Chapitre 29
Ce chapitre contient des scènes explicites qui ne conviennent pas
A certains lecteur /!\
Maximiliano porta sa tasse de café à ses lèvres, d'un air quasiment détaché. Lisa Sternling était revenue foutre la merde dans sa vie. Il n'arrivait toujours pas à l'intégrer. Il se sentait tellement vulnérable et surtout honteux d'avoir bu plus que de raison. Le jeune homme avait toujours eu le contrôle de lui même et maintenant voilà que la mégère se pointait et il perdait les pédales. Jamais n'aurait-il pensé la revoir un jour. Jamais n'y avait-il même songer. Cette femme aussi vicieuse que perverse l'avait tuer. Elle lui avait arraché le semblant d'innocence qu'il lui restait et l'avait rendu froid et sans-coeur. Il n'était qu'un enfant et pourtant elle n'avait pas eu de considération pour sa personne. Lisa était un diablesse. Elle était pire que le diable et maintenant qu'elle était revenue, il ne savait comment réagir. Max ne savait pas ce qu'il devait ressentir et encore moins ce qu'il devait penser.
Maria, une des femmes de chambre le servit un œuf au plat et débarrassé sa tasse à présent vide.
— Maria avez-vous vu mademoiselle Léna ? Ne viens elle pas manger ?
— Je suis navrée monsieur mais mademoiselle est sortie très tôt ce matin disant qu'elle des chose urgentes à faire.
— Vous a-t-elle dit ou elle allait ?
— Non monsieur.
— Bon, elle est sûrement sortie travailler. Vous pouvez disposer.
Cette dernière ne se fit pas prier et s'exécuta. Le jeune homme aurait voulu s'excuser auprès de sa meilleure amie. Elle lui avait portait secours alors même qu'il était bourré et lui avait été plus que froid avec elle. Je vais lui parler plu tard, Songea le milliardaire. En attendant, il devait voir Askia pour mettre les points sur les I. Il n'avait jamais aimé être désobéit et la jeune femme avait volontairement faillie à son devoir. Tout ce qu'elle avait à faire c'était de rester à ses cotés et de faire la comédie, Pensa Maximiliano. Au lieu de ça, elle l'avait laisser en plan en plein milieu d'une réception d'affaires pour leur première apparition en public.
Il avait envie de la punir comme il savait si bien faire. Ses prunelles brillèrent d'un éclat malveillant. Il n'allait sûrement pas lui faire de cadeau. Le jeune homme ajusta son col et entra dans sa voiture. Les dés étaient jetés.
×××
Franc sonna à la porte de la villa Campbell. Un homme qui n'était autre que le père de Askia, ouvrit . Celui-ci scruta la jeune femme, étonnée.
— Qui êtes-vous mademoiselle ? S'enquit-il.
— Êtes-vous monsieur Matthew Campbell ?
— En effet. Et vous ?
— Je suis Francky Miller, je suis une amie de votre fille Askia. Je suis venu lui rendre visite. J'ai besoin de lui parler.
— Je ne vis pas ici avec ma fille. Mais entrez vous ne pouvez pas rester dehors, il fait un froid de Canard.
Franc sourit effrontément.
— Merci monsieur.
— Pas de monsieur entre nous, vous pouvez m'appeler Matthew, Répliqua-t-il en la répliquant.
Francky sourit avec hypocrisie. Tout se passait comme sa devait se passer et le vieux croûton était en train de tomber dans ses filets. Il fallait avouer que dans sa robe ultra courte et moulante, personne n'aurait pu résister.
— Voulez vous quelque chose à boire ? Une tisane ? Un verre d'eau ? Une liqueur ? Demanda le vieil homme, ébloui par la beauté de la jeune femme.
— Je serais partante pour un verre de Martini si ça ne te déranges pas.
— Bien sur que non.
Il interpella sa femme de ménage qui accourut aussitôt.
— Solange pourriez vous apportez un verre de Martini à la demoiselle ici présente ?
— Bien entendu monsieur Campbell.
La jeune femme s'absenta quelques minutes et revint avec une bouteille de Martini et deux verres adaptés. Matthew les servit et tendit son verre à Francky. Elle sirota sa boisson et il fit de même.
— Askia ne m'avait jamais dites qu'elle avait un père aussi séduisant, je suis sans voix, le complimenta cette dernière.
— Oh sottises. Je suis bien âgé, Rit Matthew.
— Bien sur que non. Pour vous dire vrai, je n'aurai eu aucun mal a vous prendre pour son frère.
— Vous êtes vraiment une flatteuse hors pair Francky.
— Il n'y a pas que flatter que je sais faire, Répondit-elle avec sensualité en mordillant sa lèvre inférieure.
— J'en suis convaincu. Vous m'avez l'air d'être une jeune femme aux multiples facettes. J'aime les femmes comme ça. Au fait que faites vous dans la vie ?
— Je suis propriétaire d'un restaurant haut de gamme dans la ville, Répondit-t-elle tout sourire.
— Waouh je suis ébahie. Vous êtes vraiment une femme exceptionnelle Francky, Askia a vraiment des amies compétentes.
— Merci beaucoup Matthew, je vais vous passer ma carte comme ça vous pourriez venir un de ces jours qu'en dites vous ?
— Ce serait avec plaisir.
Elle farfouilla dans son sac à main et en sortit une petit carte portant le logo de son restaurant, son nom complet et ses numéros de téléphone.
— Soyez en sure Francky, je viendrais vous voir très souvent, je n'ai pas l'intention de laisser filer une aussi belle femme que vous.
— Merci Matthew vos compliments me vont droit au coeur mais je dois y aller.
— Bien entendu.
— C'était un plaisir de faire votre connaissance. J'aimerais beaucoup vous revoir, vous êtes un homme formidable, Dit la jeune femme d'une voix tout à fait mielleuse.
— Arrêtez sinon vous allez vraiment me faire rougir, Répondit ce dernier.
— Je ne dis que la vérité Matthew.
Il ricana.
— Vous êtes bien trop flatteuse.
— Non, Rigola-t-elle, seulement honnête.
Elle jeta un regard furtif à sa montre. Elle devait partir et s'amuser en voyant Matthew courir après elle comme un clébard. Son plan était infaillible.
—Il est vraiment tard, j'ai beaucoup de chose à faire je dois m'en aller. Ces quelques minutes en votre compagnie était un plaisir.
— Et le plaisir est partagé.
Elle sourit et se mordit la lèvre.
— Je n'ai finalement pas trouver Askia. Moi qui pensait qu'elle vivait encore avec vous.
— Non, non. Ma fille est une jeune femme qui tient énormément à son indépendance et elle a donc son propre appartement au centre ville.
— Pourriez vous m'envoyer ses coordonnées ?
—Biensur, je vous les ferais parvenir sans faute.
— Très bien merci. Je vais devoir vous dire au revoir.
— Au revoir ma chère Francky.
Askia était en train de réorganiser des archives lorsque la porte s'ouvrit et Maximiliano entra. La jeune femme soupira. Il était diablement sexy dans son costard cravate qui lui donnait l'air d'un détective privée. C'était un crime d'avoir autant de beauté, pensa-t-elle.
— Qu'est-ce que tu me veux aujourd'hui ? Demanda-t-elle un peu froidement. Elle lui en voulait encore d'avoir préféré l'argent, la luxure et sa réputation à une vie humaine. La jeune anglaise le croyait pourtant différent.
— Calme tes pulsions et écoute moi Askia, Répondit ce dernier.
Il prit place sur la chaise en face d'elle et la scruta inlassablement. Dieu qu'elle était belle, Songea celui-ci. La jeune homme avait envie de la croquer sans plus attendre.
— Oui je t'écoute.
Il soupira et dit :
— Je suis venu afin de...de...de m'excuser pour mon attitude d'hier soir.
— Tu souhaite t'excuser de quoi exactement ? De t'être comporter comme un ignoble con, d'avoir refuser que j'aille épauler mon amie juste à cause de ta fichue réputation ou de m'avoir parler comme si j'étais ton objet.
— Vas-y molo Askia. C'est la toute première de ma vie que je demande des excuses à quelqu'un alors je t'en conjure n'en rajoutes pas.
La jeune femme n'y croyait pas. C'était la toute première qu'il présentait des excuses à quelqu'un et il ne l'avait fait qu'à elle. Il devait être doté d'un égo démesuré, se dit-elle.
— Tu es sérieux ? C'est vraiment la première fois que tu présentes tes excuses à quelqu'un ?
— Ouais. Je voulais vraiment m'excuser de m'être comporter comme le dernier des imbéciles. Cette réception était vraiment très importante pour moi et je t'ai mal parler je n'aurai vraiment pas du.
— Ouais t'aurai pas du, Répondit cette dernière.
— Eh, Ricana le milliardaire, C'est le moment où tu es censé me pardonner et me dire que ce n'était pas ma faute.
— Je ne te pardonnerai pas aussi facilement crois moi. Tu m'as profondément déçu et surtout blessée, Clama Askia.
— Alors dis-moi ce que je dois faire pour que miss Roberta Campbell me pardonne. Je suis toute ouïe.
— Rien de tout, Cracha la jeune femme.
Il contourna le bureau et souffla dans le creux de son cou.
— Je dois faire rien du tout pour que tu me pardonnes ? Tu en es sûre ma belle.
Askia frémit. Il voulait vraiment qu'elle succombe. Les pointes de ses seins se durcissent d'excitation. Elle le voulait rien qu'à elle mais devait être raisonnable. Avalon avait raison, toute cette histoire ne lui mènerait à rien.
— Max je t'en prie pas ici, Supplia cette dernière.
— Tu me repousses ? Tu ne peux pas savoir à quel point ça m'excite quand tu m'appelles par mon diminutif. Ça sonne suave.
— Maximiliano je t'en conjure c'est mon lieu de travail, tout ceci c'est de la folie et si quelqu'un nous prenait en flagrant délit et si-
Le jeune homme plaqua son doigt sur ses lèvres charnues et lui intima de sa taire. Il se dirigea vers la porte de son bureau et la ferma à clef.
— Tu vois ma belle. Ni vu ni connu.
— Max je t'en prie ne me fais pas ça...
— Ça ne t'excite pas de s'envoyer en l'air sur ton secrétaire.
Il cala une mèche de ses cheveux derrière son oreille et lui caressa l'épaule.
— Dis-moi que tu ne me désires pas autant que je te désires. Dis-moi que tu ne veux pas t'offrir à moi.
— Putain de Merde !
Elle jura puis se mit à califourchon sur ses jambes et l'embrassa.
— Ça c'est la Askia que je préfère, sauvage et docile. Tu me rends dingue ma belle.
Il lui dévora la bouche tout en lui caressant les hanches. Askia se cabra de désir et se tortilla à lui. La jeune femme avait une envie irrépressible qu'il la remplisse à nouveau. Elle voulait le sentir en lui et jouir son l'effet de ses caresses.
— Tu veux que je te pénètre, pas vrai ?
— Humm...
— Réponds-moi Askia, tu n'aimerais tout de même pas que je te punisse.
— Oui, remplie moi comme tu sais si bien le faire.
Max l'embrassa dans le cou en agrippant ses hanches. Il lui mordit la lobe de l'oreille avec sensualité et celle-ci se laissa emporter par un tourbillon de désir. Elle le désirais de toutes ses forces. Au diable toute les promesses qu'elle avait faites ! Elle voulait être à lui, lui appartenir ici et maintenant !
Il lui mordilla doucement le cou et la jeune femme hoqueta de plaisir.
— Tu aime ça pas vrai ?
— Ouais...
— Alors tu va sûrement aimer ça.
Il déboutonna sa chemise avec hate et titilla sa peau à l'aide de sa langue.
— J'aime ton corps...j'aime te sentir entre mes bras...j'aime tes formes. Tu me rends dingue Askia Campbell, tu me subjugue.
Max envoya valser la chemise de son amante ainsi que la sienne. Il libéra ses seins de leur prison et les massa avec ses doigts.
— Tu aimes ça ma belle. Regarde à qu'elle point tu mouilles rapidement.
Le jeune homme parsema son dos de baiser et celle-ci se cambra. Askia planta ses doigts sur le dos de son amant et jouis. Elle aimait qu'il la touche. Il lui faisait sentir qu'elle était unique. Il lui faisait sentir qu'elle l'appartenait. Maximiliano baissa la fermeture éclair de sa jupe droite et la laissa tomber sur le sol. Il peut enfin contemplé son intimité recouvert d'un simple string. Seigneur, pensa ce dernier, décidément, elle voulait sa mort. Celui-ci fit glisser les cordes de son string sur ses pieds fins et fuselées. Son amante était divine.
Elle lui enleva sa ceinture et il retira son pantalon préssement. Il se retrouva en boxer devant ses yeux. Askia pouvoir voir son cinquième membre gonfler à travers son boxer.
— Dis-moi que tu m'appartiens et que ne seras jamais à personne d'autre. Que tu ne laisseras aucun autre homme te toucher.
— Je t'appartiens...je...je ne laisserai aucun autre homme me toucher.
— Voilà qui est mieux.
Il ma pénétra sèchement arrachant un cri à la jeune femme.
— Contrôle toi ma mignonne sinon tu risques d'affoler tes employés, La taquina-t-il.
Elle rougit.
— J'aime lorsque tu rougis ma belle. Ça me rappelle à quel point je te fais te l'effet.
— Tais-toi espèce de frimeur, Rigola le jeune femme.
— Tu es magnifique lorsque tu ris, Dit-il en la regardant intensément.
— Merci. Je...je pense que tu devrais t'en aller j'ai beaucoup de travail à faire.
— Ouais tu as sans doute raison, Dit ce dernier avec morosité.
Il paraissait déçu. Maximiliano se r'habilla, lança un sourire à la jeune femme et sortit. Askia n'arrivait pas à comprendre comment et pourquoi son cœur battait à la chamade.
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