Et s'envolent les oiseaux

Fleurit la saison printanière

Bien loin des cimetières

Gouverné par l'hiver

Et le chant des corbeaux.


Brûle le soleil d'été,

Souvenir d'un lointain passé

Sifflé par une mer déchaînée,

Sourd aux corneilles et leurs mots.


Susurre l'automne

Aux couleurs monotones

Une symphonie silencieuse que j'abandonne

Aux vautours qui réduisent tout en lambeaux.


Arrive des saisons le quiproquo

Et ses sombres phénix sans flambeaux

Chantant leur mélodie sur mon tombeau.

Et s'envolent les oiseaux.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top