Je me réveilla en sursaut, toute collante de sueur. J'ai surement du faire un cauchemard, mais aucun souvenir ne me revient. Je restât un instant immobile, regardant le ciel qui commençais a se lever, avec ses beaux nuages rose, oranger par endroit. Se soleil qui m'éblouissais a chaque fois que je le regardais. Le souffle de tout les blocards endormie autour de moi. Les Blocards, Newt. Je me sentis vide d'un coup, totalement vide. je me redressa doucement et je vis le lit de Newt vide. Il n'avais surement pas du dormir là. Je soupira en sentant les larmes me monter au yeux. J'avais besoin de marcher.

Je me leva et me mis à trottiner vers la forêt. Une fois arrivée je me mis contre un arbre et je me rongea les ongles. C'est une habitude que j'ai prise ses derniers temps.

Il faut que je montre a Newt que je m'en fiche, que cette histoire ne m'atteint pas. Pour que lui même, arrive à s'éloigner de moi. Je me met a courir entre les arbres, sans raison apparente. Juste pour me défouler, en sautant par dessus les racines et en sprintant entre les arbres. Je me rendis compte que sa faisais bientôt une heure que je courais, les autres blocards doivent être réveillés à l'heure qu'il est. Je me dirigeât vers le réfectoire quand j'entendis des pas dans les broussailles, et je tombas nez à nez avec Alby. Il avait les trais tiré comme si il n'avait pas dormis depuis des jours. Il était plein de terre, et on voyais encore les traces de larme sur son visage. Quand nos regards
se croisère, il s'immobilisa un instant et se retournas, prêt disparaître dans les fougères.

-Alby, attends !!! Criais-je en commençant a lui courir après. Alby, il faut qu'on discute !! Tu sais bien qu'on peut pas continuer comme ça !!!

Mais il s'en fichais, il continuais à courir m'ignorant comme il le pouvais. Mais je courais plus vite que lui, et je le rattrapas. Je le pris par le bras et le forças a me regarder.

-Lâche-moi... Grognât-il.

Je ne l'écoutas pas, et je le força a me regarder.

-Alby, je... je suis désolée d'accord ?

-Ecoute il y a pas de problème, ok ? Vous faites se que vous voulez !! Je vous empêcherais pas de vivre... Donc tu fais comme si on c'était jamais vu et tu va bouffer c'est clair ? Dit-il en se dégagent violement.

Je le fixa, mais ne dis rien. Il ne peut pas dire ça... Il ne le pense pas vraiment. Il ne peut pas faire comme si il s'en fiche, pas quand ça le touche autant.

-Ta pas entendus ?? Va t'en !!! Hurlât-il, de la même façons que la première fois, quand il m'avait avoué ses sentiments pour Newt, avec de la folie dans les yeux.

Et il partis dans les bois. Qu'es que j'était sencé faire ? Es que j'aurais dus lui dire que... Que quoi au juste ? Que j'avais surement brisé le cœur de Newt ? Je soupiras et je me retourna pour aller au réfectoire. Où es qu'il est d'ailleurs ? Dans les bois ? Es qu'il es dans le même état qu'Alby ?

C'est quand je passa la porte du self, avec la tête pleine d'inquiétude, que je le vis. Rigolant au éclat avec une bande de coureur.

Quand lui, me vis, sont sourire ne s'effaçât pas et il se remis a discuter avec ses blocard.

Comme si je n'existait pas.

Je pensais qu'il serrais comme moi, triste à en mourir, mais non. Il est juste un garçons de 17 ans qui c'est pris un petit râteau.

Je me suis surestimée, je pensais que je contait un peu plus pour lui. Qu'es que j'imaginais ? Qu'il serais complètement détruit ? Je devrais m'en réjouir, non ? Je vis Minho me faire un signe de loin, c'était comme si il me lançais une bouée au milieu d'une tempête.

Je me précipita à la table, où il y avais Gally, Ben, Zart et toute la bande, sauf Newt en faite.

Quand je m'assit, je vis tout les visages triste autour de moi, même Gally semblais triste pour moi.

-Pourquoi es que vous faites cette tête ? C'est se que je voulais après tout.

Je crois que je n'est convaincus personne, mais il esquissère tous un petit sourire.

Puis Minho entama une conversation, pour ne pas qu'il y est un énorme blanc tout le repas j'imagine, se que je sais, c'est qu'a un moment je me leva et on m'emmena quelle pars, au champs je suppose, avec Zart je crois bien et qu'on passa la journée la bas, a désherber les champs.

De toute façons qu'es que ça change maintenant qu'il est partis ?

Minho :

Elle me fait peur, on dirait un zombi. Elle a le regard vide et se déplace comme si se quelle faisait n'avais pas d'importance. Je l'est confiée à Zart, je dois aller dans le Labyrinthe et je compte bien lui parler.

Ils sont tous déjà rassembler a l'entrer, je suis encore en retard.

-Ok, les gars on se met tous par deux et vous faites tous vos sections habituel, Newt avec moi.

Je ne leurs lassa même pas le temps de protester, je m'élança dans le Labyrinthe.

Je ressentis cette habituelle sensation d'opréssement en entrant. Mais j'us a peine fais deux tournant que je sentis une main sur mon épaule qui m'obligeât à me retourner.

-Tu te fous de moi ? Va avec Ben et j'irais avec Isaac !!!

-Non. J'ai déjà fais les groupes.

-Ah ouais ? Je suis sûr qu'on peut encore changer.

-Moi aussi. Mais tu vois c'est moi qui décide, donc tu va me suivre et fermer ta geule.

Je n'utilise se ton que quand j'ai un ordre a donner a des blocards, et ils savent qu'ils doivent le faire sinon ils auront des ennuis, même Newt.

Il me lança un regard noir et se mit à courir, plus vite que sa vitesse habituel.

Il est en colère je le sais, pas forcément contre moi, mais il a besoin de se défouler. Qu'il le fasse, si sa l'amuse.

Alors il s'occupait du lierre et je m'occupais de la carte. On fit ça longtemps, en silence, puis après plusieurs heure j'annonça l'heure du repas.

On s'assit tout les deux contre un mur et on sorta nos sandwichs. Je décida de prendre la parole, après tout, je les fait venir pour ça.

-On est vraiment des gamins...

Il me regarda bizarrement, attendant sûrement que je m'explique.

-C'est vrais non ? On se parle pas pourquoi au juste ? Pour une fille ?

-On se parle pas arce que tu trouve que je suis un salopard. Me réponda-t-il froidement.

-Ah mais t'es un salopard. Je trouve que c'est digne d'un parfait connard se que tu lui à fait se matin.

-Alors pourquoi tu me parle toujours ?? Soupirât-il.

-Parce que t'es mon meilleur ami, que tu va pas bien et que ta besoin de mon aide.

Il me regarda quelque seconde, et répondis avec du sérieux dans la voix :

-Je vais bien, Minho.

-Vraiment ?

Il parus hésité quelque instant.

-Es que... je lui plaît ?

J'us alors la pire réaction du monde, je me mis à rire...

-Wouah, super merci pour ton soutient inébranlable Minho...

-Je suis désolé !!! Dis-je, en rigolant. Mais sincèrement, ta question est pas sérieuse quand même ?

-Je... si pourquoi ?

-Oh Newt, t'es pas possible comme mec !! Et tu parle genre... niveau global ou juste physiquement ? Demandais-je.

-Euh... les deux je dirais...

Je rigola à nouveau, à vrais dire je n'en savais rien, même si, à mon avis la réponse n'est pas très compliquée.

-Je lui demanderais si tu veux ? Le taquinais-je.

-Nan c'est bon, de toute façon je suis idiot, je crois... que j'ai déjà la réponse à ses questions... Mais en réalité j'aurais besoin d'autre réponses.

-Ah quelle question au juste ?

Il hésitât à nouveau, on allait enfin aborder le sujet qui fâche.

-Pourquoi es quelle a fait ça ? Es que... c'est à cause Léo ? Ou de moi ?

-D'elle je dirais, mais il faut que tu lui en parle Newt...

-Ah ouais ? Et je lui dirais quoi ? "Salut Larra, tu te souviens l'autre jour quand je t'es embrassé, pourquoi es que tu m'a repoussé ?"

-Rrrro... Mais tu lui demanderas plus subtilement...

-Nan sérieusement Minho tu la connais elle me sortira la même excuse que dans la forêt, qu'elle ne se sent pas prête. Mais je sais, à la manière d'on elle m'a embrassée que c'est faux... Il y a une autre raison... Et tu la connais pas vrais ?

-Va lui parler Newt, c'est tout se que j'ai à te dire, aller vient, on y retourne.

Je me levas et pris mon sac. L'ambiance était bien meilleur, on discutait de tout et de rien, sauf de Larra évidemment. En fin de journée, on du sprinter pour arriver avant la fermeture des portes. Quand on arrivas, lui, il ne le remarqua pas, mais j'aperçus Larra le regarder et soupirer de soulagement en le voyant arriver.