Jour 15
"Plusieurs corps on été retrouver on fond du lac. La plupart sont les cadavres de criminels bien connu par les policiers...". Je finis mon assiette, remontai dans ma chambre, m'assis à mon bureau, et commençai à écrire à Loupa.
Salut Loupa ! Les journalistes continuent à annoncer les meurtre des criminels, c'est vrai que les filles et moi avons bien travaillé... "216 victimes pour le tueur fou". Je me demande qui est le plus fou entre eux et moi... Enfin passons... Plus que 3 mois et adieu l'école ! Bon il y toujours l'université... Tu sais, on dis toujours que les plus belles années on l'est passe en cours. C'est vrai que c'est amusant de voir ses camarades de classe trembler comme des feuilles pour un ou deux morts... Je divague encore pardon ! Mais ils m'ont torturé si longtemps... La louve devrais faire une apparition à l'académie, je me demande comment réagiraient les profs... Je devrais le faire pile au moment des exams... Sauf qu'il risquerait d'être annulé ce qui ferait plaisir aux autres... J'y réfléchirais plus tard ! Oh je dois y aller !
A demain.
Je me changeai, rassemblai mon matériel, mis mon masque et sauta discrètement. C'était ma macabre routine. J'égorgeai mon premier criminel, tailladai un autre, étranglai un second, noyais un troisième,... Un jeu... Tuer était devenu un jeu et cette ville mon territoire. Je rigolai en cachant un cadavre dans une poubelle que j'enflammai. Broyer, tuer, exécuter, décapiter, mutiler,... Jouer... J'étais une déesse vengeresse. Mes anges clamaient mes paroles, j'étais à mon apogée. Je poignardai en plein cœur ma proie et la démembrai. La louve, t'elle était mon nom et j'en étais fière. La fille transparente avait disparue depuis longtemps. Je ne me laissais plus marcher sur les pieds. J'étais celle qui écrasais. J'étais forte, j'existais, j'avais le droit de vivre,... J'étais enfin moi même... Là, debout dans cette ruelle, rigolant à coté des corps de criminels. Toute personne qui m'aurait vue ainsi ce serait dit : "Elle est folle." Oui, oui j'étais cinglée, et j'en est toujours été fière. Je me dirigea doucement vers l'église, m'assis sur les marches de marbre du bâtiment, et attendis. Bientôt trois silhouettes se rapprochèrent de moi, puis une seconde nous rejoignis, et une autre, et encore une autre,... Jusqu'à être une vingtaine.
-Vous avez fait bonne chasse mes anges ? Un d'eux s'avança, je reconnu Jane ou comme elle se faisait appelée dans la meute, pardonnée.
-Une excellente la louve. Je souris, désormais nous pouvions chasser dans toute la région.
-Mes chères anges cette nuit encore nous avons purifier la société de parasite qui l'habitait. Je suis fière de vous. Bonne nuit !
-A vous aussi la louve. Nous nous séparâmes sue ces mots chacun de son coté. Cette nuit encore j'avais plongé encore plus bas en Enfers.
Mes anges continueront mon œuvre. Je ne crains pas ma fin...
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