Moi c'est Suzy Eisner, fille de Jeralt, un homme bien. Je suis différente des autres personnes, je ne ressens rien en moi et depuis petite je n'ai jamais pleurer,rigoler ou même sourit. Mais mon père m'a toujours garder auprès de lui pour régler ce problème. Après tout c'était un docteur, un chirurgien ? Ou bien un infirmier ? En réalité Jeralt, mon père, ne m'a jamais parlé de lui ou même de ma mère....je ne connais même pas son prénom, tout ce que je sais c'est qu'elle était belle,intelligente,forte d'esprit et un peu folle...D'ailleurs je suis différente aussi car je vois,j'entends et rêve d'une fille. Elle a les cheveux vert et les yeux vert, en bref je crois être schizophrène donc je ne parle plus de cette fille à mon père.

Aujourd'hui j'entre a l'université , autrefois je prenais des cours chez moi, mais mon père avait peur que je finisse comme une antisocial ou pire ....sans amies, c'est lui qui a dit ça, donc je vais intégré l'université aujourd'hui. Mon père tourne en rond dans le salon, me demandant si je vais bien, il me regarde, il a peur ou il est stressé, ou les deux ?

-Bon...euh...tu...

Il bégaye, il ne sait pas quoi dire

-Jeralt je vais dans une école, pas à l'armée ?

Il me regarde,soupire et sourit

-Oui tu as raison, bon je dois te dire que je connais la directrice, s'il ce passe quoi que ce soit dis le moi et j'irais voir Rhea, ou le contraire d'accord ?

-Oui

Il soupire une nouvelle fois, il se dirige vers la commode et ouvre un tiroir, dedans se trouve un gros bordel d'affaire que je n'ai pas le droit de toucher, il en sort une boîte et me la tend.

-C'est pour moi ?

-Oui c'est pour toi Suzy, ouvre

Je prend la boîte et en l'ouvrant il y a un bandeau bleu

-C'est....euh...gentil ?

-Haha tu n'es pas obligé de le porter tu sais

-Non non il me plaît beaucoup...mais pourquoi...un bandeau ?

-C'était à ta mère...enfin je t'en parlerais plus tard si tu veux, je t'accompagne à l'université je dois parler à Rhea.

On se dirige dans la voiture, en passant par le jardin, dont nombre fleur Jeralt a planté. Ma mère adorait les fleurs.

Lorsque nous arrivions devant l'université de Seiros, qui était très grande, ça ressemblait à une école de poudlard. Si je pouvais apprendre la magie à la place des mathématiques ça serait plus pratique...

Lorsqu'on longe le couloir une fille au cheveux orange s'émerveille en voyant mon père puis me regarde d'un air très....énigmatique

-Monsieur Jeralt ! Comment allez-vous depuis le temps ?

Pourquoi elle l'appelle Jeralt ? Pourquoi elle le connaît

-Excuse moi Leonie je suis pressé, je te présente ma fille Suzy et toi gamine je te présente une élève, Leonie

-Bonjour Suzy !

-Bonjour Leonie.

Il me conduit ensuite dans le bureau de la directrice, celle-ci me regarde d'un air apaisé et me sourit. À côté d'elle se trouve un homme, aux cheveux vert, qui semblait plus sévère.

-Bonjour monsieur Eisner.

Rhea, la directrice s'approcha de moi

-Bienvenue mon enfant, je suis heureuse de pouvoir te rencontrer !

-Évitons-nous le bla-bla Rhea, je dois vous parlez.

-Bien, sachez mademoiselle que s'il y a un soucis, vous pouvez venir m'en parler. Seteth accompagné votre élève je vous prie.

Il acquiesça et m'ouvrit la porte. J'aurais plusieurs choses a demandé à Jeralt en rentrant. Nous traversons les couloirs qui sont vides et s'arrête devant une porte.

-Sachez qu'ici nous étudions différemment, nous avons répartie nos classes de trois façons pour encourager nos élèves dans une concurrence loyale et pour vous préparez à des concours. Vous aurez votre délégué et vous appartenez aux Blue Lions, certain ici sont plus riches que d'autre et les délégués viennent d'une famille très importante donc je vous prierais de faire attention à ce que vous dites ou faites d'accord ?

D'accord donc je me trouve vraiment à Poudlard.

-Oui monsieur.

En ouvrant la porte, les rideaux étaient bleu et les chaises aussi, j'étais sur de pas me tromper de classe au moins. Les élèves de ma classe étaient agités jusqu'à mon arrivé et me regarder tous.

-Je vous présente votre nouvelle camarade Suzy Eisner, parle nous un peu de toi.

J'étais pas du tout prête à ça, c'est la première fois que je parle à une classe entière.

-Je m'appelle Suzy Eisner et avant j'étudiais chez moi....j'aime beaucoup le sport...

Je crois qu'ils s'attendaient à plus de ma part mais à part rajouter « Ma mère est morte lorsque je suis née » et « J'adore les pâtes »je ne voyais pas trop l'utilité. Seteth me dit de m'assoir à côté du délégué, souriant, et je commençais mon premier cours dans une vrai école.

Lors de la pause midi je voulais sortir mon bandeau mais le délégué me parla.

-Ton père c'est bien Jeralt Eisner ?

-Mon nom de famille c'est Eisner.

Il est embarrasser. Rappelons-nous du fameux livre d'hier « Socialisé pour les nuls » apparement posez une question à l'individu permettrais d'établir une conversation et oublier l'embarras.

-Et toi tu es le délégué ?

-Oui.

C'est embarrassant, il retourne la situation contre moi, essayons une autre question pour voir s'il veut toujours me parler.

-Comment tu connais mon père ?

Il me regarde comme si je venais de lui demander la lune.

-Euh....bah c'était un ancien professeur ici, un chirurgien exceptionnel, un boxeur hors du commun ! Un chef d'entreprise extraordinaire ! Comment ne pas le connaître ?

-Euh...ouais sûrement...

Bon je sais que mon père travaillait dans les hôpitaux, c'est la qu'il a rencontré ma mère, mais un chef d'entreprise ? Un boxeur ? Un chirurgien ! Je ne savais rien de tout ça, j'ai l'impression de connaître un nouvel homme, ou qu'on me parle d'une autre personne.

-Allons Altesse, Suzy veut juste se rendre plus intéressante !

C'était un grand rouquin, avec un air débile, qui c'était incrusté dans la conversation

-Sylvain avant de dire qu'elle veut se rendre interessante, tu devrais peux être consulter la porte la ba avec tout ton petit fan club ne demandant qu'à suc-

-Ingrid !

La fille qui parlait aux rouquins se nommait Ingrid, elle fut interrompue par une autre fille au fond de la classe qui sentait la camomille et qui avait un air très doux.

-Pardon Mercie...je me suis emporté.

Le rouquin, nommait Sylvain, était partie rejoindre son fan club, contrarié.

-Mercie ?

-Je m'appelle Mercedes

Comme la voiture ?

-Et moi c'est Annette ! M'oubliez pas !

C'était une jeune rouquine qui c'était incrusté.

-Moi c'est Suzy.

Un grand silence s'installa. Suite à ça je me dirigeais dans les casiers pour poser quelques affaires mais une main s'installa à côté de moi, en me retournant Sylvain me regardait droit dans les yeux.

-On a pas fais les présentations je crois ?

Il était trop proche, le délégué s'approcha pour intervenir mais c'était quelqu'un d'autre qui parla.

-Excuse moi mon chère Sylvain, mais mon casier se trouve juste à côté donc si tu pouvais t'en allé cela me ferait grand plaisir.

C'était une fille aux cheveux rose, elle portait des lunettes de soleil qui ne servait qu'à faire joli accompagné du e fille plus timide juste à côté aux cheveux bleu.

-Salut Hilda tu vois pas que je suis occupé ?

Elle me regarda.

-Sylvain barre toi sinon c'est le délégué qui va venir te parler.

Il tourna la tête et effectivement, il le regardait, Sylvain soupira et partie les bras derrière la tête, la fille aux cheveux rose me regarda.

-Hey moi c'est Hilda, devenons amie !

-C'est très direct en tout cas...

-Je sais je sais mais j'ai vue ton style de l'autre côté du couloir et j'ai été éblouie par autant de style, n'est ce pas Marianne ?

La fille timide qui regardait le sol acquiesça.

-Moi c'est Suzy.

-J'adore. On doit être amie.Se week-end j'organise une soirée chez moi, rien de grandiose juste une soirée entre fille, il y aura Marianne, toi , moi,moi,moi et moi, ça te va ?

-Euh....d'accord mais je sais pas où tu habite.

-Aucun soucis attend.

Elle sortit un stylo de son sac à main, un morceau de feuille et contre toute attente, elle passa le stylo et la feuille à Marianne pour qu'elle écrive dessus. Marianne s'exécuta et me passa le papier avec l'adresse et son numéro.

-Rendez-vous samedi soir à 18h00, ne rapporte rien !

Puis elle partit, Seteth qui lisait un livre ne regarda pas Hilda mais il prit ses lunettes de soleil sans détacher ses yeux du livre.

-Couvre-chef interdit à l'intérieur du bâtiment.

Je soupirais, une année qui promettait en tout cas.

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kasuzy