Chapitre 7: la menace de mort


Alors que Sébastien faisait face à de telles horreurs... De telle cruauté envers Ruvik et sa sœur qui avait sûrement alimenté ce profond traumatisme... Alice trouve le temps très long. La pénombre était toujours dans la forêt, et quelque chose d'effrayant dans cette pénombre sombre, les quelques ombre clair donnait impression qu'on observé... Elle voyait au loin quelques lumières provenant du manoir. Sur un coup de tête, elle avait marché et c'était dirigé vers la source de lumière le seul problème c'est que devant les grilles elle osait ne pas passer... Pourtant le vent qui secoue plusieurs fois les feuilles et les branches légères qui tombe la fond rentre dans le domaine.

Sans se retourner, elle court à la grande porte et l'ouvre... Et à force de fuir elle finit par tomber sur sébastien... Et elle le trouve bizzare et elle s'avance et lui tire la Manche

-Seb...

Il se retourna, surpris. Que faisait Alice ici ? La jeune fille timide et peureuse ne serait pas sorti de la cabane d'elle-même non ?

Une forme derrière Alice attira l'attention de Sébastien. Il leva les yeux et se figea d'horreur en voyant le visage brûlé d'un Ruvik adulte se dessiner dans l'obscurité. Ces yeux observent chaque réaction... Elle va dire quelque chose quand elle le vit se décomposée... Sois il a vu un fantôme soit c'est l'être qu'elle fuit

Elle ne se retourne pas, car elle Savait la peur qu'il pouvait inspiré... Et une part de son cerveau lui disait de courir, pas sans emmener Sébastien. Elle lui saisit la main , et essaye de donner une directive de la suivre.

Parvenant à lui faire comprendre, elle ne cherche pas à savoir où elle est... Mais plutôt à se cacher et quoi de mieux qu'une cachette qui n'en a pas une... Il arrive devant un mur et elle pose sa main et tire Sébastien avec elle. Il traverse Littératerallement le mur avant de tomber dans une pièce, plutôt agréable et qui peut faire penser à une chambre de fille

Sebastian regarda autour de lui. Les murs lui ont l'air familiers...

-Mais... c'est là où je t'ai trouvé non? Et comment t'as fait pour passer à travers le mur? Demande Sébastien

Il reprit une contenance, sa respiration et regarda autour de lui. Au moins, Ruvik n'était pas là.

-Bon. Peux-tu m'expliquer tout ça Alice? Dit Sébastien qui voulant vraiment des réponses

Alice le regarde... Quand il se pose tout ces questions... Et elle était déjà bien secoué par tout cela.elle cherche au mieux à lui répondre, et se rappelle qu'elle avait fait un dessin... Certes avec du sang humain qui par malheur avait ouvert sa porte, et qui c'était fait écrasé le crâne.
Sur le dessin, elle avait dessiné elle. Bien sûr avec un dessin très basique , une porte à côté... Et juste à côté de cette porte encore elle mais avec comme un nuage de magicien autour d'elle... Et sur le dessin d'après à la place d'une porte c'était un mur...et à côté de chaque dessin s'y trouvais un point d'interrogation

Sebastian essayait tant bien que mal de comprendre ce qu'Alice tentait de lui faire comprendre avec ce dessin légèrement brouillon... Il se frotta le menton d'un air pensif, avant de se détourner du dessin, comprenant simplement qu'il ne risquait pas d'y comprendre quelque chose pour l'instant. Il s'assit sur le siège de la coiffeuse afin de mieux se concentrer. Se regardant dans le miroir blafard, il se rendit compte que sa veste faisait une bosse au niveau de sa poche intérieure. Il en sortit un carnet et se souvint que le souvenir d'Alice le lui avait remis. Il décida de le lire sans le dire à Alice afin de ne pas la choquer, mais au fur et à mesure de sa lecture, son malaise croissait davantage chaque fois qu'il apprenait quelque chose sur sa petite protégée.

Au bout d'un moment, il décida de lui en parler quand même, mais en relevant les yeux, il vit...

-Alice ! Attention ! Dit Sébastien

Alors qu'Alice essayer sans fin de lui montrer le sens de son dessin... Mais elle voit bien que c'était compliqué elle avait baissé la tête, quelques part ça lui faisait peur de ne pas explique un telle pouvoir.
elle entend crier, et quand elle se retourne elle voit son poursuivants... Comment il avait atteints ? Elle avait tout fait pour qu'il ne l'a voit pas?...

Au cri de Sebastian, Alice se retourna et vit son poursuivant la fixer. Muette de peur, elle entendit les premiers mots que l'entité lui adressa.

- Tu ne peux pas te cacher dans ma tête. Dit ruvik

Il se tourna vers Sebastian.

-Laisse-là tranquille. Dit il vers intrus

Et d'un simple geste, il disparut avec Alice. Incapable de parle ni d'exprimer un quelque conque mot...et instant d'après Sébastien n'était plus dans le même endroit qu'elle.

-"Seb.... Seb.... dit alice

Au grand malheur de ruvik, elle appelé à aider Sébastien et non lui..


Sebastian voulut se lancer à sa poursuite, enfonçant la porte de son épaule, mais dût s'arrêter avant de tomber dans une fosse profonde. Une échelle l'invitait à descendre, et bien que son instinct lui hurlait que ce n'était pas la chose à faire, il savait que rester sur place voulait dire abandonner Alice. Il se mit donc à descendre.

Alice avait disparue. Ces quelques mots se répétaient en boucle dans ses pensées. Pourquoi avait-elle pris tant de place dans son esprit, il n'aurait su le dire, mais c'est avec la force et la volonté de vivre que lui conférait sa détermination qu'il traversa les horreurs qu'il rencontra. Les manèges tarés, les monstres semblant être d'obscènes assemblages de chairs de fer... Il traversa tout cela avec cette rage de vivre contenue en lui pendant des années.

Mais une ombre passant sur une fenêtre lui ramena les pieds sur terre. Non pas qu'il soit sûr de l'avoir reconnu, mais il craignait réellement que ce soit elle. Il avança plus prudemment, les échos que renvoyaient les murs ne le rassurait pas. Puis il la vit.

Dans une sorte de tour de grillage barbelé, se déplaçait une forme soupirante à six bras. Ses longs cheveux ne laissant aucun doute sur l'identité du monstre.

-Laura...dit Sébastien en la constatant

Sebastian se mit à se déplacer, mais la créature ne semblait pas le voir. Un peu plus confiant, il explora le coin sans trouver grand chose mis à part un levier qu'après une hésitation, il poussa.

Un grand bruit retentit dans l'immense salle. Sebastian se retourna à temps pour voir Laura passer à travers le grillage par le trou qu'elle venait de pratiquer. Sebastian a toujours eu du sang-froid. Mais aujourd'hui, mû par un réflexe de pure survie, il courut. Fonçant toujours plus jusqu'à être arrêté par un mur de feu. Malgré la distance et le bruit de son sang pulsant dans ses oreilles, il entendait toujours les râles du monstre à ses trousses.

Soudain, il se reprit.

Tremblant et en sueur, c'est pourtant d'une main ferme qu'il prit son pistolet, se préparant à combattre.

Le monstre descendit de la trappe, il n'attendit pas plus pour attaquer. Sa résistance aux balles était inconcevable. Sebastian vidait ses chargeurs les uns après les autres, esquivant charge après charge, mais fatiguant inexorablement, tandis que le monstre redoublait d'ardeur.

Soudain un éclair de lucidité le traversa. Et il alla se terrer dans un coin de la pièce. Le monstre s'approcha lentement savourant l'instant proche de la mort de sa proie. Il leva sa patte, déploya ses monstrueuses griffes...

Un coup de feu retentit, déclenchant une cascade de flammes, se ruant sur le monstre, consumant ses chairs dans un hurlement inhumain mêlé aux crépitement des cellules explosant à cause de la chaleur et mourant dans un écho qui mit longtemps à s'estomper.

Le monstre à terre définitivement, Sebastian se releva. Les mécanismes pervers présent dans cette pièce lui auront finalement été utile pour une fois. En observant les recoins de cette salle, il remarqua que le mur de feu avait faibli, mais aussi l'existence d'autres mécanismes qui, une fois actionnés, lui ouvrait la voie vers un ascenseur. N'ayant pas tant le choix, il l'emprunta, et après une courte descente, l'ascenseur s'arrêta dans une pièce remplie d'une brume noire découpant une silhouette que Sebastian ne pouvait que reconnaître...

arrivant de manière silencieuse dans cette fumée des plus sombres , celui qui est à l'origine de tout ces horreurs allant de la conception du lieu, au monstre créé et imaginé et ayant était rempli d'une mission : abattre tout ceux qui y rentraient. Il prononce ces quelques mots avant de s'arrêter devant les grilles rouillées de ascenseur.

- mais pour qui est ce que tu te prends dit entités maîtresse de ce lieu dont Sébastien connaissent le prénom,et il rajouta... Je sais qui tu est Seb dit ruvik de sa voix froide

les plis de sa capuche, lui montrer un air menaçant alors qu'il avance et était à un centimètres de la grille... Et soudainement par une force invisible les barreaux se tordirent, et volèrent à autre bout de la pièce. Il était là, à la toisait du regard et ne bougeait pas pour le moment mais ce n'était qu'une question de temps... Avant même d'avance il se remit à parler

- je sais ce que tu désires...Dit il en commençant à s'approcher... Ce que tu crains, tout en continuant de marcher et de rentrer à son tour dans la cage d'escalier.

une fois à l' intérieur, il continue son long monologue sinistrés.

- pourra tu vivre sans remords en sachant ce que je te faire

il s'arrêta à quelques pas, et le regarda forçant inspecteur et avait le dos contre les barreaux sculptés

- ce pauvre joseph n'a pas put... puis sa voix devient légèrement plus sinistre, tandis qu'il prononce ces mots, et elle ne le pourra pas aussi

il laissa quelques minutes de silence, avant de se remettre à proférer son avertissement.

- dommage qu'il t'es entraîné là dedans, dommage que tu as croisé sa route.... Quoi qu'il en sois elle ne pourra pas t'aider... Je ferai ce que je veux de toi dit-il en coupant sa dernière phrase

Après ces quelques mots... Il s'avance et disparaît dans la seconde qui précède ces quelques pas... Laissant inspecteur dans l'ascenseur une porte enlevée, alors que ce dernier se remit à descendre,après cette menace de mort passe sous forme d'avertissement pour Sébastien, l' ascenseur continue de descendre dans ce lieu si sombre et Tortueux. Pourtant il avait quelque chose de familier quand l' ascenseur s'était arrêté Alice se trouvait devant lui a quelque mètre.

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