambre du blond et je n'ais rien de grave a pars un bon cou sur la tête.

Antoine finit par s'asseoir a côté de moi.

_Ca va ducon ?
_Comme un mec qui a dormir deux jour a cause d'une pute de haut niveau.

Il rit un peu et pose sa main sur mes cheveux les caressant doucement, alerte pédophile, alerte pédophi- ah non il a mon âge c'est vrai.

_Tu fous quoi la blonde ?
_Je l'ais quitté la dite pute, il a pas aimé et c'est vengé sur toi car il pense que je t'aime et que je l'ais quitté pour toi et que je suis sortit avec lui pour t'oublier.
_Et c'est vrai ?
_Peut-être.
_Ca veut dire oui ça ?
_Tu aimerais que ce soit oui ?
_Ta mère tu m'embrouille.

Il rit, bizarre, il a l'air très nerveux dans son rire. Mais bon, je pense que c'est plutôt de reser stoïc.

_Sinon, tu me kidnappes pendant combien de temps ?
_Profite, tu peux voir mon intimité.
_Un peu sale ton intimité.
_Tu pars quand tu seras en force. Ton père a dit deux jours de repos. C'était un gros coup sur la tête.
_Si tu le dis.

Je regarde un peu sa chambre en bordel, putain c'est moi ou c'est un go- oh... Antoine est un gros cochon en plus. Il remarque ce que je regarde.

_Tu veux essayer ? C'était à Noé, pour "pimenter nos ébats" Mais bon, c'était plus un coût que quelque chose d'autre.
_J'ai pas envie de savoir.

Il le prend et le jette a la poubelle dans la rue. Apparemment il a bien visé car il fait un "Yes!" Gros gamin. Je savais pas que j'était pédophile. Attend.. Ça veut dire que je l'aime ? Woh... Ça fait chelou a entendre.

Comment je vais cacher ça parce que je me connais, maintenant que je le sais, je vais rougir, être jaloux d'une poire et bégayer a chaque attention qu'il me portera. Ma vie c'est de la merde.

Quelque heures sont passé et je me suis colporter comme un demeuré  j'ai rougis 24/24, j'es été jaloux d'un stylo et j'ai bégayer a chaque mot qu'il prononçait. Youpiiii, notez l'ironie.

Là je maneais le repas qu'il m'avait apporter. Des pâtes bolognaise et un verre de lait. La classe, et j'ai rougit quand il me l'as donné en frolant les mains.

_Tu as de la fièvre ?
_P-pourquoi tu dis c-ca ?
_Bah t'es touge depuis toute a l'heure et t'as du mal a parler.
_Oh...

Il sourit et moi je mange en essayant d'oublier qu'il est là. Franchement, je vais pitier. Il me regarde je le sens. Il me sonde comme si j'etait la personne la plus facile a lire au monde. Peut-être que c'est le cas.

_Ah... Je vois.
_Je vois pleins de chose et je le dis pas pour autant.

J'ai parler normalement yes ! Je vous ais déjà dis que je faisais pitier ?

_Noooon, mais tu es amoureux de moi.

J'avale de travers, comme il a... Quel con.

_Même un aveugle le verrais, mais tu sais... Après une séparation... C'est pas polie de ce remettre avec quelque tout de suite après.
_Et c'est poli d'embrasser quelqu'un et de se mettre en couple avec une autre personne le jour même.
_Ouch, ça fait mal. Quel jalousie.

Je le tue du regard et le maudis sur 25 milles générations.

_T'inquiète, moi aussi je t'aime tu sais.

Alors là, c'est a moi de faire de yeux de merlant fris.

_Je t'avais dis que tu étais gay.

Puis il m'embrasse pendant quelque seconde, il garde son visage a quelque millimètres du mien et je dis.

_Je n'aime que les cons blonds Antoine.

Et je réduis la distance entre nous.

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