Chapitre 18
Vous arrivez bientôt à une bifurcation.
Tu peux continuer à longer le balcon qui tourna sur la droite (1) ou prendre sur la gauche le passage qui s'ouvre (2). Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.
(1) Tu as décidé de longer le balcon :
Vous arrivez devant une porte sur laquelle il est inscrit « Titivillus ».
Tu peux essayer de l'ouvrir (3) mais tu peux aussi t'engager dans un couloir, s'ouvrant sur votre gauche, au fond du balcon (4). Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.
(2) Tu as décidé de te diriger vers la gauche :
Vous vous retrouvez face à deux portes, portant chacune un nom gravé sur une petite plaque. Devant vous, se trouve la porte « Asmodée », et sur votre droite, la porte « Iblis ».
Tu peux ouvrir la première porte (5), la deuxième (6) ou bien suivre le passage qui tourne sur la gauche (7). Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.
(3) Tu as décidé d'ouvrir la porte sur laquelle il est inscrit « Titivillus » :
Vous pénétrez dans une chambre à coucher décorée avec goût. « Bon, la fenêtre semble munie de barreaux, on ne risque pas de sortir par ici... » Se plaint G-Dragon. Au centre de la pièce se trouve un lit à baldaquin. Tu t'en approches et poses la main sur le matelas. « Waouh ! Ça a l'air super confortable ! Dommage que nous vivions un vrai cauchemar, sinon j'aurais bien fais un petit somme. » Dis-tu en frissonnant. Tu avances vers la fenêtre, écartes complètement les rideaux et regardes au-dehors. La lumière de la pièce t'empêches de distinguer quoi que ce soit, si bien que tu tires les rideaux derrière toi. « Qu'est-ce que tu fais ? » Te questionne le jeune homme. Le nez collé à la vitre, tu écarquilles les yeux. Un grondement de tonnerre se fait entendre, et la pluie redouble de vigueur. Un éclair illumine soudain la nuit, et une vision d'horreur apparaît, te faisant pousser un hurlement. G-Dragon accourt directement et regarde dans la même direction que toi. Là, dehors, à peu de distance de la fenêtre, un visage livide, dégoulinant d'eau, se balance dans le vent. Le visage est allongé, le cou serré par un nœud coulant, vous fixant de ses yeux éteins. « Est-ce... Est-ce... l'homme qui... qui nous a guidé sur la route... ? » Bafouille le coréen. Tu fermes les yeux et serres les dents pour éviter de vomir. « Nous ne devrions pas rester ici... » Tentes-tu d'articuler.
Tu peux te rendre au chapitre 46.
(4) Tu as décidé de t'engager dans le couloir :
Vous vous engagez dans le couloir et voyez deux portes se faisant face, la porte « Bélial », à gauche et « Abaddon », à droite. Quelques pas plus loin, le passage se termine sur une troisième porte, sur laquelle rien n'est inscrit.
Tu peux ouvrir la première porte (8), la deuxième (9), la troisième (10) ou reprendre le balcon et rejoindre l'escalier principal. Dans ce dernier cas, tu peux te rendre au chapitre 47. Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.
(5) Tu as décidé d'ouvrir la porte sur laquelle il est inscrit « Asmodée » :
La porte est verrouillée mais la clé se trouve dans la serrure. Tu la tournes et pénètres dans une pièce faiblement éclairée par une bougie posée sur une table, proche de la fenêtre, à l'opposé de l'endroit où vous vous tenez. Deux caisses retournées font office de chaises, de part et d'autre de la table. Provenant du couloir, le bruit d'une démarche traînante vous fait dresser l'oreille, et tu te tournes vivement vers la porte. Un cri sonore retentit au-dehors et la porte s'ouvre à la volée, laissant passer un homme se ruant dans votre direction. Ses épais cheveux sont blancs, et il est vêtu d'une longue toge grise et sale. Tu n'as pas le temps de faire le moindre geste que l'homme se jette sur toi. Mais fort heureusement, G-Dragon a gardé un morceau de verre dans la poche de son pantalon. Il brandit l'arme et se jette sur l'homme, lui infligeant une profonde blessure dans le dos. Votre adversaire chancelle sur le coup et se retrouve sur le sol. Le coréen s'approche de lui, prêt à lui porter un coup fatal mais tu lui attrapes le bras, l'en empêchant.
« - Mais que fais-tu ?! S'écrie G-Dragon.
- Nous avons besoin d'aide pour sortir d'ici, et il est le seul à pouvoir nous aider, dis-tu en lançant un regard plein d'espoir à votre agresseur, toujours sur le sol.
- Je te rappelle que quelques secondes plus tôt, il était en train de se jeter sur toi ! »
Un blanc s'installe entre vous avant que le chanteur ne se décide à se tourner vers le vieil homme, le menaçant avec le bout de verre. « Pouvez-vous nous aider à nous enfuir ? » L'homme vous considère avec méfiance avant de se mettre à hurler en se relevant, avec difficultés. « Idiot ! Vous imaginez que je vais croire vos mensonges ridicules ? Vous êtes l'un d'eux et s'ils veulent me punir, qu'ils sachent bien que cela leur coûtera très cher ! » A ces mots, il s'avance vers vous. « Écoutez, nous ne savons pas de quoi vous parlez. Tout ce que nous voulons, c'est retrouver nos amis et rentrer chez nous. Nous étions en voiture et nous nous sommes égarés suite à un malencontreux accident. Que peut-on faire pour que vous nous croyiez ? » S'impatiente G-Dragon. L'homme éclate de rire. « Très bien. Si vous n'êtes vraiment pas un des sujets du Maître, faites le signe de croix ! » Vous posez tous les deux votre main sur votre front, puis sur votre poitrine, et enfin sur chacune de vos épaules en le regardant droit dans les yeux.
« - Incroyable, s'exclame-t-il. Vous êtes vraiment des étrangers ! Oh, mes amis ! Pensez-vous pouvoir me pardonner... ? Comment pouvais-je le savoir sinon de cette façon? Aucune des créatures du Maître n'oserait faire ce signe.
- Auriez-vous vu nos camarades ? Ce sont quatre garçons, le questionnes-tu.
- Malheureusement non, je n'en ai aucune idée.
- Savez-vous comment nous pouvons venir à bout du Maître ? Demande G-Dragon, à son tour.
- Vaincre le Maître ? Dit-il en vous regardant attentivement. Et bien, vous ne manquez pas d'ambitions chers amis ! Jamais vous ne viendrez à bout du Maître, car il n'a qu'un seul point faible : il ne peut être vaincu que par celui qui possède le Kriss, le Poignard Malais. Et cette arme est cachée dans une pièce qui n'est accessible que par une entrée secrète. Je sais seulement qu'il faut descendre des escaliers pour trouver cette pièce, et qu'un mot de passe est nécessaire pour en ouvrir la porte. J'ignore quel est ce mot. Oh, et bien sûr, la vielle Mahina le connaissait. Mais à l'heure qu'il est, elle est certainement morte. Le mieux pour vous serait de partir, pendant qu'il est peut-être encore temps.
- Et comment partir d'ici ? Pourrions-nous partir avec vous ? Ajoutes-tu.
- Avec moi ? Non, non. Je trouverai seul mon propre chemin. Car, auparavant, j'ai une mission à accomplir. Quant à vous, vous pouvez choisir le vôtre, bien qu'aucun ne soit sûr. La porte d'entrée fait face au pied du grand escalier. Et, comme de toute évidence, vous êtes arrivés par là, vous pouvez essayer de faire la route en sens inverse. Vous pouvez toujours essayer de sortir par une fenêtre mais malheureusement, la plupart d'entre elles sont pourvues de barreaux. Bien sûr, il existe un passage secret dans la cave mais vos chances de le découvrir sont infimes. Quoi qu'il en soit, je vous remercie de m'avoir épargné, bien que je n'en ressorte pas indemne non plus. Mais nous nous quitterons ici. »
L'homme entrebâille la porte, sans vous laisser le temps de dire quoi que ce soit, et disparaît.
Tu peux quitter la pièce, comme cet homme. Dans ce cas-là, rends-toi au chapitre 48. Mais tu peux aussi t'approcher de la table et des caisses afin de les examiner (11). Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.
(6) Tu as décidé d'ouvrir la deuxième porte :
La pièce dans laquelle vous venez de pénétrer est une chambre à coucher. Elle est faiblement éclairée, meublée d'une coiffeuse et d'un grand lit, et de la musique s'y fait entendre.
Veux-tu quitter la pièce (1) ou l'examiner (12) ? Rends-toi au chapitre correspondant à ton choix.
(7) Tu as décidé de suivre le passage qui tourne sur la gauche :
Le passage se termine sur une massive porte en bois, la porte « Sheitan ». A votre droite se trouve la porte Mammon et sur votre gauche, une troisième porte sur laquelle rien n'est marqué.
Veux-tu ouvrir la porte Sheitan (13), la porte Mammon (14) ou celle sans nom (15). Tu peux aussi faire demi-tour (1). Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.
(8) Tu as décidé d'ouvrir la première porte :
Tu ouvres la porte et pénètres dans la pièce.
« - Cet endroit ne me semble pas souvent utilisé... Commente G-Dragon.
- On dirait une sorte de resserre. » Ajoutes-tu.
En effet, des draps blancs recouvrent des meubles ainsi que des objets de forme carrée qui ressemblent à de grandes boîtes. En soulevant les housses, tu découvres quelques fauteuils confortables et une chaise longue ancienne. Quant aux boîtes, elles sont remplis d'objets nécessaires à la bonne marche d'une maison. L'une d'elles est pleine de tasses et de soucoupes enveloppées dans du papier. Mais il n'y a rien de bien intéressant.
Tu peux te rendre au chapitre 49.
(9) Tu as décidé d'ouvrir la deuxième porte :
La porte s'ouvre sur une chambre à coucher, éclairée par une simple bougie posée sur une table de chevet.
« - Il semble y avoir une lourde odeur ici... Dis-tu en grimaçant.
- Ça doit sûrement provenir des plantes, te réponds G-Dragon. »
Effectivement, il n'y a aucun doute : l'occupant de cette chambre est un ami des végétaux. Mais soudain, tu t'immobilises et attrape le bras du coréen pour l'arrêter et pointe du doigt le lit. Aucun de vous n'avait vu qu'une femme âgée y est couchée, endormie et ne semble pas vous avoir entendu. Alors que tu décides de faire le tour de la pièce sans un bruit, G-Dragon s'approche du lit et secoue doucement la vieille femme. A peine eut-il mit la main sur elle qu'il fait un saut en arrière. La peau blanchâtre que le jeune homme vient de toucher est aussi froide que de la pierre. Aussitôt, il perçoit un long gémissement provenant de cet être dont les paupières commencent à s'ouvrir, découvrant des yeux livides qui fixent le plafond. Au bout d'un instant, des mots sont prononcés par la vielle femme, bien que ses lèvres ne frémissent même pas. « Étranger, comment avez-vous oser pénétrer dans la chambre de la maîtresse de ce Manoir ? » Le coréen bégaye une vague excuse, mais la voix reprend aussitôt avec autorité. « Sortez ! Laissez une vieille femme mourir en paix ! »
Tu peux insister pour que vous la laissiez tranquille comme elle le demande. Dans ce cas, tu peux te rendre au chapitre 50. Mais tu peux attendre pour essayer de lui poser quelques questions. Dans ce cas-là, tu peux te rendre au chapitre 51.
(10) Tu as décidé d'ouvrir la troisième porte :
Avec prudence, tu pousses la porte. La pièce sur le seuil de laquelle vous vous trouvez est une chambre à coucher, et tout est préparé comme si quelqu'un allait venir se mettre au lit à l'instant. Les draps sont ouverts et un bon feu finit de se consumer dans la cheminée. Sur une table de chevet, une bougie est allumée, proche d'un plateau d'argent portant un en-cas, et des rideaux de velours sont tirés devant la fenêtre. A gauche, tu remarques une rangée de placards fermés. « Bon, ce lieu a plutôt l'air tranquille et confortable » Annonce G-Dragon.
Tu peux examiner la table de chevet (16), examiner les placards (17) ou quitter immédiatement cette pièce. Dans ce cas, tu peux te rendre au chapitre 52. Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.
(11) Tu as décidé d'examiner la table et les caisses :
La table est quelconque. Tu en fais le tour et regardes en-dessous, mais ne remarques rien de particulier. Tu retournes une des caisses qui te semble légère mais ne découvres rien. G-Dragon donne un coup de pied dans une autre, mais étant plus lourde, elle ne bouge pas. Le jeune homme se baisse et saisit la caisse à deux mains. Avec effort, il la soulève, et une vision d'horreur s'offre soudain à vos yeux. La caisse recouvre la dépouille d'un animal.
« - On dirait une chèvre, ou un bouc... Dis-tu en te retenant de vomir.
- Aucune idée mais partons d'ici ! » Complète le coréen en faisant demi-tour en réprimant des spasmes de nausées lui aussi.
Tu peux te rendre au chapitre 48.
(12) Tu as décidé d'examiner la pièce :
« Bon, cette chambre ne semble pas receler de cachettes ou de pièges. » Annonces-tu. Tu n'as pas le temps d'ajouter quelque chose que G-Dragon pose une main sur ta bouche, te faisant taire. Tu tends l'oreille et entends un bruit de pas traînants venu du corridor se rapprocher, puis s'arrêter devant la porte. Le cœur battant, vous retenez tous les deux votre respiration.
Si tu veux attendre en silence, tu peux te rendre au chapitre 53. Si tu préfères essayer de trouver la seule cachette de cette pièce, tu peux te rendre au chapitre 54.
(13) Tu as décidé d'ouvrir la porte « Sheitan » :
« Essayons d'aller ici » dis-tu en pointant la porte en question. Celle-ci s'ouvre sans difficulté. La pièce est spacieuse. Un grand et beau lit à baldaquin se dresse dans un de ses coins, et une table basse, entourée de deux fauteuils, fait face à une cheminée dans laquelle un feu brûle doucement. « On dirait qu'il n'y a personne. Entrons... » te lance le coréen. Vous pénétrez à l'intérieur de la pièce, puis refermez sans bruit la porte derrière vous. La serrure produit un léger déclic. Tu fais quelques pas en avant lorsqu'une voix t'interpelle. Tu te retournes vers G-Dragon.
« - Qu'est-ce qu'il y a ?
- Je n'ai rien dis... »
Tu fronces les sourcils d'interrogation quand la voix s'élève à nouveau. « Tiens, tiens ! Des visiteurs ! Êtes-vous arrivé ici par curiosité, ou cherchez-vous plus simplement à nous fausser compagnie ? Notre hospitalité n'est peut-être pas à votre goût, et vous aimeriez sans doute quelques, comment dire... distractions supplémentaires... » Tu te tournes vite, saisis la poignée et la tourne. « Allons-nous en GD ! » Malheureusement, la porte est verrouillée. Un éclat de rire salue cette tentative d'évasion dérisoire. « Non mon amie, vous ne pouvez vous échapper ! La seule chose qui puisse quitter ce lieu est votre vie elle-même, ajoute calmement la voix. » Vous vous tenez à quelques pas derrière un fauteuil faisant face à une cheminée. « Qui êtes-vous ? » S'impatiente G-Dragon. Un homme que le haut dossier du siège vous cache se lève, et se tourne vers vous. Il est grand, son visage est blême et ses cheveux sont noirs comme du jais. Il porte une longue cape sombre fermée sous le cou par une chaîne en or. « Et bien, dit-il, jusqu'à présent vous vous en êtes assez bien tiré face aux locataires de ce Manoir. Mais je pense que vous allez bientôt vous rendre compte que votre chance touche à sa fin. Approchez-vous que je puisse vous voir ! »
Si tu as une gousse d'ail, tu peux te rendre au chapitre 20. Si tu as un anneau d'or sorti de rubis, tu peux te rendre au chapitre 21. Sinon, tu peux te rendre au chapitre 22.
(14) Tu as décidé d'ouvrir la porte « Mammon » :
« Essayons d'aller ici » dis-tu en pointant la porte en question. La pièce est en fait une chambre à coucher. Le grand lit est recouvert d'un édredon jaune, des vêtements féminins sont dispersés sur le sol, et un robinet goutte dans un lavabo, dans un coin de la pièce.
Si tu veux interpeller une quelconque occupante de la pièce, tu peux te rendre au chapitre 23. Si tu veux examiner ce que contient la chambre, tu peux te rendre au chapitre 24.
(15) Tu as décidé d'ouvrir la porte sans nom :
« La porte est verrouillée » T'informe G-Dragon.
Si tu as une clé, tu peux te rendre au chapitre 55. Si tu n'en as pas, tu peux te rendre au chapitre 56.
(16) Tu as décidé d'examiner la table de chevet :
Sur la table de chevet sont disposés une bougie qui éclaire la pièce, ainsi qu'un plateau d'argent sur lequel sont posé du pain, de la confiture et une théière.
Tu peux te régaler de cet en-cas (18), examiner les placards (17) ou quitter la pièce. Dans ce cas-là, tu peux te rendre au chapitre 52. Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.
(17) Tu as décidé d'examiner les placards :
En commençant par le coin le plus éloigné de la pièce, tu ouvres les placards. Le premier est une espèce de garde-robe où tu peux voir des robes et des chemisiers pendus. Tu ouvres la deuxième porte, et la terreur que tu éprouves alors te fais bondir en arrière, attirant l'attention de G-Dragon. « Qu'est-ce... » Mais le jeune homme ne termine pas sa phrase. Dans ce placard, se tiennent deux squelettes à demi vêtus de guenilles. Les ayant sûrement dérangés en ouvrant la porte, les deux créatures reprennent vie, et avancent vers vous pour vous attaquer. Le premier réflexe du coréen est de prendre le plateau posé sur la table de chevet et de l'envoyer, tel un frisbee, en direction du squelette venant vers lui. Suite au coup, sa tête tombe sur le sol et se met à rouler. Le monstre bat des bras, à la recherche de G-Dragon mais se fait un croche-patte et se retrouve sur le sol. Le chanteur en profite pour se jeter sur lui et le déboîter complètement. De ton côté, voyant l'efficacité du geste de ton ami, tu prends la lampe de chevet et l'envoie sur le deuxième squelette qui s'étale sur le sol. De la même manière, tu en profite pour t'approcher de lui et le mettre en pièce. Une fois vos adversaires inoffensif, vous vous relevez, satisfaits.
Tu peux te rendre au chapitre 52.
(18) Tu as décidé de goûter à l'en-cas :
Tu examines ce qui est posé sur le plateau avec la plus grande attention, mais ne remarque rien qui aurait pu attirer ta méfiance. Tu prends une tranche de pain et commences à la porter à ta bouche quand G-Dragon te la prend des mains.
« - Tu m'expliques ce que tu es en train de faire ?
- Je commence à avoir un petit creux, GD et ça semble inoffensif, expliques-tu.
- Et le poison, tu peux savoir si il y en a ou pas ?!
- Non... Tu as raison... Dis-tu en faisant la moue. »
Le coréen te regarde, une lueur dans les yeux et met la tranche de pain dans sa bouche.
« - Hé ! » Cries-tu, sidérée.
- Si quelqu'un habite vraiment ici, ça m'étonnerait qu'il s'empoisonne tout seul, ajoute-t-il en te lançant un sourire taquin.
- Dans ce cas, tu aurais pu prendre une autre tranche !
- La tienne avait l'air meilleure ! »
Tu lui donnes un coup dans l'épaule, frustrée puis reprends du pain.
Tu peux maintenant examiner les placards (17). Mais tu peux aussi quitter la pièce. Dans ce cas, tu peux te rendre au chapitre 52.
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