Un massage entreprenant
Je ferme skype légèrement énervé. Une dispute avait éclaté avec Siphano à propos de la map d'Across the time 2. Il refuse d'entendre parler de cette map, se braquant immédiatement si on l'évoque. Et ceci malgré les réclamations permanentes des abonnés et de notre insistance à Unster et moi. Il est trop buté ! Je m'affale sur le bureau en soupirant bruyamment et en me prenant la tête entre les mains. Je suis épuisé. C'est dernier temps mon esprit est mis à rude épreuve ! C'est une boucle infinis dont je suis prisonnier : je suis trop stressé alors je n'arrive pas à dormir, conséquence mes tournages et montages prennent du retard, et puisque tous prend du retard mon stress redouble !
Je suis trop sur les nerfs, je le sais. Mais je ne peux rien faire pour arrang... Une forte pression se fait ressentir sur mes deux épaules alors que j'étais perdu dans mes pensées. Ces mains je l'ai connais trop bien ! Je redresse la tête afin d'observer son visage à travers le reflet de mon ordinateur.
«Grim ?» Il resserre la pression de ses mains sur mes épaules.
«Chuuut, détend toi d'accord.» J'exécute ses ordres, comment pourrai-je faire autrement face à lui de toute manière !?
Tous mon corps se détend au fur et à mesure de son massage. Ces divines mains ont cet exploit de me faire me détendre en un seul contact. Et en même temps... Ces mains qui m'envoûte tant sont aussi une des causes de mes insomnies. Il n'y a pas que ces mains, son corps tout entier, son magnifique sourire à tombé par terre et ces iris noisettes splendides qui me désarme à chaque croisement de yeux m'envoûte également. C'est justement ça le problème. Lui. Ces mains et tout le reste que j'aime tant. Mon colocataire qui est aussi mon meilleur ami est le meilleur. C'est pas pour rien que je suis amoureux de lui ! Car oui, je l'aime. Je ne dois pas, mais je ne peux pas l'empêcher.
Et merde ! Je recommence, moi et mes idées stupides ! Il faut que je chasse cette idée de ma tête ! Cette folle idée d'aimer mon colocataire et meilleur ami ! Aller Bri ! Oublie ça !
Mer-de !!! Pourquoi faut-il que ce soit pour cet homme que mon cœur bat !? Pourquoi faut-il que se soit tout son être qui hante mes pensées et mes nuits !? Pourquoi faut-il qu'il me fasse tant d'effet ?
J'en peux plus ! Je suis trop con ! Je risque de tout gâché !
Je sers les dents. Grim resserre fortement ses mains, m'arrangeant un petit cri de douleur.
«Bri ! Mais laisse toi aller nom de dieu ! T'es trop tendu bordel ! Tu vas pas aller loin si tu continu sur cette lancé !» Sans blague ! Il croit que c'est facile !? «Bon.. Tu ne me laisse pas le choix, aller suis moi, je vais devoir y aller plus fort si je veux que tu te détende enfin pour de bon !»
WAIT WHAT !!! En me retournant, je vois son visage si sérieux, il est sincère j'y crois pas !
«Aller viens Bri ! Discute pas !»
Sans que je ne puisse rien dire et rien faire, sa main agrippe mon poignée. Il me relève et m'entraîne dans ma chambre. Il est bien trop fort pour que je tente de me dégager, bien que j'essaye. Enfin essayer c'est vite dit ! En vérité, je n'ai aucune envie de m'éloigner, bien au contraire ! Mais je suis gêné et j'ai peur ! Sans même m'en rendre compte, je me retrouve allongé sur le ventre sur mon lit. Je sens un poids sur mes fesses. Ne-ne, ne me dite que Grim s'est assis sur moi !? Je suis bien embarrassé pour osez vérifié. Mais ces prodigieuses mains reprenant son massage me confirme ce que je craignais ! Mon corps tout entier c'était crispé lorsque ces mains avaient rencontré de nouveau mes épaules. La chaleur me monte progressivement, tout comme le rouge de mes joues. C'est dingue ce qu'il est fort ! Je ne sens plus ses mains. Quelques secondes plus tard je les sens de nouveau. Mais cette fois-ci elle agrippent mon T-shirt qu'elles remontent progressivement. Attends, quoi !!!
«Grim ! Qu'est-ce que tu fou !?»
«Laisse toi faire Bri, c'est mieux sans T-shirt ! Tu verras !»
«Si tu le dis.» Ma voix n'est plus qu'un murmure. Une fois de plus, je laisse à Grim l'intégralité du contrôle de mon corps. Et je ne peux pas dire que ça me dérange réellement.
Ah ! Ses mains sont tellement chaudes ! Et je n'avais jamais remarqué à quel point elles étaient douces. Ce contact brûlant me vide la tête.
«Tu vois, c'est déjà mieux ! Je préfère.»
Je viens placer mes mains en dessous de ma tête. Je me surprend à savourer chaque effleurement de sa douce peau sur la mienne, à attendre chaque nouveau contact de ses mains sur mon dos dénudé. Je me surprend à désespérer d'en vouloir encore et toujours plus, bien plus ! C'est plus fort que moi. J'ai tellement lutté. Mais je m'abandonne entièrement à ces prouesses en ne pensant pas à après, juste à apprécier ce moment.
Tandis que je me mordille ma lèvre inférieur, je me sens de plus en plus à l'étroit dans ce bout de tissu qu'est mon boxer. Ne me dites pas que c'est ce que je crois ! La douleur que je ressens à cet endroit à chaque fois que je m'écrase un peu plus sur mon lit me confirme qu'en effet, je bande. Je rougis encore un peu plus en pensant à cette bosse nouvellement formé dans mon boxer à cause de ce prodigieux massage prodigué par mon colocataire si cher à mon cœur. Et merde ! Quel bordel ! Pourquoi faut-il que mon corps soit si réactif à ces touchés, et pourquoi faut-il qu'il soit si doué !? Je me tortille sur le lit, en dessous de lui pour me dégager. Faut que je sorte d'ici, que je m'éloigne de lui pour ce soir. Il faut que je parte avant qu'il se rendre compte de l'état dans lequel il me met, de mon érection grandissante par sa faute. Je ne peux pas risquer de tout gâcher, brisant notre si grande amitié. Il me rejetterai à coup sûr, et mon cœur s'en arrêterai de battre. Et je ne veux absolument pas que ça arrive !
«Bri, soit tu t'arrête de gesticuler comme un asticot, soit je t'attache ! T'es pas possible !»
Ces mots me font l'effet d'une décharge électrique. Il est tellement excitant, oui, excitant.
La bosse formé dans mon boxer depuis déjà un petit moment commence à me faire vraiment mal. C'est très désagréable comme sensation. Je suis de plus en plus serré. De surcroît, il ne cesse de me torturer de part ces divines mains se promenant sur mes omoplates. Chaque touché est plus intense que le précédent, pour mon plus grand bonheur.. Ou malheur.
«Ah !» Cette fois-ci, je n'ai pas pu étouffer mon gémissement. Ce qui n'a bien évidement pas échappé à mon Grim.
«Dis moi, c'est mon massage qui te met dans un tel état ?» Son ton plus qu'enjoué et son rire enjôleur nouveau résonnant à travers la chambre me provoque de nouvelles rougeurs sur les joues. Un nouveau gémissement rejoint peu après le premier lorsque je sens ces mains commençant à descendre sur mon dos.
Qu'est qui lui prends à présent ? Pourquoi me fait-il ça alors qu'il sait très bien à quel point je réagis !?
«Grim, tu.. mais.»
«Arrête bri, bordel tu peux pas juste te détendre et me laisser faire !?»
Grim ! Ses mains poursuivent leurs chevauchées endiablé en quête du bas de mon dos. Alternant entre caresse et massage. Plus sa descente est conséquente, et plus mon souffle se saccade. Mon cœur tambour si fort dans ma poitrine qu'il me fait mal lui aussi. Tout comme cette bosse désormais bien durcis. Je le déteste de me provoquer tant de.. Plaisir. Je pousse un gémissement de surprise lorsque je sens ses mains passer sous l'élastique de mon boxer.
«Grim !» J'entends son rictus. Ça l'amuse, je te hais Grim ! Ses mains viennent agripper mes fesses, m'arrachant un terrible gémissement. Même mon propre corps se révolte contre moi. Le poids qu'exerce mon colocataire sur moi s'accentue au moment où le haut de son corps s'allonge sur le mien. Je bug. Mon cerveau c'est définitivement débranché. Je ressens le coton de son T-shirt m'effleurais sur tout le long de mon dos. Son souffle chaud sur ma nuque me fait frémir. Dès que quelque chose de doux et d'humide s'empare de ma nuque avec délicatesse, mon souffle se coupe et mon cœur rate un battement. Ce sont ses lèvres. Ses mêmes lèvres dont j'ai rêvé milles et unes fois de m'en emparer avec passion. Ce contact si chaud et à la fois si froid me fait tellement de bien. Cet être m'enivre de tout son être. Je ne doit pas me laisser perdre, mais comment, qui pourrai y rester. Je gémis son nom d'un nouveau gémissement que je n'ai pas pu camouflé. Je me suis perdu dans ses caresses et baisers brûlants. Alors que que mon plaisir était à un de ces points culminant, je sens la pression de son corps s'allèger fortement. Ses mains baladeuses qui jouaient encore avec mes fesses il y a quelques secondes m'attrapent sur les côtés. Puis, dans un élan surprenant, je me retrouve dos sur le lit, Grim surélever au-dessus de moi au niveau de mes hanches. J'ai tellement honte ! Il peut à présent voir mon visage récemment crispé par le plaisir, le rouge dévorant son intégralité dans une chaleur monstre. Il peut voir mes dents s'attaquer sauvagement à ma lèvre inférieur. Il peut voir mes yeux fermés, renfermant une larmes au creux mon œil. Mais surtout, il peut malheureusement voir ma bosse prisonnière depuis beaucoup trop longtemps dans mon boxer, contenant toute mon excitation. Voilà, ce que je craignais tant va arriver. Il va me rejeter et fuir loin de moi. Mon cœur, fragilisait depuis déjà très longtemps, commence à se briser.
Et alors que je m'attendais à entendre des pas courir au loin, à entendre des jurons et même à me préparer à recevoir une gifle bien mérité... Ces douces lèvres qui m'envoûte tant viennent rencontrer ses semblables, les rejoignant dans un contact à la fois doux et charnel. Une brise tournoyante fait voltiger les papillons dans mon ventre. Ma chaleur corporelle augmente à vue d'œil. Mon rythme cardiaque s'affole contrairement à ma respiration qui elle, s'est apaisée par ce tendre baiser. Tant de sensations nouvelles me consumant de l'intérieur, dévorant tout sur leurs passages. Je me laisse entraîner par la valse sensuelle des lèvres de Grim avec les miennes. Sa langue vient vite retrouver sa jumelle pour la caresser avec tendresse, entamant un tango frénétique. Une fois de plus, je me perds dans cette chaleur ardente provoqué par l'homme de mes rêves. Même si ce moment magique me fait me perdre dans l'espace-temps, une question persistante résonne au creux de ma tête : pourquoi ? Pourquoi !?
Non ! N'arrête pas ! Il éloigne sa bouche de la mienne, sans pour autant rompre toute cette tension sensuelle, sexuelle. Je ré-ouvre les yeux afin de contempler ces iris noisettes légèrement humides. Il est à califourchon au-dessus de moi, son visage juste à quelques centimètres du mien. Il arbore un sourire ravageur. Une joie immense indescriptible se lit sur son visage si angélique. Il est tellement beau ! Jamais je ne pourrai me lasser de le contempler. Jamais !
«Oh Bri ! Ma brioche adoré ! Je t'aime tellement.» Son ton est un mélange de soulagement et d'excitation. Et cette déclaration... Je n'y crois toujours pas ! Il m'aime, Grim m'aime !? L'homme dont j'ai tant rêvé, qui m'a fait rire autant que pleurer partage les mêmes sentiments que moi. Je crois qu'une larme de bonheur vient de perler dans mes yeux. Je réponds à son sourire de mon sourire timide. Mes joues n'ont jamais du être si rouges et si brûlantes. Mon cœur n'a jamais du battre autant. Ses lèvres viennent parsemer le coin de ma bouche, puis mon menton. Pour finir, elles viennent s'emparer de mon cou sauvagement. M'extirpant des gémissements de plaisir du fond de ma gorge. Il dépose des petits baisers en parcourant le long de mon cou. Le premier de ses suçons me fait me cambrer et gémir fortement. Ma respiration s'est à nouveau accéléré. Pendant qu'il m'embrasse, me sirote, et me lèche le cou. Et qu'il mordille mon lobe d'oreille, il laisse ses mains se balader et caresser mon torse. Sans crier garde, ses fins doigts pincent mes petits boutons de chairs, m'arrachant un nouveau gémissement. Je m'accroche aux draps de mon lit lorsque sa langue vient chatouiller l'un, puis l'autre petit boutons de chairs dressé et durcis sous les prouesses de cet homme. Alors que sa langue descend en direction de mon bas ventre, sa main vient «accidentellement» effleurer mon intimité, un cri strident s'échappe de ma bouche, et un petit rire sadique de la sienne.
Il retire son T-shirt qu'il balance de l'autre côté de la pièce. Il dirige ensuite dangereusement sa bouche de mon intimité. Je le suis du regard en me redressant sur mes avant-bras doucement. J'appréhende fortement ce qu'il va faire, même si j'en ai une petite idée. Il saisit mon pantalon et mon caleçon qu'il descend lentement et d'une manière très sensuelle le long de mes cuisses. Peu après, les deux tissus rejoignent le T-shirt de mon amant. Du bout de sa langue il trace le contour de ma virilité, me provoquant une explosion de sensations. Et le terrible gémissement que j'ai poussé en témoigne. Après m'avoir torturé d'avoir joué avec sa langue sur mon membre durcit, il le prends en bouche. Le plaisir est si intense. Je me tortille sur le lit, me cambre dans tous les sens. Ma respiration haletante et la chaleur procuré par ce contact est une véritable torture également. Il prends un malin plaisir à me faire me languir. J'en veux plus, bien plus !
«G-Grim !» Un grand sourire se dessine sur ses lèvres, puis, la cadence s'accélère. De temps à autres, sa langue se rajoute ou sa bouche se resserre sur mon membre bandant à chaque remontée, me décrochant des gémissements de réel plaisir. Plus la vitesse et la pression s'accentue et plus mon état empire. Je crois que je ne vais plus tarder à venir ! Entre deux trois gémissements je le préviens.
«Grim, je... je viens ! Ah !» Je tente de me dégager de moi même en voyant que ma remarque à fait mouche. Mais Grim me tiens fermement, et je ne peux pas dégager mon membre de sa bouche. Pire, il en rajoute, il arrive encore à aller toujours plus loin, approfondissant l'intensité de ses mouvements. Au bout de quelques secondes, ce qui devait arriver arriva. Je me laisse venir, dans sa bouche. Mes joues se teintent cette fois-ci de honte. Il me sourit de son sourire qui sait si bien me faire fondre puis il avale toute ma semence gloutonnement . Je me met la main devant ma bouche extrêmement gêné. Il me regarde amusé, et après s'être léché ses lèvres érotiquement, il vient retirer ma main afin de m'embrassé tendrement. Son baiser chargé en émotion me fais fondre. Je me détends de nouveau et il en profite pour retirer les vêtements qu'il lui restait. Il caresse délicatement ma joue de la paume de sa main, et sa deuxième main posé derrière ma nuque vient approfondir le baiser. Le transformant en un baiser charnel. Il éloigne ses lèvres que les miennes tentent malgré tout de rejoindre, mais de l'une de ses mains il me bloque. Ses yeux cherchent les miens, il ne tarde pas à les trouver car mes yeux viennent directement se plonger dans cet océan noisette que sont ces iris. La lueur vive présente trahit son envie, son excitation. Mes yeux décroche des siens pour venir s'attarder sur sa bouche entre-ouverte. J'ai envie, cette envie folle de poser une fois de plus mes lèvres sur ses lèvres sucré. Sa main me caresse à nouveau la joue.
«Bri tu..»
«Oui, je veux aller plus loin Grim.» Et pour insister sur ce fait, je lèche et suce ses doigts qui tantôt me caressaient la joue tendrement. Je parviens à lui arraché un petit cri de surprise. Il me sourit d'un petit sourire pervers assez excitant et enlève ses doigts de ma bouche. Dans la seconde d'après je pousse un cri de douleur lorsque son premier doigt entre en moi. Ses lèvres s'emparent des miennes et un deuxième doigt rentre à nouveau, vite rejoint d'un troisième. Sa langue jouant avec la mienne étouffe mes cri de douleur. Tout en m'embrassant et en me caressant le torse de sa main libre, il fait des mouvements en ciseaux. Sa virilité se frottant à la mienne me provoque une décharge dans tout le corps ainsi qu'un plaisir monstre. Lui non plus n'est pas insensible à ces contacts. Il retire ses doigts et encercle mes épaules de ses mains. J'entoure mes jambes autour de ses hanches et ferme les yeux craintif. Lorsque son membre entre en moi un cri effroyable dû à la douleur vif et lancinante de lui en moi sort du fond de ma gorge. Mon corps se cambre tout entier, mes jambes se resserre fortement autour de lui et mes bras viennent désormais, eux aussi, entourer mon partenaire au cou. Grim arrête de bouger et s'empresse de m'embrasser. Je me détends mais la douleur et toujours bien présente. Il n'y a que ça, de la douleur. Après un petit moment, Grim reprends un mouvement de va-et-viens. Je pousse un autre cri de douleur. Grim se meut lentement en moi pour que je m'habitue à sa présence. Bientôt, le plaisir s'entremêle à la douleur puis l'écrase. Dès mon premier gémissement de plaisir, Grim accentue les coups de reins. Que se soit dans la rapidité, la profondeur ou dans l'intensité. C'est magistrale. Grim parsème de baiser fugace mon cou. La danse frénétique s'accélère, chaque coups de reins et plus puissant que le précédent, nous rapprochant de l'orgasme un peu plus. Lorsqu'il atteint ma prostate, un râle incontrôlé de plaisir s'échappe bruyamment de ma bouche. Mes ongles viennent se planter dans sa chair. Sa respiration haletante fait écho à la mienne et à mes gémissements. Le plaisir me submerge entièrement, je me sens venir une fois de plus. L'orgasme est à porté de vue.
Puis, dans un dernier un coup de reins explosif, nous jouissons à l'unisson dans l'effervescence du moment. Sa semence se déverse en moi et la mienne sur son torse. Il se retire doucement de moi. Mes jambes et mes bras le libère, et il s'écroule d'épuisement. Mon beau brun s'allonge juste à côté de moi. Nos respirations et battements de cœur se calme. Nos corps sont trempés et notre plaisir n'est toujours pas redescendu, tant mieux.
Le bras de Grim vient passer sous mon cou et me rapproche de lui. Je le regarde tendrement et sa deuxième main m'entoure également. Enlaçant nos deux corps d'une union parfaite. Son souffle chaud contre moi et sa barbe chatouillant mon visage me fait frémir. J'entends les battements de son cœur et ressens tout son amour à travers cette étreinte amoureuse. Je veux rester dans ses bras à jamais, je veux que le temps s'arrête. Je veux passer ma vie à ces côtés. Je l'aime tellement, c'est inimaginable. C'est un rêve devenu réalité que je vie. Je t'aime Grim, tu ne peux pas savoir à quel point !
«Moi aussi ma Brioche, moi aussi.» Me chuchote t-il tendrement à l'oreille, ravivant la flamme ardente de mon cœur. Merci Grim, Merci mon amour ! Merci pour tout.
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