Elle

Elle, c'est Julie McGewver et elle est parfaite. Tout chez elle est parfait. Son regard chaleureux et espiègle. Son sourire rieur et qui semble éternel. Ses cheveux qui peuvent lui donner un air sexy à un air mignon. Elle est parfaite.

C'est ce que je me dis quand je la vois, tourner sur elle-même en riant. Moi, Charles McJonweyl, je suis tombé amoureux de cette créature qui semble être tombait des cieux. Vous savez quand on est amoureux on a des petits surnoms: mon amour, mon chat, mon ange... Mais elle, elle mérite son surnom d'ange.

Mais bon, je l'aime en secret, je ne peux pas l'aimer. C'est ma meilleure-amie. Celui a qui elle confit tout, celui qui l'accompagne faire les soldes, l'épaule sur lequel elle peut s'appuyer. Toujours la au rendez-vous, toujours au garde a vous.

Si je pouvais faire en sorte qu'elle m'aime, je le ferais toute suite. Pourtant j'ai analyser ses petit-ami. Mit leur point commun en évidence.
Et le plus gros point commun, c'est qu'il semble inaccessible pour moi, je ne leur ressemblerais jamais.

Ils sont battit comme des dieux, moi j'ai la bedaine de la trentaine. Il sont tous bruns ou ont fait un couleur noir ou juste sombre: je suis châtain et je suis allergique au trucs des colorations. Ils lui font vivre des aventures soit par la moto, l'escalades, les voyages, moi je flanne dans les rues commerçantes avec elles et d'autre choses encores...

Je lui ais demandé un jour si elle choisissait vraiment ses mecs par quelque critères elle m'as répondu. "Charles, l'amour ne se décide pas par critères, mais par alchimie" Je ne dois pas avoir une bonne aura pour elle.

_Charles. dit-elle me sortant de ma rêverie
_Euh.. Oui Julie ? dis-je en la regardant dans son magnifique caban rouge avec de la fausse moumoute lui réchauffant le cou.

Elle rit, un rire parfait.

_Tu étais dans tes pensées, à quoi pensais-tu ? demanda-t-elle en joignant ses mains dans son dos et en se penchant vers la droite
_Euh.. je..

Je ne pouvais dire que je pensais à elle, elle pourrait me prendre pour un psychopathe.

_Je pensais au temps de plus en plus froid. J'ai peur que Mireille attrape une maladie. mentis-je

Mireille étais la fille de Julie. Elle l'avait eu avec un des ses mecs. C'est un petit ange elle aussi, elle tient de sa mère je pense. Elle a seulement deux ans mais elle a déjà dis ses premiers a savoir "Maman", "Merci", "Bonjour" et "Amour". Que des mots heureux.

Elle rit encore et dit:

_Ne t'inquiète pas Charles, le papa poule que tu es va la couvrir de manteau chaud.

Je sourit bêtement, j'adore son rire vous savez ?

_Allons lui acheter une écharpe alors. dis-je
_Non.. Je préfère le faire avec elle. Pour l'instant faisons juste une balade dans les rues de Noël.

Les rues de Noël... Elle a toujours eu une imagination débordante et quand la période de Noël approche que tout est joyeux et chaleureux. Que tout le monde met des veste chaudes, des écharpes, des bonnets et des gants. Pendant ses périodes la, Julie et moi surnommons les rues "Le rues de Noël".

Flânez dans les rues, c'est se que je fais de mieux, après la mousse au chocolat, des que je peux je prends une veste appelle Julie pour savoir si elle est libre et flâne dans les rues a la recherche de bons souvenirs. Ou alors je regardes un film avec un chocolat chaud ou froid.

Je suis un homme d'appartement, je suis comme... Watson dans la série Sherlock Holmes. Un homme qui aime bien être détendue dans son petit appartement. Un homme qui aime aimer mais qui ne bouge pas beaucoup pour garder sa belle.

Et Julie est ma Sherlock, celle qui me fais courrir mais que, avec elle, je le fais a coeur ouvert. Julie et sa fille sont deux beaux anges qui réchauffe mon coeur. Si elles savaient...

_Ils se fait tard, je vais allez rejoindre Mireille à la maison. Elle est autonome mais elle a besoin de sa maman. dit-elle en me regardant, un sourire espiègle sur le visage
_Tu veux que je t'accompagne ? demandais-je
_Non non... Retourne dans ton appartement, tu vas t'ennuyais a me regardais la nourrir.
_Comment m'ennuyais avec vous ?

Elle rit et fini par abdiquer. Elle apprécie ma compagnie je crois. Nous marchons en parlant vers son appartement, nous ne parlons pas beaucoup mais cela rend notre relation plus intime je trouve. On a pas besoin de mot pour communiquer.

_Tu es vraiment gentil Charles, je pense que c'est pour ça que tu es mon meilleur-ami. dit-elle, à la porte de son appartement, puis elle ajoute. Je... je pense que tu es un homme bien et je... je trouve que tu te consacre trop à moi et a Mireille. Tu devrais peut-être chercher une femme, fondé une famille.

Je la regarde, étonné par ces propos, j'ai l'impression qu'elle essaye de se débarrasser de moi. Puis je comprends, elle a quelqu'un d'autre dans sa vie qui est jaloux de ma relation avec elle. Mais je ne vois pas comment on peut être jaloux de moi.

_Julie, tu aimes quelqu'un en ce moment ? demandais-je lentement
_Euh... elle soupire et fini par lâcher. Oui mais ne t'occupe pas de ça. Je suis très indépendante niveau amour tu sais.
_Tu as l'air tracasser pourtant, tu as peur que cette homme pense que je t'ais chasse garder ?

Elle rit en mettant sa main devant sa bouche, mais pourtant je perçois une grande nervosité dans son rire.

_Non non ! elle finni par ce calmer et lâche. C'est juste que tu es tellement là que Mireille t'appellent papa et ça me gêne tu vois parce qu'on... est pas... 'Fin tu vois ?

Je lui sourit doucement, bien sur que je comprends. Je peux tout comprendre pour elle.

_Oui je comprend... Alors je vais peut-être faire des sorties en ville tout seul... Et arrêté d'acheter des cadeaux pour Mireille a chaque fois que j'en vois un qui pourrait la faire plaisir.

Elle me regarde, désolé. Mon dieu, je pourrais tout faire pour qu'elle retrouve son sourire espiègle.

_Mais ça ne met pas fin a notre relation. tenta-t-elle de me rassurer, ou se rassurer. Je ne sais pas
_Bien sur. Bon, au revoir Julie.

Je me tourne et pars en souriant.

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