III- La Promesse

Les occasions de se revoir se multiplièrent durant les vacances de Noël. Le château était déserté par les élèves laissant les couloirs vides propices aux jeux sexuels instaurés par Peeves.

Ces acrobaties duraient depuis un mois maintenant et l'esprit frappeur ne laissait pas une occasion passer sans sauter sur Mary avec lubricité. Elle en était devenue addict.

Au départ il l'avait surprise à la prendre d'assaut à n'importe quel moment de la journée. Au détour d'un couloir, dans une niche ou un placard ou encore à la volière, le simple fait que Mary soit seule suffisait à Peeves. Il la doigtait, la léchait entre deux cours, ne lui laissant qu'à peine le temps de se remettre à l'approche de quelqu'un. Si Mary avait paniqué à l'idée de se faire surprendre au début, elle n'en éprouvait plus rien à présent. Son corps réagissait au moindre de ses assauts et elle se laissait docilement soumettre.

Elle comprit rapidement que Peeves la voyait comme son jouet exclusif. Il adorait la dominer et il avait repoussé les quelques tentatives de Mary à lui retourner son plaisir. Il ne l'avait jamais pénétré avec son sexe mais avait à plusieurs reprises pressé une énorme érection contre son pelvis. Elle n'y comprenait rien mais avait cédé à ses manières et se contentait d'être « sa petite chienne ». Elle s'abandonnait totalement à lui et parfois il lui semblait presque qu'une deuxième personnalité se construisait en elle. L'élève et la chienne.

Le château désert se révéla un vrai terrain de jeux sexuels. Sans les habitants grouillants les lieux, Peeves s'en donnait à cœur joie et la malmenait plusieurs fois par jour et parfois même de nuit lorsque Mary, dominée par la luxure, s'y aventurait. Elle ne tenait plus compte des tableaux qui choqués, détournaient le regard, ni des armures dont la tête pivotait en grinçant. Ils auraient pu tout aussi bien la regarder tous, ces objets animés, que ça l'en aurait excitée davantage. Peeves la transformait au fur et à mesure en une petite chose lubrique frémissante et sans complexe.

Parallèlement elle se remit à rêver. Elle rouvrit ses livres, reprit goût à la poésie, au dessin et à la musique. Son esprit avait tendance à se fixer sur l'érotisme et la luxure mais elle n'en tint pas rigueur. L'air de la vie était devenu plus respirable et les séances sexuelles entrecoupaient ses journées d'un souffle revigorant. La veille de Noël, peu avant minuit, Peeves s'amusa à la visiter dans sa salle commune vide. Aucun Serdaigle n'était resté pour Noël. Il la bascula sur chaque fauteuil, l'accroupis sur chaque chaise faisait augmenter son plaisir par palier et finit par la faire crier de jouissance dans la chambre des garçons en position de chienne sur le tapis. Plus il la soumettait, plus il l'humiliait, plus elle criait de plaisir. Sa raison lui dictait vaguement que c'était malsain mais elle repoussait ça dans un coin de sa tête, et refermait son esprit.

Cette nuit-là, allongée dans son lit, elle ne parvint pas à s'endormir, repassant en boucle les prises de Peeves dans les lieux. Il n'avait pas visité sa chambre, l'idée de la prendre dans la chambre des garçons étant hautement plus excitante.

Elle se redressa de sous ses couvertures et alluma la veilleuse. Fixant la fenêtre qui reflétait les lueurs dorées de la lampe elle hésitait. Elle n'allait quand même pas en redemander. Mary saisit son livre sur la table de chevet et reprit sa lecture. Au-dehors le vent soufflait, des sifflements s'insinuant par intermittence par la fenêtre.

Cela faisait déjà dix bonnes minutes qu'elle relisait le même paragraphe sans le comprendre. Elle reposa le bouquin et rabattit ses couvertures d'un coup sec. Sa longue chemise de nuit se retrouva à ses pieds et elle fouilla dans son énorme valise, semant la pagaille dans la chambre. Enfin elle en sortit une jupe de laine bouillie grise. Elle s'en vêtit ainsi que des bas de laine assortis, restant nue sous sa jupe. Puis elle enfila une chemise blanche et un pull noir par-dessus. Elle regarda son allure dans le miroir plein pied de la chambre et fut satisfaite. Elle avait l'air d'une parfaite écolière. Sage et disciplinée. Peeves allait adorer. Elle s'engouffra dans sa cape d'hiver et jeta un sortilège de silence à ses souliers.

En traversant le château elle pensa à sa famille. Cette année elle ne les aurait pas vus. Ce n'était pas la première fois qu'elle restait pour Noël. Ses parents lui envoyaient une carte à l'occasion. C'était le genre de personne dont l'absence se fait plus ressentir lorsqu'ils sont présents. Ils ne lui manquaient pas mais elles ne les détestaient pas. Elle n'attendait pas grand-chose d'eux voilà tout. Elle sentit deux mains lui saisir les fesses et inspira brusquement. Ça avait beau être une habitude, elle était toujours surprise.

- Alors comme ça ma petite élève en redemande ? souffla la voix criarde de Peeves dans son oreille.

- Oui, gémit Mary tandis que l'esprit frappeur remontait ses mains le long de ses cuisses. Il trouva son sexe dégagé de toute contrainte.

- Je vais te punir pour ça, dit-il d'une voix malicieuse.

Il disparut de sa vue et réapparut au bout du couloir flottant dans les airs. Elle se dirigea vers lui, étonnée et le vit à nouveau disparaitre et réapparaitre plus loin. Ce petit jeu dura longtemps. Il la fit déambuler à travers tout le château, ponctuant ses apparitions de petits rires mesquins. Elle avait beau courir, elle ne le rattrapait jamais. Désespérant de parvenir à ses fins Mary s'arrêta hors d'haleine devant une salle de classe au rez-de-chaussée. Ah il voulait jouer ? Très bien. Elle s'engouffra dans la salle après avoir vérifié qu'il ne la voyait pas et repoussa la porte de manière à laisser filtrer le couloir. Elle colla son œil dans l'interstice et attendit, une vague satisfaction sadique l'habitant. Elle fut soudain soulevée dans les airs avec une force de titan et son hurlement de terreur cogna contre la paume qui enserrait sa bouche.

- Cht, cht, cht mon p'tit Damasio... Tu as voulu te jouer de Peevy mais personne ne se joue de Peevy.

Elle sentit le sol revenir sous ses pieds et sa prise se desserrer. À nouveau elle perdit l'équilibre et se retrouva projetée contre le pupitre d'un élève tandis que Peeves sifflait « C'est Peevy qui va se jouer de toi ! ». Il bascula ses jambes en arrière les maintenant terriblement écartées et fondit sur sa vulve offerte dans un cri d'affamé. Elle ne put retenir un cri, c'était tellement bon. Il lui suça les lèvres, avalant tout dans sa grande bouche et sa langue immense la pénétrait avec passion, rapidement, par à-coups. Elle voulut rabattre ses jambes mais peeves l'en empêcha « Non non non, tu vas faire des efforts car tu es punie, tu resteras les jambes écartées autant de temps que je voudrais » Mary gémit et fut trempée davantage, qu'est-ce qu'elle aimait qu'il lui donne des ordres. Ses bras basculèrent en arrière tandis que Peeves remontait son fessier pour atteindre son anneau rosé de dilatation. Il engouffra sa langue dedans tandis que son nez pressait sa vulve moite. Elle hurla de plaisir, raidissant ses jambes écartées.

- Chut, chut, ma Mary, soufflota Peeves, tu ne voudrais pas rameuter les chiens de garde ? Il la regarda de ses petits yeux brillants d'excitation tout en remontant son pull, délivrant sa poitrine du soutien-gorge qui l'incarcérait. À moins que c'est ce que tu veuilles ? reprit-il en chuchotant. Il s'approcha de son visage d'un air menaçant et la scène se figea quelques instants. À nouveau le vent giflant se fit entendre contre les fenêtres.

- Alors ? demanda-t-il en la fixant de son drôle d'air.

- Non, bien sûr, souffla-t-elle, je n'ai aucune envie de...

Sa phrase se perdit tandis qu'une double pénétration lui glaça la chair. Ses yeux se révulsèrent et elle gémit sous le double traitement de l'esprit frappeur. Il la doigtait sauvagement dans ses deux antres, écrasant son pouce sur son clitoris.

- Regarde-moi, dit-il.

Elle releva les yeux avec difficulté. Il l'écrasait de tout son corps, la pressant contre la table, la fixant comme si elle était une petite chose maligne. Ses yeux brillaient de vice.

- Regarde-moi, petite chienne !

Elle rouvrit les yeux, luttant pour ne pas les refermer. À chaque pénétration ses yeux se révulsaient.

- C'est bien, chuchotait Peeves, continue de me regarder, sois sage, bien sage.

Puis il cessa, laissant tout son corps tremblant. Ses jambes redescendaient vers le sol quand une claque gifla sa cuisse.

- Non, non, non, qu'est-ce que je t'ai dit ? Peeves éructa. Il avait un air diabolique.

- Je ne peux plus les maintenir, souffla Mary, à bout de force.

- Oh si ma petite Damasia.

Joignant le geste à la parole, il réécarta ses jambes et descendit sur ses lèvres à toute vitesse. Elle se raidit, anticipant ses gestes mais un long lapement mouillé détendit tout son corps. Il était en train de la lécher, comme elle aime. Il prenait son temps, faisant parcourir son énorme langue tout le long de sa vulve, sans omettre son anus. Peu à peu, ses gémissements se firent plus languissants, plus puissants, elle recourba un peu ses jambes, les écartant davantage et Peeves lui lançait « c'est bien, c'est bien, viens ».

À ce moment-là une exclamation retentit dans la pièce et Peeves s'écarta aussitôt. Mary se redressa et eût juste le temps d'apercevoir une grande silhouette à l'entrée que Peeves avait déjà disparu. Elle se figea et la raison lui revint entièrement lorsqu'elle reconnut la silhouette. C'était son professeur. Severus Rogue. Elle lâcha une exclamation et rabattit sa jupe et son pull. Mais c'était trop tard. Le mal était fait. Le professeur quant à lui semblait figé de surprise. La vision de son élève, seins nus et jambes ouvertes était restée fixé dans sa rétine. Un ange passa.

Mary enroula son corps de son épaisse cape sans pour autant se décoller de la table. Elle hésitait et son cœur pulsait, envoyant des courants électriques dans son cerveau qui s'activait comme jamais à trouver une parade. Le professeur n'avait guère l'air d'aller mieux. Son attitude était encore figée sous la surprise et ses traits ne se recomposaient pas. Elle tenta alors sa meilleure option. Fixant le sol, elle amorça un geste pour partir mais après avoir parcouru la moitié du voyage la voix grave du professeur l'arrêta.

- Attendez.

Ce mot si simple résonna dans la pièce en écho et la figea sur place. Elle releva les yeux vers son professeur, interdite. La pénombre aidant elle maintint son regard, attendant la suite. Une minute passa où elle n'osa bouger. Enfin la voix lente de Rogue reprit, maîtrisée :

- Je ne veux plus jamais vous surprendre hors de votre dortoir passé le couvre-feu.

- Bien professeur, murmura Mary, extrêmement mal à l'aise.

Elle réamorça son départ quand la voix de Rogue l'interrompit à nouveau au niveau de la porte de sortie.

- Et que je ne vous reprenne plus à faire ça non plus. Même hors couvre-feu.

Elle se retourna et le fixa, son cœur en remous.

- Est-ce clair ? demanda-t-il. Rogue avait repris un visage impassible mais il avait toutes les difficultés du monde à regarder son élève dans les yeux. Elle s'abstint de répondre et il vrilla alors ses yeux de son regard noir. Voyant qu'elle ne lâchait rien il reprit :

- Si je vous surprends à nouveau à faire des cabrioles avec cet esprit frappeur de malheur, je vous dénonce auprès du conseil d'administration, de tous les professeurs et du directeur. Me suis-je bien fait comprendre cette fois ?

Sous le regard interdit de Rogue les yeux de Mary se remplirent de larmes. Il n'y vit cependant aucune trace de honte. Cela ressemblait davantage à du désespoir. Elle baissa la tête et opina du chef, de lourdes larmes s'écrasant au passage sur le sol. Puis elle se détourna de lui et disparut dans le couloir.

Rogue resta un moment dans la salle de classe. Il n'en croyait pas ses yeux. Surprendre une élève au beau milieu de la nuit en plein ébat charnel était déjà assez déroutant. Mais avec l'esprit frappeur en plus, cela défiait les lois de la physique. Et son imagination. Il était assommé par cet évènement et reprit le chemin de ses appartements l'esprit en fusion. Il s'arrêta en cour de route et fit demi-tour, voulant s'assurer que tous, élève et esprit frappeur étaient bien rentrés dans leurs cocons.

Cependant Mary quant à elle se dirigeait à pas de loup vers la tour des Serdaigles. Elle suffoquait et sa gorge remontait dans son larynx. La jeune fille dut s'arrêter sous les ravages que son cœur lui infligeait. Elle se retint à l'ogive d'une fenêtre le long de la galerie du deuxième étage. Le souffle court, elle était en proie à une crise où l'air manquant menaçait de la faire s'évanouir. Elle aperçut dans son champ de vision la silhouette familière de Peeves, à quelques mètres de là. Ses battements de cœur se calmèrent, son sang reflua et elle se redressa pour lui faire face.

- Peeves. Nous ne devons plus nous voir. C'est fini. Sa voix se brisa légèrement.

L'esprit frappeur s'approcha en caquetant des grossièretés sur le professeur Rogue.

- Arrête ! Tu ne comprends pas ? C'est fini ! S'il nous surprend encore une fois il me fera virer et tous les professeurs seront au courant ! Ainsi que le directeur !

À ce mot elle tomba en larmes mais Peeves la repoussa dans la niche des fenêtres à alcôve. Elle releva la tête, surprise.

- Peevy ne le laissera pas faire, chuchota-t-il d'une voix cajoleuse, Peevy l'en empêchera.

- Non, Peeves puisque je te dis que... Mais elle n'eût pas le temps d'aller plus loin car l'esprit frappeur l'embrassait déjà goulûment et il la bascula dans l'antre de la niche. Tout en l'embrassant il fourra sa main dans son entrejambe et reprit ses caresses lancinantes. Mary gémit dans sa bouche et se laissa explorer pour la énième fois, s'abandonnant aux mains expertes de Peeves.

Un claquement sonore interrompit leurs ébats. Une langue de feu vint claquer l'esprit frappeur qui poussa un cri perçant et s'évanouit aussitôt. Mary écarquilla les yeux de terreur lorsqu'elle reconnut de suite le professeur Rogue. La lame de feu tournoyait au bout de sa baguette et ses yeux lançaient des éclairs.

- Qu'y-a-t'il que vous n'ayez pas compris dans mes indications, murmura-t-il en hachant ses mots.

Mary resta figée, ses yeux répercutant la lumière de la lame de feu, une main levée devant son visage. Puis le feu s'éteignit, la baguette de Rogue s'abaissa, un silence mortel s'installa. Mary se sentit toute petite, recroquevillée dans son coin, insignifiante et inutile.

- Je suis désolée Monsieur, dit-elle d'une voix tremblante. Je crois que je suis addict.

Rogue la dévisagea d'un air surpris. Décidément cette histoire lui faisait perdre son contrôle. Il eût toutes les peines à remettre son masque d'impassibilité.

- Écoutez Miss. Je ne saisis pas bien ce qui vous lie à l'esprit frappeur mais je ne peux permettre vos agissements. En dépit de mon avertissement, je vous retrouve, quelques minutes plus tard à recommencer vos cabrioles. C'est une école ici. Ça ne vous est pas venu à l'esprit qu'un jeune élève pourrait vous surprendre ? De toute façon, les rapports sexuels entre élèves sont interdits au sein de l'école. Il laissa passer un silence et reprit : « De plus, faire ça avec un esprit frappeur est proche de l'ignominie. C'est un non-être. Il a trois fois votre âge pour ne pas dire quelques centaines de siècles. Ceci doit stopper immédiatement. Ça n'aurait jamais dû être. Si Dumbledore venait à l'apprendre... »

- Pitié, ne dites rien ! Mary dont toute l'attention était en alerte s'égosilla sur place. Elle se releva péniblement. Je vous en prie, ne dites rien.

Elle fixait le sol, yeux baissés, mais des larmes imprégnaient son visage et tombaient sans bruit. Rogue était sans voix. Comment une jeune fille comme elle avait pu s'éprendre d'un poltergeist ? De cet être si vil, laid et vicieux ?

- Vous me promettez de cesser ces agissements ? parvint-il à dire d'une voix rauque.

Mary serra les poings, fixant le sol de ses yeux luisants. La colère et le désespoir montait en elle. Qui était-il pour l'empêcher d'avoir une vie sexuelle, qui était-il pour juger de son partenaire ?

- Vous ne pouvez pas comprendre, finit-elle par dire. Vous ne pouvez pas. Vous n'êtes pas un ectoplasme.

- Vous non plus à priori, répliqua-t-il froidement.

- C'est tout comme.

Il la jaugea du regard et elle se sentit fouillée, analysée.

- Monsieur, reprit-elle, je suis au désespoir. Ce qui se passe avec l'esprit frappeur est mon seul exutoire. La seule chose qui me raccroche au vivant. Si vous me l'enlevez,...

Elle s'arrêta de parler, le cœur à l'agonie. Rogue la dévisagea tranquillement, semblant réfléchir. Il faisait face à un cas unique mais cependant, une adolescente au désespoir n'était pas chose singulière. Lui-même avait eu une adolescence mouvementée, teintée de solitude et d'amertume. Sur ce terrain commun son esprit s'ouvrit.

- Bien. Voilà ce que nous allons faire. Vous allez retourner à votre dortoir et me promettre de ne plus rencontrer l'esprit frappeur en cachette. De ne plus avoir rien à faire avec lui. Est-ce bien clair ? Je ne serai plus indulgent la prochaine fois Miss Damasio.

Mary hocha la tête, une boule grossissant dans sa gorge.

- En contrepartie, reprit Rogue d'une voix mesurée, je vous donnerai de quoi vous occuper l'esprit.

La jeune fille le regarda avec étonnement. Que voulait-il dire par là ? Ses yeux noirs ne renvoyaient pas la froideur habituelle et ses mots, si insignifiants soient-ils vinrent se loger droit dans son cœur, desserrant l'étreinte de sa gorge, libérant sa cage thoracique opprimée. Elle respira mieux et le fixant avec franchise les mots sortirent tout seul de sa bouche.

- Je vous le promets.

Elle le salua d'un petit mouvement de tête et partit la tête pleine de ce qu'il venait d'arriver. Cependant, à cet instant, son esprit n'était ni confus ni rêveur. Il avait la stabilité que l'on éprouve lorsqu'un pacte avec soi-même est conclu. Il était habité de quelque-chose de plus puissant que le sexe : une promesse faite à un vivant. À partir de maintenant, elle existait aux yeux d'un autre. Et cet autre, c'était Rogue.

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