Chapitre 9
Je détacha mes cheveux pour couvrir mes oreilles. Je remarqua que Bard me détailla et il détourna les yeux aussi vite. Je souris et mis la cape sur moi. Ce n'étais pas vraiment agréable d'avoir cette cape sur moi qui sentais fort le poisson.
On entra dans la ville, on allait passer mais un homme affreusement laid comme jamais je ne l'avais vu auparavant nous stoppa.
-Halte ! Bard je vois que tu transporte du poisson mais tu es enregistré comme batelier pas comme pêcheur à ce que je sache.
-Alfrid, les gens on faim.
-Peut importe ses poissons sont illégaux, jeté les par dessus bord ordonna alfrid aux soldats
-Que diras le peuple si il apprend que le maître jette de la nourriture, et que les révoltes arriveront.
Alfrid leva sa main pour dire stop aux soldats. J'ai crus par chance qu'il ne m'avait pas vus.
- Très bien mais qui est cette personne à côté de toi. Nous n'acceptons pas les étrangers qui est-elle ?
-Ne te soucis pas d'elle, cela embêterait le maître.
-Le maître serait plus que content de recevoir une femme, cela fait longtemps. Il me redevra se cadeau. Montre ton visage pour voir si ton physique fera l'affaire.
-Je te déconseille de la toucher, tu m'entend !! dit Bard de façon autoritaire.
-Pourquoi, tu garde cette jeune femme pour toi ?
-Stop, je suis la nièce de Sam mon seigneur. Dis-je avec le plus de conviction possible est un jeu d'actrice je dois dire plutôt convaincant. Flater se genre de personne marche toujours.
-Mon seigneur ?! c'est vrais je suis un seigneur tu as raison. Tu es donc la nièce de ce bon Sam si serviable au maître, nous avons besoins de lui il serait facheu de le contrarié très bien et passe le bonjour à ton oncle.
-Merci mon seigneur.
- Tu connais Sam le forgerons ? Me demanda Bard.
-Absolument pas mais je sais une chose, il y a toujours un Sam dans une ville.
Nous entrâmes complètement dans la ville, je dois dire qu'elle était triste à voir ce n'était pas la plus belle ville des hommes que j'ai vu auparavant. Les maisons étaient sur des poutres en bois tout droit sortis de l'eau, il faisait si froid sur ce lac par rapport à la chaleur de la forêt. Le visages des Hommes étaient si tirés, remplis de fatigue on ne pouvait presque pas différencié les vieux des jeunes. Comment j'ai pus abandonner ce peuple qui à subit milles tourments depuis Smaug et la chute de Dale. En entrant je sentis un mauvais pressentiment comme si cette ville déjà si pauvre n'existerait plus. Nous nous arrêtons Bard donna de l'argent à un homme. Et les nains s'agitèrent.
-Taisez-vous, on ne fait que vous entendre.
-Ils nous a vendus, trahis. Dit Dwalin suite à ce que racontait Bilbon.
-Mais non ils ne nous vend pas, ils nous sauvent en achetant le silence de cette homme.
Bard revient est fit tomber les tonneaux et fait cadeau du poisson à l'homme qui n'est d'autre que Sam et expliqua la situation et me dit avec plaisir qu'il me couvrira si on lui pose des questions.
-Où sommes-nous ? Demanda Bilbon
- Ça Monsieur Saquet c'est le monde des Hommes. Dit Thorin.
-Mais je vous rassure toutes le villes ne sont pas comme celle-ci, malheureusement Lac-ville n'est plus le port de commerce d'autre fois. Dis-je en voyant la tête dubitatif de Bilbon.
Bard m'ayant entendu esquissa un faible sourire. Malheureusement des soldats nous ont remarqué. On se mit à courir mais d'autres arriva de l'autre côté, ce qui nous fit rebrousser chemin mais on se rentra tous dedans. Nous étions dans un sorte de marché est on commença à prendre ce qui nous passait par la main et on assomma ses gardes. Les gens étaient surpris de voir des nains mais quand le chef de la garde arriva fit comme si rien ne c'était passé. Je me suis dit nous sommes fichus les nains étaient certes cachés mais pas les corps des gardes. Et à ce moment même les habitants cacha eux même les corps avec ce qu'ils vendaient. Une dame qui vendait des plantes me fit même un clin d'œil. On peut trouver beaucoup de défauts aux hommes mais leurs qualités sont très précieuse comme l'entraide.
A ce moment là un jeune garçon arriva et appela Bard papa, c'était Bain.
-Papa des gardes surveillent la maison.
-Mince, écoutez moi vous allez devoir passer par un endroit qui n'est guère agréable mais c'est le seul moyen.
Tous le monde le regarda bizarrement et je compris où il voulait en venir. Sans le vouloir un rire s'échappa de ma gorge. Et c'est à mon tour que tous le monde me regarda bizarrement.
-Je vous souhaite bonne chance, ne vous inquiétez pas ça ne va pas être si terrible. Dis-je en rigolant.
Suite à cela nous les laissons avec leur grognement de mécontentement. Nous arrivons à une maison en hauteur qui est effectivement surveillé pas très discrètement d'ailleurs. Bard lança une pomme à deux hommes sur une barques au service du maîtres.
-On dirait que c'est plutôt vous le maître de cette ville. Dis-je en rentrant dans sa maison.
-Pourquoi dîtes-vous cela ?
-Car le maître vous crains pour vouloir vous surveillez, et les habitants vous ont aidés à nous cacher, ils ont plus confiance en vous, cela ce voit sur leurs visages.
-Je ne sais pas, j'aimerais qu'il n'y est plus de maître du tout.
-Vous savez, un peuple à toujours besoins d'un guide.
-Vous avez peut être raison.
-Vous verrez j'ai toujours raison. Dis-je en lui faisant un clin d'œil.
Une petite fille puis une jeune fille se jetèrent dans ses bras heureuses de le retrouver. Je dois dire que aucun de ses enfants ne lui ressemble. Les deux filles elles se ressemblent beaucoup, elles ont des yeux magnifiques ainsi qu'un visage digne de la beauté des elfes. La grande me fit légèrement penser à ma reine disparut. La petite se tourna vers moi en me demanda qui j'étais, je regarda Bard et il me fit un signe de la tête j'enlevai donc la cape est découvrit mais oreilles. Ils furent tous stupéfait.
-Vous-êtes une elfe !!
-WOW ! j'en avais jamais vu quand je vais le dire à mes copines. Dit Tilda.
-Non il ne faut que personne ne sache qu'elle est ici c'est compris. Dit Bard.
-Vous êtes trop belle, on dirait que vous êtes une princesse, vous allez être nôtre nouvelle maman ?
-Tilda !! dit Sigride je regarda Bard qui avait détourné le regard.
-Je ... Non ton papa m'a aidée moi et mes amis. Et tu sais toi tu es aussi belle que les elfes de mon peuples.
-Merci dit-elle timidement. Je sais mon papa ne peut pas s'empêcher d'aider.
Je regarda Bard avec un sourire, on se fixa quelques instants s'en détourner le regard puis on fut interrompus par Sigride.
-Pourquoi y a-t-il des nains qui sortent de nos toilettes ?
Sigride leurs donna des vêtement pour pouvoir se réchauffer car dehors il fait extrêmement froid même moi je le ressent alors que j'ai une certain tolérance au froid.
Thorin était à la fenêtre avec un regard presque surpris Bilbon le remarqua est demanda si il avait vu un fantôme c'était presque le cas. Il y avait sur le bâtiment au centre de la ville une arc lance de nain le seul moyens pour tuer un dragon avec des flèches noires mais malheureusement peu d'entre elles ont été fabriqué. Thorin commença à faire presque la morale en disant que si ce jour là les hommes avaient réussi à tuer le dragon cela aurait changé bien des choses. Mon énervement arriva mais Bain prit la parole avant moi en disant que le dragon a été touché et une écaille a été enlevé qu'il aurait suffit encore d'un tir et il serait mort. Les nains se mirent à rire et Dwalin qualifia cette histoire de conte pour enfants. A ce moment je me mis debout et dit calmement.
-Bain à raison, le dragon à été touché.
-N'importe quoi cela se serait. Dit Dwalin. Comment pouvez-vous le savoir vous y étiez ?
-Oui absolument .
Tout le monde arrêta de parler. Et Thorin où son agacement était présent dans sa voix dit.
-N'importe quoi vous mentez, ce jour là aucun elfe n'est venu aider.
-Personne n'est venu vous aider vous, mais pas les habitants de Dale, Thranduil a envoyé quelques soldats pour faire évacuer la ville mais c'était trop tard, Smaug a brûlé la ville juste pour son pure plaisir, comment et avec l'aide de qui croyez-vous que les survivants de Dale on survécu et pus reconstruire et agrandir Lac-ville ?!
-Vous êtes entrain de me dire que les elfes ont aidé les hommes mais pas nous, nous avons perdus tant des nôtres par vôtre faute!! S'énerva Thorin.
-Calmez-vous dit Balin
Je m'énerva moi même également en le prenant de haut.
-Comment osez-vous dire cela , il était trop tard Smaug avait pris la montagne nous n'allions pas envoyer notre peuple mourir pour vous encore une fois de plus !!! Tout est la faute de votre Grand-Père on l'avait prévenus maintes fois de ce que l'or de cette montagne allé lui faire on lui à dit de s'en débarrassé car une trop grande quantité d'or n'acquiert que des problèmes !! Il n'a rien voulu entendre en disant qu'il n'avait pas besoins de notre aide en nous maudissant !!! Vous êtes cupides et vous ne vous souciez que de vôtre propre vie et celle des autres n'ont guère d'intérêt pour vous !! Votre réputation est des plus détestable sachez le. Je sais que vous n'êtes pas tous comme cela mais il faut bien vous l'avouez qu'une grande partie l'est !! Pendant que votre grand-père est parti sauver son or, son Arkenstone, j'ai vu des bâtiment s'écrouler sur les habitants de Dale sans aucune pitié de la part de Smaug, j'ai vu des enfants brûler, des enfants, ne pouvant absolument rien faire !! Vous n'arrêtez pas de mettre les événements passés sur la faute des autres mais réfléchissait bien à cause de qui tous ses évènements se sont produits, et ce n'est sûrement pas celle des elfes ou des hommes !!! Seulement d'un vieux nain fou rongé par une maladie de l'esprit ne ce souciant que de son tas d'or, à cause de cela vous avez êtes partis reprendre la Moria et le résultat vôtre grand-père c'est fait décapiter, votre père à disparus et la colère d'Azog sur votre ligné n'a cessé de grandir !! J'étais à bout se souffle, il fallait que ça sorte je ne pouvais plus garder mon ressenti pour moi.
Tout le monde me regarda, Thorin était désemparé et ne savais plus quoi dire, ne supportant pas leurs regards je sortis par le bas pour éviter d'attirer l'intention sur la maison.
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