chapitre 3

PVD Eren :

Livai a pris a par Hanji, je l'ai vu descendre du bureau d'Erwin avec une telle aura noir. Je me souviens de cette aura, il là quand il est agacé par une situation sens réponse. Je soupire et continue d'accueillir les clients avec mon faux sourire. Au bout de 20 minutes, Hanji revient. Elle vient me voir.

-Eren, je te remplace, il veut te voir.

Elle me regarde avec tristesse et peur. Je soupire et la remercie grandement. Je vais donc en salle de repos. Il était assis sur une chaise les coudes contre la table la tête posée dessus. Je toque a la porte et fais le signe militaire fassent tout pour qu'il se souvienne.

-Caporal !

Il relève la tête en sursautent et me regarde bizarrement. D'accord, donc il ne se souvient pas qu'il et caporal. Ça va être très compliqué. Je soupire tristement et vais m'assoit en face de lui. De toute façon, je sais comment me défendre contre lui. Je le regarde dans les yeux tristement.

-Vous vouliez me parler ?

Il soupire et me sonde comme il le fessait souvent. Il finit par ouvrir la bouche.

-T'es qui pour moi ? D'où tu me connais et comment je suis mort ? Pourquoi ces une bourde de te l'avoir dit ? Et d'où je suis caporal ?

Je m'écroule sous la tonne de question et encore, je vois qu'il se retient. Je me place de sorte à ce qu'il ne voyant pas mon regard vide.

-Caporal, je vais vous répondre que pour qu'elle que question les autres se sera à vous de vous en souvenir. J'ai déjà détruit mon amitié avec Armin à cause de ma trop grande franchise. Et Mikasa, cette pute n'en parle pas. Ça avait beau être ma belle-sœur, je la déteste toujours autant voir même plus.

Je soupire fortement en y repensent.

-Bref, ce que je suis pour vous, je n'y répondrais pas. À vous de vous souvenir. D'où je vous connais, ces simples j'étais sous vos ordres dans le bataillon d'exploration. Votre mort, je ne compte pas vous la rappelez parce que je suis mort peu de temps avant. Et puis oui, c'était une bourde parce que ça me rend encore plus triste. Déjà que vous vous souvenais pas. Oui, vous êtes caporal. Je ne sais pas comment vous l'êtes devenu enfin si je sais, mais je ne suis pas sûr que cela vous ferais plaisir. À chaque fois, ça vous rend triste.

Je baisse la tête et regarde mes mains sachant l'aura noir qu'il s'en dégage et vue la lourdeur de son regard sur moi, il doit être très noir voir haineux. Sa voix me surprend.

-Oye Gamin ! Tu me regardes !!

Je n'ose pas le regarder. Et ce surnom me fend d'autant plus le cœur.

-Non parce que je le connais très bien ton regard. Je sais que tu me lances un regard noir voir haineux pour m'intimider et me faire parler.

Son aura et le poids de son regard changent. Il est stupéfait que je le connaisse aussi bien. Je soupir et ose enfin le regarder sauf que, je n'avais pas vu, que je pleuré. Il ouvre grand les yeux choqués de mon état.

-Gamin, pourquoi tu pleures ?

Je détourne le regard de nouveau en séchant mes larmes.

-Pour rien Livai, je dois y aller !

Je me lève rapidement pour partir, mais Livai me rattrape au poignet.

- Eren, je veux juste des réponses !

Je frémis à mon prénom et son toucher. Contrairement à ce que j'aurais pu m'attendre sa voix et sa prise sur mon poignet se font doux. Je me retourne et le regarde doucement.

-Je sais, mais si je fais te souvenir et que tu tombes dans le coma parce que le choque a étais trop violent je m'en voudrais à vie. Laissons traînais une semaine ou deux.

Il me regarde tristement, c'est une lueur très dure à voir en temps normal, mais elle est là quand même.

-Je peux faire une chose pour te donner un indice ?

PVD Livai :

Quand il se levé dans l'intention de partir, une partie de moi m'as forcé à le retenir ce que j'ai fait. Et le sentir frissonne à ma voix, cela me paraît étrange. Quand il me regarde, je me perds dans ces yeux d'un vert émeraude d'une toute beauté. Je comprends ce qu'il me dit, mais ça me rend triste, pourquoi ? Et puis pourquoi il me connaît aussi bien ?

Je continue, en le fixent et sa dernière phrase me surprend.

-Oui, bien sûr que tu peux.

Eren, ce mets face à moi. Je garde son poignet dans ma main et le regard avec de l'appréhension. Dans son regard je peux y voir une lueur qu'il n'avait pas tout à l'heure mais je ne serais pas dire ce que sais. Il met sa main devant mes yeux. Et il m'embrasse. J'ouvre grand les yeux, je ne sais pas pourquoi, mais cela me procure une joie immense. J'accentue le baisais et un flash d'Eren sur un bûchait m'apparais et je fonds en larmes. Je ne sais pas pourquoi je me souviens de ça, ni pourquoi je pleure et que ça me fais mal à ce point.

Eren me prend dans ces bras et je m'accroche à son t-shirt. Je suis piégé dans un nouveau flash et murmure.

-Ne meurs pas, Eren, mon amour, j'ai besoin de toi !

Je me réveille d'un coup en sursaut et le regarde, il était dans le même état que moi voir pire. Il fessait le fort en restent debout et en me soutenant, mais je voyais bien qu'il tremblé et qu'il était dévasté de mes mots. Mais d'un sens, je n'en reviens pas non plus de ce que j'ai dit. Alors c'était mon homme ! Je n'en reviens pas, moi sortir avec un morveux ? Mais comment ça se fait qu'il l'on brûlé, pourquoi ? Je le regarde et lui attrape la tête pour qu'il me regarde. Il a le regard vide.

-Eren !

Il sursaute et ces yeux redeviennent normaux ou presque.

-Oui Livai ?

-Pourquoi tu es mort ? Tu étais mon amant ?

Il devient comme froids.

-Parce que j'étais le dernier titan sur terre et qu'il voulait ce débarrassé de tous. Oui on était même marié du moins pas officiellement. C'est Erwin qui l'avait fait.

Il soupire tristement et les flaches arrivent par dizaines ça me fiche un de ce mal de crâne qui me fait tomber dans les pommes.

PVD Eren :

Je vois Livai se tenir la tête et plus rien. Je prends peur et le couche au sol. Je vais chercher Hanji en urgence.

-HANJI, IL... IL S'EST ÉVANOUI !

Elle vient en courant et me demande de l'emmener dans le bureau d'Erwin. Il y avait un canapé et on le pose dessus. Hanji l'examine et me regarde un peu tristement.

-Il a dû avoir des flashes et ces évanoui. Ne t'en fais pas, il va bien. Il a juste besoin de repos.

Je reste à ces côtés après avoir fini le travail. Ce n'est pas comme si quelqu'un m'attendait à la maison. Je passe toute la nuit à son chevet, mais m'endors d'épuisement sur le matin.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top