Tolwder
Sous un ciel lumineux, nous franchissions les portes de la pittoresque ville de Towlder en ce début d'après-midi. Les ruelles pavées étaient vivantes, parsemées de boutiques aux façades colorées, et les habitants vaquaient à leurs occupations, lançant des regards curieux et quelque uns hostile à notre passage.
Cléo, toujours aussi calme, s'arrêtait de temps en temps devant les étalages des boutiques, attirée par les couleurs vives des produits exposés. Nika, quant à elle, lançait des regards noirs aux passants qui semblaient nous dévisager.
Plissken, fidèle à son tempérament taciturne, gardait une certaine distance, préférant observer les alentours avec une méfiance naturelle. Je marchais à ses côtés, mon regard oscillant entre l'excitation de la découverte et l'appréhension de l'inconnu.
Les habitants de Towlder semblaient curieux de notre présence. Certains nous lançaient des regards interrogateurs, peut-être intrigués par notre groupe inhabituel. D'autres nous dévisageaient avec méfiance, comme si nous étions des étrangers indésirables. Malgré cela, nous gardions le cap, déterminés à accomplir notre mission.
Alors que nous continuions notre exploration, les rues nous menèrent naturellement vers l'école de brasserie, un endroit réputé dans la région. Les effluves alléchants de malt et de houblon embaumaient l'air, nous donnant envie de nous aventurer à l'intérieur pour en apprendre davantage sur l'art de la fabrication de la bière. Cependant, nous décidâmes de reporter cette visite pour plus tard, car notre quête nous appelait ailleurs.
Soudain, Cléo reçut une missive urgente qui exigeait son absence immédiate. Son visage s'assombrit, sachant qu'elle devait nous laisser momentanément pour répondre à cet appel inattendu. Elle nous confia alors la tâche de poursuivre la quête sans elle, exprimant sa confiance en nos compétences.
Alors que Cléo s'éloignait, Nika, Plissken et moi décidâmes de nous rendre dans la taverne locale, un lieu propice pour surveiller la place du village où notre commanditaire devait nous retrouver. À peine franchîmes-nous les portes de l'établissement, que Nika s'avança résolument vers le comptoir, désireuse de s'imprégner de l'atmosphère animée de l'endroit. Toutefois, je m'empressai de la retenir, consciente des ennuis que son impulsivité pourrait causer. J'avais la responsabilité de veiller sur le groupe en l'absence de Cléo, et il était hors de question de compromettre notre mission.
Pendant ce temps, Plissken, agacé par l'ambiance étouffante de la taverne, décida de s'éclipser pour rencontrer notre commanditaire en solitaire. Nous le regardâmes traverser la place du village depuis l'intérieur de la taverne, tandis que je restais en retrait, sachant pertinemment que ma simple présence pouvait susciter des problèmes. Je me sentais souvent comme un fardeau pour le groupe, et cela n'aidait en rien mes difficultés sociales. L'attente était empreinte de tension, et nous attendions avec impatience le retour de Plissken, espérant qu'il nous apporterait des informations cruciales.
Finalement, Plissken revint vers nous, son visage arborant une expression sérieuse. Il nous fit part des détails qu'il avait découverts : la fille du boucher détenait des informations sur l'enlèvement de sa propre sœur. Leur père avait réussi à rassembler des indices avant d'être tragiquement assassiné pour s'être trop approché de la vérité. Cette nouvelle renforça ma détermination à mener à bien notre quête et à révéler la vérité derrière ces événements troublants.
Nous quittâmes la taverne, prêts à entamer cette nouvelle étape de notre aventure. La fille du boucher serait notre prochain point de contact, et nous espérions qu'elle serait en mesure de nous aider à découvrir les responsables de ces enlèvements et à retrouver les personnes disparues, y compris sa propre sœur.
Le soleil commençait à se coucher, et nous décidâmes de nous rendre à l'auberge pour passer la nuit, excepté Plissken qui conduisit Ablette à l'écurie avec la caravane et décida de passer la nuit là-bas...Il n'est surement pas très à l'aise de rester avec moi et Nika... La chambre que j'avais réservée avec mes maigres économies était modeste, mais au moins j'y étais seule, enfin en apparence. Une voix inquiétante murmura sans relâche dans mon esprit depuis que j'étais entrer dans cette ville. Depuis ce moment, j'avais le sentiment que mon démon intérieur prenait de plus en plus de place dans mon esprit, alimentant un mauvais pressentiment. Cette angoisse m'empêcha évidemment de fermer l'œil de la nuit. Je ne voulais pas décevoir Cléo, et cette mission était d'une importance capitale pour moi...
Le soleil levant baignait la place du village d'une lumière dorée, éclairant les maisons en pierre et les ruelles étroites. Au cœur de cette scène pittoresque, je m'avançai avec une certaine appréhension vers Plissken, cet homme énigmatique dont l'aura sombre me mettait toujours mal à l'aise. Je vouvoyais Plissken, comme je le faisais toujours, par respect pour sa nature renfermée et distante.
Plissken était adossé à un mur, perdu dans ses pensées, quand je m'approchai de lui, le cœur battant. Une fois à sa hauteur, j'osai rompre le silence pesant qui nous entourait.
"Bonjour, Plissken," lançai-je d'une voix calme, essayant de paraître détendue malgré le nœud dans mon estomac.
Il leva les yeux, me fixant brièvement d'un regard intense avant de replonger dans ses réflexions. Sa voix, calme mais distante, répondit : "Bonjour."
Tentant de trouver le courage de percer cette carapace énigmatique, je poursuivis : "Comment vous portez-vous aujourd'hui ? Vous avez l'air préoccupé."
L'expression de Plissken ne changea guère, et il répliqua d'une voix neutre : "Ce n'est rien. Des affaires personnelles."
J'eus l'impression d'avoir heurté un mur infranchissable. Pourtant, je refusais de m'avouer vaincue si facilement.
"Si vous avez besoin de parler, je suis là," lui offris-je avec sincérité, espérant qu'il percevrait ma volonté d'aider.
Un court instant de silence s'installa avant qu'il ne daigne répondre, semblant évaluer ma proposition. Avant que notre conversation puisse se poursuivre, Nika, notre amie commune, fit son apparition sur la place, brisant le fragile équilibre qui s'était instauré entre nous. Elle nous salua d'un air joyeux, ignorant peut-être les sous-entendus de cette rencontre.
"Salut, les gars ! Qu'est-ce qui se passe ?" demanda-t-elle avec curiosité.
Rapidement, Plissken reprit son air détaché tandis que je lui répondais en esquivant la réalité : "Oh, rien de spécial, on discutait juste un peu."
Ensemble, Nika, Plissken et moi nous mîmes en route pour rencontrer la fille du boucher, espérant trouver des réponses à cette sombre affaire d'enlèvements qui avait frappé le village. La tension était palpable dans l'air, car les habitants se montraient hostiles et méfiants envers les étrangers, leur regard empreint d'une suspicion profonde.
Malgré cela, nous persévérâmes, déterminés à gagner leur confiance et à obtenir des informations cruciales pour résoudre cette affaire. Les villageois nous répondirent de manière exécrable, faisant preuve de réticence et de silence, ce qui rendait notre quête encore plus ardue. Mais nous ne nous laissâmes pas décourager, et après de longues minutes d'efforts, nous finîmes par obtenir des indications sur l'emplacement de la maison de la fille du boucher.
Nous la trouvâmes finalement dans sa chaumière, près des odeurs nauséabondes de l'abattoir ce qui me souleva l'estomac. Le village était célèbre pour sa charcuterie et sa bière, mais ces détails étaient secondaires dans notre quête de vérité.
La jeune fille nous accueillit avec appréhension et peur dans les yeux. Elle était terrifiée à l'idée de parler et de se mettre en danger en divulguant des informations. Nika et Plissken firent preuve d'une douceur et d'une empathie surprenantes, la rassurant autant qu'ils le purent, lui promettant leur protection et leur soutien inconditionnel.
Je fus étonné de voir cette autre facette de Plissken, habituellement si dur et froid, il se montrait incroyablement protecteur envers cette adolescente vulnérable.
Un petit moment plus tard, la fille du boucher commença à se confier. Elle nous apprit que son père avait été en contact avec le forgeron peu de temps avant sa mystérieuse disparition.
Après une longue discussion, elle finit par nous avouer qu'elle travaille à l'abattoir. Intrigués par cette révélation, nous décidâmes de nous rendre à la forge pour interroger le forgeron. Cependant, celui-ci se montra peu coopératif, repoussant nos questions et nous renvoyant presque brutalement. Il alla même jusqu'à évoquer ses enfants turbulents et exprimer le souhait qu'ils disparaissent, nous intimant de ne pas nous mêler de leurs affaires. Déçus par cette attitude hostile, nous nous retrouvâmes face à un mur d'incompréhension.
Désormais en quête de réponses, nous cherchâmes d'autres sources d'information, mais nos efforts se soldèrent par des échecs. Personne ne semblait disposé à nous renseigner sur les mystères entourant le travail de la fille du boucher à l'abattoir. Ne sachant plus vers qui nous tourner, nous décidâmes finalement de retourner voir la fille du boucher à l'abattoir, espérant qu'elle pourrait nous apporter des éclaircissements. Dès notre arrivée, l'atmosphère sombre et sanglante du lieu nous frappa de plein fouet, suscitant un malaise palpable. Une sensation étrange s'empara de moi, comme si quelque chose de sinistre rôdait dans l'ombre, prêt à surgir. Alors que nous entamions la conversation avec la fille du boucher, je sentis un changement troublant s'opérer en moi.
Mon regard se voilà, comme si une force sombre et inquiétante prenait peu à peu le contrôle de mon être. C'était comme si le démon lui-même s'éveillait en moi à la simple vue du sang et des horreurs de l'abattoir. Nika, qui était à mes côtés, remarqua mon état d'agitation grandissant et tenta de me rassurer, en posant sa main sur mon épaule. Je clignai des yeux et quand je les réouvrit je tenais la gorge de Nika, une peur immense m'envahi car je n'arriver pas le contrôle de ma main ...Une voix suave que je connais que trop bien viens à mes oreilles " bonjour ma partie humaine ...Tant de sang et si on en rajouter un peu" ma main se serra autour du cou de Nika, j'étais complément impuissante
Je fus pris de panique face à la situation qui m'échappait totalement. La voix sinistre qui résonnait dans ma tête ne me laissait aucun répit, renforçant le contrôle que le démon avait sur moi. Je tentais de lutter contre cette emprise, mais chaque fois que je croyais retrouver un peu de ma volonté, la force maléfique reprenait le dessus.
Nika, malgré l'étau qui enserrait sa gorge, gardait son calme et cherchait à m'apaiser. "C'est moi, ton amie, tu peux te battre contre cela," murmura-t-elle d'une voix douce et tremblante. Mais rien n'y fait ma main ne voulait pas lâcher. Soudain la voix plissken vient mes oreilles, cette voix qui me faisait peur habituellement était d'une douceur et d'une chaleur inhabituelle
Le ton rassurant de la voix de Plissken sembla percer légèrement l'armure sombre du démon qui me contrôlait. "Laisse-la partir, tu es plus fort que ce mal qui t'envahit. Reviens à toi," dit-il calmement.
Luttant contre la force qui me possédait, je tentai de parler, de crier pour la faire arrêter, mais la pression sur ma main était trop forte. Nika, toujours sous mon emprise, cherchait à maintenir le contact visuel avec moi, comme si elle espérait que cela me ramènerait à la réalité. Ses yeux exprimaient à la fois la peur et l'espoir.
Plissken continua d'utiliser sa voix douce et réconfortante pour me libérer de l'emprise de mon démon. À mesure qu'il me parlait, je sentais l'emprise du démon faiblir légèrement... Alors que le démon reculait légèrement, je profitai de cette opportunité pour rassembler toutes mes forces mentales et repousser fermement son influence. Malgré ma réussite partielle à repousser le démon, je sentais encore sa présence menaçante, comme s'il cherchait à revenir ou à trouver d'autres moyens de s'emparer de mon esprit.
Je savais que quelque chose n'allait pas dans ce village, et que cette force obscure n'était probablement pas limitée à moi. Le village lui-même semblait enveloppé d'une étrange atmosphère, peut-être le reflet des sombres secrets qu'il renfermait.
Avec un cœur lourd de culpabilité, je relâchai Nika délicatement, sentant le poids de mes actions impardonnables peser sur moi. Je ne pouvais supporter les méfaits commis par mon démon intérieur, et en cet instant, je me sentais noyé dans un océan d'auto-réprobation. Les mots me manquaient pour exprimer toute l'étendue de mon remords.
M'inclinant devant elle, je cherchai dans ses yeux un soupçon de pardon, mais mon regard ne trouva que le reflet de ma propre faute. J'avais blessé quelqu'un que j'appréciait, et cette réalisation me déchirait le cœur. Je savais que rien de ce que je pourrais dire ou faire ne pourrait effacer la douleur que j'avais causée.
Alors que je tentais désespérément de trouver les mots justes pour m'excuser, Nika éclata soudainement de rire. Ce rire, si léger en apparence, résonna dans mon âme me rappelant à quel point j'avais pu être maladroit. Sa réaction inattendue me surprit, et je fus saisi par l'espoir que peut-être elle pouvait trouver en son cœur la capacité de me pardonner un jour.
Cependant, Plissken ne fut pas touché par cette scène. Il récupéra rapidement son air froid et impassible, donnant l'ordre de quitter l'abattoir. Il prit sur lui la responsabilité de parler avec la fille du boucher, probablement pour minimiser les conséquences que pouvait avoir si je perdais de nouveau le contrôle.
Alors que nous sortions de cet endroit sombre, le fardeau de ma culpabilité semblait peser davantage sur mes épaules. Chaque pas que je faisais était empreint de cette lourde conscience de mes erreurs. Je savais que je ne pouvais pas fuir ce que j'avais fait, que je devais faire face à mon démon intérieur.
Nous avions choisi de nous installer non loin, dans une petite zone herbeuse. Je m'attendais à ce que Nika me parle de ce qui venait de se passer, mais elle commença à râler au sujet du manque de civisme et de respect des habitants de ce village. Elle alla même jusqu'à suggérer qu'ils méritaient d'être punis, sans vraiment prendre conscience des paroles qu'elle venait de prononcer.
Quelques minutes plus tard, Plissken revint vers nous d'un air autoritaire et nous annonça que nous devions aller voir le tavernier, le meilleur ami du père.
Alors que nous nous dirigions vers la taverne en suivant Plissken, je ne pouvais m'empêcher de me poser des questions sur son comportement énigmatique. Son changement soudain d'attitude, passant d'un homme froid et distant à quelqu'un de doux et chaleureux pour ensuite revenir à son côté froid, était déroutant.
Je me demandais ce qui pouvait bien le tourmenter à ce point. Peut-être avait-il vécu des expériences difficiles par le passé, ou peut-être y avait-il des enjeux complexes qui échappaient à ma compréhension. Dans tous les cas, cela m'intriguait et suscitait ma curiosité.
J'essayais de rester observateur et attentif à ses réactions, à la façon dont il interagissait avec les autres, cherchant des indices qui pourraient éclairer son comportement. Mais en même temps, je me rendais compte que je devais être prudent dans mes questionnements... Plissken n'était pas quelqu'un de facile à approcher, et il pouvait être sensible à toute intrusion dans sa vie privée...Mon esprit était rempli de pensées tourbillonnantes concernant Plissken. Je me souvenais des paroles de Kanya, cette mystérieuse femme que j'avais rencontrée auparavant, qui nous avez confié dans ses dernière paroles des informations sur le passé de Plissken. Elle avait mentionné qu'il avait eu une famille, une femme et une fille, qui lui avaient été violemment arrachées. Ces révélations semblaient fournir un éclairage crucial sur la personnalité complexe de Plissken.
Soudainement, une odeur qui me glaça le sang se répandit dans l'air. Une odeur de sang. Une odeur que je connaissais trop bien. Mes pensées se dissipèrent instantanément alors que mon cœur s'accélérait. Quelque chose d'effroyable s'était produit à l'intérieur de la taverne.
Nous nous hâtâmes d'ouvrir la porte de l'établissement. Ce que nous vîmes à l'intérieur était horrifiant. Le tavernier gisait sans vie, étendu dans une mare de sang. L'horreur de la scène était indescriptible, et un sentiment de choc m'enveloppa ... je me mit à trembler, nous devions arrêter ce massacre.
Plissken, qui était resté à l'écart, s'approcha silencieusement de la scène et examina attentivement les lieux. Son visage impénétrable ne laissait rien paraître, mais je pouvais sentir une tension palpable dans l'air. Nous restâmes sur nos gardes, ne sachant pas qui avait pu commettre un acte aussi atroce. La violence de la situation était troublante, et je me sentais débordé par les émotions.
Le bruit de verre brisé nous fit réagir promptement. Sans hésiter, nous nous précipitâmes vers l'arrière de la taverne, là où provenait le son. Nous savions que l'assassin ou les complices étaient encore à l'intérieur et qu'il fallait agir rapidement pour les empêcher de s'échapper.
Tandis que Plissken et Nika se lançaient à la poursuite des fuyards, je me concentrai sur l'idée de couper le chemin passant par la fenêtre brisée. L'adrénaline et le désir de les empêcher de s'échapper me firent agir rapidement, mais malheureusement, ma maladresse me joua un mauvais tour.
Dans ma hâte, je trébuchai sur un objet qui traînait au sol et chutai lourdement à travers la fenêtre. Ma tête tourna brièvement, et je sentis une douleur lancinante dans ma cheville.
Après ma chute, alors que je me relevais avec difficulté, je réalisai que ma maladresse avait alerté les fuyards de notre présence. Ils redoublèrent d'efforts pour s'échapper, courant encore plus vite. La douleur lancinante dans ma cheville me rappelait ma maladresse, mais je n'avais pas le temps de m'attarder sur cela.
Plissken, toujours déterminé à les arrêter, tira une balle traçante en leur direction. La traînée de lumière créée par la balle les éclaira brièvement, permettant à Plissken de mémoriser leur trajectoire. C'était notre chance de les traquer dans la forêt, et nous ne pouvions pas laisser cette opportunité nous échapper.
Sans perdre de temps, nous nous lançâmes à leur poursuite, suivant la lueur de la balle traçante. La forêt était dense, sombre et mystérieuse. La course dans la forêt était épuisante, mais nous ne relâchions pas nos efforts.
Finalement, nous parvenons à le traquer jusqu'à une vieille bâtisse sinistre, dissimulée dans la forêt. Nous savions que nous devions nous préparer avant d'entrer dans cette repaire des malfaiteurs, car notre quête nous menait désormais au cœur du danger. Laissant de côté mes peurs et mes doutes, je me préparai une confrontation avec l'ennemi, dans l'espoir de mettre un terme à ces enlèvements et de rétablir la paix dans le village tourmenté.
Une sensation oppressante et maléfique semblait s'en dégager, me glaçant le sang. Mon instinct me criait qu'un pouvoir démoniaque était à l'œuvre, et cela me donna une boule dans l'estomac...Arriverais-je à museler mon démon face à cette énergie sinistres ou vais-je encore perdre le contrôle.
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