Chapitre 9 : Le train de l'infini
Coucou, j'ai mis dit temps à écrire le chapitre 8 car il fallait que je regarde encore l'animé pour le dialogue exact.
Bonne lecture 😜
Précédemment :
Corbeau : Démon ! Démon détecté !
Un homme était à terre, terrifié. Devant lui se trouvait un démon. Avec des rayures et il était gris. Il se retourna et il tenait sûrement Tatsu. Le démon enfoncé petit à petit dans la joue de Tatsu.
Démon: Doucement.
Chef de révision : Tatsu !
Moi : Reculez.
Je vis que le démon enfonçait également ses ongles dans le ventre de ce cher Tatsu.
Tatsu : Chef !
Démon : Salaud...
Moi : Lâche ce jeune homme.
Démon : Y'a que les pourfendeurs pour nous prendre de haut.
C'est quoi cette puanteur ?
Il écrasa le bento. Quel gâchis.
Démon : Depuis que je suis un démon, la nourriture humaine me file la gerbe.
Moi : Des gens se sont appliqués pour préparer ce repas, c'est inadmissible.
Démon : J'y peux rien si je trouve ça dégueu. Toi aussi petit, l'odeur de ton sang est répugnante.
Il enfonca de plus en plus ses ongles. Tatsu avait les larmes aux yeux.
Démon : Ceux qui sentent bon, je les mange, et les autres, je m'amuse à les torturer toute la nuit.
J'étais prêt à le découper en morceaux.
Moi : C'est donc toi l'éventreur. Tu me répugnes.
Démon : Si ça te plaît pas, essaie donc...
De me tuer.
Il fonça de tout les côtés. Je ne le voyais presque plus mais je peux le tuer.
Chef de révision : Qu'est-ce qui se passe ?
Démon : Personne peut m'arrêter ! Je suis bien trop rapide !
J'ai donné un coup de katana dans sa direction. Mais je l'ai raté.
Démon : Désolé, le petit te rend la tâche difficile, pas vrai ? Si tu veux, pour t'aider, je peux le tuer.
Tatsu : Non, au secours.
Moi : Ne t'inquiètes pas, je ne le laisserai pas faire.
Démon : Tu crois pouvoir m'arrêter alors qu'hier...
J'ai charcuté une femme sans être dérangé.
Moi : Effectivement, j'admets que tu es rapide. Mais ne te crois pas invisible. Je pensais que tu t'étais enfui après nous avoir sentis, mais il faut croire que tu ne nous avais pas remarqués. Ton seul talent, c'est la fuite.
Démon : Pardon ?
Moi : La victime d'hier soir a été promptement soignée. Et elle n'aura pas la moindre cicatrices.
Démon : Qu'importe qu'elle ait survécu ! La terreur la poursuivra pour le restant de ses jours.
Moi : Hors de question ! On prendra le temps qu'il faudra pour soigner entièrement les blessures de son âme.
Démon : Je vais te faire ravaler ton air de justicier. Je la retrouverai et je la truciderai.
Moi : On l'a mise en sûreté. Il te sera impossible de la localiser.
Elle se trouvait à la maison des glycines. Akemi n'avait encore aucune mission et je lui ai demandé de s'occuper de cette femme. J'espère que ça se passe bien. Il banniqua et regarda le bento écrasé. J'avais un très mauvais pressentiment.
Démon : Et les vendeuses de bentos, alors ?
Quoi ? Je savais qu'un truc clochait.
Moi : Elle n'ont rien à voir avec ça!
Démon : Mais tu les connais les vendeuses à la gare. Je sais où elle sont.
Je mis un pas devant moi.
Démon : Bouge pas !
Il releva le jeune homme.
Démon : Il n'y a pas à dire, tu m'écoeures. Moi, je m'amuse bien. Si tu veux les sauver, il faudra arriver à la gare avant moi . Mais d'abord, je vais me débarrasser de ce petit boulet !
Il était en train de resserrer ses ongles dans la peau du jeune homme. Mais je ne l'ai laissé pas faire. Je me suis précipité vers lui et j'ai tranché ses mains.
Le démon sortit dehors et couru jusqu'à la gare.
Démon : A plus !
Chef de révision : Je vous en prie, sauvez-le...
Moi : Pas t'inquiètude, je me charge de tout. Et mes collègues seront vite là.
??? : C'est là par ici, venez !
J'ai tourné la tête et c'était les pourfendeurs que j'avais appelé en secours.
Pourfendeur : M.Rengoku !
Moi : Oui, je vais y aller.
Pourfendeur : on s'occupe de tout.
Je me suis levé et je suis partie en courant vers la gare. Les vendeuses étaient en danger. J'ai réussi à rattraper le démon. On était côte à côte.
Démon: Quoi ? Comment as tu réussi ?
Il fonça à toute vitesse à la gare et me dépassa.
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