Jour 11
Coucou Loupa ! J'ai deux nouveaux anges avec moi, l'une incarne l'obscurité l'autre la lumière, leurs parents sont des poétique dans l'âme ! Désolé de te déranger si tôt c'est vrai qu'il est 6 heure de matin, pardon. Passons ! Plus que 5 jours avant Noël j'ai toujours aimé cette période. La neige, les lumière, les vitrines des magasin décoré dans l'esprit des fêtes,... Voir ça... c'est... c'est magique ! Dis te souviens du jour ou j'ai quelque peu rembarré ma fichue belle-mère ? Depuis quand elle me voit, elle baisse les yeux ! C'est trop drôle à voir ! Elle n'est clairement pas habituée à la vérité, si elle espérait la compassion de mon père c'est mort. Leur mariage reste un mariage arrangé par leurs parents... Ils n'ont pas eu le choix, mon père aimait ma mère et non pas cette mégère ! Je te le dis comme ça mais ma famille doit te paraitre dysfonctionnel n'est-ce pas ? Vu que j'y pense je ne tait jamais parlé de mon passé ! Et bien je vais le faire maintenant...
Le père de ma mère biologique était un ivrogne sans vergogne, sa femme, me grand-mère la quitter en claquent la porte laissant ses deux filles, tante Marie et ma mère, Calliope, grand-père les battaient souvent toutes les deux et elles fuguaient... Un jour ma mère à rencontré mon père. Il avait 17 ans tous les deux, à chaque fois que ma mère fuguait mon père l'accueillait, ils sont devenu amis, et ensuite ils sont devenu plus proche... Beaucoup plus proche... Ma mère avait 19 ans quand je suis née, mais mon père a dû se marier à une autre... Ma mère ma élevée seule avec les aides que mon père lui envoyait et l'argent qu'elle gagnait avec c'est petits boulots. Elle s'est surmenée et en est morte. J'ai été envoyer à mon père, j'avais alors 6 ans, je suis devenue le souffre douleur de ma marâtre qui ne supportait pas que mon père en est aimée une autre et que son cœur lui appartienne encore... Elle ma toujours forcée à l'appelée "maman" pour que les invités ne se doute pas de cette amour non réciproque. Une fois, une seule je lui ai demandée pourquoi elle me détestais à ce point, sans un mot, elle m'a tirée par les cheveux à la cave. Je criais, hurlais de douleurs et elle ma jetée au bas des escaliers et enfermée dans le noir, pendant deux jours je suis restée dans le noir sans pouvoir manger. Je m'étais interdit de pleurer pour ne pas trop me déshydratée... Quand elle ma enfin libérée je n'ai eu droit qu'à un verre d'eau du robinet du jardin... J'étais heureuse et m'en suis contentée... Elle m'a dis que j'étais pitoyable... Elle avait raison... Mais maintenant je suis une toute autre personne !
Je te laisse je y dois aller !
Je me fis un chignon, mis un bonnet, et descendis les marches quatre à quatre. Je volai une tartine beurrée dans la cuisine et sortis en trombe de la maison ne prenant qu'un peu d'argent sur moi. Je me montai dans un bus et paya mon ticket au nom d'une de mes camarades de classe. Le chauffeur ne me demanda même pas ma carte d'identité. Je descendis 6 km plus tard et entrai dans différent magasin. J'y acheta plusieurs fournitures et pris le bus suivant. Ce trajet là, je le paya avec la carte de bus d'un autre gas de mon école. Je me rendis à ma cachette, et demanda à mes anges de me rejoindre. Je mis mon masque et les attendis patiemment, au bout de 30 minutes elle était toute arrivée.
-La louve, pourquoi nous avoir appelée ? Je leur tendis un masque semblable au mien.
-Vous en aurez besoin. Elles les prirent d'une manière presque cérémonieuse, je rigola. Vous êtes bien trop sérieuse ! Je suis une fille humaine de 18 ans ! Pas un monstre ! Elles étaient surprise quelques secondes puis joignirent leur rire au mien.
-Pardonnez nous nous l'avions oublié...
-Alors vous pensiez que j'étais quoi ?
-Une déesse descendue sur terre... Je fus étonnée.
-Non je ne suis pas une déesse, pas encore en tout cas. Après le nouvelle An nous reprendrons les rondes d'accord ? Elle acquiescèrent. Bien à dans une semaine.
-A dans une semaine. Nous partîmes chacune de notre coté ne souhaitant pas être remarquée, je retirai mon deuxième visage et le rangea lorsque je fus certaine d'être seule, et rentrai chez moi. J'allai directement dans ma chambre, fermai à clef la porte, me jetai sur mon lit et m'endormis d'un sommeil sans rêve.
L'eau s'engouffre lentement dans mes poumons, je ne peux plus respirer...
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