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Donc à la fin de ce « fucking repas » où mon gros intellect n'était pas reconnu à sa juste valeur, je décidais d'aller marcher un peu avec Oliver mon meilleur ami qui surement se entais seul.
On se tenait la main comme quand nous étions enfant, je me souviens que nos parents nous appelaient « les bébés amoureux ». On voulait même monter un groupe de rock à 6ans « Les bébés rockeurs amoureux » avec Sophia au chant. Mine de rien cette époque était si insouciante, moi je sors de désyntox, Oliver est surement entrain d'arrêter ces antidépresseur. Et Sophia, celle qui va surement plus en baver, en attendant d'avoir ces 18ans et d'être mise en prison, bah elle est en maison de correction.

Moi- Dit Oli, si je te demande un truc grave important te concernant, tu vas me mentir ou me dire la vérité ?

Lui- Demande et on verra.

Moi- T'es sous antidépresseur n'est-ce pas ?

Lui- Qui ta dit ça ?

Moi- J'ai écouté nos mères en parler un jour, mais j'ai préféré éviter de te demander. J'attendais que tu me le dises, parce que ce n'est pas évident de le dire à quelqu'un.

Lui- Bah comme tu le sais déjà, donc tu sais que la réponse est affirmative.

Moi- Tu les prends toujours ?

Il eut un silence de deux minutes avant qu'il me répond « non », il avait un regard si vide et triste en le disant que je compris tout de suite que ça, n'allait pas, mais vraiment pas.

Moi- Mais pourquoi ?

Lui- J'en ai juste marre, ça ne m'aide pas à résoudre mes problèmes personnelle.

Moi- Bah explique moi et je pourrais peut être t'aider ?

Lui- J'aime une fille elle sort avec un mec et je ne supporte plus cette situation, j'ai envie de me suicider ou de commettre un meurtre. Parce que si je peux pas l'avoir, je vois pas pourquoi un autre l'aurait.

Moi- Tu me fais peur la.

Lui- Bah tu voulais savoir, faut te décider sur ce que tu veux hein !!

Moi- Tu devrais voir un psy, que je te passe le num du miens?

Lui- Je ne suis pas fou moi, et je ne reviens pas de désyntox, donc non merci.

Sur ces mots blessant et douloureux il quitta la plage, je n'ai pas envie de l'en vouloir pour ça, il n'a pas vraiment tort, je suis un peu toxico, et peut être folle. Enfin je ne sais pas, je sens les larmes qui me montent aux yeux, et je mets à pleurer loin des regards.

Je sens une main se poser sur mon épaule et une voix familière me demander si ça va. C'est la voix de Antoine dit la binocle, qui s'assoit à côté de moi et je fond en larmes dans ces bras et lui raconte la moitié de se qui s'est passé. Je lui dis juste que je me suis disputée avec Oliver sur un sujet et qu'il m'a traité de folle. Il essuie mes larmes et me dis que sa doit être la pression des examens, et il me met debout pour repartir vers la maison.

Devant la maison, je vois un peu tout le monde dehors, ils ont l'air tout bizarre, je me rapproche d'eux et j'aperçois que Clever elle a les yeux tout rouge.
J'essaie de me rapproche d'elle mais, elle me repousse. Je ne comprends vraiment pas sa réaction, puis je reçois une super gifle qui me fait me retrouver à terre, c'est Paolo.

Je n'en reviens pas il m'a giflé, j'essaie de reprendre mes esprits, mais ils sont presque tous rentrer. Puis j'écoute encore un bruit sourd, quand je rentre je vois Antoine le nez en sang, surement encore une œuvre de Paolo.

Je suis les filles dans la chambre et me rend compte que mes affaires ont été déplacé dans la pièce où il devait avoir deux filles. Pourquoi suis-je en train de me faire éjecter ?

Façon, je n'ai pas la force de chercher des explications pour ça, je vais donc dans ma nouvelle chambre, je mets mes kit et écoutes une musiques grave triste jusqu'à m'endormir.

Je me réveille dans la nuit mais je ne bouge pas du lit, je reste dans le noir totale, jusqu'à ce que Clever pousse la porte et m'éblouit avec la lumière du couloir.

Clever- Tu dors ?

Moi- Non ! Je viens de me réveiller !

Clever- Je t'ai emmené un sandwich comme tu n'as pas diné...tu...

Moi- J'ai pas faim!

Clever- Les médecin disent que tu dois te nourrir.

Moi- Pose le la, je vais le manger après.

Clever- On sait très bien que tu ne vas pas le manger après.

Elle entre dans la chambre, allume la lumière et s'assoit dans le lit dans lequel je me trouvais en me dévisageant. Je sens elle veut me dire un truc mais elle hésite, peut-être la raison de la gifle et de ma mise à pied. Après une longue inspiration, elle prit la parole.

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Gifle, Nez en sang .... mais ...mais qu'est se qui se passe?
Qu'est se qu'elle va bien dire?
Bah la suite dans le prochain chapitre !
Bisous bisous !

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