Chapitre 7- Dispersion

Les bruits sourd du marteau était régulier tels le claquement d'une horloge ce qui me rendait encore plus tendu. Les filles autour de moi pleurnichait mais ne réfléchisaient pas à un plan pour nous sortir de cet enfer. Julien inspecter les lieux pour étre sur qu'il n'y avait pas d'autres entrée que la porte principal. Il eus soudain une idée en aperçevant plusieurs clés étalés sur le bureau d'angle.

(Julien): Margot ! Combien y a-t-il de piéce à cet étage ?

(Margot): 14 pourquoi ?

Sur le bureau se trouvé une vingtaine de clés je compris alors l'idée de Julien et la trouva plutôt bonne. Julien pris les clés dans ses mains et les distribua unes par unes aux autres.

(Julien): Tenez prenez tous une clé chacun et enfermez vous dans une des piéces normalement il y a assez de piéces et assez de clés

Personnes ne d'éclinna les clés tandis que Mélanie jouait avec ses méches elle nous fit remarquer quelque choses de non négligabe.

(Mélanie): Oui mais sa ne changera rien si il veut ouvrir la porte il le fera avec son marteau.

(Moi): Oui mais il n'y aura qu'une personne à tué à la fois alors que si il casse cette porte là il nous aura tous en même temps.

Elle acquiesa et nos finimes par nous lever et ouvrir la porte nous sortons de la piéce uns à uns en restant trés silencieux, les coups était trés fort ce qui voulait dire que l'inconnu était au deuxiéme étage, Julien ferma la bibliothéque de l'extérieur et chacun de notre côté nous partis nous cacher. Je fut trop laisse et je n'avais plus de piéces mise à part les toilettes ou la buanderie. Mon bon sens choisit la buanderie où plusieurs cachette sont possible. J'entra dans la piéce et la ferma à clé. Je jetta la clé en jettant des coups d'oeil à mon téléphone qui n'avais toujours pas de réseau comme depuis le début de la soirée. Dans la piéce plusieurs cachettes était possible tels que la machine à laver, les meubles de rangement ou encore l'ancien frigo. Je tendis l'oreille, il y avait encore des bruits de marteau donc il était toujours au 2éme étage, lorsque et seulement lorsque les bruits auront une fin je devrais me cacher. J'avais peur et j'aurais préférer rester cachée avec Julien, il me rassure lui au moins tandis que mon inconscient lui ne me rassure pas du tout et me fais même imaginer des scénarios catastrophiques. Soudain je me rendis compte que la mélodie du marteau avait cesser et qu'elle avait laisser la place à des pas pour le moins inquiétant. Vite une cachette. J'essaya dans le lave linge mais rien n'y fit je ne rentrer pas. Je ne rentrer nul part d'ailleurs vite un plan B. Je n'en avais pas, c'est les yeux plein de larmes que je me cogna la tête au mur quand je remarqua une ficelle qui pendait au dessus de moi et qui était au centre d'un rectangle au plafond. Je la tira....
Je n'allais pas me faire assasinée car ma porte de sorti était le vieux grenier qui s'ouvrit sous mes yeux.




Suite Chapitre 8 ...

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