Quand on rentre à la grotte, Livaï me saute dessus. J'ai tellement mal à cause de mets chaleur que je ne me défends même pas. Je m'explose la tête au sol.

-Aie ! Mollo quand même.

-Désolé.

Il me relève et me porte jusqu'à, mon '' lit ''. C'est qu'un tas de paille, mais c'est déjà ça. Il m'embrasse, j'ouvre un peut mes lèvre et lui en profite pour y passer la langue. On commence un bal endiablé entre nos deux langues pour savoir qui dominera se combat. C'est Livaï qui l'emporte. Il passe, ces mains sous mon t-shirt. Il me lèche la gorge en même temps. Je gémis et une question me vient en tête.

-Livaï, tu veux des gosses ?

Il est surpris et se redresse.

-Tu me sors sa comme ça, au calme ?

Agacé, je lui dis.

-Bon, tu réponds ?

Il soupire.

-Tu n'en veux pas toi ?

-Bien sûr que oui, mais toi ?

-Bien sûr.

- Alors fais-moi un gosse' s'il te plaît, Livaï.

Il sourit.

+ Tes magnifique quand tu souris. +

Il devient rouge, est, détourne le regard.

-Ha une condition.

Je suis surpris.

-Laquelle ?

-Que tu vienne habiter, avec moi ?

Je souris et me mets, à pleure.

-Avec plaisir.

+ Ne pleure pas, mon bébé +

Je sursaute et le regarde.

-Il va falloir que je mis habitue, ou c'est juste parce que tu as envie d'être gentil ? Il me regarde choquer.

-De quoi ?

-T'es, petits mots !

-Va falloir t'y habituer. Jétais tellement fermé à l'époque que je t'ais perdu alors j'ai pris la résolution de te prouvé a quelle point, je t'aime.

Je suis surpris, par ce qu'il me la dit.

-Attends t'es en train de me dire, que ton côté froid tu va le mettre de côté, rien que pour moi ? Il hoche de la tête et me sourit.

-Et avec les autres ?

-Mon masque de froideurs, je l'enlève que pour toi puisque même Hanji et les autres y ont le droit.

Je soupire et lui souris tendrement.

-Alors ça me va.

Il me lèche le cou et je gémis.

-Mm.

-Tu voulais garder ce visage-là que pour toi ?

Il me mord légèrement la base du cou.

-Ggn, oui.

Il lèche ma morsure.

-Mm, ça te dérange ?

-Non aucunement. Tu es aussi froid que moi a aujourd'hui. Donc je suis le seul à te voir comme '' ça ''.

Je  lui souris.

+ Et t'es le seul, qui me verra comme ça aussi. +

Je donne un gros coup de bassin ce qui, lui fait lâché un grognement.

-Grrr, ça, il y a intérêt.

Je me relève légèrement et le mords au niveau de la gorge. Il pousse un grognement qui résonne comme une mélodie a mon oreille. Je frissonne et passe, mes mains sous, son t-shirt. J'effleure sa peau tout en retirent son t-shirt. Je le sens tremblé sous mes doigts. Je dirige mes mains, tout en continuent mon manège, je descends vers son pantalon. Je le dégrafe, je le descends, mais cette fois, je le griffe, un peut étant sensible des hanches, il gémit et pousse des grognements. Il se laisse faire malgré tout. Je le couche sur le lit et l'embrasse. Mon cerveau est complètement embrouillé, il doit avoir beaucoup de mal à y lire quelque chose. Je lui embrasse la mâchoire, le torse et descends petit à petit vers l'objet de mes désire. Quand j'arrive devant une bosse déjà bien grosse, je le lèche au travers du caleçon et attrape l'élastique avec les dents tout en le regardant dans les yeux. Je le descends tout en frôlent son sexe avec mon nez. Il frissonne et gémit, qu'est ce qu'il mavait manqué. Je souris et fini de lui retirer, a la main, mais je reste la tête penché au-dessus de son attribue. Je le regarde dans les yeux et lui lèche tout du long puis le gland, ce qui le fait rejeter la tête en arrière. Il place ça main sur ma tête pour me demander de la prendre en bouche. Ce que je fais, je commence de lent va et vient sens oublier de lécher son gland de temps en temps. J'accélère le mouvement quand Livaï pousse de gros gémissement et sens ça main se resserre dans mes cheveux.

Je creuse les joues en remontant, au bout de quelque va-et-vient. Il essaye de parler.

-JE......VI.....ENT EREN Mm.

Avant qu'il finisse sa phrase, il éjacule dans ma bouche. Je le regarde, et avale tout.

-C'est sale, pourquoi tu as avalé?

-De toi, rien est sale, t'es trop maniaque.

Je rigole, et me fais retourner d'un seul coup.

-T'as joué, maintenant, à moi!

Je rougis et rigole, un peu moins.

PVD Livaï :

Je le vois perdre son sourire après l'avoir retourné.

-Ça ne va pas ?

J'avais un grand sourire, je me moque ouvertement de lui.

-Tu m'as chauffé, assume.

Je lui lèche les tétons et remonte vers sa gorge.

-Mm Livaï.

Je lui mort la gorge et passe dans sa nuque. Je le mords, le lèche, puis, redescends sur ces tétons. Il gémit sans aucune retenue au plus grand plaisir de mes oreilles. Il était dur comme de la pierre. J'étais dure 1 seconde après avoir joui dans sa bouche. Je le regarde dans les yeux.

-Avec ou sans.

Il me regarde étonner.

+ J'ai dit qu'elle que chose qu'il ne faillait pas ? +

Merde, je l'avais pense trop fort, il m'a entendus.

-Heu Livaï, je suis vierge, dans ce monde.

-Désolé, j'avais oublié.

Il me fait un petit sourire et je reprends là ou j'en étais. Je descends ma bouche sur son ventre, ma main droite continue de triture les petits bourgeons roses, fièrement, dresse. Je passe ma main sur son caleçon et frôle son membre.

-Ggn Li.... Mm vaï.

Ma bouche descend vers son nombril. Je passe ma langue dedans et exerce des va-et-viens. Il gémit, est, se contorsionne de plaisir. Je le regarde, et délaisse son nombril pour descendre.

Vers son membre. Je rencontre un problème, l'élastique de son caleçon qui me gêne. Je le prends avec les dents et le descends jusque ces chevilles sans le quitter des yeux. Il frémit à chaque fois que je le frôle avec ma peau. Une fois fait, je remonte l'embrasse et lui met un doigt. Étant fort mouille, il ne sent rien. Je lui en mets donc un deuxième, il grimace un peut. Je fais des mouvements de ciseau et touche sa prostate. Quand je le sens prêt, je lui en mets un troisième. Il gémit plus fort, car je touche sa prostate du premier coup. Je commence les va-et-vient. Au bout de quelques minutes, il prend la parole.

-Livaï, viens en moi.

Je retire donc mes doigt et me place de sorte à être devant son entre. Il me fait un signe de tête, j'entre en lui.

-T'es serre, trop bon.

Je rentre, jusque là garde. J'attends qu'il s'habitue. Il donne un coup de bassin et je commence des, va et viens doux. Je vais de plus en plus fort. Il gémit et je grogne, Eren hurle mon prénom et moi le sien. Dans la grotte le son et amplifier. Je frappe sa prostate de plus en plus fort. Je vais de plus en plus vite.

-LIVAI, JE T'AIME!

Je plonge ma tête dans son cou.

-Je t'aime aussi, Eren.

Il jouit entre nos deux torses. Quand je le sens, se resserre, je jouis en lui dans l'espoir de lui faire un gosse. Je m'écroule sur lui, il se change en loup. Il m'entoure de son corps chaud est me lèche le visage. Il se prend pour un chien ?

-Je t'aime, mon gamin. Demain tu déménages.

Il dort déjà, je soupire et me cale contre son pelage pour m'endormir. Pour une fois, je ne fais pas d'insomnie.