Chapitre 8

Personne ne parle, et d'un coup les nains essayent de prendre le peut d'arme qu'ils avaient mais l'archer tire une flèche au pied de Thorin.

-N'y pensez même pas.

- Stop ! Nous ne sommes pas là en ennemis. Dis-je

- Alors qui êtes-vous ?

-Nous sommes des marchands. Dit Balin et nous allons voir nos familles au Mont de Fer.

- C'est pour cela que vous êtes avec les tonneaux du Roi transpercés par des flèches.

- Nous avons eu un petit problème il faut l'admettre. Dit Bofur.

- Juste un problème qui ne vous concerne pas, vous n'avez pas à vous en inquiétez. Je suis Ethel capitaine de la garde du roi, j'ai mission d'emmener ses nains à la frontière.

- Et comment comptez-vous traverser ?

- Vous avez un bateau, pourriez-vous peut être nous aider ?

- Je ne pense pas, vous me causerez des problèmes.

- Vous avez l'air d'un homme honnête. Vous devez avoir des enfants ? Commença Balin.

- Oui, j 'ai un fils et deux filles.

Je ne sais pas pourquoi mais cet homme m'inspirait plus que confiance, c'était comme si je ne pouvais cesser de le regarder.

- Et vous devez donc avoir une magnifique épouse ?

- Oui... J'avais une magnifique épouse.

- Je suis sincèrement désolé.

- Nous payeront, à un très bon prix. Dit Thorin.

-Comment vous appelez-vous ? Demandais-je

C'est par la suite que nous montions sur le bateau de Bard. Les nains rassemblaient leurs pièces d'or , d'ailleurs Gloin ne voulait pas tout donner, et commença à se lamenter, je ne pus retenir un petit sourire.

-Pourquoi souriez-vous ?

- Les nains sont peut-être un peu comment dire... brusques mais ils sont d'excellente compagnie, on est sur de ne pas s'ennuyer. Et pourtant je ne l'ai connaît d'il y a pas si longtemps.

Il me souri. Puis j'entendis les nains s'émerveiller, mon regard suivi le leurs et je fus émerveillée par la beauté de la montagne.

- Erebor .... souffla Thorin.

On s'approcha de la ville, je le sus presque rien qu'avec l'odeur.

- Cachez-vous là dedans. Dit Bard

Les nains rouspétèrent.

- Faites ce qu'il vous dit. Dis-je.

Ils se mettent dans les tonneaux et Bard qui sort de je ne sais où des poissons commence à les remplir. Intérieurement je voulais rire de cette situations.

- Mettez cette cape et caché vous les oreilles. Les étrangers ne sont pas vraiment les bienvenue à Lac-Ville.

Je détacha mes cheveux pour couvrir mes oreilles. Je remarqua que Bard me détailla et il détourna les yeux aussi vite. Je souris et mis la cape sur moi. Ce n'étais pas vraiment agréable d'avoir cette cape sur moi qui sentais fort le poisson.

On entra dans la ville, on allait passer mais un homme affreusement laid comme jamais je ne l'avais vu auparavant nous stoppa.


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