CHAPITRE 25: PIÉGÉ
Il avait marché simplement, comme si rien ne c'était passé. Kyne avait essayé de faire le tri dans ses pensées. Tout était étrange et à la fois cohérent, combien de fois avait-il eu se genre de crises? Il ne pouvait pas les comptés, elles étaient trop nombreuses. Depuis qu'il était enfant ce genre de choses arrivait souvent. En partie à cause de sa colère, des fois il s'évanouissait et quand il se réveillait, il ne savait pas où il était où bien ce qu'il c'était passé.
Seulement à l'époque, il ne savait pas ce qu'il se passait vraiment. Il n'aurait jamais pu deviné, qu'il avait peut-être des litres de sang sur les mains. Une partie de lui refusait toujours de croire qu'il était un monstre, qu'il était inhumain, une bête sauvage.
Kyne ressentais encore dans sa main, la chaleur des flammes. Le jeune homme avait toujours pensé qu'il y'avait que dans les films que ce genre de choses pouvait arrivé, il se serait cru dans x-men. Comme si il était un putain de mutant. Il n'y croyais toujours pas et pourtant, il se revoyait sauté par la fenêtre du 4 ème étage. Ou bien la boule de feu qu'il avait jeté sur son ex patron. C'était tout une sorte de mini flashback, qui traversait son esprit et disparaissait en un instant. Il avait du mal encore à pouvoir reconstitué toute les pièces du puzzle entièrement. Mais tout ça ressemblait tellement à un cauchemar sans fin irréaliste, qu'il ne pouvait s'empêché encore de pensé qu'il était fou à lié.
Bien qu'il détestait son patron, il regrettait amèrement ce qu'il avait fait. Cela dit il n'aurais pu l'évité, parce qu'il ne contrôlait rien. C'était une sorte de côté démoniaque qui était en lui et qui l'obligeait à faire du mal. Ses derniers temps il c'était vu en train de faires ses choses horribles, il voyait ce qu'il faisait, sa voix intérieure criait a son corps tout entier d'arrêté. Mais il était comme possédé emprisonné à l'intérieur d'un corps qu'il ne contrôlait plus. Il voyait ce qu'il faisait sans pouvoir l'empêché. Kyne se rappella des parole de la morte vivante dans sa vision de tout à l'heure.
"Tu aime la chair et le sang, tué tu adore ça !!!"
C'était peut être vrai après tout, mais surement son autre personnalité, son côté sombre la deuxième personne qui vivait en lui et lui faisait faire des choses horrible. Il ne pouvais plus supporter cette situation. S'il fallait qu'il mettent fin à ses jours pour que tout s'arrête, il était prêt à le faire. Après tout que perdrait-il des amis? De la famille? Il n'avait plus rien à présent, Kyne revoyait clairement le visage de Samba dans son esprit et ses paroles de haine:
"EHH LES KEUFS C'EST LUI C'EST CE FILS DE PUTE QUI A FOUTU LE FEU!!!"
Samba avait eut ce regard intense de dégoût dans les yeux, comme lorsque qu'on regarde dans les chiottes et que l'on voit la merde pestilentielle qui réside dans le fond du trou. Pour lui il n'était plus son ami, ce n'était qu'une bête, un démon. Et le pire dans tout ça c'est que Kyne ne savait plus lui aussi, qui il était vraiment.
Des gens marchaient devant et derrière lui, mais heureusement personne le fixait ou le reconnaissait. Il n'était pas encore officiellement recherché, mais il savait bien que dès demain il y'aurait un tas de fiche de recherche et sa tête en première page du journal "Le Parisien".
Ses jambes etait lourdes il avait des courbatures, il décida de s'assoir par terre comme un vulgaire clochard. Il pris place devant un supermarché, vu qu'il ne trouvait aucune place ou se posé. Le gérant du magasin abaissa le rideau de fer et ferma le supermarché. Le vieil homme ne fit pas attention à lui il avait l'habitude que des clochards ou des toxicos s'installe devant son magasin. Le type s'en alla dans l'escalier qui menait au métro marcadet poissonnier. Kyne baissa la tête, il vis toute sortes de jambes passé devant lui: Féminines, Masculine, jambes nu, grosses jambes, petites jambes. Plus rien n'avait d'importance, tout les gens qui passait devant lui valait dix fois mieux que lui. Il leva sa tête regardant le ciel étoilé, en se demandant si dans l'une de ses étoiles, il existait quelqu'un comme lui, dans un autre monde, dans la même situation.
Son père avait bien eu raison en fin de compte en disant qu'il était un moins que rien. La preuve il n'était pas fichu de garder un travail, il n'était pas bon dans les etudes non plus, il avait abandonné tôt, sans aucun diplôme en poche. Non décidément il n'arrivait à rien, échec sur échec. Rien ne le passionnait. Son enfance n'était qu'un rêve oublié, c'était comme si il avait rêvé pendant toute son enfance. La encore il ne lui restais que des morceaux de souvenirs.
Il se rappellait la maison de son enfance brûlant de mille feux. Est ce que c était lui qui l'avait brûlé ? À présent il était quasiment sûr que c'était lui, même si il ne s'en rappellait pas. Mais pourquoi il avait fait ça? Il revoyait sa maison calciné, Kyne n'avait plus jamais remis les pieds dans cette ville. Il se souvenu qu'un inconnu dont il ne se rappellait pas le visage lui avait dit:
"Je suis désolé mon garçon il vas falloir être fort."
Il n'avait pas pleuré en faîte, au lieu de ça il avait éprouvé un grand soulagement. Il n'aimait pas ses parents, il détestait ses parents qui allait parfois jusqu'a renié son existence. Kyne se souvenait des paroles de son père:
"Tu n'es pas notre fils, c'est par charité chrétienne que nous t'avons receuillis. Regarde toi tu vois bien que tu ne nous ressemble pas. Nous sommes blancs et toi tu es basané. Nous avons les yeux bleus et toi les yeux marrons. Tu es faible, maigrichon et tu es un simple d'esprit nous n'avons rien en commun!!"
Cela dit il n'avait pas tord sur ce point, il ne se ressemblait pas du tout. Pour ses parents il était un étranger. De toute façon, il n'avait jamais eu besoin d'eux, peut être pour la bouffe, et encore. Ils tiraient leur nourriture de leurs jardin, ils mangeaient pratiquement que des légumes, des légumes et encore des légumes. Ils adoraient humilié Kyne en présence d'autres personnes, des moqueries sur sa couleur de peau, sa maigreur, il ne le présentais jamais comme étant leur fils. Un soir alors que la famille Vincent étaient venu dîné chez eux, sa mère avait dit:
"C'est un enfant que nous avons receuillis chez nous, tout cela c'est passé il y'a longtemps...Il y'a dix ans en plein mois de janvier. Je fus réveillé la nuit par des cris d'enfants, j'ai essayé de réveillé Jean, mais vous le connaissez, quand il dors lui...Enfin bref j'ai enfilé ma robe de chambre, mes pantoufles, puis je suis sorti à la hâte. Les cris venais de dehors plus précisément du jardin. Plus j'approchais du jardin et plus les cris se faisait fort, j'ai bien cru que ma tête allait éclaté.
- A ce point là? Avait demandé Mme Vincent.
-Je vous jure! C'est la que je me suis rendu compte que cet enfant n'était pas normal, il est pas humain ça doit être l'enfant du démon. Les nouveaux nés ne peuvent pas crié ainsi, j'ai été puéricultrice vous savez, alors je m'y connais. J'étais même éttonné que personne ne c était rendu compte qu'un bébé pleurait. Il faisait extrêmement froid, la neige tombait encore ce soir là et je me souviens que mes pieds s'enfonçait dans la neige. J étais gelé jusqu'au orteils, les rafales de vents me faisait fermé les yeux à demi. Ce qui explique pourquoi je ne l'avait pas vu tout de suite. Lorsque je s'aperçut, j'en eut le souffle coupé. Le petit démon hurlait entièrement nu sur la neige son corps était recouvert de terre. Je me demandais et je me demande encore après tant d'années, comment un nourrisson a t-il pu survivre par un froid pareil? A votre avis, hein??? C'est simple il n'est pas humain ce gosse.
-Sa mère l'a abandonné comme ça ? Sans même une couverture? Demanda Mr Vincent.
-Quel mère? Il n'en a jamais eu, c est certain, c'est l'enfant du diable!!!
Sa mère l'avait alors regardé avec insistance puis elle lui avait dit:
-Un Démon !!"
L'expression de son regard au moment ou elle lui avait dit ça, revenait sans cesse dans la tête de Kyne. Et si l'histoire à dormir debout qu'elle avait raconté aux Vincent était vrai? En tout cas depuis tous ce temps elle avait raison, c'était un démon. La rue commençait à se vidé peu à peu. La plupart des parisiens rentrais chez eux après une longue journée de travail. Seul quelques jeunes se trouvait dehors. Même les voitures se faisais rare, les lumières des fenêtres d'immeubles était pratiquement toutes allumés, les bâtiments était anciens et avait perdu leur couleurs. Un avion volait dans le ciel, il était si loin qu'on ne pouvait pas l entendre, on distinguait l'engin grâce a ses lumières rouge qui clignotaient. Il aurait aimé être à bord de l'avion Air France à siroté des cocktails en première classe, au lieu d'être recherché.
La rue était de plus en plus calme il y'avait quand même encore quelques passant qui suivait leur trajet bien défini. Tout était calme, mais la tranquillité de cet instant fut troublé par les gyrophares de police. Trois voitures, sirènes hurlantes arrivaient à toute vitesse. Kyne pu voir les peugeot, avec sur leurs capots l'emblème de la police nationale et les lettres "police"en caractère gras. Kyne ne se leva même pas pour courir, à quoi bon fuir, il le rattraperait. Les voitures freinèrent presque en même temps, la deuxième se tourna sur la droite à cause du frein à main. Le crissement des pneus, mis la chair de poule à Kyne. Les portes s'ouvrirent brusquement l'arme aux poings, ils sortirent en braquant Kyne. Il reconnu tout de suite les policiers qui l'avaient poursuivi plus tôt.
"Ça suffit maintenant, on a assez couru pour la soirée!! Met les mains sur la tête, et plus vite que ça!!!
Kyne ne bougeait pas, il regardait le sol, pour essayé de contrôlé, son esprit, ses pensées afin de ne pas se transformé en monstre en perdant connaissance à nouveau. Le flic tourna la tête, il s'adressa à la femme flic à côté de lui, les cinq autres gardaient la même posé sans ciller.
-Marie prépare toi à lui mettre les menottes on vas l'immobilisé pendant que tu le fais. Dit le même flic qui avait parlé juste avant le plus vieux des flics un homme de 50 ans, le chef de leur equipe.
Elle ne bougea pas au début, elle était tétanisé, c'était une nouvelle recrue, un bleu. Et c'était la première fois qu elle devait menotté quelqu'un. La première arrestation qu'elle faisait et l'homme n'avait pas l'air de vouloir obéir. Les longs cheveux de la policière était enroulé en chignon derrière sa tête. Son visage terrifié avait des traits enfantin, sans doute à cause du stress. Elle rangea son arme et pris ses menottes.
-Plus vite que ça Fournier, vous croyez peut être qu'être un flic c'est une partie de plaisir. Allez un peu de nerf mon petit. J'ai pas que ça à faire y'as PSG-OM, j'aimerais bien voir la fin du match. Dit le chef des flics qui commençait à s'impatienté.
-Excusez moi, Monsieur c'est la première fois que j'effectue ce genre d'opérations, c'est pour ça que je suis un peu stressé, mais ça va aller...Repondit Marie les mains tremblantes.
-Il faudra bien t'y faire parce que si tu tombe sur un type armé à la rambo qui te sort un couteau, tu vas pas faire long feu. Et il faudra bien que tu l'abatte si il te menace, ça sera lui ou toi. Si il fais un geste brusque et que tu hésite, tu vas mourir bêtement. En plus ça se voit que ce type à rien sur lui, c'est juste un tocard pyromane qui à foutu le feu et c'est barré comme un lâche. La seule arme qu'il peut avoir sur lui, c'est une putain de boîte d'allumette. Je serais prêt à le parié. T'en fais pas Marie on est tous passé par là. Dit un autre policier.
C'était Michaël un flic de l'age de Marie à peu près. Il avait été le premier à l'accueillir pour son premier jour de service, c'était le seul jeune de son équipe. La plupart part des flics de sa brigade ont à peu près 30 ans. Il y'avait très peu de jeune de son âge et encore moins des femmes du même âge qu'elle. De plus, c'était pas facile de se faire des amis dans cette ville, Mika était le premier veritable ami qu'elle c'était fait. Michael ou pour ses amis Mika n'était pas vraiment beau, ses dents etaient toutes défoncé et grises. Son sourire ferais fuir une gamine de dix ans, il avait des yeux vitreux derrières sa paire de lunettes et ses yeux ne cessait de s'ouvrir en grand lorsqu'il parlais comme un fou.
À côté de lui, il y'avait David et Steeve qu'elles ne connaissaient pas vraiment encore. Deux flics avec un physique de déménageur au dos un peu courbé et de large épaules.
Et accoudé près d'une voiture de police il y'avait une nouvelle recrue comme Marie qu'elle ne connaissait pas encore. Il regardais les autres travaillé calmement, pendant qu'il tirait aux flanc.
Le chef de leur equipe était Claude, un vieux bonhomme aigri toujours de mauvaise humeur, avec des gros sourcils tout blanc et la peau piqué comme un grand buveur d'alcool.
Claire avança doucement, d'une main elle braquait son arme sur Kyne et de l'autre elle tenait les menottes comme on tiens un os à moelle pour le donné à un chien méchant. Mais elle stoppa son geste lorsqu'il leva les yeux vers elle. Kyne tandis ses poings faisant signe qu'il se rendais. Le jeune homme la regardais si tristement que Marie eu pitié de lui.
-Vous inquiétez pas, je tenterais rien...Dit Kyne.
Claire se baissa brutalement en lui tordant le bras quand soudain un petit bruit la fit se retourné.
Michaël avait un Beretta braqué sur la tempe maintenu par un grand type derrière lui. Personne ne l'avait vu arrivé, c'était un noir assez costaud. Son nez était fin et ses yeux marrons foncé. Il portais un costume assez classe, bleu foncé, et d'énormes chevalières aux doigts.
-Celui qui éssaye de jouer les héros aura la mort de cette homme sur la conscience...Comment tu t'appelle? Dit le grand noir avec un accent américain.
-Michaël...Lui répondit-il calmement.
-Tu sais Michaël, aujourd'hui j'ai eu une sale journée. J'ai un peu la haine, alors je crois que tu devrais dire à tes amis de posé leur guns parterre avant que me fâche sérieusement.
Michaël fit un oui de la tête, les flics avait tous pointé leurs flingue vers l'agresseur, la tête de Michaël était dans la ligne de mire et il paniquait.
-Vous avez aucune chance de vous en tiré...Dit Claire en commençant à paniqué.
-Ça, c'est à moi d'en décidé, commence déjà par t'écarté de lui et pendant que tu fais ça jète ton arme le plus loin possible, Bitch!
Marie lança son flingue loin à sa droite mais ses collègues continuaient de le tenir en joue. Des gens commençaient à regardé la scène par leur fenêtres, les rideaux et leurs ombres ne cessait de bouger. Marie pensa que d'ici quelques minutes une patrouille allait sûrement ce manifesté.
-Michaël, dis à tes amis de lâché leur putain de flingue. D'abord tu vas montré l'exemple en baissant ton gun puis en le jetant très loin comme ta copine. Si tu veux vivre jette le tout de suite, je compte jusqu'a trois, si tu fais pas ce que je dis je t'explose le crâne. Mais s'il te plait m'oblige pas à te tuer.
Michaël le jeta avant que son agresseur ne commence à compté. Claude à son tour abaissa son arme et la jeta aussi. Puis les trois autres flic l'imitèrent.
-Quoi que vous fassiez...C'est trop tard, vous ne pourrez pas vous échappé d'ici dans quelques secondes une voiture de police va arrivé. Alors on vous inculpera pour complicité de délit de fuite et pire encore alors réfléchissez bien à ce que vous faîtes...Il n'est pas trop tard. Si vous arretez maintenant nous pourrons fermer les yeux et vous laissez partir. Dit le vieux Claude.
-La ferme je n'es pas besoin d'entendre un conseil juridique. Bien sûr que je vais m'echappé, vous croyiez peut etre que c'est des merdes comme vous qui allez m'en empêché?
Lorsqu'il eut fini sa phrase, il furent ébloui par les phares d'une voiture. Une grosse berline noire déboula en frenant près d'eux. Kyne n'en revenais pas cela faisait deux fois en une journée qu'on lui sauvais inextrémiste de la mort ou la prison. Mais il ne comprenais pas pourquoi? Et surtout c'était qui ce type, est ce que c'était vraiment un sauveur ou complètement l'inverse. Kyne se releva puis il avait regardé le grand noir avec éttonnement.
-Reste pas planté la, à me regardé comme ça monte dans la voiture Kyne!! Lui dit-il.
"Kyne" il avait bien dit "Kyne" il n'avait pas rêvé, comment connaissait-il son nom? C'était juste impossible, mais il ne chercha pas a comprendre. Il se poserait la question plus tard, pour l'instant il valait mieux decampé d'ici. En voyant que le jeune homme restais figé sans rien faire, un des flics profita de son hésitation pour courir cherché son arme de poing. Et les autres flics en voyant ça firent de même. A part Marie qui ne bougeait toujours pas, de peur qu'on bute Michaël. Le preneur d'otage en voyant ça se mis à hurlé:
-Qu'est ce que vous faites, je vous ai dit de pas jouer aux cons avec moi, ne bougez pas ou je le tue!!!
Mais il n'y'avait rien à faire, ils braquèrent à nouveau leurs armes sur le grand noir caché derrière la tête de leur collègue.
-Les gars arrêté vos conneries, il blague pas ce type il vas me buté!! Rangez vos flingues putain de merde! Cria Michael.
-La ferme Mika!! On s'en fous de ta vie. Dit le vieux Claude.
Marie était pétrifié toujours à côté de Kyne, elle se sentais fragile et inutile. Elle attendait de voir comment les choses allait se passé sans faire quoi que ce soit. Marie s'attendait à voir la cervelle de Michaël explosé d'une minute à l'autre.
-J'ai beaucoup apprécié ton discours de tout à l'heure, mais je pense que je vais beaucoup plus apprécié, la fin de l'histoire, lorsque moi je t'aurais tué. Tu me donne la gerbe et en même temps, tu me paraît appétissant. Dit le vieux Claude.
-Apetissant? Qu'est ce que tu raconte le vieux. Répondit le noir.
Les flics jetèrent à nouveau leurs armes en se mettant à rigolé. Tout d'un coup, le chef des flics s'approcha de Kyne. Tandis que les autres regardais Michaël en souriant.
-Chef, mais qu'est ce que vous faîtes, vous risqueriez la vie de Michaël pour...Oh mon dieu qu'est ce qui arrive à vos dents??? Oh mon Dieu c'est pas possible...Dit Marie qui n'en croyais pas ses yeux.
Elle tourna la tête et vis que les autres étaient pris du même phénomène. Leurs canines se mirent à poussé, elle pensa tout de suite qu'ils ressemblait à des vampires. Mais elle balaya vite cette idée de son esprit car ce n'était pas rationnel. Puis elle pensa juste après, mais comment expliqué cette scène si ce n'était pas vraiment des vampires. Kyne aussi était aussi effrayé et aussi choqué que la fliquette. Michaël reussi à ce libéré de l'étreinte de son kidnappeurs car ce dernier était ailleurs à cause des vampires qui avait révélé leur vrai identité. Tout ceux qui n'était pas vampires était focalisé sur leur dents qui avait poussé. Tout les vampires regardaient Kyne à présent.
-Le grand maître desirerait s'entretenir avec toi, suis nous sinon on tue ton ami. Dit le chef des flics.
-Je le connais pas ce mec c'est pas mon pote...Et C'est qui ce Maître la, c'est qui bordel, c'est pas la première fois que j'entend ça...Demanda Kyne en sortant de sa torpeur.
-Il veut seulement te parlé, moi je l'ai jamais vu en vrai, seul l'élite des vampires à le droit de le voir. Je fais que suivre les ordres...Honnêtement je préférerais boire tout ton sang mais si je faisais ça mon châtiment serais pire que la mort.
-Est ce qu'il est comme toi?...T'es un vampire c'est ça? Dit Kyne même si il savait très bien que s'en etait un.
-Non ce n'est pas un vampire...Personne ne sait ce qu'il est...Mais bon, bref trêve de bavardage, tu vas venir de grès ou de force sans faire de cinéma.
Kyne regarda le mec qui était venu le sauvé, se faire attrapé par les deux vampire. Il n'avait pas envie de suivre ses choses qui l'emènerait dans la gueulle du loup. Les paroles de la morte vivante qu'il avait vu tout à l'heure lui revint en tête:
"Il guette chacun de tes mouvements, il t'observe en attendant le jour où viendra l'apocalypse. Lorsque tu franchira la porte".
Cet homme ou cette chose devait être vraiment diabolique, les mots"observé" et "apocalypse" résonnait dans sa tête. Il était sûr que si il suivait les vampires, il ne lui attendrait rien de bon, au bout du tunnel.
-Non allez vous faire foutre, je vous suivrait pas, et relâché ce gars il à rien a voir dans tout ça, je le connais même pas.
-D'accord comme tu veux ton ami mourra alors!! Occupé vous de lui, moi je prend le meilleur morceau. Dit le vampire en parlant à Kyne et aux flics à tour de rôle.
Les Vampires fondirent littéralement sur l'homme noir, l'un d'eux lui serra le bras et l'autre lui mordit le cou. Pendant ce temps Marie c'était faîte attrapé aussi par Claude. Le vampire lui avait pris le cou en le serrant, c'était comme si il voulait lui broyait la gorge.
-Arretez laissez les tranquille je viens!!Cria Kyne.
Le vieux vampire Claude tourna la tête en souriant de toute ses dents, on aurait dit qu'il avait une machoire de pitbull.
-C'est trop tard lui!!Lui repondit-il.
Avec une rapidité exaspérante, il planta ses dents dans le cou de Marie, elle cria mais n'éssaya même pas de se débattre. Sa casquette de police tomba sur le sol, tandis que le vampire aspirait son sang dans un effroyable bruit de succion. Kyne détourna un moment le regard et vis les autres policiers mordre celui qui était venu le secourir. Ils etaient accrochés à lui comme des sangsues, et d'ailleurs c'etait ce qu'ils étaient des sangsues inhumaine.
Soudain un coup de feu retenti, l'homme noir avait tiré sur un vampire mais ce dernier n'avait rien senti. Le vampire avait seulement un large trou dans sa poitrine, mais il continuait de boire son sang. En l'espace de dix secondes le trou commençais déjà à se refermé. Le vampire attrapa le flingue et le jeta par terre.
Marie continuait de crié, tandis que le chef des flics vampires était en train de boire son sang. Tout à coup la voiture de police sur laquelle un autre flic vampire observait la scène accoudé à celle-ci, depuis tout à l'heure explosa. Le vampire s'enflamma brulant comme un feu de st jean en hurlant. Tout le monde etait tombé à terre sous le choc de l'explosion et la surprise y compris Marie et Claude. Le seul à être resté debout c'était Kyne, il etait toujours debout acec ses yeux rouge d'une couleur éclatante. Le chef des vampire gisant parterre se releva et marcha jusqu'a arrivé devant Kyne.
-C'est toi qui à fais ça n'est ce pas? Dit-il à Kyne.
-La ferme! Je ne t'ai pas autorisé à parlé, je degage d'ici et j'emporte les deux humains avec moi en échange vous aurez la vie sauve. Dit Kyne en le menaçant avec ses yeux couleurs rubis.
-Je ne te laisserais jamais faire ça! Dit le vampire en se jetant sur Kyne.
Il tendis les bras vers Kyne comme un mort vivant dans un vieux film d'horreur. Kyne lui envoya un coup de poing terrible. Lorsque son poing frappa la tête du vampire la tête de ce dernier se détacha de son corps. Aussitôt le corps se changea en poussière qui retomba sur le sol.
-Tanpis pour toi alors...
Les deux autres vampires c'était à leur tour relevé mais il paraissait terrifié. La main de Kyne s'embrasa, et commença à formé une grosse boule de feu. Les vampires au lieu de se battre s'enfuirent en courant.
Les yeux de Kyne reprirent peu à peu leur couleur naturelle et le feu commença à se reduire jusqu'a disparaitre complètement. Il s'agenouilla près de Marie elle était inconsciente. Surement victime d'anémie. Kyne s'écroula parterre à son tour, vidé de toute son énergie, puis il perdit connaissance.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top