NDA : vous êtes responsables de ce que vous lisez 😊 (chapitre pouvant être passé si les scènes de sexe vous gênent 🤭)

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Leilani

Daiki me surplombe. Son aura est stupéfiante. Je tremble presque devant l'énergie, presque animale qu'il dégage. Je ne pourrai pas résister. En ai-je non seulement l'envie ? Au contraire, chaque cellule de mon corps réclame d'entrer en contact avec les siennes.
Ses bras sont posés et tendus de part et d'autres des miens qui sont le long de mon corps. Je sens mon désir charnel pour lui s'éveiller. Nous nous fixons de yeux et je me perds dans l'azur des siens. Aucun de nous n'a encore prononcé un mot. Seules nos respirations plus intenses se font entendre. Puis je sens mon torse se tendre vers lui, mes lèvres voulant embrasser les siennes. Ce micro-signal est le début du ballet qui s'en suit. Le baiser s'enflamme. Nos corps finissent par se toucher. Je glisse mes mains dans le dos de cet homme sous le teeshirt qu'il porte, l'incitant à plaquer son corps encore plus contre le mien. Entre baisers et caresses, la température augmente doucement mais sûrement autour de nous. Gémissements et soupirs se font entendre aussi.
Ces couches de tissu nous gênent et la même idée nous traversent l'esprit. Alors que j'attrape le bas du tricot pour le faire passer au dessus, il fait de même avec mon haut. Mais il est d'un seul coup avide de bien plus, car il s'attaque déjà à enlever mon soutient gorge, dévoilant ainsi ma poitrine tendue et gonflée de désir pour lui. Le spectacle semble lui plaire énormément car il se jette dessus et la couvre de caresses et de baisers. La sensation est exquise. Ses grandes mains ne s'attardent jamais au même endroit, réveillant chaque parcelle de mon corps. Nos bassins se poussent et se repoussent. Son désir pour moi est évident et cela ne fait que renforcer le mien. J'essaye tant bien que mal d'atteindre la ceinture de son short mais sa carrure et son poids m'en empêchent. Je le sens sourire contre le sein qu'il malmène depuis quelques instants, et sans quitter sa délicieuse torture, il soulève son bassin du mien et me facilite le détachement de sa ceinture. Mais la position ne me permet pas d'obtenir le résultat escompté. Le basané se redresse avec une telle rapidité et se déleste du reste de ses vêtements me permettant ainsi de découvrir pour la première fois son magnifique corps. Sa virilité dressée me fait déglutir tant elle en impose. Il me laisse le loisir de le regarder avant de revenir au-dessus de moi pour également me dévêtir complètement. Debout sur ses genoux, il me regarde intensément et se lèche les lèvres. Puis il se penche lentement, déposant une ligne de baisers depuis mon nombril jusqu'à mon intimité. Lorsque je sens son souffle à proximité, je me tends prête à accueillir cette caresse intime avec délectation. Mais le basané ne fait qu'effleurer, me torturant lentement mais sûrement. J'arrive à glisser mes doigts dans ses cheveux et je me décide de plaquer sa tête vers cette zone qui réclame d'être satisfaite. Il ne résiste pas, bien au contraire, sa langue parcourt chaque recoin de ma féminité qui tressaille d'être enfin honorée. La chaleur monte et monte encore dans tout mon être jusqu'à éclater en un spasme et un cri. Daiki ne me laisse pas reprendre pied qu'il s'installe alors entre mes cuisses, frottant son membre tendu tout contre ma vulve humide, prolongeant ainsi la décharge électrique le long de ma colonne vertébrale. Alors que j'ai la tête en arrière, enfoncée dans le matelas, je sens enfin qu'il va s'immiscer au plus profond de moi. Il joue avec mon plaisir, ne s'enfonçant qu'un peu avant de nouveau effleurer toute la zone extérieure. Je n'en peux plus et réclame d'être comblée. Je me redresse alors et me saisit de ce membre que je m'applique à masturber, provoquant ainsi des râles de mon partenaire. J'entoure mes jambes autour de son bassin et lui indique de basculer sur le dos. Il est docile et je dirige fermement cette verge dans mon antre. La sensation est divine. Je coulisse lentement jusqu'à l'avoir complètement en moi. Daiki gémit sous mes roulements de bassin, puis, il me saisit les hanches afin de m'indiquer le mouvement qu'il Souhaite que j'exerce sur sa virilité. Le temps n'a plus aucune valeur. Nous nous déhanchons au rythme des cris de l'un et de l'autre. Puis, alors que la délivrance est proche, il m'empêche de m'empaler de nouveau. Sa poigne est ferme. Il me retourne, poitrine contre le matelas, une main sous mon clitoris qu'il agace d'un doigt, et s'enfilant de nouveau dans mon antre. Il me percute avec force jusqu'à ce que l'orgasme nous terrasse.
Nous reprenons notre souffle un moment, puis nous nous allongeons, l'un contre l'autre. Cet instant est silencieux mais tellement agréable. Cet homme est un amant extraordinaire.

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