CHAPITRE 24 - Souvenir

PDV Larra :

Et il se pencha pour m'embrasser. C'est la meilleure chose qui ne me suis jamais arrivée. Lui. je l'aime. Ça j'en suis sur, et depuis quelque jour, c'est encore plus intense. Je m'en rends compte à chaque fois que je le vois, que je suis proche de lui.

Quand on dû se séparer, je vis tout les matons autour de nous. Il nous regardait tous.

-Faudra que tu revois pour la discrétion... Lui dis-je, avec se que j'espérais être un sourire convaincant.

Il y avait tout le monde, Alby, qui avait évidement l'aire dévasté, Zart, Minho... et tout les autres. Mais celui qui retient mon regard fus Gally. Il me regardait avec une expression bizarre, presque agressive. C'est pas possible, Newt ne peut pas avoir raison. Mais pourquoi est-ce qu'il me regardait de cette façon sinon ?

En tout cas personne ne dis rien, et ça devenait de plus en plus gênant. Heureusement, Clint fini par prendre la parole.

-Ah bah enfin, ça fait un baille qu'on attends ça. On commençait à se dire que t'avais pas de couille Newt.

Tout le monde rigola, se qui détendis l'atmosphère.

-Merci Clint... Dit Newt en levant les yeux au ciel.

Qu'est-ce qu'il est mignon quand il fait ça... Puis, un tocard en face de moi se mis à bayer.

-Faut que j'aille dormir, dis Minho, sinon je n'arriverais jamais à suivre le rythme demain. On t'annonce pas la mauvaise nouvelle Larra, j'imagine que tu la déjà entendus ? Le Bleu reste. On verras demain comment on ferra pour la présentation du Bloc, vu qu'il y a très peu de chance pour que Newt accepte de le faire, c'est se qu'on disait pendant que vous vous bécotiez dehors, me dit-il avec un sourire malicieux.

-Vous allez pas nous lâchez, hein ?

-Humm... Non désoler.

-Je veux bien le faire, dit Newt à la surprise de tout le monde. Si il reste, autant que je garde un œil sur lui.

-Tu va dans le labyrinthe demain, remarqua Minho.

-Je partirais vers midi.

-On verra demain, dis Clint. Sept heures de someil minimum ça vous dis quelque chose ? Je ne veut pas avoir plein de malaises sur les bras.

Et ils partirent tous vers les dortoirs, certains -comme Alby et Gally- un peu pousser par des gars comme Minho ou Zart. Je leur fus reconnaissant de nous laisser un peu seul.

Je me tourna vers lui, mais il me regardait déjà.

-On marche un peu ? Proposât-il.

Je le suivis. L'ambiance était détendu, je pense que le fait que tout le monde nous est vu à fait que nous nous sentons mieux tout les deux.

-Bon et bien j'imagine qu'il faut que j'officialise les choses... Dit-il avec un air géné totalement adorable. Écoute Larra je sais qu'on est au bloc, qu'on est pas libre et que notre relation ne serras jamais comme se que j'imagine être celle de personne normal, mais je t'aime et je sais que je n'aurais jamais de fleur ou de chocolat à t'offrir alors...

-Je ne veux pas de fleur ni de stupide chocolat ! Le coupais-je. Je te veux toi et rien d'autre.

Il s'avançât et me pris dans ses bras. Je sentis sa tête s'enfouir dans mes cheveux.

-Tant mieux, car je suis à toi maintenant.

Newt :

Je l'aime de tout mon être. J'aime sa façons de toujours protéger les gens, j'aime pouvoir la sérer dans mes bras, j'aime sentir son odeur et bien d'autre chose encore...

Elle se décollât de moi pour ballier, elle doit être fatiguée. Moi aussi d'ailleurs, je n'est pas trop dormi ses dernière semaine... Entre la rumeur de Gally, le baiser d'Alby et l'humeur changante de Larra, je n'est pas très bien dormis ses temps si.

-Viens, il faut que tu dorme.

-Je ne suis pas fatiguée !

-Si tu l'est.

Pour toute réponse, elle ballia de nouveau. On se dirigeât ensemble vers le dortoir, elle en dormant à moitié. Elle est plus fatiguée que se que je pensais, mais pour elle aussi ça a dû être dur.

Une fois arrivé au dortoir, je la fit se mètre dans son hamac. Elle me regardât dans les yeux, comme si elle attendait quelque chose. J'aimerais allez me blottir à côté d'elle, mais je ne sais pas comment elle réagirait. À cause de Léo, elle aurait peut être peur et je ne veux pas l'effrayer. Alors à la place, je me penchat en avant, et je lui embrassa le front.

-Je t'aime.

-Je t'aime aussi, dit-elle en fermant les yeux.

Je la regarda s'endormir et je me mis moi aussi dans mon hamac. Puis je m'endormis, en rêvant de son sourire et de ses rires.

Larra :

Je me réveilla un peu avant l'aurore. On voyait à peine deux ou trois rayons de soleil qui commençait à pointer. Personne n'est encore réveillé comme d'habitude. Je me leva doucement sans réveiller personne.

Je commença à marcher tranquillement, mais je me rendis vite compte que je m'étais trompée. Je ne suis pas la seule réveillé, il y a aussi Alby. Il est assis à la lisière de la forêt sur un tron coupé qui servira sûrement aux bâtisseurs pour construire de nouvelle tables ou de nouvelle chaises. Il a l'air pensif, se serrait peut être le moment pour qu'on s'explique tout les deux.

Je m'avança doucement vers lui.

-Alby ?

Il se retourna en sursautant. Quand il me vit, de la colère apparu dans ses yeux.

-Va t'en.

-Alby je veux juste t'aider, qu'on discute un peu...

-Pourquoi ? Je te déteste, et se serrais mieux si tu me détestais aussi.

-C'est pas parce qu'on aime la même personne qu'on est obligé de se détester.

Je n'y crois pas un mot. Mais je me force à les dire, je sais qu'il compte beaucoup pour Newt, même si il ne veut pas l'admettre. Je le déteste, qu'est-ce que je le déteste.

-Tout allait bien avant que tu n'arrive ! T'est qu'une petite...

-Ne l'insulte pas.

Je me retourne et je vois Newt derrière moi. Il est beau. Bizarrement, la colère d'Alby ne disparaît pas comme d'habitude. Au contraire, il semble encore plus provocant.

-Tu l'a protège toujours ! Mais tu ne la vois pas comme je la vois !!! Elle débarque et elle décide que tu lui appartiens ! Tu est aveugle Newt !

-Je préfère être aveugle que d'être comme toi.

Alby qui c'était levé recula d'un pas. Il resta hébété quelques instants, mais il se repris vite et me regarda.

-Tu as raison, je fais tout le temps des erreurs. On aurait pas dû banir Léo.

Et il parti. Léo. Ça fait longtemps que je n'avais pas pensé à lui, pour le mieux je crois. Quand je repense à ses mains sur moi, j'ai envie de vomir. À ses mains, me touchant à travers mon short, à ses lèvres embrassant mon cou. J'ai la tête qui tourne mais je vois Newt s'approcher de moi et je le sens me prendre dans ses bras.

-C'est rien... C'est qu'on con. Me murmurât-il. Il essaye juste de t'atteindre, il ne faut pas que tu le laisse faire.

-Je sais. Merci d'être là.

Newt :

Mais quelle ordure. Comment est-ce qu'il peut lui dire ça ? Elle semble perdue tout d'un coup, et je sais qu'elle se repasse la scène dans la tête. Je m'avance pour la prendre dans mes bras, lui évidemment, il est partis.

Je ne sais pas quoi lui dire pour la rassurer. Est-ce que je doit lui dire qu'il est mort ? Qu'il ne lui ferra plus jamais de mal ? Ou qu'Alby est le pire tocard qui soit ?

-C'est rien... C'est qu'on con. Murmurais-je. Il essaye juste de t'atteindre, il ne faut pas que tu le laisse faire.

Je l'aime tellement que je pourrais le tuer pour lui avoir rapelé ses mauvais souvenirs.

-Je sais. Merci d'être là. Dit-elle après un petit silence.

Quand je pense à ce que Léo lui a fait, j'ai envie de frapper quelqu'un. Il l'a touché. Je me rappelle son visage, elle était térorisée. Elle tremblait quand je l'est pris dans mes bras. De plus, je sais que j'aurais une dette à vie avec ce connard de Gally d'avoir au moins essayé de la sauver. Je l'aime. Et putain ça me tue de la voir comme ça.

-Je serrais toujours là.

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top