Chapitre II

-Tu peux m'expliquer pourquoi déjà est ce que tu viens avec moi ? Lançais-je.

-Eh bien si tu veux qu'elle te croit il te faut bien une preuve tu ne penses pas ? Me répond le génie.

-C'est vrai tu n'as pas complètement tors, mais...

-Pas de mais qui tienne, réplique t-il.

-Imagine qu'elle ne nous prenne pas au sérieux.

-Je n'aurais cas lui faire un de mes petits tours de magie, m'affirmes t-il.

-Comme faire sortir un lapin de ton chapeau ? Dis-je en rigolant.

-Tu pourrais être surprise de ce que je sais faire, princesse.

-Ah oui ? Dis-je ne Ricanant dans le but de le provoquer.

Une fois arrivé chez ma grand mère, nous avons pris le temps de tout lui expliquer n'oubliant aucun détails. Elle semblait en savoir bien plus à ce sujet que je ne l'imaginais. Elle n'avait pas l'aire surprise, ni même choqué ou étonné. Elle semblait avoir déjà fait fasse a un problème comme celui ci et finalement c'est elle qui m'appris que les génies, lorsqu'ils entraient dans le monde des mortels,  perdaient considérablement de leur puissance, c'est donc pour cela que la veille il s'était endormi alors que nous discutions.

-Je suis un peu une historienne des génies sans vouloir me venter, bien que je doute de la véracité de certain récit que j'ai lue. Serais tu en mesure de répondre a mes questions ?

-Eh bien oui... Je pense que cela devrait être possible, répond le génie l'air songeur.

-Pour commencer beaucoup se débattent le nombre de vœux que peut accorder un génie a son maître, certain disent  trois d'autres pense qu'un seul est le nombre exacte. Quand  moi j'ai ma petite théorie sur le sujet. Après des années de réflexions sur le pourquoi du comment vous apparaissiez, et les information sur la légende que j'ai obtenue comme héritage de la part de ma mère, je me doute bien que vous n'apparaissez pas aléatoirement, c'est un fait. Mais alors je me suis penché sur la question, si lorsque vous venez sur Terre votre puissance que l'on pourrait comparé a votre énergie vitale est diminuer de moitié -si ce n'est pas moins- ainsi donc il  vous faut une âme ayant la puissance nécessaire pour compenser ce que vous perdez en arrivant ici, chez nous. Ai-je vue juste ?

-..., Le génie ne répond pas, il se contente de regarder, avec insistant, celle qui parlait.

-Très bien je poursuit. Si mon raisonnement est juste, je pense que je suis dans la mesure de croire que si vous êtes ici c'est que ma petite fille a une âme très puissante car elle vous a convoquer d'un autre univers. Mais la en vient ma question première combien de vœux accorder vous a vos maître, puisque si votre force est réduite vous ne pouvez pas accorder autant de vœux que vous le voudriez, vous n'en n'auriez pas la force, ainsi je pense que le nombre de vœux que vous pouvez accorder est proportionnelle a la force de votre maître.

-..., Il réfléchit un instant avant d'annoncer : je préfère le terme "d'hôte" a celui de "maître" que je trouve, si je peu me permettre, rabaissant pour nous autres les génies. 

-Oh oui tout à fait, je te présente mes excuse mais comme je te l'ai dis ma culture n'est pas forcément juste sur tout les point. Mais confirmes-tu ma théorie ?

-Je peux lui accorder deux vœux au totale, rétorque-t-il sans hésiter.

Kathy ne comprenant pas le sens de sa réponse, ni peut-être même le sens de la conversation et tenta d'intervenir en vain.

-Mais ce n'est pa-

-Laisse ma fille, dit la grand mère tendrement avant de reposer son attention sur le génie, très bien tu gardes ta part de mystère et je comprend je te suis déjà reconnaissante de m'avoir donner ces informations.

Le génie hocha simplement la tête lentement en fermant les yeux comme pour se faire pardonner. Mais malgré les apparence quelques chose semblait puberté le jeune garçon, lui même ne savais pas quoi mais il ne pouvait s'enlever ce petit côté nostalgique de sa tête.

-Dites moi est-ce vrai que vous ne vivez que mille années ? demanda la grand mère enthousiaste.

-Mamie ! "QUE" mille années ? Vraiment ? Tu ne pense pas que cela fait déjà beaucoup ?!

-Pour être exacte je suis immortel, dit-il gêner face a la réaction de la rousse.

-Rien que ça !

Ainsi nous discutions comme ça, allant de la question la plus idiote a la plus sérieuse, des hypothèses la plus farfelue de mamie au plus élaborées. Venait l'heur de se quitter et de rentrer a la maison. 

Alors pourquoi cette question ? 

Qu'y a t-il que tu n'ai sue demander plutôt ? Et qu'il faille que tu demande au dernier instant ?

-Dites moi..., dites votre nom ? Demanda le génie sans même regarder la personne intéresser qui malgré tout se reconnue.

-Adaline, affirme la grand-mère lui faisant une courbette munie du plus beau des sourires. 

Que cherchais-tu ?



Apres être rentrer a la maison dans un silence les plus pesant, je m'installa dans la cuisine , -j'avoue être une assez bonne cuisinière- alors comme tout les soirs je vais, machinalement, préparer quelque chose à manger, avant de me souvenir que je ne suis pas seule aujourd'hui.

Je rejoins le génie qui est assit sur le canapé la tête penchée vers le haut, il semble regarder le plafond, je m'arrête à quelques mètres devant lui et lui demande :

-Tu as faim ? Tu veux que je prépare quelque chose en particulier ?

Il ne répond pas ni ne bouge d'un centimètre, seul ses clignement de yeux ainsi que sa respiration me confirme qu'il est bien en vie.

Je me rapproche un peu plus, nos pieds son maintenant à quelques centimètres l'un de l'autre, je tend le bras pour le toucher afin qu'il réagisse mais il l'intercepte et m'attrape par le poignet.

-Qu'est ce qu- ? Fis-je perturbée.

-Je veux... Que tu m'apprennes à cuisiner, me demande t-il toujours la tête en arrière.

-Oh alors même un génie comme toi ne sais pas cuisiner ? Dis-je en rigolant.

Je senti sa main desserrer lentement mon poignet.

-Aller viens, on dirait que je vais te donner des cours de cuisine ! Repris-je en lui attrapant à mon tour le poignet pour le tirer vers moi, afin qu'il se lève.

Je l'attire alors dans la cuisine et lui demande de me sortir les ingrédients dont on a besoin, il se montre très coopératif a ma grande surprise et nous nous amusons même beaucoup ! Quelques ingrédients finissent par terre, maladroits que nous sommes, et je fini le visage tremper puisque visiblement il voulait faire une bataille d'eau !

Après avoir fini de manger nous montons dans ma chambre et comme a les autres fois il ouvre la fenêtre et se pose sur le rebord, encore une fois dans la même position.

Mais cette fois ci je suis bien décidée a ne pas me laisser faire !

Je prend un aire enjouer comme si de rien était et me rapproche doucement de la fenêtre, lui regardant le ciel, je décide de me glisser délicatement face a lui m'adossant sur l'autre rebord, dans la même position. -Heureusement que j'ai pas un fenêtre toute petite-

Nos jambes se retrouvent collées l'une a l'autre, et il détourne gracieusement ses yeux bleue du ciel pour les posé un brève instant sur moi, comme s'il voulait s'assurer de l'identité de la personne en face de lui, avant les plongé de nouveau dans l'obscurité. Je fais alors de même et contemple cette océan noir parsemer petites lueurs blanche, je soupire, puis reporte mon attention sur ce garçon.

-Tu ne m'as pas dis ton nom, dis-je un peu hésitante resserrant mes mains sur ma jambe. 

-Tu ne m'as pas dis ton vœu, réplique t-il sans même me prêter attention.

Ses paroles dégagent une légère brume dans l'aire due a la fraîcheur du soir.

-C'est vrai... Excuse moi, tu dois sens doute vouloir rentrer chez toi, le problème c'est que je ne sais pas vraiment quel vœu faire... Enfin...

-Tu peux avoir tout se que tu veux ; la richesse d'un milliardaire , la beauté d'un mannequin, l'amour d'un homme..., a toi de voir, dit-il un peu plus sèchement.

-L'amour ?! Mais c'est horrible, les sentiment ne devraient pas être manipulés par la magie, ils devraient être sincère et venir du cœur, comment peux tu dire ça avec un aire si détaché ?!

-Oh alors t'es sentimental toi a ce que je vois, et je suppose que ça serait malhonnête de demander la beauté car elle vient du cœur n'est ce pas ? Ne parlons pas de la richesse, que tu devrais acquérir par tes propres moyens sans avoir a tricher parce qu'il y a tant de gens qui souffre dans ce monde ! Et bien si tu ne veux rien tu n'as cas me renvoyer d'où je viens, raaah qu'on en finisse ! S'exclame t-il, en me hurlant presque dessus.

Cette fois si son regard était bien posé sur moi, il est encré dans mes yeux et ne semble pas vouloir défaillir.  Je ne n'arrive pas vraiment a comprendre pourquoi il s'emporte de cette manière mais il a l'aire décidé a en finir au plus vite avec cette histoire !

-Très bien, alors génie, je souhaite... Que tu rentres chez toi ! Dis-je les yeux légèrement rougies par un mélange entre la colère et de tristesse.

Ses yeux se sont écarquillés et j'ai même cru ressentir un soubresaut -mais personne ne saura vraiment si ce n'était pas simplement mes tremblement du a l'émotion- . Sa bouche restait légèrement entre ouverte comme si il voulait parler, me dire quelque chose mais rien ne sortait, pas le moindre son. Un silence pesant régnait désarmait dans la pièce. Puis je me leva déterminée marchant en direction de mon lit double.

Je jette un dernier coup d'œil sur la silhouette sombre toujours assise a la fenêtre, avant de m'enfouir sous ma couette.

Je l'entend lâcher un soupire, puis des pas lent vienne dans ma direction, cela me semble duré une éternité avant que je sente son corps se poser au bord du lit près de moi. Puis soudain il romps le silence dans lequel j'avais fini pas trouver réconfort. 

-Là d'où je viens..., mon nom est la seul attache que j'ai conserver de mon ancienne vie, c'est la seule chose qui me permet de ne pas oublier qu'un jour moi aussi, tout comme toi, j'ai été un mortel. Très peu de personne savent comment je m'appelle... Mon nom c'est comme mon âme. Il est qui je suis..., qui j'étais. 

A ces mots je me retourne sur moi même et baisse la couverture qui me servait de protection afin de le regarder. Ses yeux étaient posés sur moi et un léger sourire apparu au coin de ses lèvre lorsqu'il vit ma tête sortir de la couette. Moi je voulais simplement le voir, savoir qu'elle expression il avait, était il triste ? Ou bien heureux ? Mais comme toujours il restait neutre et indéchiffrable malgré ce faible sourire ces yeux eux ne brillaient pas.

-Je m'appel-

-Non ! Ne le dis pas... Il t'appartient, enfin je ne veux dire ne te forcer a me le dévoiler, je ne pensais pas que c'était si important je devrais être celle qui s'excuse.    

-....Jacob, repris t-il, mon âme, je sais que tu en prendra soin, je le sent.

Un énorme sourire pris place sur mon visage légèrement boudeur et mes joue rosies.

-Moi c'est Katherine, je suis enchanté de te connaitre Jacob, déclarais-je un sourire encore plus grand, mais tout autant gêné.

Avant que je ne me rende compte de quoi que ce soit il avait déjà approché son visage du mien, avançant dangereusement ses lèvres de mon oreille.

-Est-ce que... Tu m'autorises a dormir ici ? Me demande t-il l'air malicieux.

Mon visage devint instantanément rouge pivoine, vient-il réellement de me demander de dormir dans le même lit que moi ?! Non impossible ! Je ne peux pas dormir avec un inconnue ! J'ai du mal comprendre, oui ! C'est forcement ça !

Face a mon silence il profite de la situation et reste un temps a me fixer avant de se lever et de marcher en direction de la porte.

-Je parlais du salon bien entendue , me lance t-il un avec un clin d'œil.

-Ah ! Euh... Oui bien sur, évidement ! Pas de problème fais comme chez toi, dis-je troublée.

-Bonne nuit, princesse, dit-il d'une voix douce.

Puis il ferma la porte délicatement, laissent un grand vide en moi... Que je ne saurais pas décrire.

-Bonne nuit, Jacob, dis-je tout bas lorsqu'il fut parti.

A suivre...

Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top