Le conseil des vampires

point de vue Alister :

J'ai un rendez-vous à minuit avec le conseil des vampires. C'est l'heure habituelle où leur funeste assemblée à lieu. Comme d'habitude, je soigne mon entrée en passant à travers la verrière du plafond. La grande horloge comtoise indique qu'il est minuit passé de deux minutes. Malgré mon irruption fracassante, les membres du conseil restent stoïques. J'aperçois Faust mon frère, ainsi qu'un autre assassin assis à côté de ma place habituelle. Il me lance un clin d'œil quand je me rapproche de lui le verre crissent sous mes épaisse semelle. Puis, je m'installe et la réunion commence enfin.

Chef du conseil :

-pour la première fois de l'histoire de notre espèce, nous allons vous envoyez pour une mission extrême périlleuse. Deux de nos sangs purs auront la tâche la plus difficile qui soit. Le diable ou Lucifer, appelez-le comme vous voulez, s'est improvisé de petites vacances sur terre. Cet être rempli de perversion, raffole d'orgies meurtrières, presque tout au temps qu'à Alister (je souris à ses mots) sauf que ce démon ne tue que des vampires et de surcroit sans autorisation.

En résumé, vous avez le choix entre faire preuve de diplomatie et le renvoyer en enfer ou alors vous le tuez. Ou bien, l'asservir, mais même toi tu n'es pas assez puissant pour ça Alister.

À ses mots, je relâche une partie de mes pouvoirs ce qui fais trembler le château tout entier.

-Me sous-estimeriez-vous conseillers ? Rien ni personne ne m'impressionne, pas même Lucifer ! Je me délecterai de son sang et l'enverrai dans les tréfonds de l'enfer. Lancé-je d'une voix froide comme la mort.

D'ailleurs une question me turlupine ; est-ce que son sang à la même saveur que celui des démons ?

Mon frère explose de rire avant de figer les conseillers d'un seul geste. Je crois qu'il veut me parlez en privée :

-Pourquoi leur as-tu parlé de cette façon ? tu sais bien que certains conseillers sont rancuniers ?

-Oui je sais, mais je déteste qu'on me prenne de haut. As-tu remarqué que tu n'as pas réussi à geler Alek ?(celui-ci écoute avec attention notre conversation l'air curieux).

-Et alors ! c'est notre cousin. On se fiche de savoir s'il écoute, mais tu vas vraiment tenter de soumettre le diable ?

« Alors sur le champ, il ordonne aux guerriers de sonner les clairons puissants, et de lever l'étendard. Cet orgueilleux honneur est réclamé comme un droit par Azazel, grand chérubin. »

-Tu sais ce qu'est devenu ce démon ?

-Oui tu la soumis, mais c'est un archidémon c'est vrai, mais de second ordre.

-Et alors tu me crois faible mon frère ?

-Tu étais donc au courant ?

-En effet, mais retournons à cette mission ! je te suivrais dans ta folie, mais a une seule condition...

-Quelle est-elle mon frère ?

-Donne-moi de ton sang, tu sais très bien que si j'en bois, je pourrais te retrouver en cas de problèmes ?

-Faisons un échange. Ton sang contre le mien.

À ces mots, je vide entièrement le vert de plasma humain posé à ma droite. Ensuite, avec l'une de mes courtes griffes, j'entaille la paume de ma main. Un sang-froid au reflet charbonneux coule aussitôt le long de mes doigts et finit dans mon verre. Une fois plein, je tends à mon frère le gobelet afin que lui aussi avale mon précieux liquide.

Quant à Faust, il pousse un profond soupire, retrousse sa manche et me tend sont poignet. Lorsque je comprends son intention, je plante juste un de mes crocs dans une veine grisâtre courant sur la peau blafarde de mon aînée. Ma langue lèche la plaie et les quelques gouttes de sang que j'avale me brulent littéralement la gorge. Je suppose qu'il est fort probable que mon frère ressente la même chose que moi. Alors que je suis concentrée sur son poignet, mon frère en profite pour boire le contenu du verre en partie rempli de mon hémoglobine. Je fais un signe de tête vers les membres du conseil congeler et avec un grognement agacé mon cousin les dégèle.

-Alors membres du conseil où se trouve le diable ? Demandé-je, sur un air arrogant.

-Il se trouve à Vegas.

-Et quelles sont les limites de nos autorisations ?

-Vous avez quartier libre. Éviter juste de rayer Vegas de la carte ou de vider la ville de la totalité de ses habitants.

-Très bien, mais n'oublier pas, ce qui se passe à Vegas reste à Vegas.

Sans plus tarder, Faust et moi nous nous transformons en hirondelle afin d'arriver le plus vite possible à Vegas.

Éclipse du trajet

Vegas est vraiment magnifique la nuit.

Nous arrivons au cœur même de l'immense ville qui ne dort jamais. Lucifer se trouve dans le plus grand hôtel de Vegas. Je serais bien allez bastonner le diable maintenant, mais à cette heure il y'a bien trop de monde dans son luxueux building. De plus, après cette longue route mon frère et moi sommes à moitié morts de soif et je ne parle pas d'eau.

Nous devons trouver dans la Ville lumière ce qu'on appelle des casinos rouges. Des casinos ou des pièces particulières sont installés ou des humains volontaires offrent leur sang au vampire en échange d'immortalité.

Les vampires sons payer pour boire du sang, n'est-ce pas génial ?

Je parie que deux originels se vendront très bien.

J'entends Faust par télépathie, on s'est séparé pour chercher [ -Alister, j'ai trouvé ! c'est au 132 avenue X, rejoins-moi

-j'arrive je ne suis pas loin]

Nous arrivons au Casino et le portier nous demande de montrer nos crocs comme laisser passer. Pour plus de discrétion, nous avons replié nos ailes. Nous rentrons dans une sorte de salon vraiment sombre éclairé à la chandelle de lourde tentures en soie sont pendu au mur bordeaux ce sont les seule ornements de la pièce outre les canapé de cuirs noirs dans lequelle nous nous installions .

Mon frère et moi avons le privilège de profiter d'un salon VIP, réserver aux premières générations et aux originels. Je m'allonge nonchalamment sur le canapé à gauche, une aile reposée sur le dossier et l'autre étendu à travers la pièce. L'extrémité de mon aile atteint l'autre canapé où est assis Faust, tandis que les siennes sont repliées dans son dos. Soudain, une vingtaine d'humains de tous âges viennent vers moi et font une sorte de queue. Même chose devant Faust qui grimace. Je sais que mon frère n'aime pas faire de mal aux mortels inutilement.

-Mon frère n'apprécie pas tellement le sang. Lorsqu'il aura sa dose, venez vers moi et je vous transformerais à sa place. Ça vous va ?

Les humains hochent la tête et mon frère m'adresse un regard de reconnaissance.

Un vampire fait son entrée, nous jette une œillade et nous lance un petit salut. Il est chargé d'emmener les humains en mutation en chambre de transition. Je trouve ça un peu cliché, mais bon, ça ne me regarde pas. Le premier innocent s'approche de moi, alors que je suis toujours allongé sur le canapé. A son approche, je me redresse et me mets en position assise. J'étends mes ailes dernières moi et lui fais signe de venir. Il s'assied à côté de moi et me présente son cou afin que je plante mes canines dans sa chair. Sans plus attendre, je me rue sur sa gorge et aspire à grande gorgée le savoureux sang. Désormais, je sais comment transformer un humain. Alors ça se passe sans accroc pour lui comme pour les cinq qui suivent. Au bout d'un certain temps, je remarque du coin de l'œil Faust faire non de la tête avant de me désigner d'un signe de tête le reste des individus. Il doit avoir son compte d'hémoglobine. Je ne me fais pas prier et transforme donc les vingt humains restants avant de pousser un soupir de contentement et me levez suivis de Faust qui me demande :

-Tu n'étais pas obligé de boire au temps ! pourtant tu la fais pourquoi ?

-J'aurais pu m'arrêter à huit litres de sang, mais ils seraient venus pour rien et puis le conseil a dit que j'aime les orgies non ? réponde-je en m'éclatant de rire.

-C'est vrai... bon on la continu cette traque ?

-J'ai hâte mon frère.

Après ces évènements, nous décollons en direction de l'hôtel.

Éclipse du vol

Ça fait longtemps que personne n'a réussi à me suivre. Faust est vraiment rapide, mais il ne parvient pas à me dépasser. L'hôtel est réservé aux surnaturels, ils demandent donc une preuve de l'appartenance à une espèce de surnaturel de transformer une main. Chez les garous, ils doivent faire sortir les cornes des démons et enfin faire apparaitre les ailes des vampires.

Zut, on va encore une fois se faire remarquer ! juste après avoir passé la sécurité, nous reprenons notre forme humaine. Cela faisait des mois que je ne l'avais pas personnellement arborée.

Nous sommes arrivés à la suite privée du malin. On dirait qu'il ne nous a pas vues, mais je remarque toute de suite à quel point le diable à conserver sont apparence angélique même ses ailes ont garder leur blancheur loin des ailes classique des démon à la peau noir et brillante pareille à du cuir seul sont expression bien trop malicieuse pour un ange et les courte corne noir poussant de pars et autres de sont crâne démontre sa nature démoniaque.

Il est en train de chanter la sérénade a une démone :

-Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme, ô beauté ? Ton regard, infernal et divin, verse confusément le bienfait et le crime, et l'on peut pour cela te comparer au vin.