Chapitre 3 : premier combat

Moi : je suis là

Elle c'est dégagé de mes bras et elle m'a emmené à l'infirmerie.

10 jours plus tard :
Pdv Akemi :
C'était le grand jour, le jour où mon sabre allé arriver. J'etais sur exité et je me posé beaucoup de questions comme, de quelle couleur est mon katana? Est ce qu'il sera stylé ?

Je suis sortie sur la cour extérieure. Un monsieur nous attendait dehors.
Il avait un masque rouge et on aurait dit qu'il sifflait.
Il me tendit le katana et on alla s'installer avec le maître et les piliers. Je me suis assise à côté de Rengoku. Mon mentor.
Je me suis assise sur mes genoux.
Je portais mon uniforme de pourfendeurs. J'étais en train de recoudre ma veste avant qu'il arrive.
Il m'expliqua l'origine du katana et des démons. Qui était le maître démon et qui il fallait tuer pour devenir le meilleur.

Monsieur aux masques rouges: Vas y
Je pris le katana et j'ai sorti la lame de son bourreau.
Quand la lame fut sortie, je la brendit en hauteur et elle devint particulière.
La lame changea de couleur pour devenir couleur or. La poignet était noir avec des fils d'or.

Tous le monde était bouche bés. Moi, j'étais émerveillé par la couleur du sabre et un peu perdue. Que signifiait cette couleur ?

Moi : Euh ça signifie quoi ?

Rengoku : Ça signifie la puissance et la force de l'âme.

J'ai écarquillés les yeux. Le corbeau arriva.

Corbeau : Croar , Croar , un démon aux quartiers des plaisirs. Un démon aux quartiers des plaisirs. Un démon aux....

Moi : Déjà?

J'ai ranger mon sabre et je l'ai mise à ma ceinture.
Quelques minutes après, j'ai fini de recoudre ma veste et je suis partie.

Rengoku : Fais attention.

Moi : oui ne t'inquiètes pas

C'était comme un grand frère pour moi, une source d'inspiration.
Je suis partie vers le quartier des plaisirs.

2 jours plus tard :
Pdv Akemi :
Je suis arrivée aux quartiers des plaisirs.
Je devais chercher un démon. Depuis ma naissance, j'avais une très bonne vue, je pouvais distinguer même les fourmis.
Mes yeux étaient un peu comme des loupes.
C'était difficile avec cette foule. Rengoku m'avait aussi appris à sentir l'odeur des démons.
Dans une foule pareil, je n'avais pas le choix. Je devais cacher un maximum mon katana pour ne pas effrayé les gens.
C'est bon , j'ai trouvé. J'ai suivi l'odeur jusqu'à une ruelle sombre. L'odeur s'arrêtais là mais il n'y avait personne.
J'ai brendit mon katana.
J'ai regardé au dessus de ma tête.
Une femme environ de 20 ans était pendu à une gouttière.

Moi : merde, il m'a berné

J'ai continué les recherches, jusqu'à une maison.
Une très belle maison. À ce moment là, j'ai entendu des hurlements. Je suis entrée en toute vitesse, en suivant les cries et l'odeur.

Moi : Ça vient de l'étage

Je suis montée en brandissant mon katana.
Je vis un démon, avec une victime à côté. Elle était morte et ensanglanté.
Le démon était en train de la dévoré.

Démon : Tu es sur mon terrain de chasse, dégage.

Moi : Tu es tombé sur la mauvaise personne.

Il se retournit. Il avait du sang sur ses lèvres et sur sa bouche.

Démon : Une pourfendeuse! Tu vas finir comme cette femme

Il pointa du doigt la victime allongé par terre. Après ça, il se téléporta.
Je restais sur mes gardes. Où etait il passer. J'ai regardé en l'air et il bondit sur moi. J'ai été trop rapide. C'est comme si le temps c'était arrêté. Je lui trancha la tête et il disparut en un tas de poussière.
J'entendis des pleurs. J'ai regardé dans toutes les pièces de la maison et j'ai découvert une petite fille d'environ 8 ou 9 ans. Elle pleurait.

Petite fille : Elle est où ma maman ?

Moi: Elle n'est plus de ce monde.

Elle a rampé vers moi pour me faire un câlin. Elle avait besoin de réconfort.

Moi : As tu de la famille ?

Petite fille : Non, j'avais plus que ma maman

Moi : D'accord.

J'ai appelé mon corbeau et j'ai écrit une lettre aux maîtres:
"Cher maître,
Une maman à été dévoré par un démon et sa fille c'était cacher dans la salle de bain pour éviter de se faire manger également.
Elle n'a pas de famille et je voulais savoir qu'allons nous faire pour cette petite."

J'ai envoyé le corbeau et j'ai rejoint la petite fille terrifié.
Une heure plus tard, j'ai reçu le corbeau:
" Cher Akemi Yamazaki,
Cette petite peut venir assister les autres à l'infirmerie et par conséquent on peut l'héberger et la nourrir. "

Moi : Tu vas venir avec moi d'accord

Elle hocha la tête ne signe d'approbation.

Moi : As tu un panier ou quelque chose pour m'aider à te porter?

Petite fille : Oui, j'ai un panier à linge, où on mettait le linge sale.

Moi : Si on met des lanières, je pourrais te porter sur mon dos. Prends quelques vêtements ou affaires importantes.

Elle hocha la tête et alla dans sa chambre pendant que moi je mettais des lanières improvisés au panier.
Elle revint avec quelques vêtements dans un sac et une peluche dans sa main.

Moi : Tu es prête ?

Petite fille : Oui

Elle se mit dans le panier, et on se mit en route. On passa devant la chambre de sa mère mais je devais ne pas lui montrer.

Moi : Oh regarde, le jolie papillon.

C'était une direction que j'avais donné à l'opposé de la chambre .
La petite fille, déçue de l'avoir raté, s'endormit aussitôt dans le panier.

2 jours plus tard :
Pdv Akemi :
On est arrivé à la maison .
Je suis entrée à l'infirmerie. J'ai déposé la petite sur un lit pendant qu'elle dormait. Je devais également me reposer.
J'avais appris que la petite s'appelait
Ichika Ono.

Aoi : Enfin de retour, je vois que tu as ramener quelqu'un

Moi : Oui, tu pourras la former pour t'aider et en faire se que tu veux.

Je m'endormit quelques minutes après.
Aoi allait faire de son mieux pour s'occuper d'elle, enfin je l'espère.
Le corbeau arriva.

Corbeau: Croar, Croar, un démon se cache à la capitale. À la capitale.

Moi : *souffle* Encore ?

Je me suis mise en route. La capitale est réputée pour avoir beaucoup de monde, ça allait s'avérer compliqué.
Quand je suis arrivée à la capitale, j'ai aperçu beaucoup, beaucoup de monde mais je ne pensais pas autant.

Je regardais un peu tout les sens pour me repérer.

??? : Cette ville me donne le tournis. Viens on va aller par là Nezuko.

C'était le garçon aux cheveux rouges à la sélection finale. Il traversé les rails du train. Je suis passé devant lui.
Je pouvais facilement le reconnaître de dos.
J'ai marché devant lui. J'ai jeté un regard discret pas dessus mon épaule.
Il était avec une fille, avec les cheveux noir et des mèches rousses.
Elle avait un bambou dans la bouche. Étrange. J'ai continué à marcher. Une odeur se dégageait, une odeur particulière. Une odeur qui n'étais pas humaine mais qui venait de derrière.
La fille c'était un démon !! Mais je n'ai jamais vu un démon s'associait avec un humain à moins qu'ils se connaissent.
Mais il y avait une autre odeur.

Ensuite le garçon disparu et j'ai continué ma route à la recherche d'un démon.
Après quelques minutes, le garçon réapparu mais il courrait si vite, qu'il me bouscula. Je ne devais pas m'énerver, être discret est la clé.

Il c'est arrêté de courir à côté d'un grand homme effrayant. Il dégageait une autre odeur. Étrange. L'homme s'est retourné et avait une petite fille dans ses bras. Une humaine . Il avait réussi à créer une famille en étant un démon ?!

Petite fille : Papa, c'est qui ?

Homme effrayant : C'est rien, tout va bien ma chérie.
Puis je faire quelques choses pour vous jeune homme. Vous avez l'air totalement déboussolé.

Une dame arriva au près du monsieur et de la fille.

Dame : Que se passe t'il mon chéri?

Petite fille : T'es revenue maman.

Je suis allé me cacher dans une ruelle près de leur discussion. Le garçon avait l'air choqué et distant.

Dame : Tu connais ce jeune homme?

Monsieur : Pas le moins du monde. C'est justement cela qui m'interpelle,  je ne l'ai jamais vu auparavant.

Il lâcha sa main. Elle était grande et il avait des ongles gigantesques. C'étaient des griffes et non des ongles.

Monsieur : Si tu veux le fond de ma pensée, il m'a pris pour quelqu'un d'autre.

Dame : C'est bien se que je pensais.

Le monsieur démon griffa un homme qui passé par là. L'homme se tortilla de douleur et de la bave sorta de sa bouche.
J'ai compris, ce monsieur mystérieux et effrayant c'était Kibotsuji Muzan.
L'homme morda sa compagne a l'épaule.

Garçon aux cheveux rouges : Attendez faite pas ça

Mais c'était déjà trop tard.
La femme, mordu, cria de toutes ses forces. Du sang était en train de tâcher la tunique de cette femme.

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