CHAPITRE 16: LES FLAMMES DU MAL
-On faisait une petite pause c'est tout je vous jure que ça ne se reproduira plus. Dit Kyne désemparé.
-Et comment que ça ne se reproduira pas, c'est certain vu que je vous vire. Vous arrivez en retard vous fumez des joint on est pas dans votre cité ici! Kyne t'habite à une rue d'ici et tu trouve le moyen d'arrivé en retard tu te fous de ma gueulle. Vous m'avez bien entendu bande de sale négro de merde vous êtes viré. Je n'ai plus besoin de vos services, vous pouvez prendre votre droge et dégagé en vitesse! Je vous enverrai votre lettre de licenciement et votre solde de tout compte par la poste. Venez plus me faire chier ici! Cria Roger rouge de colère et aussi à cause du vin qu'il avait bu, plus raciste que jamais.
Puis Roger laissa tout ses employés et parti dans l'entrepôt.
Kyne ne fut pas choqué par le mot "négro" mais plutôt choqué par le mot "viré". Le mot viré résonnait dans ses oreilles, il ne pouvais pas être viré. Impossible de vivre sans travail, c'etait la seul chose qu il avait. Il n'avait plus de famille pour l'aidé. Kyne posa la la boite parterre et s'assit à genou, il voyait Roger marché et dit:
-Je vous en supplie à genou monsieur me renvoyé pas, j ai besoin de ce travail pour vivre. Dit-il désespéré oubliant la honte en tentant le tout pour le tout.
-Tu peux toujours supplié, ça ne changera pas ma décision. Vous ne faîtes que retardé le groupe. Ici on travail vite et bien, vous deux vous ne faites que dds conneries. Surtout toi Kyne, tu crois peut être que je ne t'avais pas vu arrivé en retard encore, je t'avais prévenu. Mais c'est vrai que c'est pas de ta faute, t'es à moitié noir non? Donc t'es à moitié féneant!! Dit Roger toujours dans l'excès.
Samba commença a ce chauffé il s'en foutais de se faire viré, mais il ne pouvais pas accepté qu'on lui parle comme ça, il serra les poings, il était à deux doigt de le frappé.
Kyne n'ecoutais même plus Roger, il sentait une douleur grandissante parcourir tout son corps. Il essayait de resté calme mais le mot "viré" résonnait toujours dans ses oreilles, et la haine commençais à monté en lui. Samba lui etait complètement furieux il dit à son patron:
-C'est toi gros porc qui nous traite de délinquants et de drogué???Mais t'es mille fois plus louche que nous t'es le patron et tu fais que boire. T'es bourré en permanence fils de pute. Je sais même pas ce qui me retiens de te pété la gueulle...
Mais Samba fut interrompu par les cris de Kyne qui hurlait de douleur il pris sa tête entre ses mains. Il avait le cerveau en compote, un mal de crane insoutenable et ses yeux brulait. C'était la première fois qu'il avait aussi mal de sa vie.
-Laissez moi!!! Laissez moi!!! Cria-t-il en secouant sa tête à l'aide de ses mains comme un fou échappé de l'asile.
Tout les employés vinrent voir se qu'ils se passait, ils se mirent tous derrière Roger en le regardant d'un air accusateur.
-Ce n'est pas moi! J'ai rien fait, il est fou ce type. Il fait son cinéma pour rien, il est malade dans sa tête. Dit Roger avec peur car il sentait tous les yeux rivés sur lui.
Kyne n'arretais pas de crié, Samba ne comprenais pas ce qu'il se passait comme tout les autres d'ailleurs. Il semblait vraiment avoir mal, ça se voyait qu'il ne jouait pas la comédie.
-Qu'est ce qui t'arrive Kyne? Ça va pas? Tu trouvera un autre taf c'est pas la mort on en a rien à foutre de se gros porc. Dit Samba en se rapprochant de Kyne.
Samba posa la main sur l'epaule de son pote, quand soudain une douleur instantanée et monstrueuse lui saisit la main. C'était comme si il avait mis la main sur une plaque chauffante, sa main avait commencé à brûlé. Il la retira immédiatement mais c'était trop tard, il avait super mal. Il se retenu de crié, mais la douleur devenait de plus en plus forte. La brûlure avait un effet à retardement, comme si l'information de la douleur mettais du temps a arrivé à son cerveau. Il n'avait plus de sensation dans la main, impossible de la bougé elle était paralysé. Il se demanda si c'était hallucination à cause du chite qu'il avait fumé et pourtant sa main fumait et la douleur etait bien réel.
Samba n'avait qu'une envie mettre sa main dans de la glace, les autres personnes présente prirent peur en voyant ce qui était arrivé à Samba. Une incompréhension générale se produisit, ils reculèrent tous en voyant Samba avancé vers eux en tenant sa main en gémissant, sa douleur ne faisait que de s'accroître. Il se fraya un chemin parmis la foule qui s'ecartais devant lui, on aurais dit, qu'on me prenait pour un lépreux. Samba commença à courir vers la sortie, sentant la douleur monté comme un volcan en éruption. Ils l'entendirent tous hurlé en courant, une fois qu'il fut dehors. Les employés commençaient à chuchotés et parlé a voix basse tous traumatisés par la scène. Kyne c'était arrêté de crié, il était toujours à genou en regardant le sol les mains sur les tempes.
-Relève toi maintenant, arrête ton cinéma! Vas rejoindre ton copain qui s'est enfui la queue entre les jambes. Nous n'avons pas besoins de perturbateurs ici! Dit Roger les poings sur les hanches en se prenant pour l'homme.
Kyne se releva d'un coup, avec une vitesse spectaculaire et étrange, son corps tout entier c'était relevé comme si une main invisible l'avait tiré du sol. Ses pieds s'étaient décollé quelques secondes du sol, qui paru une éternité pour les personne présente, un geste vraiment anormal. Même Roger trouva se mouvement étrange et gloussa, mais ce qui les fit tous littéralement pissé dans leurs froc...C'était les yeux de Kyne.
Roger poussa un cri de surprise. Les yeux du jeune homme était rouge sang, extrêmement lumineux. Ils brillaient intensément, les iris de ses yeux, ses pupilles tout avais disparu laissant place à une couleur rouge fluorescente. Roger fut pris d'une térreur qui lui fila la chair de poule. Kyne se trouvait à quelque pas de lui l'observant de son regard maléfique.
-Il y'a quelqu'un qui vas mourir aujourd'hui...Dit Kyne un sourire maléfique aux lèvres.
Roger transpirait comme un porc tout graisseux ses jambes tremblaient.
-Tout ceux qui ne veulent pas mourir, peuvent sortir d'ici. Si vous voulez jouer au héros et m'empêcher de tué ce tas de graisse, je vous bute. Dit Kyne d'une voix méconnaissable, pleine d'assurance et glaçante.
Personne n'osait bougé ils ne comprenaient pas ce qu'il se passait. Tout le monde savait que quelque chose de surnaturel, d'iréel se déroulait devant leurs yeux. Mais personne ne voulait être le premier à s'enfuir. La peur les paralysaient, ils se contentaient d'attendre la gorge noué et la peur au ventre. Il n'osait pas tourné le dos à ce démon.
-Degagez tous d'ici!!!!Hurla Kyne d'un coup.
Ils sursautèrent tous d'un coup en même temps, ils se mirent à courir tous d'un coup, sans attendre de comprendre quoi que ce soit. Les gens ne savent même pas pourquoi ils couraient tous c'etait sans doute leur instinct naturel. Les gens se bousculaient pour sortir de l'entrepôt. Roger lui ne bougeait pas il tremblait comme une feuille, figé complètement terrifié. Des hommes trébuchaient certains tombaient se faisant limite marché dessus puis se relevait en courant de plus belle. Comme si il était poursuivi par un ours. Lorsqu'il futent tous sorti Roger se rendit compte qu'il était seul en face de Kyne.
-Reprenons notre tête à tête la où on en était resté, si j'ai bien compris...Vous me virez, c'est ça!!! Dit Kyne en criant, son sourire maléfique avait disparu.
-Non, non, non, vous êtes un bon travailleur je vous garde.
-C'EST TROP TARD!!!!Hurla Kyne en colère.
Le hurlement de Kyne avait réveillé Roger, qui tourna les talons et parti en courant le plus vite qu'il pouvait. Il n'avait jamais couru aussi vite de toute sa miserable vie. Roger courait en essayant de sortir par la petite porte d'entrée, qui n'était pas très loin de lui. Kyne ne bougeait pas, il riait. Son rire était si fort qu'elle résonnait dans tout l'entrepôt, attaquant les tympans de Roger qui du se caché les oreilles avec ses mains pour couvrir le son. C'était un rire diabolique inhumain. Roger etait presque arrivé il pouvait voir la porte encore ouverte donnant sur la rue. Le soleil eclairait la porte comme si c'etait la porte du paradis. Il ne lui restais plus que quelque pas. Mais soudain la porte se referma brutalement sur son nez en claquant. Roger s'empressa de saisir la poigné, rien à faire elle était fermé.
"Est ce que c'est lui qui à fait ça? Il aurait fermé la porte par la pensé? Pensa Roger en regardant partout autour de lui pour trouvé une échappatoire.
Il s'acharna sur la poignée en tirant de toute ses forces, rien à faire elle ne bougeait pas d'un millimètre. Roger sursauta en entendant à nouveau le rire lointain de Kyne. La panique fit que Roger mouilla son pantalon, une grosse tache humide très visible commença à grandir dans sur son jeans. En se retournant il vit que Kyne avait disparu, il le chercha des yeux dans toute la pièce mais ne vit aucune trace de lui. Mais les ricanements résonnait partout dans l'entrepôt.
Il ne lui restais plus qu'une solution, monté dans son bureau et appelé la police. Il couru jusqu'à l'escalier en fer, monta les marches qui faisait un enormes de rouille métallique à cause du poids de Roger. Il arriva devant la porte vitrée en vérifiant qu'il n'y ait personne à l'intérieur, du bureau. Roger regardait partout, en bas de l'escalier, il scrutais l'entrepot, l'interieur du bureau à nouveau. Mais il n'y avait personne.
"Mais ou est-il passé cet enfoiré? Pensa-il l'oeil alerte.
-Roger, Roger, Roger...Tu voulais me faussé compagnie? Tu devrais savoir que tu ne sortira jamais vivant d'ici!
Le coeur de Roger accélera encore plus, il se retourna et vis Kyne affalé dans son fauteuil. Le bureau était en désordre, il y avait des centaines de feuilles parterre. La fenêtre était ouverte, c était sans doute par la qu'il était entré. Comment? Ça il l'ignorait. Roger voulut faire demi tour mais Kyne se leva de son siège, il s'arrêta en pensant qu'il ne pourrais pas s'échappé. Kyne était devant lui, il l'observait de ses yeux qui n'exprimait aucune vie.
-Mais qu'est ce que tu veux Kyne, de l'argent c'est ça?
-Vous êtes tous les même, quand vous donnez des ordres et traitez vos employés comme des moins que rien. Vous vous prenez pour des dieux, mais dès qu'il faut vous battre comme des hommes, vous courez et vous vous pissez dessus comme des vieilles putes. Pour l'argent y'as pas de soucis je me suis déjà servi. Dit Kyne en faisant craqué les articulations de son cou.
-Si vous approchez encore un pas de plus, j'appelle la police! Dit Roger.
-Tu peux appellé les keufs! Tu crois qu'ils vont te sauvé je l'ai tueraient un par un!
Roger éssaya d'attrapé le téléphone qui se trouvait sur son bureau, non loin de lui, mais il n'eut pas le temps. Kyne l'attrapa par le cou d'une main et le souleva en avançant vers la porte du bureau.
-Allez...viens je vais éclaté! Dit Kyne en souriant.
Il serrait le cou de roger si fort, qu'il commençait à rougir, et il avait du mal à respiré. Kyne descendit l'escalier en tenant toujours Roger dans les airs à une main. Il ne pouvait pas crié mais il gémissait en gigotant dans tout les sens, n'arrivant plus à respiré. Arrivé en bas des marche il baissa son bras mais ne lacha pas prise, trainant le corps de Roger dont les jambes trainèrent sur le sol lustré. Kyne continua de marché avec son fardeau, et sorti de l'entrepôt. Jusqu'a ce qui l'arrive devant une camionette noire sur laquelle était ecrite Direct Photographic.
-Dis bonjour à Madame la camionette!
Roger qui ne comprenait pas ce que lui demandais Kyne, resta muet il n'aurait pas pu prononcé un seul mot, il commençait à étouffé son visage était tout bleu. Comme il n'eut pas de réponse, Kyne attrapa par la ceinture et le souleva, alors qu'il essayait de reprendre son souffle. L'homme pu voir son visage, sur la vitre de la camionette. Puis d'un coup Kine se servis de lui comme d'un belier, il recula et d'un coup balança son corps sur la vitre. La tête de Roger vint brisé la vitre. Les morceaux de verres vint eraflé le visage de son ex patron. Sa figure avait pris chère, plusieurs entailles, coupures et bout de verres planté dans la joue ainsi que son cou. Les plaies commençaient à saigné. Le patron était abasourdie, complètement dans les vapes pendant un moment. Sa tête pendait comme si il était mort. Kyne le retira puis parla doucement dans l'oreille de Roger:
-T'as pas été polie avec la dame, je suis très fâché. Qui t'as appris la politesse? Mais t'es une racaille en faîte? Je vais être obligé de te viré...Ah moi que tu t'excuse et que tu dise bonjour à la dame?
La tête de Roger était couverte de sang qui coulait depuis ses joues à son cou. Kyne traina son corps vers la portière arrière du véhicule. Il souleva à nouveau le corps de Roger pour exécuté le même procédé. Il souleva la tête de son ex patron au corps tout ramolie. Roger pouvait voir son visage marqué d'écorchure dans la vitre.
-Dis bonjour à la dame! Dit Kyne avec son sourire diabolique que Roger pouvais voir dans la vitre.
-B...Bonjour...Excusez moi...Répondit Roger avec une voix faible.
Kyne secoua la tête de gauche à droite en signe de désapprobation et dit:
-Ah la la! Vous les blancs vous êtes vraiment les pires délinquants au monde...Il falait dire Madame...Ta salope de mère ne t'as jamais appris ça? Je vais être obligé de te punir!!!
Roger sentis sa tête reculé, le jeune homme tenait sa tête d'une main. Il devait faire quelque chose, Roger rassembla toute ses forces, pour bouger sa tête. Le crane nu de Roger glissa de la main de Kyne à cause de toute la transpiration qu'il y'avait dessus. Roger reussit à se dégagé, il se leva en courant pour s'échappé. Il se dirigea vers l'entrepot, du sang coulait de son arcade. Il entendit ricané derrière son epaule, Kyne le fixait en restant immobile. Roger penetra dans l'entrepôt en battant en retraite. Kyne suivis le gros qui courait de travers complètement dans le gaz.
-Je suis dans le regret de vous informé que le gros tas de graisse de Roger, viens d'être licencié. Comme indemnité de licenciement nous lui offront, en guise de solde de tout compte un cadeau très précieux...La mort!!! Bien sûr vous pouvez faire appel au tribunal des prud'hommes dont je suis le président. Hélas votre plainte sera obligatoirement rejeté!!!Dit Kyne en riant comme un fou.
Roger arrivait presque au centre de l'entrepôt, encore quelques mètre et il serait bientôt arrivé à l'escalier menant à son bureau. Mais en courant il tournait le dos à Kyne, ce qu'il n'aurait pas du faire, car il ignorait ce don il était capable. Le jeune homme restais, immobile il ne cherchait pas à lui courir après.
Kine tendit sa main en l'air les doigts écarté, comme si il voulais dire au revoir à Roger. Tout à coup quelque chose d'extraordinaire se produisit, quelque chose apparu dans la main de Kine. Du feu en jaillit et il semblait tournoyer, dansé dans sa main jusqu'à ce qu'il se transforme en une boule de feu.
Kyne ne sentais absolument rien, la boule etait collé à sa main mais cette dernière ne brûlait pas. La boule de feu crepitais comme un feu de cheminée, elle grossit à vue d'oeil. Elle grandit jusqu'à atteindre la taille d'un ballon de basket. Kyne baissa la main vers l'arrière s'aprêtant à la lancer. Et soudain il tourna sur lui même tout en avançant dans la direction de Roger. Il se déplaçait comme un lanceur de poids, en utilisant sa force de rotation pour envoyé son projectile le plus loin possible. Roger était presque arrivé au pied de l'escalier mais c'était déjà trop tard. Kyne avait lancé la boule de feu en criant comme le font les lanceur de poids olympique en lachant toute sa rage. Elle partie à une vitesse hallucinante, traversant le hangar en sifflant.
La boule de feu fini sa course en eclatant dans le dos de Roger, qui sous le choc tomba parterre, le corps en feu. Roger s'enflammait tel un brasier en hurlant sentant son corps tout entier s'embrasé, comme si il était dans un four crématoire. Brulant comme si on lui avait jeté de l'éssence et une alumette. De la où il etait Kyne pouvait voir, Roger rempli de flammes de la tête au pied. Son corps et ses vêtements devenait aussi noir que du charbon. Le corps essayait de se relèvé rampant au sol, la souffrance le faisait hurler. Kyne se rendit près du corps incendié, calciné qui ne bougeait plus. Il était bel et bien mort et son corps brulait encore.
-Alors qui c'est qui c'est fait brûlé fils de pute!!!Dit-il en crachant le cadavre carbonisé.
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