CHAPITRE 2: NANCY

Un monde fou se trouvait sur les quai 3 et 4, mais sur le quai ou le RER était stationné, c'était vide. A croire que personne voulais aller à Paris aujourd'hui, une situation irréel. C'était la première fois qu'il voyait ça. Surtout maintenant d'habitude c'etait blindé à cette heure. Il était assis juste à côté de la porte menant au compartiment suivant, qui n'était pas très remplis non plus. Peut-être que les gens étaient devenu frileux.

Et puis il aperçut une femme sur le quais, une blonde vraiment très belle à la silhouette svelte, qui regardais partout d'un air affolé. On croirais qu'elle fuyait un fantôme avec un air apeuré, quand d un coup le signal d'alarme de la porte qui allait bientôt fermé retentit. Elle allait pas arrivé à rentré à temps, le jeune homme se leva pour retenir les portes pour empêché qu'elle se ferment. Elle arriva pile au bon moment, quand il bloqua la porte avec ses bras leur regard se croisèrent un instant avant qu'elle rentre à l'intérieur. Il aperçu ses yeux d'un bleu clair magnifique. La porte était super lourde est difficile à maintenir ouverte, il aurait aimé avoir des bras un peu moins maigre à cet instant.

Elle monta en vitesse alors que le garçon lâcha la porte derrière elle. Le RER se remis en marche, ils restèrent un moment silencieux et immobile à se regardé dans le blanc des yeux. La jeune femme avait du mal à reprendre son souffle. Sa poitrine ne céssait de se soulevé comme si elle aspirait tout l'air de la pièce.

-Merci beaucoup. Dit-elle avec un sourire au coin de ses lèvres.

Le jeune homme reparti s'assoir, ignorant les remerciement de la belle blonde, qui venu pourtant s'assoir en face de lui. Elle aurait pu prendre n'importe quel place dans le wagon mais elle avais choisis de le suivre. Il fut un peu ettonné et il se demanda si elle avait besoin d'aide ou si elle fuyait quelqu'un. Peut être un mari violent, ou bien la police. Elle semblait terrifié. La jeune femme blonde était tellement séduisante qu'elle était difficile à abordé sans paraître pour un pervers ou un daleux. Il se contenta de la regardé comme un voyeur dans le reflet de la vitre. Ses yeux bleus l'observait timidement alors qu'elle fouillait dans son sac, le wagon c'était rafraichi sans doute à cause de l'ouverture des portes. Il cherchait se qu'il pouvais lui dire quand soudain elle cassa le silence.

-T'aurais une cigarette pour moi? Dit-elle.

Il trouva étrange qu'elle veuille fumé une cigarette maintenant dans le RER. Mais pas non plus si etrange que ça, vu que tout le monde fumais dans ce RER même des joints. Il y'avait même quelques mégots éparpillés un peu partout parterre. Par chance il lui restais deux cigarettes dans son paquet de Marlboro. Il avait eu le temps de remarqué, qu'elle avait un léger accent anglophone. Mais c'était pas vraiment un accent anglais de bourge d'Angleterre. C'était plus brute du genre Americain. Il tandis une cigarette a la jeune femme qui la prise en la mettant directement sur ses lèvres, voyant cela il fit de même et demanda:

-Tu n'es pas d'ici, n'est ce pas?

-Oui ça se voit tant que ça? En effet je viens de très loin. Dit-elle en souriant.

-T'es americaine?

-Oui comment tu as deviné?

-C'est un pays que j'adore, j'aime trop les films et les series americaines, je kiffe l'accent americain, je le préfère l'accent des anglais british.

-Tu kiffe ça veux dire que tu aime c'est ça? Désolé mon français n'est pas vraiment parfait. Dit-elle en souriant timidement .

-Oui ça veut dire que j'aime...Mais ton français et excellent tu as vraiment très peu d'accent en réalité. Comment t'as appris à parlé aussi bien?

-Ma mère était française j'ai appris depuis que je suis petite.

Elle mis une mèche de cheveux derrière son oreille, dévoilant une fine boucle en or. Elle avait de l'élégance dans ses gestes, une sorte d'élégance naturel instinctive, elle devait sûrement pas s'en rendre compte, même la façon de fouillé dans son sac avait quelque chose de princier.

-Alors qu'est ce qui t'amène à Paris? Dit-il en allumant sa cigarette ainsi que celle de la blonde.

Elle tira une bouffé sur sa cigarette, puis garda tout dans sa bouche et souffla la fumé en fermant les yeux, on aurait dix que ça faisait dix ans qu'elle avait pas fumé.

-Tu disais?Dit-elle en sortant de son extase.

-Euh...Je disais quoi déjà...Ah oui! Qu'est ce que t'es venu faire à Paris, t'es venu visité?

-Je suis à la recherche de quelqu'un.

-Excuse moi si je suis un peu indiscret, mais tu recherche qui? Si tu veux pas me le dire tranquille, je veux pas m'occupé de ce qui me regarde pas. Je suis juste curieux ça à l'air mystérieux ton histoire.

-Non t'inquiète pas c'est rien. En faite tu vas sûrement pensé que je suis folle mais je ne le connais pas, je ne l'ai jamais vu. Je ne sais même pas à quoi il ressemble. Pour tout te dire même son nom m'est inconnu. Je sais pas pourquoi je te raconte tout ça...Je suis folle.

-C'est vrai que c'est chelou...Bizarre ton histoire...

-Oui je sais...C'est une histoire plutôt longue est ennuyeuse.

-T'inquiète, pas besoin de me raconté, je sais que c'est pas facile de raconté des details de sa vie personnel à un inconnu. On peut parlé d'autre chose.

Le jeune homme pensa qu'il se rappellerais à jamais cette rencontre, cette femme n'était pas comme les autres, c'était sûr. Il pouvais le sentir. Il percevait une gentillesse, une bonté, une douceur inébranlable émanant de sa personne. En plus elle était tout simplement ravissante. La belle blonde portais une mini-jupe noire et un tailleur de la même couleur, tel une femme d'affaire. Ses cheveux blond brillait à cause des rayons de soleil qui aveuglait la jeune femme d'ailleurs, elle se décala un peu sur la droite pour ne plus être ebloui par le soleil.

-Tu pense à quoi? Dit-elle.

-Rien je me demandais juste si toute les femmes en Amérique, était aussi belle et gentille que toi.

-Merci du compliment, on parle depuis tout à l'heure mais je connais même pas ton prénom moi c'est Nancy.

-Ok, moi c'est Kyne.

-Très original comme prénom ça ressemble à Kane. Dit-elle avec un accent bien americain lorsqu'elle prononça son prénom.

-Oui c'est sur que c'est original, j'ai jamais connu quelqu'un qui à le même prénom que moi, je sais juste que c'est pas français mais je sais pas d'où ça viens. C'est vrai que ça a un côté un peu americain Kyne.

Le ciel s'assombrit d'un coup, il fit un peu sombre dans le RER tout d'un coup mais il ne quitta pas Nancy des yeux.

-On dirait qu'il vas pleuvoir, tu descend où? Demanda t-elle.

-Gare du nord, je suis en retard, je vais au travail ça fait longtemps que je devrais avoir commencé, je vais me faire tué...Je suis préparateur de commande dans un petit entrepôt qui est spécialisé dans le matériel photo ça s'appelle Direct photographic.

-Ah oui je connais un peu, c'est les numero 1 en Angleterre, je connais parce que c'est un photographe qui m'en a parlé.

-Oui c'est vrai c'est le numéro 1 apparemment mais d'habitude personne connais cette entreprise quand j'en parle autour de moi.

-J'ai déjà posé pour un shooting photo pour une revue de Chicago, c'est pour ça que je connais un peu.

-Ça m'ettonne pas que tu sois top model t'es magnifique!

-Non, ah ah ah ah...Pas top model, j'ai juste fais quelques photos pour des revues et des catalogue de vêtements c'est tout, rien de sérieux, je ne suis pas si belle que ça tu abuse! Dit-elle avec un rire gêné et en rougissant.

-Si t'es très belle je le pense vraiment et toi tu travail dans quoi maintenant? T'es detective privé? Je dis ça à cause de la personne mystérieuse que tu recherche.

-Moi détective??Ah ah ah ah ah non tu rigole? Si c'était vraiment le cas j arriverais à attrapé personne, non je travail pas en ce moment. J'ai quitté assez tôt le lycée sans avoir de diplôme, j'ai du arrêté mes études à cause de problème familiaux. Mon dernier emploi c'était serveuse. Mais j'ai décidé de faire un pause d'un mois ou deux.

-Moi aussi je n'ai aucun diplôme, je travaille, mais c'est un boulot de merde mais c'est mieux que rien...

-Non c'est un bon travail c'est bien que tu travail de nos jours la plupart des gens de notre âge ont du mal à trouvé un bon travail.

Il parlèrent encore un petit moment, pendant qu il se rapprochais de plus en plus de Paris. Il aurais voulut que cette conversation ne s'arrête jamais.

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