TW : Chapitre viol
NDA : ce chapitre est une scène de viol. Vous pouvez zapper si vous n'êtes pas à l'aise avec cela, dans le chapitre d'après, il y aura le rêve jusqu'au viol (non-inclus) et une phrase très brève qui résumera la scène.
\ Flashback/ Rêve \
Sabrina me battait et me violait la moitié du temps où on était ensemble. Comme elle se droguait, je pensais qu'elle n'était plus réellement elle-même mais ce n'était pas une excuse suffisante pour moi.
Pourquoi je ne la quittais pas ?
Car je l'aimais tout simplement mais j'étais faible et sans défense. Je ne faisais pas de boxe mais je songeais sérieusement à m'y mettre. Lorsque j'ai su qu'elle se droguait, c'est le jour de notre première année ensemble.
J'avais prévu de partir parce que je savais très bien comment ça allait se terminer. Je prenais donc mes affaires en tirant les tiroirs d'un meuble. Mais quand j'ai soulevé mes jeans, j'ai vu plein de sachets remplis de poudre blanche. J'en ai retrouvé d'autres dans certains placards et je suis venue à la conclusion que ma copine se droguait. Je n'ai pas eu le temps de les replacer quand la porte s'est ouverte en grand.
- Mon Sichou !! Bon anniversaire ! J'ai prévus un petite sieste crapuleuse avant d'ouvrir les cadeaux ! Dit-elle en me regardant d'un air cruel, un sourire diabolique. Allez, viens là mon chéri !
C'est alors qu'elle vit la drogue dans mes mains, elle compris tout de suite et commença à me ruer de coups. Avec une technique de boxe de base apprise quand je n'étais encore qu'un jeune elfe, je contre-attaquai. Elle me regarda avec une envie de meurtre sur son visage.
J'était terrifié. Je volai comme je pût vers la porte pour m'enfuir mais celle-ci était fermé. Je me collai contre la porte. Je ne la vis pas arrivé et elle en profita pour m'asséner un violent coup de pied dans mes côtes.
- Je t'en pris ! C'est tellement con de succomber à la drogue ! Combas-la !! Criai-je.
Elle fit apparaître des chaines en acier autour du cou et de l'estomac. Elle savait que c'était notre faiblesse, à nous, les elfes. L'acier peut être mortel pour les elfes.
Elles m'enserraient beaucoup trop. L'air ne passait presque plus dans la trachée.
- Répète un peu ce que tu viens de dire, connard. Je suis conne, c'est ça ?
Je ne répétai pas.
Elle me relâcha, m'allongea sur le lit et m'attacha les poignet au lit avec des fil en acier pour que je ne puisse pas me rebeller. Son doux visage s'approchait dangereusement de moi et j'étais incapable de me défendre. Je ne veux pas. Non ! Hors de question !
- Sabrina... Non s'il te plait ! Je peux t'aider à remonter la pente !
- J'ai pas besoin de toi t'es qu'un connard. Plus tard, tu regrettera d'avoir fouiller dans mes affaires. Ricana-t-elle. Mais d'abord, on va faire un plat digne de ce nom pour ce jour si spécial.
Elle posa violemment ses lèvres sur les miennes et m'embrassa sensuellement. Ses bras passèrent sous mon tee-shirt et me caressèrent le torse. Soudain, mon haut et celui de ma partenaire valdinguèrent à l'autre bout de la pièce, ainsi que son soutien-gorge.
Elle se pencha sur moi et se mit à m'embrasser dans le cou et à me faire des suçons un peu partout sur le torse. Sa poitrine touchait, se frottait, se collait sur mon torse. Ce qui me provoquait des frissons de dégoût. C'est comme si sa chaleur corporelle me brûlait.
Elle se mit à jouer avec mon téton gauche, en le léchant ce qui le fit durcir. Elle répéta l'opération avec mon téton droit. Quand elle le mordit, un gémissement de douleur s'échappa de ma gorge. Elle s'arrêta net.
- Tu es faible... ça m'excite... je sens que je vais bien m'amuser... sourit-elle, essoufflée.
- Qu-quoi ? Arrête, je t'en pris. Ça n'amuse que toi ce genre de jeu.
- Peut-être...
Elle glissa ses mains dans mon boxer et en déposa une sur mon postérieur tandis que l'autre se faufila à l'avant. Elle y appuya soudainement, ce qui me fit lâcher un petit cri.
- Tu as une belle voix... dit-elle avec un sourire pervers. Refais pour voir...
- NON... c'est... nngh... pas... d-drôle... nnnngh... ahhhh...
Pendant que je parlais, elle me malaxait mon penis. Cela me fit perdre le fil. Elle enleva ses mains mais avant que je puisse lui parler, elle reposa ses lèvres sur les miennes, plus langoureusement. Puis elle commença à défaire mon jean et le sien. Ils rejoignirent les hauts dans le coin de la chambre. Elle m'arracha mon boxer et fit de même avec sa culotte.
Et là, après un sourire qui ne laissait présager rien de bon, elle redressa mon membre du bas, complètement mou, et y posa doucement les lèvres. Alors que j'allais protester, elle mit un doigt sur mes lèvres.
- Je fais ce qu'il me plait, tu es à moi.
J'allais dire que chaque elfe et fée est libre mais elle m'interrompit en capturant mes lèvres une fois encore et en y introduisant de force sa langue. Puis elle commença doucement à déposer des baisers dans mon cou, puis mes épaules. Elle descendit ainsi de mon torse à mon nombril puis, rendu à la hauteur de mon sexe, elle l'empoigna d'une main et elle reposa ses lèvres sur le bout, pour ensuite en prendre une bonne partie dans sa bouche. Sachant que c'était notre point faible, elle en suça plusieurs fois le bout. Je ne pus m'empêcher de pousser de forts gémissements, qui la firent esquisser un sourire diabolique. Mon sexe ne cessait de durcir d'excitation, dû au traitement de Sabrina.
- Sa...sabrina... s'il te plait... Sabrina ! S-Sabrina...
Je ne pouvais m'empêcher de crier son nom alors qu'elle s'affairait sur mon sexe qu'elle prenait toujours un peu plus profondément, s'aidant de ses mains pour se satisfaire et de sa langue pour varier les plaisirs. Après un moment de cette torture, elle s'arrêta.
Je cru qu'elle en avait eu assez. D'une part c'était bien car ça me libérait mais de l'autre, qu'allait-elle faire de moi maintenant que je connaissais son secret ?
C'est alors qu'elle me fit pénétrer en elle. Elle bougea ensuite le bassin et fit des va-et-viens. De plus en plus vite et de plus en plus fort. Chaque coup me faisait gémir de plus en plus fort, ce qui accentuait le désir de Sabrina qui rentrait encore plus brusquement.
- Sabrina ! Hurlais-je régulièrement.
- Tu es faible mon Sichou.... c'est ça que j'aime chez toi... disait-elle d'une voix rauque en rentrant toujours plus brusquement.
Elle s'arrêta finalement, au bout d'une heure, hors d'haleine et complètement nue.
Oui j'étais horriblement faible, et je ne pouvais rien y changer...
\ Fin du flashback/ rêve \
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