Chapitre 8 : Le pilier de la flamme

???: Akemi, je suis content de te revoir.

J'ai tourné ma tête. Rengoku se tenait devant moi et Tanjiro. Je voyais flou à cause des larmes qui montaient. Elles ont coulé sur mes joues, j'ai souris.
Enfin. Il était là.
Je me suis précipitée vers lui et je l'ai enlacée.

Moi : Je suis contente de te revoir également.

Il souris. Et m'enlaça également.
J'étais très contente de le revoir. Après tout ce temps.

Rengoku : J'ai des informations à aller récupérer. Après ça, on se parlera de tout se qui c'est passé, quand dis tu ?

Moi : Reviens vite alors .

J'ai enlevé mes bras et il tourna les talons. Je n'avais toujours aucune mission pour le moment.

Le soir :
Pdv Rengoku :
Je me suis dirigé vers un petit restaurant bien renommé. C'était là où je devais voir un des pourfendeurs qui allait me donner des informations sur ma dernière mission. Il n'y avait personne dans le restaurant.
Je me suis assis et le patron m'a servi un bol de nouilles avec du jus dedans.
J'ai goûté et c'était délicieux.

Moi: Délicieux. Trop bon. C'est bon

La porte du restaurant s'ouvrit et le pourfendeur entra.

Pourfendeur : Navré de vous déranger pilier de la flamme.

Moi : Hein ? Viens t'asseoir.

Il vient s'asseoir et on commença à discuter.

Moi : La même chose pour lui et j'en reprendrai bien.

Patron : Vous avez bon appétit, c'est réconfortant. C'est pas courant.

Il partit préparer les bols.

Pourfendeur: Vous avez bien réalisé votre mission la dernière fois.

Moi : Le démon s'est échappé, je ne suis pas fier. Au faite, comment va la femme.

Pourfendeur : D'après le médecin, elle n'aura pas de cicatrices.

Moi : C'est bien qu'on est fait vite.

Le patron arriva et nous servit deux bol et une petite assiette.

Moi : Qu'est-ce que c'est ?

Patron : Cadeau de la maison.

Moi : Merci .

Le pourfendeur goutta le plat et son visage s'illumina.

Pourfendeur : Hmm, si j'étais vous monsieur, j'ouvrirais un restaurant à Ueno.

Patron : Est ce que moi je t'en pose des questions ?

Le pourfendeur se tue. J'ai goûté les petites crevettes de beignets et c'était très bon.
Le patron a pris un journal.

Moi : Et les affaires alors ?

Patron : Plus personne ne vient car le train de l'infini est hanté. Plus personne ne veut venir à cause de ça.
Plus de 40 personnes ont été retrouvées mortes.

Pourfendeur : Rengoku, on a retrouvé le train de l'infini. D'après les rumeurs, il se cacherait dans l'entrepôt de la gare.

Moi : Je vois, succulent !

Nous sommes sortis du restaurant.

Pourfendeur : Vous voulez qu'on prenne le train ?!

Moi : Oui, mais d'abord, je voudrais aller voir l'endroit où le conducteur a été retrouvé mort.

Nous sommes entrés dans la gare.

Pourfendeur : J'ai fait le tour et rien d'anormal à signaler.

Moi : Très bien.

??? : Et je te dis que les démons d'existent pas et toi tu ne dis que ça. Il faut que j'arrive à vendre tous nos bentos. Maman va bientôt accoucher et papa travaille seul au resto, il faut que je fasse quelque chose.

??? : Tu es une petite fille, laisse les adultes s'occupaient des histoires d'adultes. Tu as le temps de grandir.

Je me dirige vers les personnes qui parlent. Je me poste devant une petite fille.

Moi : Bonjour, nous avons une belle lune ce soir. Je cherche un démon, l'auriez vous vu par ici.

Pourfendeur : Sérieux ?! Comme ça ?

Corbeau : Kiôjurô, vous êtes trop direct!

Moi : Madame, avez vous des informations ?

La petite fille se relève et se met entre moi et sa grand mère.

Petite fille : Des démons ? Arrêtez vos plaisanteries. Vous voulez quoi ? N'approchez pas !

Elle tremble.

Moi : Attention, ne tremble pas autant, tu vas faire tomber ta brioche !

Petite fille : N'approchez pas !

La petite fille me jetta sa brioche à la figure. Je la prends et je croque dedans.

Petite fille : Non, on a pas vu de démon! Ça existe même pas !

Grand mère : Fuku, calme toi. Je doute que ce soit une mauvaise personne.

Fuku : Pardon... Je suis sur les nerfs à cause du tueur en série...

Moi : D'après ce que j'ai cru comprendre, vous vous installez ici avant le lever du jour dans le but de vendre des bentos. C'est extrêmement louable. Je ne permettrai pas que de si honnête gens soient victimes.
N'ayez crainte ! Je vous promets d'arrêter l'éventreur.

Fuku : Mais qui êtes vous ?

Moi : Bonne soirée.

Fuku : Attendez, si jamais vous avez un peu faim, vous ne voudriez pas un panier repas ?

Moi : C'est vrai, bonne idée !
Je prends tout !

Elle me donna tout et je mis tout ça sur le dos du pourfendeur qui m'accompagnait.

Pourfendeur : Pourquoi avoir fait ça ?

Moi : Partage avec nos collègues!
Je continue ma mission seul. Merci pour ton travail. À bientôt.

Je monte dans un train. Un des conducteurs du train ouvrit la porte.

Conducteur : Qui êtes vous ? Que faites vous ?

Moi : Je vends des bentos, voyez vous.
Rien de suspect, je vous assure!

Conducteur : Je veux bien, mais le train part au dépôt là.

Moi : Oui, je suis conscient. Je souhaite voir le train de l'infini, et il paraît qu'il s'y trouve.

Conducteur : Le train de l'infini ? Non, il n'est plus au dépôt.

Moi : Vraiment ?

Conducteur : Ce matin, il a été amené dans un garage équipé pour l'entretenir. C'est juste là.

Il pointa du doigts un grand bâtiment éclairé.

Moi : Alors je vous laisse ici !

Conducteur : Quoi ? Comment ça ?

Je saute du train et j'atterris sur d'autres rails un peu plus loin.
Je suis entré dans l'entrepôt.
Je vis le train, devant moi.

Moi : Le train de l'infini, en effet, je sens de faibles résidus démoniaques.

Chef de révision : Que faites vous là ?
C'est réservé au personnel ici .

Moi : Bonjour! Le bureau de chemins de fer m'envoie pour vous apporter à manger.

Chef de révision : Ah oui ?
Les gars, on a de la bouffe !

Je me suis avancée vers un petit groupe pour poser la nourriture.

Chef de révision : Tiens, portes-en un à Tatsu qui se repose au poste.

Gars : Oui chef.

Moi : Pourquoi le train de l'infini a été amené ici ?

Chef de révision : La machine n'est pas le responsable, mais les gens disent qu'elle dévore les passagers. Ça nous met en rogne ces rumeurs. Alors, vu qu'elle va reprendre du service, on compte bien la bichonner autant que possible avant son départ.

Elle reprend du service ? C'est étrange.

Moi : Elle reprend du service ?

Chef de révision : Oui, demain soir. Donc on est tous...

Un cri retentit dans l'entrepôt. J'ai dégainé mon katana et j'ai couru en direction du cri.

Corbeau : Un démon ! Démon détecté !

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