Chapitre 15 : Yuria.
Je m'assois sous le miroir, le sol est froid, je sens une chose dure au sol. Je le prends et reconnais la texture : c'est mon téléphone ! Je l'allume j'ai quarante pour cent de batterie. Je cherche dans mon répertoire quelqu'un qui pourrais m'aidé. Je n'ai parlé à personne du lycée mise à par Jessica mais elle n'a pas de téléphone. Je suis fichu, il n'y a pas moyen d'envoyer de sms à la police. Je suis foutu. Martinez a bien choisit sa cible. J'entends une voix hurlé, une voix que je connais : Yuria ! Je met mon téléphone de façons à pouvoir appeler la police au plus vite. Je cale mon téléphone derrière le miroir. J'entends des pas dans l'escalier et là je le vois, il porte Yuria dans ses bras, elle est totalement confuse. Je marche derrière lui, tout doucement. Je traverse la porte qui mène à un escalier en bois. Un escalier de cave, je monte à son sommet, laissant Yuria seule. J'attends alors une pièce vide, enfin presque. Les murs sont recouverts de photographies et la pièce est jonché de file accroché d'un bout à l'autre de la pièce et qui porte suspendu à eux par des pinces à linges d'autres photos'. Je vois les yeux endormis par la drogue de Yuria à côté de mes cheveux étendu au sol tout comme mon corps inactif. Je regarde toutes ses photos affolé, je vois des dizaines de filles et une dizaines de garçons, tous de mon age, tous drogué. Je regarde derrière une photo' de moi assis sur la chaise semblable à un trône. Mon nom, l'heure et la date à la quelle à été prise la photo sont écrite au bic. Je retourne une photographie d'une fille qui m'est inconnu et lit : "Rebecca Veine 28 Août 14h57".
Rebecca Veine, se nom me dis quelque chose, je cherche un instant où j'ai bien pût l'entendre. La fille du journal. Elle est disparu depuis le 26 Août et à été retrouvé noyé le 2 Septembre. Je regarde au tour de moi, toute ces personnes ont été séquestré puis tué. Où sont les autres victimes de Martinez. Je pivote. Nous sommes les prochaines. Je traverse la pièce à la recherche d'une porte, quand je la trouve, je découvre une nouvelle photographie dessus : Jessica ! Ce prof' est un vrais sadique, quatre victime en deux mois. Je presse la poignet mais sa ne s'ouvre pas.
-C'est ça que tu cherches ? Lance une voix derrière moi.
Je pivote, il est juste là, il tient une petite clé d'argenté au bout de ses mains. Je me jette sur lui mais il m'esquive et me plante une aiguille dans le cou, la douleur est intense mais il déverse le liquide dans mes veines. Il me porte et me dépose à côté de Yuria, elle est étendu à terre sans bougé tout comme moi. J'entends le clic clic de l'appareil photo' de Martinez, je vois les yeux de Yuria se rouvrir vers moi. Je lui souris, elle pleure. Des larmes perlent aux coins de ses yeux puis dégoulinent le long de ses joues, je ne peux rien faire pour elle, je suis encore sous l'emprise de la drogue. Martinez nous place côte à côte et nous reprends en photo'. Il a mit son appareil en mode rafale, j'entends chaque clic pour chaque photographie. Les effets se dissipe peu à peu, je retrouve mes esprits. Je me met debout pendant qu'il a le dos tourné et lui lance mon pied en plein milieux du dos, il s'affale à terre, je lui donne un coup de pied sur la tête mais il roule à gauche et l'attrape, je tombe au sol, la douleur de ma nuque se ravive. Il me jette vers Yuria qui elle semble toujours sous l'effet de la piqûre.
-T'es plus vivace que les autres toi, me lance Martinez en me plantant une nouvelle aiguille dont la piqûre me laisse lâcher une longue plainte aigu. Oh et tais-toi ! Hurle-t-il.
Il fouille dans une boite et en ressors deux grand ciseaux oranges. Il s'approche de moi, s'agenouille à quelque centimètre de mon épaule. Je tente de remué mais mes gestes sont beaucoup moins développé, je tremble juste.
-Arrêtes de bougé ! Crit-t-il comme un hystérique. Tu veux que je te plante en pleine gorge ?
Je l'imagine enfoncé les deux lames dans ma jugulaire, le sang qui s'écoulerais. Il me relève la tête, je trésaille en entendant le bruit des ciseaux et en sentant leurs gestes. Il me coupe les cheveux ! J'entends le crissement de la lame sur la kératine. Il s'éloigne et je découvre dans ses mains mes cheveux. Vu la longueur je dois désormais avoir un carré. Je ferme les paupières, Yuria ne les a toujours pas rouverte.
***
Voilà un nouveau chapitre ! Je suis désolé j'ai pas put publier ses derniers jours mais là il ne reste que quelques chapitre avant la fin du miroir donc j'espère que vous n'êtes pas trop triste. Si ce chapitre vous plais vous savez quoi faire !
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