chapitre 3: une coopération pour la survie

Il sortit de la pièce et se pétrifia. Non loin, la jeune fille s'était effectivement arrêtée. Mais devant elle se trouvait la présence spectrale qui semble avoir tout pouvoir sur ce monde.

Elle était enfin sortie... Éloigné de cet inconnu... Mais sa course s'arrête devant lui... Tétanisée et tremblante elle cherche absolument une sortie ... Elle ne veut pas retourner dans l'autre pièce, et aucun cri ne pouvait sortir de sa bouche.Elle regarde cette pièce... Des grilles, des piques qui sont reliés par une machines... Et du sang sûrement celui du geôlier... Elle remarque la porte ouverte tout au fond à gauche et sans hésiter recule et fuit la présence.

La seule chose qui compte, la protéger elle, et s'échapper ensemble. Maintenant que Laura est partie, il n'y a plus qu'elle. Il ne doit rien lui arriver. Il se tourna vers le gêneur. Vers cet homme qui survie bien plus longtemps que n'importe qui. Mais il n'est pas immunisé, contrairement à l'autre femme. Il n'est pas important. Il s'en occupera plus tard.
Il tourna les talons, et disparut.elle avait arrêté de courir... Et se demande vraiment qui c'est ? Et pourquoi il était apparu devant lui? Et elle avait regarde si il était encore là..

Non loin d'elle se tenait Sebastian, il la regardait de nouveau, se demandant la marche à suivre. Puis il se décida.
Il se tourna et avança de quelques pas de façon à continuer sa route puis s'arrêta. Sans tourner la tête, il dit : "Je dois avancer. Je veux aussi sortir de cette prison. Et je t'aiderai à t'échapper aussi. Suis moi." puis il reprit sa route vers l'inconnu, la main sur le revolver

C'est peu de parole prononcer... Donne un léger espoir de sortir de cet endroit, de cette "prison" comme il l'a appelé... Elle s'était donc mise à la suivre mais pour le moment, aucun mot gentil ne sort sois parce que ce lieu la rend muette... Sois qu'elle se méfier de lui. Mais elle ne représente pas une menace,aucune arme sur elle et vue les fuites qu'elle l'a fait elle ne l'attaquera pas. Sans se retourner, il savait que la jeune fille le suivait. Il continua sa route et arriva devant une sorte de puits, une ouverture dans le sol, accompagnée d'une échelle plongeant dans les profondeurs obscures de la terre.

-Et bien quand faut y aller...dit Sébastien se posant la limite d'extension de ce monde

Il se mit en position sur l'échelle et commença à descendre, remarquant du coin de l'œil que la fille le suivait effectivement. Un sourire discret s'afficha sur son visage pendant qu'il s'enfonçait dans la noirceur.

elle le suis, et reste silencieuse pendant qu'elle le suis... Elle observe ce qu'il fait et elle regarde ensuite le vide... Et elle se téléporte directement en bas, difficile d'expliquer ce soudain déplacement mais elle pouvait se déplacer librement comme si elle n'avait pas de corps aussi réel que lui.

Arrivé en bas de l'échelle, il n'y avait toujours pas de sol... Les barreaux étaient glissants et il ne voulait pas tenter de prendre sa lampe pour vérifier la profondeur. De toute façon, si il devait mourir... Il inspira et sauta.
Le sol arriva à sa rencontre bien plus vite que prévu. Il tenta de se rattraper sur le sol irrégulier mais s'écrasa lamentablement par terre.
En se relevant, il remarqua à deux mètres de lui une silhouette familière, la jeune fille le regardant avec des yeux ronds.

Mais avant d'avoir pu se demander comment elle est arrivée là, il remarqua des ombres en mouvement sur les parois de la grotte dans laquelle il a atterri, accompagné de grognements bien caractéristiques.


Sébastien posa un doigt sur ses lèvres en regardant la jeune fille dans les yeux. Elle se tourne vers les ombres en mouvement, c'était bien les grognements qu'elle a entendu bien avant... Mais elle ne s'était jamais aventurée dans cet endroit humide et très brumeux
elle c'était instinctivement mis derrière Sébastien... Enfin derrière l' homme qui lui avait promit de la faire sortir d'ici...

En se relevant, il comprit que quelque chose clochait. Il n'y avait pas qu'une ombre se mouvant sur la pierre, car d'autres se rajoutaient au fur et à mesure.

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