« - Ça suffit ! Hurle le bourreau. Coupe les liens de cet imposteur ! Ces quatre-là ne sont pas plus des amis du Maître que des chefs de la police ! 

- Vous avez raison, avoue Seungri. Nous avons eu peur et c'est pour cela que nous vous avons raconté ce mensonge. Nous n'aurions pas dû. Nous sommes des visiteurs et nous cherchons simplement à partir d'ici... 

- Des visiteurs, hein ? Répond le premier homme. Et que pensez-vous de notre labyrinthe, chers amis ? Est-il suffisamment intéressant pour vous ? Vous y passez de bons moments ? ... Dans la cage ! »

Les deux bourreaux resserrent alors leurs doigts autours de vos poignets et vous entraînent dans le coin gauche de la pièce. « Vous allez pouvoir constater la qualité de notre hospitalité, chers amis, reprend le deuxième. Quelle sorte de logement préférez-vous ? Nous vous laissons le choix de vous mettre d'accord. Lesquels d'entre vous veulent passer le reste de ses jours accroupi et lesquels veulent rester debout ? » Et, heureux de sa macabre plaisanterie, il éclate d'un rire démoniaque qui résonne dans la cave. « A toi l'honneur » Dit-il en te désignant.

Tu peux choisir la cage haute (1) ou la petite cage (2). Rends-toi au paragraphe correspondant à ton choix.

(1) Tu as choisis la cage haute :

« Être debout... » dis-tu, affolée. La cage est amenée au sol, et tu es poussée dedans. Elle est si étroite que lorsque la porte se referme sur toi, tu te trouves pressé contre ses barreaux. L'ami du bourreau remonte alors la cage, s'occupant ainsi des autres garçons. Tu restes ainsi suspendu jusqu'à ce que le manque de nourriture te fasse perdre toute ton énergie. Et si la faim ne vient pas suffisamment vite, les crampes auront raison de toi. Car en étant ainsi dans la cage, tu ne peux t'y étendre, ni même t'y asseoir.

Ton aventure s'achève malheureusement ici, et pour tes amis aussi. Mais tu as tout à fait la possibilité de recommencer ta lecture et de faire d'autres choix.

(2) Tu as choisis la petite cage :

« Accroupi... » Dis-tu, affolée. Tu es tassée à l'intérieur de la petite cage qui est ensuite hissée au plafond. C'est là une villégiature de rêve : la cage est suffisamment large pour te permettre d'y rester assis, mais tes genoux sont pressés contre ta poitrine, et il t'es impossible de faire le moindre mouvement. Quand les premières crampes se feront sentir, ce sera le début de ta lente, longue et douloureuse agonie, pour le plus grand plaisir du bourreau et de son ami.

Ton aventure s'achève malheureusement ici, et pour tes amis aussi. Mais tu as tout à fait la possibilité de recommencer ta lecture et de faire d'autres choix.