∆ Chapitre 1 : Prophétie ∆
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Rappel :
(t/p) : ton prénom
(t/n) : ton nom
(c/c) : couleur cheveux
(l/c) : longueur cheveux
(c/y) : couleur yeux
(p/m) : prénom mère
(p/p) : prénom père
(n/c) : nom cheval
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«- Une dernière chose, ma (t/p)...
- Chut, grand-mère... Tu dois *snif* te reposer...
- Tu es une élue... Le héros de la légende... Kof ! Kof ! ... viendra te chercher...
- Je ne comprends rien... *snif* Tu me raconteras ça... Un autre jour... *snif* Repose toi...
- Attends-le... Tu combattras... À ces côtés... C'est écrit... Dans la légende...
Elle poussa un souffle rauque, puis continua :
- Tes parents... ton grand-père... et moi... nous t'aimons très fort... plus que tout...
Je rafermis la prise sur sa main.
- Grand-mère ! Ne parle pas comme si c'était la fin ! *snif*
Sa main libre se leva et caressa ma joue baignée de larmes.
- Tu es devenue si belle et si grande... ma petite (t/p)...
- G... Grand-mère...
Sa main retomba sur le lit.
- Prends soin de toi... ma chère petite-fille...
Elle expira longuement, puis se tut. C'était finis...»
- Le héros viendra me chercher, hein grand-mère !
Je croque violemment dans ma pomme.
- Tss... Foutu héros...
Avant de mourir, ma grand-mère m'a dit qu'il viendrait me chercher et qu'on combattrais ensemble. Pourtant, ça fait quatre ans que je l'attends et il s'est toujours pas pointé !
Je descends de la barrière de l'enclos et rentre dedans. Je m'approche du petit troupeau de chevaux et caresse le plus proche. (N/c).
Mes parents me l'ont offerts pour mes 10 ans. C'est un membre de ma famille. Je ne saurais pas dire comment, mais il a toujours su quand et comment me remonter le moral. On dit que, parfois, un lien indescriptible peut s'établir entre un cavalier et sa monture, s'ils sont vraiment proches. J'imagine qu'on en est la preuve.
Je vis ici depuis ma naissance. Mes grands-parents étaient des sheikah, mon grand-père avait d'ailleurs combattu aux côtés du héros, il y a 100 ans. Lors de la chute du château d'Hyrule, il avait affronté l'armée de gardiens, mais, malheureusement, avait reçu une blessure mortelle, dont il avait gardé des séquelles qui avaient finis par le tuer, 90 ans plus tard.
Quelques mois plus tard, ce fut au tour de mes parents. Ils ont disparus en allant au village d'Elimith. On a seulement retrouvé leurs charrettes et leurs affaires, retournées sur le rebord de la route. Les villageois d'Elimith m'ont dit qu'ils ont sûrement été tués par des monstres, qui ont emportés leurs corps pour des raisons, que... hmm... personne ne veut savoir... Bref...
Mais ce n'est pas possible. Maman était une sheikah, la petite cousine de la haute fonctionnaire Impa !
Grand-mère disait qu'elle l'égalait, voir la surpassait au combat, alors je ne pense pas qu'elle aurait pu être tuée par de simples monstres.
Quand à mon père, hmm... disons qu'il savait se défendre ! Et puis... maman ne l'aurait jamais le laisser se faire tuer !
Je sais qu'il y a autre chose. Ma grand-mère me l'avait confirmée. Elle m'avait dit qu'un jour, je devrais quitter le ranch et aller découvrir ce qu'il c'était passé. Mais elle est décédée deux ans plus tard. Sa santé s'était dégradée en seulement quelques mois. Elle avait eu un gros rhume dont elle ne s'était jamais remis, qui avait finis par la tuer. J'ai eu énormément de mal à m'en remettre.
En moins de deux ans, j'avais perdu toute ma famille.
Avant de mourir, grand-mère m'avait expliqué certaines choses, que je ne suis pas sure d'avoir vraiment compris... Selon une prophétie, je serais une élue. Le Héros est sensé venir me chercher, et, ensemble, on combattra le mal.
Résultat, ça fait quatre ans que je l'attends et il n'est même pas fichu de pointer le bout de son nez ! Tss... j'aurais mieux fait de partir directement à la recherche de mes parents !
Au fond de moi, je le dis qu'ils sont toujours là, vivants quelque part. Mais, au bout de six ans sans nouvelles, cette éventualité me semble de plus en plus impossible... Chaque jour, chaque mois qui passe, les traces qu'ils auraient pu laisser s'effacent de plus en plus.
Et moi, je suis là, à attendre un Héros qui ne viendra peut-être jamais...
(N/c) leve sa tête vers moi. Il colle sa tête contre ma joue. Je lui carresse affectueusement le front et lui dit :
- Heureusement que je t'ai toi, hein ! Qu'est-ce que j'aurais fait si tu n'aurais pas était là ?
Il avance doucement la tête. Mais au lieu de me mordiller l'épaule ou souffler dans les cheveux, en signe de réconfort, il attrape ma pomme et tourne les talons.
- (N/c)... fulminé-je. Je te fais des louanges et toi, tu me remercies comme ça ! Espèce de...!
J'inspire, puis expire longuement à plusieurs reprises pour me calmer, avant de lui dire :
- Très bien, la prochaine fois, tu vas m'aider à les cueillir ! fais-je, boudeuse.
Il a entendu, je le sais. Mais il n'en montre rien, pour faire comme s'il n'avait pas entendu. Je lui tapote la croupe, pour lui dire d'arrêter de faire le gamin.
Il termine, bien évidemment, ma pomme avant de relever la tête et de me lancer un regard lassé.
Mais quel flemmard...
- Tu es vraiment...
Je soupire. Je lui tourne le dos et repart vers la barrière. Au bout de quelques pas, je sens une légère pression sur mon épaule.
- C'est trop tard, maintenant, (n/c) !
Il pousse un souffle rauque que je traduis par un soupire. Je m'arrête pour lui caresser légèrement les naseaux, amusée, avant de ressortir de l'enclos.
Mon chat, Yoru, vient se frotter contre ma jambe. Je le prends dans mes bras et rentre dans la maison.
Bon sang, il faut que j'arrête de me morfondre. Chaque année, ça me fait ça... À chaque anniversaire de mort, les vieux souvenirs remontent. Ca ne devrait être qu'un jour comme un autre, pourtant...
Je rentre dans ma chambre et pose le chat sur mon lit. Il fait quelques tours sur lui même avant de s'y rouler en boule.
Je pose ma main sur sa tête. Il se met immédiatement à ronronner. Attendrie, je me pose à ses côtés. On l'a trouvé peu après la disparition de mes parents. Il était tout seul, dans un buisson, plein de boue et d'egratinures. Je n'ai aucune idée de ce qu'il faisait là, mais on l'a recueilli et il n'est jamais parti. Comme (n/c), il fait parti à part entière de notre famille.
Je le caresse une dernière fois puis m'éloigne du lit, un peu plus sereine. Au mur, une longue épée est accrochée. Une épée de Vertu qui appartenait à mon grand-père, autrefois. C'est lui, avec maman qui m'a appris à me servir d'une épée, d'une dague, à tirer à l'arc ou encore à me battre à mains nues.
Je la soulève de son socle et la tiens devant moi. Lorsque je la tiens, je ressens comme une boule au creux de mon ventre, consciente des horreurs qu'elle a vu. Et que je tiens maintenant dans les mains. C'est pourquoi je préfère me battre avec ma petite dague. Elle est déjà plus maniable, mais je n'aime pas vraiment ce sentiment.
Au mur, mon carquois et mon arc sont également exposés, eux aussi d'origine sheikah. Je les prends eux aussi, j'irai peut-être chasser un peu en rentrant.
J'accroche l'épée à ma ceinture, près de ma dague, toujours cachée sous ma tunique. Je sors, allant sceller ma monture.
En voyant l'épée, cette dernière souffle bruyamment. Je pars chercher sa selle et son harnais dans le hangar. L'odeur de poussière me prend au nez et les rayons du soleil scuintent entre les planches, éclairant le sol poussiéreux. Il faudrait peut-être lui redonner un coup de neuf... C'était mon père, qui s'en occupait autrefois.
Bon sang, il ne faut pas que je recommence à penser à ça... Il faut que j'aille me changer les idées. Enfin... M'entraîner n'a jamais vraiment marché, les autres fois... Mais c'est toujours mieux que déprimer, roulée en boule dans mon lit.
Je retourne au près d'(n/c).
- Fais pas la tête, ça te fera du bien, de sortir un peu !
Il ne daigne même pas tourner la tête vers moi. Je le fais sortir et monte en selle. Il contourne machinalement la maison et tourne vers le haut de la montagne.
Ce n'est pas très long pour monter au sommet, juste une ou deux minutes. C'est une grande surface plate, où, au centre, se dressent trois rondins, pas en très bon état. Ils sont couverts de coups d'épées, l'écorce complètement arrachée et le bois semble garder des marques de coups de pieds. Il serait peut-être temps que je les change...
Cette zone est un véritable cadeau d'Hylia. Déjà, je peux voir tout ce qu'il se passe des kilomètres à la ronde. De la mer aux monts Gemines, jusqu'à la chaîne de Lanelle. On peut apercevoir le bout d'une maison d'Elimith, au moins, et certaines nuits, les lumières du relais. Et en plus de ça, elle me sers de zone d'entraînement. Je peux me défouler à volonté sur les buches me servant de cibles.
Je m'étire pendant plusieurs instants avant de laisser tomber mon épée sur le sol. Je fonce vers le premier poteau en sautant d'un pied à l'autre à grande vitesse, avant de lui donner un coup de pied circulaire. Je le sens vibrer. Je saute ensuite en l'air et donne un autre coup, aérien cette fois.
Flash Back
- Pas comme ça, (t/p) !
Je raterris lourdement sur le sol et me tourne vers mon grand-père.
- Ton jeu de jambe n'est pas bon ! Remontre lui, (p/m) !
- Bien ! Redescends, chéri !
Mon père, qui réapparaît le toit, soupire, avant d'en descendre précautionneusement.
- Vous voulez ma mort, ou quelque chose du genre, dit-il en essuyant ses mains poussiéreuses sur ses cuisses. Quand est-ce que vous allez vous décider à arrêter ?
- Pas tant que je n'aurai pas maîtrisé la technique de grand-père et maman ! m'exclamé-je.
Il pousse un soupir, deprimé, avant de se placer à quelques pas de ma mère en position de défense.
- Vas-y moins fort, cette fois ! se plaint-il. Je dois déjà avoir des bleus !
Ma mère ricane, désolée.
- Excuse-moi...
Elle saute à vitesse folle d'un pied sur l'autre vers lui et lui donne un léger coup de pied circulaire.
Mon père recule en gémissant, sa réaction étant légèrement exagéré à mon goût. À moins qu'il n'ai vraiment aucune résistance...
- Je ne t'ai pas fait trop mal ? s'empresse de demander ma mère en se jetant sur lui. J'ai essayé d'y aller doucement...
- Je ne suis pas sur d'avoir la même définition de "doucement"... dit-il, avec un drôle de rire. Je ne suis qu'un simple hylien, je te rappelle !
- Oh, arrête de te plaindre, gamin !
Il fait volte-face, son ton amusé devenant brusquement sur la défensive.
- Beau-père ! Vous n'avez qu'à me remplacer, si ça vous amuse ! geint-il. En plus, je ne suis même pas sur que (t/p) ai vu quoi que ce soit !
- Ça y est, j'ai compris ! m'exclamé-je.
Il me lance un regard biaisé, avant de faire une moue.
- Bon sang, ma chérie... Tu as vraiment tout tenu de ta mère...
- Mais non, lui dis-je avec un petit sourire consolateur. Regarde, de qui est-ce que j'ai tenu mon talent en cuisine, à ton avis ?
- Hé ! s'indigne ma mère. Qu'est-ce que tu veux dire ?
Innocemment, je me remets en position, prête à lui foncer dessus.
- Pas si vite, ma petite (t/n) !
D'un jeu de jambes, je suis devant elle, pivote et abat mon pied comme elle me l'a montré. Elle part, si facilement qu'elle me rappelle encore une fois à quel point la force qu'elle possède est colossale.
Fin du Flash Back
Un petit sourire étire mes lèvres, et, déconcentrée, je rate mon coup de pied.
Je me réceptionne sur le poteau central du bout des pieds et me propulse vers le sol. Alors que je m'apprêtais à y retourner, un bruit attire mon attention. Un bruit de tintement que je connaissais très bien.
Des épées.
Je m'approche d'(n/c), qui les a lui aussi entendu. Les oreilles dressées, il regarde vers le bas.
Je baisse les yeux dans la vallée et cherche pendant quelques instants leur origine. Dans un champ en lisière de forêt se dressent des silhouettes, bien trop grandes et disproportionnées pour être humaines. Des moblins.
Merde. Qu'est-ce qu'ils font là ? Ils ne s'approchent jamais autant, d'habitude.
À moins que toute la vallée ne leur suffit plus et qu'ils ont décidés de se trouver un nouveau terrain de chasse ?
Dans tous les cas, ce n'est pas bon du tout pour le ranch.
- J'y pense, (n/c) ! Ça fait longtemps qu'on a pas eu un vrai combat, non ?
Il s'ébroue. Je remercie la déesse de m'avoir fait prendre mes armes, je n'aurais pas à m'arrêter à la maison.
Je saute d'un bon sur ma monture et la fais descendre le long de la montagne rapidement. Il suit le sentier à peine visible à travers les herbes hautes qui fouettent mes bottes, tantôt au trot, tantôt au petit galop.
On passe devant la maison. À partir de là, la pente se fait moins raide. (N/c) passe donc immédiatement à un galop plus rapide. On atteint en quelques instants les bois.
La forêt est abondante en bêtes. Or, on en croise aucun. Pas un écureuil allant se réfugier dans un arbre, pas un renard se cachant dans les buissons, ni même un oiseau dans un arbre.
Ils ont dus se cacher en entendant les monstres. On ne peut pas dire qu'ils soient très discrets... On traverse les sous-bois à bride abattue, avant d'arriver dans une prairie, où se passe un spectacle assez inhabituel.
Des bokoblins et moblins de couleur rouges, bleus et noirs sont en train d'affronter un homme. Malgrés leur nombre, il s'en sort vraiment bien. Sûrement un guerrier. Je ne prends pas le temps de rêver et galope vers eux.
J'abats le premier bokoblin à ma porté, puis un rouge en les decapitant. Puis, ma lame le ventre d'un moblin. Il s'effondre en arrière, écrasant plusieurs de ces diaboliques amis. J'en tue plusieurs autres de la même manière, avant de me tourner vers le guerrier.
Il est blessé, du sang coule sur sa peau, visible à travers sa tunique entièrement noire, déchirée au ventre et à l'épaule. Ses cheveux noirs de jais emmêlés tombent sur son visage, m'empêchant de bien le distinguer.
Soudain, il relève la tête et je suis prête à jurer avoir vu un éclair rouge.
- Fais gaffe, bordel !
Je me retourne juste à temps pour contrer la lance d'un moblin et de l'envoyer en l'air. Je l'éventre, et il s'effondre en poussant un gargouillis écœurant.
- Comme si j'avais besoin d'un cadavre sur les bras !
Je n'ai pas le temps de lui répliquer qu'un autre moblin, noir, cette fois, m'attaque. Je mets un peu plus de temps à le vaincre que les autres, sa peau étant plus dure à transpercer.
- Urgh... gémis-je. Il en arrive de tous les côtés...
J'entends l'homme pousser un cri de surprise. Du coin de l'oeil, je le vois à terre, son épée à quelques pas.
Étalé sur le dos, il regarde, haletant la batte qui s'arrête à l'abattre, au dessus d'un énième moblin.
Je dirige (n/c) vers lui, me mets agilement debout sur la selle et lui fends le crâne en deux.
Je m'arrête à côté de l'homme, qui ramase son arme avant de se remettre péniblement sur ses pieds.
- Ça va ?
- J'ai l'air d'aller bien ? crache-t-il.
Si tu as encore la force de crier, c'est qu'il te reste encore de la force pour vivre, comme disait grand-mère.
- Haa... Bordel...
Il regarde au loin. Je jette un coup d'œil dans la même direction que lui. Un frisson désagréable me parcours l'échine. Une autre troupe de bokoblins marche vers nous, un hinox à sa tête.
- (N/c)... Je compte sur toi.
Je le lance au galop en direction du groupe de monstre, saute de la selle et enfonce mon épée dans l'oeil du monstre. Elle y reste plantée quelques instants, me maintenant en l'air, avant d'en glisser, me permettant de toucher terre. Je continue à abattre les monstres, à terre, cette fois. J'en éventre un, écase la tête d'un autre avec un coup de pied, esquive, puis décapite les trois qui m'entouraient d'un seul mouvement. Autre raison de pourquoi j'utilise rarement cette arme : elle est lourde. Mais vraiment lourde. Mes gestes sont considerablements restrins.
Je continue ainsi pendant de longues minutes. Sans être rééllement dur, c'est épuisant...
- Ça ne s'arrête donc jamais ? soufflé-je.
Enfin, après une autre dizaine de monstre abattus, il cessent d'apparaître. Je tue les derniers en soupirant.
- Hé ! Réveille-toi ! T'as tué que ceux qui arrivaient, débile !
Je me retourne.
- ... Merde...
Je tourne la tête et fait signe à (n/c) de revenir. Il arrive vers moi au galop, me permettant de m'accrocher à la selle et de retourner vers le guerrier. Au bout de longues fastidieuses minutes, j'achève enfin le dernier bokoblin.
- Enfin terminé...
Mes bras sont lourds et je pêne à soulever mon épée. J'entends la respiration haletante du guerrier, derrière moi, mais je ne me retourne pas tout de suite, vérifiant qu'il n'y a pas encore d'autres monstres qui arrivent.
Un énième soupire me parvient, puis plus rien. Juste le bruit de son corps s'écroulant au sol.
Il est tombé.
Je m'empresse d'aller vers lui, et m'accroupis à ses cotés. Il est couvert de sang... En partie pas du sien, mais le trou dans son ventre et ses blessures à l'épaule en perdent beaucoup.
- Hé, meurs pas tout de suite, mon vieux !
Je le mes sur mon épaule, puis le dépose sur la selle d'(n/c). Il est très léger. Beaucoup trop, même.
Je n'y prête pas tout de suite attention et part chercher son épée et son bouclier. À chacun, ils sont plus lourds que lui, comment peut-il arriver à les porter ? Je les accroche à la selle, puis y monte à mon tour. Ma monture souffle.
- Allez, courage, mon grand. Encore un petit effort.
Lui aussi, doit être épuisé...
∆ À suivre... ∆
Voilà... Ça faisait longtemps que cette fanfic traînait dans mes brouillons, alors je me suis dit que ce serait dommage de ne pas la publier...
Il n'y a vraiment pas beaucoup de Dark Link x reader, sur wattpad, alors j'avais envie d'en rajouter quelques uns ! Je compte d'ailleurs en publier un autre bientôt, sur OOT.
De base, cette fanfic était écrite au passé, je l'ai corrigé parce que je préfère comme ça, alors dites-moi si j'ai oublié des verbes. ^^
Et bien sûr, donnez moi vos avis, j'aime bien les avoir. ^^
Ciao ❤️
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