Chapitre 1

                                                                                           Jour 1

                                                                                     24 mai 2025

Le soleil venait de se lever dans la ville de Saint-John des Monts. Mon cadran avait sonné à 7:15 et comme toujours, je l'avait fermé pour encore 5 minutes. Je détestait me lever le lundi matin, comme tous les ados d'ailleurs. Le soleil passait à peine au travers de mes rideaux rouges et noirs. Mon lit baldaquin en bois recouvert de coussins et de couvertures me semblait si moelleux à cette instant. Ma chambre était en ordre à l'exception de mon tas de vêtement dans le coin de ma chambre. Ma robe de bal en prévision du bal des finissants, que j'organisais avec l'équipe en charge de cet événement, était accroché sur la porte de mon garde-robe. J'étais toute excité par ce jour comme tous les ados évidement. Cependant, je savais qu'après le secondaire je devrais aller au cégep. Je voulais devenir vétérinaire. J'adorais les animaux. Bref, retournons à ma chambre: j'avais des poster sur les murs de ma chambre. Ils recouvraient presque l'entièreté de ceux-ci. Bref, c'était mon sanctuaire et étrangement ce matin là je n'avais aucune envie de le quitter. 

Le silence remplissait ma chambre et c'étais rassurant. C'est alors que mon chien Taz, un chien de race pit bull marbré noir, brun et beige, poussa la porte de ma chambre et me sauta dessus. Lorsque j'ai senti ce gros tas de muscle et de bave sur moi, mon souffle fut coupé et mes yeux s'ouvrir d'un coup. Je poussa un cris de panique lorsqu'il m'attaqua de coups de langue affectueux.

-AH! Taz dégage, dis-je amusé et dégoutté par son surplus de bave qui me recouvrait le visage en seulement deux coups de langues.

Je me cacha sous mes couvertures afin d'éviter la langue de mon chien qui me piétinait pour que je me lève, la queue branlante de droite à gauche. Comme je disais il y a deux seconde, je ne suis pas une lève tôt. Tout au long de mon primaire, mon père passait son temps à venir me réveiller. Lorsque Taz est venu au monde dans l'une des portées de l'élevage de ma belle-mère, mon père l'a entraîné pour que dès que mon cadran sonne, il vienne me réveiller. Depuis ce jour, mon chien venait me réveiller chaque matin et cette technique fonctionnait! J'étais contrainte de me lever pour éviter les attaques affectueuses de mon chien.

-Taz! Taz arrête! Je me lève... j'ai compris, je me lève, dis-je en me levant les cheveux en batailles et les yeux cernés. J'aurais pas dû me coucher aussi tard hier...

Taz sauta en bas du lit au moment ou je m'assied dans mon lit et avec sa vigueur et sa joie habituelle, sautait partout le temps que je m'étire. Ce chien était le plus énergétique et le plus fou des chiens que j'ai connu dans ma vie! Ses beaux grands yeux abritaient toujours une étincelle de joie et d'amour à mon égard. Taz n'avait aucune malice, sauf bien-sur, me lécher au visage pour me dire bonjour! Je l'adorait. Chaque fois que j'étais malheureuse, depuis les tout premier moment de sa vie, il le sentait et venait me voir pour me rassurer. Il essayait de se glisser dans mes bras et me léchait le visage. Je l'apportais partout avec moi. Si j'avais pu, je l'aurais amené avec moi à l'école. J'aurais donné n'importe quoi pour qu'il soit immortelle. Il me suivait partout et me protégeait contre n'importe qui ou quoi... enfin presque...

-Oui mon gros Béta! Moi aussi je suis contente de te voir!»

Ai-je dis en lui grattouillant son gros visage baveux. Sa longue queue ressemblant à un pique bougeait de droite à gauche à une vitesse folle en allant frapper sur mes bureaux. Je me demandais souvent s'il se faisait mal en frappant comme sa sur des coins de bureau en bois ou même s'il sentait quelque chose.

Bref, parlons un peu de moi! Mes cheveux sont bruns et à ce moment là, en bataille, tout frisé et dépeigner. J'ai les yeux verts émeraude. Je suis de taille moyenne et j'étais bien formé pour mon âge. Je n'étais pas vraiment le style de fille qui ce fond dans la masse. Je porte presque toujours du noir et j'adore le style gothique mais je ne suis pas toujours comme ça. Parfois, j'aime bien être chic tout en gardant un petit fond gotique. Je porte des bandeaux à mes poignets ou des bracelet en cuire couvert de pique. Certains à l'école disent que c'est parce que je me mutile, que je porte ça. Cela me fait très rire parce que quand je leur montre mes poignets, sans cicatrice ni marque, ils ne savent plus quoi dire et bégaient un peu. J'aurai aimé avoir des cheveux de couleur mais pour mon père s'était hors de question et pour ma mère s'était pareil. Par contre, j'ai eu droit à un piercing au nez et 3 sur chaque oreilles. Je tentais le terrain pour un tatou et je sentait que j'étais proche de l'avoir!

Parlons de ma routine du matin. Celle-ci consistait d'abord, malgré le peu de choix que j'avais, à trouver de quoi me mettre. Parlons de mon pyjama! Et oui, un sujet encore plus intéressant voyons! Je portait des petites culottes bleus marines et un chandail très grand de mon groupe préféré, Fallen Heart. Il était noir avec un coeur aspergé de peinture multicolore dans le dos. Bref, retournons au sujet de départ, même si j'aime bien changer de sujet. Mon garde-robe était presque complètement remplis que de vêtements noirs et parfois on pouvait voir une chemise bleu marine ou une robe blanche. 

Je restais là à regarder mon garde-robe sans savoir quoi mettre.  Après 5 minutes à soupire dans mes vêtements et ne rien trouver, je décida d'appeler ma meilleure amie Caity.

Ah! Parlons d'elle un instant. Je la connais depuis 4 ans. C'est ma soeur par adoptions, ma confidente, mon psychologue et la personne qui sait tout sur moi. Elle a toujours été la plus populaire et la plus jolie de nous deux. Je vous la décrirai physiquement le moment venu.

Bref, je pris mon cellulaire et l'appela.

-Coucou Caity! J'te réveille?»

Elle soupira et marmonna un ''bonjour'' qui m'annonça qu'elle dormait avant de me répondre:

-euh ouais tu me réveille... mais tu veux mes conseils pour t'habiller j'imagine?»

Je me mis à rigoler. Elle n'était vraiment pas une personne matinale.  Elle se levait toujours en retard. Caity était, d'ailleurs, rarement ponctuelle. J'étais même devenu son réveille matin personnel avec mes coups de fil pour mes vêtements. Elle arrivait presque toujours en retard à l'école malgré que je la réveillais chaque matin. Pourtant, son père était un homme très ponctuel. Son père était le chérif de la ville. Il était connu pour sa patience et sa générosité avec ceux qui le méritaient et, parfois, avec ceux qui le méritaient moins s'il voyait que ça pourrait provoquer un changement en eux. Lui et sa fille passait beaucoup de temps ensemble dans des oeuvres de charité et les activités organiser par ma ville. Bref, revenons à pourquoi je l'appelais, mes vêtements:

-Ouais! Aide-moi!»

Dis-je en rigolant. Caity réfléchit un instant en marmonnant. Je devinais qu'elle devait avoir la moitié du visage enfoncer dans son oreiller. Puis elle fini par me dire:

-Ta chemise noire avec tes jeans bleus marin avec les dessins or sur les fesses. »

Elle connaissait mes vêtements par coeur à force que je lui demande ce que je devais porter, mais, surtout, à force de m'en « emprunter » sans mon consentement pendant un mois. Bref, après l'avoir remerciée, j'ai sorti mes vêtements de ma garde-robe et je me suis habillée.

Taz avait fini par remonté à l'étage. Le bruit de ses griffes résonnait sur plancher de céramique marbré beige de la cuisine. Le soleil commençait à pénétrer dans ma chambre et reflétait dans mon miroir accroché au mur juste en face de mon lit. Lorsque, je me vis dans le miroir, les cheveux en bataille et frisés avec mes yeux plein du maquillage de la veille, j'ai sursauté. J'ai lair d'un zombie mon dieu! Je me mis rigoler sans savoir l'ironie de ce que je venais de dire. Je me précipita dans la salle de bain pour remédier à tout ça.

Au bout d'une heure, j'étais prête. Les yeux maquillés de noir et les cils très long grâce à mon mascara. Un peu de rouge à lèvre, mais pas trop. J'avais choisi une couleur ressemblant à la couleur de mes lèvres pour faire discret. J'étais sublime! Enfin selon Caity et quelques garçons qui me courraient après, mais qui pour moi, était sans aucun intérêt. Je me pris en photo avant de la mettre sur mon compte facebook. Pour une fois, j'arrivais à me trouver jolie.

Après avoir fait les dernières retouches sur mes cils et mes cheveux, je décide d'aller à l'étage pour me faire à manger. Je fus accueillis par ma demi-soeur, Élisabeth. Elle était plus jeune que moi d'un an et 4 mois. Parfois, elle me tapait sur les nerfs, mais elle était tout de même à moitié de mon sang... La relation de mes parents n'étant pas très fructueuse, mon père et ma mère ont divorcés lorsque j'avais quelques mois mais j'ai toujours eu une bonne relation avec chacun d'eux malgré tout. Depuis, j'ai vécu tout mon primaire chez ma mère avant d'aller vivre avec mon père pour faire mon secondaire. C'est là que j'ai rencontrée Caity. C'était la première à m'avoir adressée la parole à l'école. Plus tard, elle m'a présentée Sam: un beau grand brun aux yeux verts de 19ans aujourd'hui... C'était un ami de Caity à l'époque, mais je suis vite devenue leur meilleure amie à tous les deux. Il était plus vieux que nous et allait à une autre école. Son père travaillait avec le père de Caity. Ils étaient un peu comme frère et soeur. Sam était le genre de garçons qui se montre badboy mais qu'au fond s'est un coeur tendre. J'ai craquée tout de suite pour Sam et ces sentiments n'ont cessé d'augmenter depuis... Je n'ai jamais eu le courage de lui dire non plus... Je sais que s'est pathétique...

Bref...

Où j'en étais...Ah oui! J'étais montée et ma demi-sur était là avec nos deux autres chiens: un berger allemand et un autre pit bull. Je l'ai salué après j'ai été me faire à manger. Elle était, comme toujours, bien habillée et bien coiffée. Être à la mode et parfaite, était une obsession pour elle. Mais de quoi je me mêle? J'ai l'air pareil ce matin! Ma demi-soeur était blonde châtaine avec de beau yeux gris. Elle était très jolie avec son sourire que nous n'avions rarement l'occasion de voir à la maison. Pour son age, Elizabeth était déjà très porté vers les garçons. Comparer à elle j'avais l'air d'une sainte... Elle ramenait souvent des garçons à la maison. Même si mon père interdisait qu'ils soient seuls dans une pièce, je savais bien qu'elle était cachottière.

Il était 8:15, lorsque je suis parti de chez moi accompagnée de ma demi-soeur. J'avais un scooter noir et rouge. Je détestais marcher pour me rendre à l'école et encore moins prendre l'autobus avec tous les petits secondaires 1 qui n'arrête pas de crier. Je préférait sentir le vent dans mes cheveux (la parti qui dépassait de mon casque en tout cas). Me rendre à l'école me prend généralement 10 minutes, mais ce matin là, un homme avait été renversé sur la route ce qui avait fait un bouchon de circulation sur la route principale. Sérieusement, je ne comprendrai jamais les gens qui roule moins vite pour regarder l'accident! Je comprend que ma ville est un trou perdu où jamais rien ne se passe, mais ça aiderait beaucoup les policiers et les ambulanciers s'ils ne devraient pas se concentrer à cacher les victimes en plus de faire leur vrai travail. Bref, finalement je suis arrivé à 8:35, 5 minutes avant le début des cours. Caity m'attendait devant mon casier, pour une fois que je n'arrivais pas avant elle.

Comme toujours, elle me salua en me donnant un câlin. Caity avait les cheveux noir jais de son père et les yeux bleu de sa mère, selon ce que son père m'avait raconté sur ça défunte épouse. Elle était morte d'un cancer lorsque Caity avait 10 ans. Cette malheureuse épreuve avait rapprocher l'homme et sa fille énormément. J'ai jamais vu une relation père-fille aussi forte!

Bref... Encore!

Le premier cours se déroulait normalement et le deuxième aussi. C'est au troisième que ça devient un peu bizarre. Mon professeur de français, d'ordinaire si enthousiaste et si facile à comprendre, avait le teint plus grisâtre et il avait de la difficulté à articuler. Il avait même les yeux un peu plus jaunâtres. Je ne sais pas pourquoi, mais il me faisait vraiment peur. Cet homme d'environ soixante avait toujours un jolie sourire et un regard remplis de passion et d'énergie. Pourtant, aujourd'hui, il avait l'air complètement fatiguer et parfois, il grognait en fixant la classe. À la quatrième période, il eut une vague de personne qui eurent la nausée et de la difficulté à articuler. Il y avait une ligne d'attente monstre pour voir l'infirmière qui se promenais avec des gans et un masques afin d'éviter d'être contaminer à leur tour. C'étais vraiment bizarre et mon instinct me dictait de rester loin. Afin d'éviter de contaminer l'école en entier, on renvoya les personnes malades chez elles. C'est alors que la direction passa un message disant que les cours étaient annulés pour évité que l'infection ne se répande dans l'école ou que d'autre cas ne se déclare. Mon retour à la maison se fit normalement. Elizabeth n'était pas rentré avec moi. Elle allait dormir chez une amie ce soir là. Enfin, d'après ce qu'elle disait. Ma soirée ce passa très normalement et je ne me posais pas trop de question. J'ai parlé avec Caity au téléphone pendant de longue heure. Le sujet était principalement relié au incident d'aujourd'hui, mais il fallait bien-sur que Caity me parle de Sam... Le fameux Sam... Le plus beau... À chaque fois que j'entendais son nom, c'était immanquable que je rougisse et que je bégaie.

-A...arrête c'est pas drôle, ai-je lâché toute gêner.

La jeune fille au yeux noirs rigola au bout du fil.

-C'est quand que tu va l'inviter à venir avec toi au bal?

-Jamais! J'ai bien trop la trouille pour ça!

Puis, j'entendis le bruit de la porte qui claque avec force au moment où ma belle-mère rentra du travail. C'était le moment d'aller faire le souper. C'était mon tour ce soir là. J'avais décidé de faire un poulet à l'ail et au miel avec des fèves au beurre. Une bonne vieille recette de ma mère. Je trouvait toujours ça réconfortant de manger ses recettes lorsque je ne suis pas avec elle, même si ma demi-soeur n'est pas toujours satisfaite du repas. Par contre, mon père est toujours emballé par ces recettes même si elles sont de son ex-femme. Au moins, j'arrivais à faire un heureux malgré la jalousie très apparente de ma belle-mère.

-Je dois y aller. À plus tard beauté!

Caity raccrocha et je monta en saluant ma belle-mère. Elle était assise à table à discuter de sa journée avec mon père. Je me dirigea vers la cuisine pour ouvrir le paquet de poulet que j'avais déposé dans l'eau tiède pour dégelé la viande. Je déposa les poitrine de poulet et les deux cuisses de poulet dans une poêle pour les faire griller sur le dessus. Ensuite, je prépara mon mélange et l'envoya au four. Je fit cuire les fèves dans une poêle avec du beurre et une fois de temps en temps je me permettais discrètement de donner des petits bouts au chien. Ils étaient tous assis en ligne derrière moi à baver et à se licher les babines. 

-Lorry! Je te vois tu sais! Je sais que tu donne de la nourriture au chien.

La voix grave de mon père me fit sursauté, mais je me mis à rigoler. Je savais qu'il n'était pas fâché et que ça lui arrivait parfois d'en donner au chien aussi. 

-Mais j'ai rien fait moi, dis-je le regard mesquin vers mon père qui peinait à cacher son sourire satisfait et fière de me voir cuisiner. Cela faisait déjà un moment que je cuisinais, mais chaque fois, il avait ce même regard remplis de fierté pour moi.

 Au bout d'un bonne heure, j'appela tout le monde pour venir manger.

Le repas se déroula dans le calme. Aucune chicane n'éclata à cause du choix de viande et ma soeur mangea tout son assiette même! La journée devenait de plus en plus bizarre! Normalement les chicanes étaient très présente chez nous à l'heure du souper. Un étrange pressentiment s'empara de moi et un frisson m'hérissa les poils de la nuque sans que je puisse savoir pourquoi. Je me dis que se devait juste être une bonne journée et que j'avais bien choisi le souper. Cependant je n'étais pas capable de me retirer ce mauvais pressentiment de la tête. Quelque chose allait arriver et je ne me trompait jamais sur mes pressentiments.

Toute la soirée, je resta sur le qui-vive, mais rien n'arriva. Sam m'appela quelque minutes pour me demander si je pouvais aller le voir ce week-end. Mon coeur avait sauté dans ma poitrine et j'avais accepté en bégayant. Nous avions rarement le temps de nous voir à cause des études et, surtout, à cause des siennes. Il vivait dans l'une des villes voisines afin de pouvoir se rapprocher de son cégep et de s'éloigner de la relation néfaste de ses parents. J'essayais de le voir avec Caity une fois par mois, mais il était très rare qu'il demande à me voir seule. Mon cerveau imaginait plein de petit scénario tous aussi embarrassant et mignon les uns que les autres. Puis, lorsque mon cerveau arrêta de fabuler et que mon coeur arrêta de battre à la chamade, j'alla me coucher. Il devait être vers 23 heures. 

Cependant, comme pour m'aider, des bruits de lutte et des cris tridents résonnait de partout autour de la maison et dans le voisinage. Mon voisinage était tranquille normalement à ces heures là. Je me demandais qu'est-ce qui pouvait arriver à l'extérieur. J'étais terrifier et je ne voulais pas me lever de mon lit. 

Comme s'il sentait ma peur, Taz apparu dans l'embrasure de ma porte. Il faisait noir, mais la faible lumière du passage délimitait sa carrure. Il vint se coller à moi en regardant la fenêtre de ma chambre en grognant. J'entendait même le berger allemand de ma soeur et le chien de mon père grogner au deuxième étages. Les deux finirent par se taire après que mon père leur lâcha un cris moitié marmonné. Cependant, Taz continuait et plus il grognait moins je me sentait en sécurité par rapport à ce qui ce passait à l'extérieur. Jamais il ne grognait. Taz devait être terrifié lui aussi. Je le pris dans mes bras et le glissa sous les couverture avec moi. 

-Chut... tout va bien... rien ne pourra nous arriver..., j'ignore encore si je disais ça à mon chien ou si je me disais ça à moi pour me rassurer.

 Je réussi à m'endormir vers 3 heures du matin, lorsque les bruits de lutte eurent cessés. Des bruits atroces de chien souffrant et des hurlements d'homme se faisaient entendre jusqu'aux petites heures du matin. Mon père était même sorti à l'extérieur pour voir ce qui se passait vers 1:30 du matin, mais les bruits s'étaient éloignés. Il ne vit rien dans l'obscurité. Mon père ressorti une dernière fois vers 2:55, après que les cris aient recommencé de plus belle. J'étais tellement fatigué que je ne me suis pas posé de question plus long temps et je sombra dans le sommeil dans les pattes de mon chien.

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