Chapitre 52
De retour dans le passage, vous revenez sur vos pas. Deux portes se faisant face se présentent à vous : la porte « Bélial » et la porte « Abaddon ».
Tu peux ouvrir la première porte (1), la deuxième (2) ou regagner le balcon afin de rejoindre l'escalier principal. Dans ce cas-là, tu peux te rendre au chapitre 47.
(1) Tu as décidé d'ouvrir la première porte :
Tu ouvres la porte et pénètres dans la pièce.
« - Cet endroit ne me semble pas souvent utilisé... Commente G-Dragon.
- On dirait une sorte de resserre. » Ajoutes-tu.
En effet, des draps blancs recouvrent des meubles ainsi que des objets de forme carrée qui ressemblent à de grandes boîtes. En soulevant les housses, tu découvres quelques fauteuils confortables et une chaise longue ancienne. Quant aux boîtes, elles sont remplis d'objets nécessaires à la bonne marche d'une maison. L'une d'elles est pleine de tasses et de soucoupes enveloppées dans du papier. Mais il n'y a rien de bien intéressant.
Tu peux te rendre au chapitre 49.
(2) Tu as décidé d'ouvrir la deuxième porte :
La porte s'ouvre sur une chambre à coucher, éclairée par une simple bougie posée sur une table de chevet.
« - Il semble y avoir une lourde odeur ici... Dis-tu en grimaçant.
- Ça doit sûrement provenir des plantes, te réponds G-Dragon. »
Effectivement, il n'y a aucun doute : l'occupant de cette chambre est un ami des végétaux. Mais soudain, tu t'immobilises et attrape le bras du coréen pour l'arrêter et pointe du doigt le lit. Aucun de vous n'avait vu qu'une femme âgée y était couchée, endormie et ne semblait pas vous avoir entendu. Alors que tu décides de faire le tour de la pièce sans un bruit, G-Dragon s'approche du lit et secoue doucement la vieille femme. A peine a-t-il mit la main sur elle qu'il fait un saut en arrière. La peau blanchâtre que le jeune homme vient de toucher est aussi froide que de la pierre. Aussitôt, il perçoit un long gémissement provenant de cet être dont les paupières commencent à s'ouvrir, découvrant des yeux livides qui fixent le plafond. Au bout d'un instant, des mots sont prononcés par la vielle femme, bien que ses lèvres ne frémissent même pas. « Étranger, comment avez-vous oser pénétrer dans la chambre de la maîtresse de ce Manoir ? » Le coréen bégaye une vague excuse, mais la voix reprend aussitôt avec autorité. « Sortez ! Laissez une vieille femme mourir en paix ! »
Tu peux insister pour que vous la laissiez tranquille comme elle le demande. Dans ce cas, tu peux te rendre au chapitre 50. Mais tu peux attendre pour essayer de lui poser quelques questions. Dans ce cas-là, tu peux te rendre au chapitre 51.
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