L'histoire se passe pendant le labyrinthe

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Il faisait chaud au bloc, vraiment chaud, le soleil n'a jamais été aussi brûlant, et ça se voit: les adolescents sont tous à la recherche d'un peu d'ombre, mais Alby a été clair, ce n'est pas une raison pour arrêter de travailler, les brocards seront munis de bouteilles d'eau et de casquettes et auront le droit à une pause tous les deux heures.

Il n'est que 13:30, et Marie en a déjà marre. Marre de tout: de la chaleur, des sarcleurs qui n' arrêtent pas de se plaindre autour d'elle, du fait que la sortie du labyrinthe n'a toujours pas été trouvé, de Newt qui lui lance des regards depuis tout à l'heure comme si il voulait lui dire quelque chose d'important.... en tant normal cela ne l'aurait pas énervé, elle aurait plutôt rougis car le blond là regardait, mais là elle n'avait pas e temps de penser à ça, elle avait une de ces migraine...

« Marie?

La jeune fille se retourna pour voir le second en chef devant elle, les joues rouges sous la chaleur (?) il s'apprêtait à dire quelque chose mais elle le devança.

-Ah bah c'est pas trop tôt! 30 minutes que tu me regarde comme si je voulais te tirer une balle dans la tête, je...

Marie s'arrêta soudainement, essoufflée. Putain, elle était épuisée. Newt, inquiet de l'arrêt de paroles de la sarcleuse,

-Marie? Ça va? Tu es toute pâ... »

Marie s'effondra au sol, tout devint noir, la dernière chose qu'elle entendit fut le cri de Newt.

***

La douleur était atroce. L'impression d'avoir un marteau fracassant son crâne était insupportable, et le transpirait, elle avait encore chaud, trop chaud et... mais qu'est ce qu'elle doit sur un lit? À l'infirmerie?

« Tu t'es évanouie. »

Marie remarqua enfin la présence du blondinet assit sur une chaise à sa gauche. Il posa un chiffon humide sur son front avant de reprendre:

« D'après les Medjacks, le soleil t'a trop tapé sur la tête, tu as de la fièvre maintenant, mais t'en fais pas, tu vas vite guérir, et je serais là en cas de besoin. »

Marie s'apprêtait à répondre, mais le noir engloutit son environnement pour la deuxième fois

***

« Ça fait deux jours! Deux putain de jours qu'elle est clouée ici et que vous dites qu'elle n'a rien de grave, que ce n'est qu'une petite fièvre! Sa température n'a même pas baissé!

-Newt, calmes toi, écoute on fait de notre mieux c'est...

-Ça me tué de la voir comme ça, en plus la nuit elle fait des cauchemars et je n'arrive même pas à la réveiller!

-Elle à encore besoin de repos. »

Le bruit réveilla la blocarde, confuse, sans aucuns souvenirs de ces derniers jours. Devant elle, Jeff et Newt semblait se disputer pour un sujet qu'elle ignore, en fait Newt semble beaucoup énervé que l'autre, mais dès que son regard croisa la sienne, sa colère s'envola comme par magie et il accouru au chevet de la jeune fille, tenant son visage en coupe pour qu'elle le regarde.

« Marie, mon dieu est ce que ça va? Tu te sens mieux?

-Ne...Newt, dit elle d'une voix rauque

-Oui? Dis moi tout ce que tu veux.

-J...Je...J'ai...

Deuxième trou noir.

***

Deuxième réveil, mais cette fois ci sans douleur  ni migraine.

Marie se leva doucement du lit et fit le tour de l'infirmerie: personne. Elle sortie de la salle et se dirigea vers la cafétéria, elle avait vraiment très faim.

En ouvrant la porte, elle eu la surprise d'y voir tous les blocards. Le silence se dit aussitôt et elle se sentit mal à l'aise devant tous les paires d'yeux qui la fixaient. Sous cette immobilité se détacha un grand garçon blond qui s'approcha d'elle et lui demanda si elle allait bien, elle leva les yeux pour croiser ceux inquiets de Newt devant elle puis murmura:

« Oui... je suppose que je vais mieux.

Newt sourit puis la prit dans ses bras,

-Cool alors. »

Les garçons sifflèrent sous ce câlin inattendu. La sarcleuse rougit car elle ne s'y attendait pas, mais tout compte fait elle est très heureuse dans les bras de son collègue de travail,  et issu elle entoura ses bras autour du cou du blond et ils restèrent ainsi jusqu'à ce que Frypan toussa pour leur rappeler qu'ils n'étaient pas seuls. Ils se séparèrent, Marie put voir les rougeurs sur les joues de Newt et son sourire béat, puis ils allèrent s'asseoir à une table et la bonne ambiance de la cafétéria ré-apparu.

Après le déjeuner, Newt accompagna Marie à l'infirmerie afin que les Medjacks s'assurent qu'elle n'a plus la fièvre, ils lui donnèrent une bouteille d'eau et lui conseillèrent de s'hydrater très régulièrement.

Les deux sarcleurs décidèrent de se reposer un petit peu dans la forêt (Marie voulait un endroit calme sans blocards) et finirent par s'asseoir contre le mur du labyrinthe, au fond de la forêt.

Marie posa sa tête contre Newt qui frissonna à ce geste et eu une soudaine bouffée de chaleur. Soudain, il se rappela de quelque chose:

« Marie?

-Hmm? fit l'interpelée qui avait fermé les yeux,

-Tu te rappelle de ce qui s'est passé avant que tu ne te sois... évanouie?

-Euh... Marie eu un temps de réflexion avant de s'exclamer:

- Oui je me souviens que je parlais avec toi car tu voulais me dire quelque chose!

-Oui! Et je n'ai pas pu te le demander encore.

-Pas faux! Dis le moi maintenant alors.

-Est ce que tu m'aime?

Marie ouvrit les yeux et se redressa. Newt avait dit ça tellement vite qui lui fallut du temps avant d'assimiler les mots entre eux, et quand elle comprit elle eu le souffle coupé. Qu'est ce qu'elle pouvait répondre à cette question piège? La vérité? Après tout Newt est gentil si ce n'est pas réciproque il le fera de sorte à ne pas la brusquer. Peut être

-Bah...en amitié oui bien sûr tu es mon ami et l'autre sens à laquelle je pense que tu pense hmmm...

Elle mâchait ses mots, elle avait l'impression que sa mâchoire était en pâte à modeler. Newt sourit, attendri devant la réaction de la jeune fille.

-Alors?

-Oui! Euh, bah c'est que dans ce sens dont tu veux parler et je suis sûr que c'est à ce sens là que tu pense hein?

-Tu n'as toujours pas répondu à ma question. Pouffa-t-il,

-Si! J'essaye juste de trouver la bonne phrase pour te dire que...

-Tu m'aimes? L'interrompa-t-il,

-Ou...mpfh! »

Elle n'eu le temps de finir son mot que Newt colla ses lèvres aux siennes avec passion, les yeux fermés et posant ses mains sur son visage. Marie manquât de s'étouffer mais la bouche de Newt lui fit perdre le Nord, dans sa tête c'était le néant elle oublia tout: le labyrinthe, la chaleur, mes griffeurs... la seule chose à laquelle elle pensait était ce blond qui embrassait tellement bien. Et c'est quand il ouvrit la bouche pour approfondir le baiser que Marie entoura ses bras autour du cou de son désormais petit ami (?). Ils se séparèrent par manque de souffle, tous les deux rouges- et cette fois-ci c'est pas le soleil-, un sourire au lèvres et haletants:

« Moi... moi aussi je t'aime Marie. Je t'aime tellement si tu savais. Murmura Newt en plongeant ses yeux dans les siennes.

Marie ricana, ce qui se passait était trop beau pour être vrai. Peut être que ce n'est qu'un rêve, et qu'elle est toujours endormie à l'infirmerie, toujours malade.

-Marie? S'inquiéta Newt devant la jeune fille hilare, Est ce que ça va?

-Je crois que la chaleur me fait délirer. Je suis toujours malade, tout ceci n'est qu'un rêve, je vais me gifler peut être que ça me réveillera.

-Non Marie c'est vrai je t'aime et il n'y a rien de plus réel que ça, s'exclama le second en agrippant ses épaules, tu n'es plus malade et tout va bien!

Elle arrêta de rire, observant le garçon devant elle en comprit qu'elle ne rêvait pas. Un feu d'artifice explosa dans son ventre et c'est sans prévenir qu'elle se jeta sur Newt pour l'embrasser, encore, et encore, jusqu'à n'en plus finir.

Il n'a jamais fait aussi chaud qu'en ce moment, eux deux seuls au fond du labyrinthe, collés l'un contre l'autre rattrapants le temps perdu.

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Deuxième imagine pour maried49190 j'espère que tu l'aime bien!

Bonne année 2018 à toutes et à tous!
Bon comme vous l'avez remarqué je ne suis plus vraiment plaisante et tout ça à cause du lycée et des devoirs interminables qu'on me donne, j'ai dès interros à chaque fois et ma moyenne est en chute libre. Lundi c'est déjà la rentrée et la semaine prochaine commencera la semaine de devoir commun et je n'étais absolument rien réviser ce qui résume assez bien la merde dans laquelle je suis actuellement.

Tout ça pour dire que vous me verrez rarement cette année (ne parlons pas des autres qui suivent)

J'ai pensé à avoir une « collaboratrice » qui posterais à ma place les moments où je ne peux pas être là mais j'hésite car je ne sais pas comment m'y prendre pour qu'on s'organise à deux sur ce recueil et puis je vais vous avouer que je ne connais personne ici personnellement du coup c'est compliqué.
J'aimerais bien vos avis là dessus, donnez moi des conseils pour que je sois régulière sans pour autant y passer mon temps 😕

Par conte même si je ne suis pas active je vérifie souvent mes notifications donc je vois chacune de vos commentaires, réactions etc... et ça me fais toujours plaisirs donc n'hésitez pas à vous exprimer 😍
Sur ce je vous dis à bientôt 💖