Chapitre 9 : Traqués

Paul : mais j'en ai marre de courir !

Kylian : tait toi !!

Kili : si tu continu à râler tu va amener Azog et Atlas droit sur nous.

Mike : c'est pas pour le défendre mais ça fait des heure que l'on court. On peut bien faire une pause.

Thorin : très bien. Fessons une pause.

Nous posons tous nos affaires et certain tombent carrément à terre se qui me fait rire.

Benjamin : c'est pas drôle coach.

Moi : oh si. Vous êtes capable de courir je ne sais combien de kilomètres sur un terrain pendant 90 minutes mais ici vous n'êtes pas capable de courir 1 mètre.

Olivier : avec nos armes et nos affaires sur le dos c'est différent.

Dwalin : si vous les mettez bien vous verrez que vous courrez mieux.

Thorin : Didier venez par ici.

Je m'exécute et m'approche de lui et Gandalf. Pendant 2 jours et 2 nuits nous n'avons pas arrêté de courir à travers les bois et les collines et je dois avouer que la fatigue se fait ressentir. Le roi nain m'invite a m'assoie sur un rocher se que je fais.

Moi : vous vouliez me parler ?

Gandalf : en effet mon cher. Es ce que vous savez combien de ces choses peuvent être à nos trousses ?

Moi : difficile à dire. Je trouve déjà admirable que des engin comme ça nous ai suivi jusqu'au mont Brumeux.

Thorin : et croyais vous que d'autres nous espionne en se moment même ?

Je regarde le ciel sombre autour de nous pendant quelque minute puis regarde le nain et le magicien.

Moi : non. Je n'est vu aucun champs de forces ici.

Gandalf : bien. Nous devons envoyer quelqu'un en éclaireur sur les rochers.

Moi : je peux le faire.

Bilbon : moi j'irai.

On se retourne pour voir le hobbit nous regardé.

Moi : Bilbon...

Bilbon : vous m'avez engagé comme cambrioleur n'est ce pas ?

Thorin : et bien oui...

Bilbon : alors il est temps de vous prouver que les hobbit sont les êtres les plus discrets de la Terre du Milieu.

Gandalf : allez y mon cher Bilbon.

Le hobbit se dirige vers les rochers plus loin et Thorin et moi le suivons du regards inquiets.

Moi : il n'y a rien de dangereux par là ?

Gandalf : ne vous inquiétez pas. Bilbon et malin et très discret il ne lui arrivera rien.

Thorin : je l'espère.

Sur ses dernières paroles il rejoint Dwalin. Je me pince les lèvres. On dirait que le roi nain a un petit faible pour le hobbit.

Gandalf : comme nous sommes tout les deux j'aimerai vous parler.

Moi : a quel sujet ?

Gandalf : vous et vos amis savez très bien ce qu'il ça se produire prochainement. Ai-je tort ?

Moi : non.... Et je ferai tout ce que je pourrai pour éviter que cela se produise. Mais je dois vous prévenir à propos du Nécromancien.

Il s'approche de moi comme pour me parler et que personne ne nous entendent.

Gandalf : dites moi tout.

Moi : je... Je ne sais pas si je dois vous donnez son nom mais faites très attention. Vos soupçons sur lui sont fondé.

Gandalf : un ancien ennemi que nous croyons mort.

Moi : hélas oui.

Il regarde la compagnie et soupire.

Gandalf : et que devons nous craindre de L'Atlas ?

Moi : des mercenaires armés enfin à mon avis leur fusil ne leur servirons à pas grand chose contre nous. Après ils ont des matraque.

Gandalf : et qu'es que c'est comme armes ?

Moi : un long bâton en fer pouvant faire de sérieux dégâts.

Nous entendons mes joueurs rires mais très vite se contenir et pouffer avec bombur, bofur et Kili.

Gandalf : je compte sur vous pour veiller sur la compagnie.

Moi : si Thorin ma donner le surnom de geai Moqueur ce n'est pas pour rien.

Antoine : non Fili c'est le couplet d'après le mort à hurler à sa belle de filer. C'est là où ils ont lynché leur fameux meurtrier.

Fili : OK alors veux tu veux tu
Au grand arbre me trouver.
Là où ils ont lynché
Leurs fameux meurtrier.
Des choses étranges s'y sont vu
Moi j'aurais aimé.
À minuit te voir
À l'arbre du pendu.

Bixente : yes tu connais le premier couplet par cœur.

Je ris légèrement en m'asseyant près du magicien.

Gandalf : pendant notre course jusqu'ici j'ai entendu certain fredonner cette chanson.

Moi : c'est moi qui l'est écrit.

Gandalf : elle parle pourtant d'un  pendu.

Moi : cet homme a était accusé à tort d'avoir tuer un mercenaire qui l'avait surpris entrain de voler du pain sur un marché à Paris et de vouloir fuir vers l'alliance 1, là où il y a le plus de nourriture avec sa femme et leurs bébé. Il a ensuite était pendu devant nous tous au grand Chêne qui se trouve dans l'ancien parc du palais de l'Elysée, et surtout devant sa femme. Il lui a hurler de fuir avant de mourir. Et plus tard lors d'une parti de chasse j'ai écrit cette balade. Parce que leur acte de rébellion m'a inspiré. Depuis Antoine me demande tout le temps de lui chanter et mes joueurs l'ont en tête toute la journée.

Gandalf : et je crois que maintenant ils ne sont plus les seuls à l'avoir en tête.

Bofur : aller vas y Fili.

Fili : veux tu veux tu
Au grand arbre me trouver.
Là où ils ont lynché
Leur fameux meurtrier.
Des choses étranges s'y sont vu
Moi j'aurais aimé
À minuit te voir à l'arbre du pendu.

Veux tu veux tu
Au grand arbre me trouver.
Là où le mort à hurler
À sa belle de filer.
Des choses étranges s'y sont vu
Moi j'aurais aimé
À minuit te voir à l'arbre du pendu.

Hugo : ouais tu l'a.

Thorin : faites moins de bruits. On pourrait nous repérer.

Balin : il ne font rien de mal Thorin. Ils ne chantent pas très fort en plus.

Moi : il a raison. On ne risque pas de les entendre croyez moi.

Le roi nain sourit et revient vers nous.

Thorin : désormais il ne chantent que votre balade.

Moi : la mélodie est simple et facile à retenir.

Au même moment Bilbon revient en courant vers nous. On se relève pour venir à sa rencontre.

Dwalin : alors ?

Bilbon : là... Là bas...

Gandalf : ils vous ont vu ?

Bilbon : non...

Gandalf : quelque je vous avez dit. Aussi discret qu'une sourit.

Bilbon : j'ai vu une bête.

Le visage de Gandalf s'assombrit. Mes joueurs se tendent.

Olivier : oh non... On va pas tomber sur la bête du Gévaudan...

Gloin : la bête de quoi ?

Moi : rien. C'est une légende de chez nous. Qu'es que tu as vu exactement Bilbon ?

Bilbon : et bien une grosse bête. Énorme poilu, ça ressemblez à

Gandalf : un ours ? "

Le hobbit le regarde surpris qu'il termine sa phrase.

Bilbon : oui. Comment le savez vous ?

Gandalf : suivez moi. Et vite !!

Il se remet à courir et Antoine se rapproche de moi pour me chuchoter.

Antoine : Beorn.

Moi : ouais. Aller vient nous devons courir.

Nous nous mettons à courir derrière le magicien et à travers la forêt. Au loin j'entends des hurlements de wargs. J'accélère le rythme et le soleil se lève.

Gandalf : plus vite ! Nous y sommes presque !

C'est alors qu'un hurlements d'ours s'élève de la forêt. Certain s'arrêtent dans leurs courses pour se retourner.

Kili : c'est quoi se truc ?!!

Moi : t'occupe et cours !

Thorin : Kili dépêche toi !!

Grégoire : Lucas vient !!

Je fronce des sourcils pour voir mon joueurs se stopper et regardez derrière lui en soupirant.

Lucas : ça va... Il est loin....

Moi : bouge toi c'est un ordre !!

Il sursaute et se remet à courir sous le rire de certains, qui s'arrêtent immédiatement suite à mon regard plus que noirs. Je suis le derniers de la file, pour aider ceux qui ont le plus de mal. Le soleil se lève et enfin j'aperçois la lisière de la forêt.

Gandalf : vite ! Foncez vers la maison !!

Derrière moi j'entends les branches craquer signe que Beorn ce rapproche. Bombur qui se trouver à coter de moi sprinte un grand coup et dépassé tout le monde.

Paul : tu as vu ça kyks ?! On t'a trouvé un concurrent !

Kylian : ferme la et court abruti !!

Nous rentrons dans le domaine mais tous se cogne à la porte qui est fermé.

Theo : mais quesqu'il se passe ?

Bofur : la porte et fermée !!

Antoine : alors ouvre la et vite !!

Tous se mettent à pousser et la porte daigne enfin à s'ouvrir alors que l'ours nous rattrape. Je pousse tout le monde à l'intérieur et les nains referme derrière moi alors que Beorn passe son museau dans l'embrassure de la porte. Tous se jettent contre cette dernière pour la repousser alors que Bilbon dégaine Dard. Ils arrivent à repousser la bête et à fermé la porte. Tous souffle de soulagement.

Dwalin : par ma barbe quesque c'est que ça ?

Gandalf : ça c'est notre hôte.

Tout les nains le regarde surpris se que me fait légèrement rire.

Gloin : on peut savoir se qu'il vous fait rire mon garçon ?

Je me stop et voit que tout le monde me fixe. Je plonge mon regard dans celui de Gandalf qui s'assoit sur un tabouret.

Gandalf : ce qui fait rire notre cher Geai Moqueur est qu'il savais exactement se qui aller se passer. Tout comme ses amis.

Kili : comment ça ?

Bixente : et bien dans notre monde tout ça n'est qu'un livre.

Ori : un livre ?!!!

Grégoire : développe un peu plus.

Bixente : et tu veux que je fasse comment imbécile ?!!

Lucas : par contre tu n'insulte pas mon mari Bixente où ça va aller !

Hugo : touche à un seul de ses cheveux et je te refais le portait comme à Martinez.

Moi : STOP !!

Tout les regards se tournent vers moi et je sépare mes deux joueurs en les tenants par le col.

Moi : vous n'avez pas honte bande de cons ?!

Benjamin : coach quand même

Moi : ferme la !! J'en ai marre de vous voir vous engueuler pour des conneries !! Vous n'étiez pas comme ça merde !!

Edouardo : avant on était une équipe.

Moi : oui et vous l'êtes toujours bande d'imbéciles !! Vous l'étiez quand vous avez défoncera la gueule à ses putains d'argentine alors je ne vois pas pourquoi ça changerai !!

Paul : t'es au courant pour la baston ?

Frédéric : on lui a dit.

Lucas : tu sais drôlement gardé les secret toi.

Moi : Lucas tageuele ! Juste tageuele !! Vous me fatiguez !

Je lâche mes deux joueurs qui baissent la tête. Antoine m'éloigne d'eux pour que je me calme. C'est la première fois que je pète un câble comma ça sur eux.

Thorin : nous avons tous besoin de repos. Installez vous pour la nuit. On en reparlera plus tard.

Moi : non maintenant Thorin. Oui nous savons tous se qu'il va se passez comme on savais que l' on rencontrerez les gobelins et Azog !

Balin : pourquoi n'avoir rien dit ?

Gandalf : parce que cela aurait changer beaucoup de choses maître Balin.

Antoine : oui. C'est ça.

Gandalf : mais s'ils sont ici avec nous c'est pour empêcher tout ce qui va se produire prochainement d'arriver.

Moi : oui. Nous ferons tout notre possible.

Dwalin : alors vous savez où nous allons ensuite.

Kylian : a Vert bois.

Thorin : je comprend votre décision de ne rien nous dire mais s'il y a un réel danger pour la compagnie je préfère être prévenu. Suis je clair Didier ?

Moi : très clair Thorin.

Thorin : quand à vous messieurs réfléchissez à se qu'a dit votre amis.

Aurélien : promis.

Antoine : allez viens t'allonger un peu chéri.

Il me prend la main et m'emmène vers le fond de l'étable. Je m'assois sur un tas de foin et mon compagnon se jeté sur moi pour nous allonger. Nous rions tout les deux et il m'embrasse tendrement.

Antoine : on peut se reposer maintenant. Beorn monte la garde.

Moi : je vais faire une petite sieste avec toi dans mes bras.

Antoine : c'est une très bonne idée.

Il se cale contre moi, dans mes bras et très vite je m'endors à cause de la fatigue accumulé par notre petite course dans les bois. Je me réveille plus tard où je vois que la nuit et tombé. Mon Antoine n'est plus là mais j'entends des voix. Ils doivent sûrement manger. Je me lève et m'avance doucement vers eux. C'est là que je les entends parler de nos souvenirs et rires.

Paul : et vous vous souvenez de quand Adil à dégoupiller un extincteur !

Hugo : oh oui. On c'est touts taper un fou rire.

Bilbon : quesque c'est un extincteur ?

Antoine : c'est un grosse bouteille qui contient soit de la mousse

Lucas : ou de la fumé pour notre cas.

Antoine : ou de la fumé ce qui aide à éteindre un début d'incendie.

Fili : alors pourquoi en avoir ouvrir un ?

Kylian : parce ce que on avait tous un peu trop bu et que l'on retourner toute les chambres et pour nous calmer paf.

Benjamin : sauf que ça a déclencher plein d'alarme et réveiller tout le monde.

Paul : dont DD qui c'est retrouver en pyjama en bas avec nous.

Ils rient tous de bon cœurs se qui me fait sourire.

Bofur : et ils n'était pas énervé ?

Antoine : si. Il nous a même fait croire qu'il prenait des sanctions contre nous. Mais j'ai réussi à le calmer.

Bixente : parce que tu connais tout ses petits secrets.

Ils sourient puis Hugo soupire.

Hugo : c'était vraiment merveilleux cet été là. C'est grâce à lui si on à gagner.

Kili : mais il ne joue pas ?

Grégoire : non mais Didier St quelqu'un qui ne lâche jamais rien. Même dans les moments de désespoir complet.

Bixente : il m'a toujours impressionner pour ça. Même dans l'arène.

Antoine : il l'a fait pour moi.

Bilbon : et c'est une très belle preuve d'amour à ton égard.

Hugo : c'est moi qui aurait dû me porter volontaire se jour là

Bixente : il t'en aurais voulu et moi aussi.

Lucas : il pense à notre bien avant tout. A nous faire passer avant lui. Et nous voilà comment on le remercie : on s'embrouille pour rien.

Paul : tu as raison. Il nous a sauver de la mort. Et nous on ne fait rien pour l'aider à aller mieux.

Moi : si vous êtes là avec moi.

Ils sursaute tu et je rie comme Thorin et Gandalf.

Frédéric : tu as tout entendu ?

Moi : tout. Et vous n'avez pas à me remercier les amis. On est une famille après tout.

Dwalin : venez mangé mon garçon. Bombur vous a gardé une portion de ragoût.

Moi : merci c'est très gentil à vous Bombur.

Je m'assois à coter de mon blondinet et on me tend mon assiette.

Gloin : et demain que fessons nous ?

Gandalf : nous irons nous présentez à Beorn.

Balin : et comment ferons nous ça ?

Moi : en y allant tous ensemble et dans le calme.

Toutes les têtes se tournent vers moi.

Thorin : c'est comme ça que cela doit se passer ?

Moi : non mais le résultats sera le même.

Gandalf : bien. Nous suivrons le conseil de notre Geai Moqueur.

Nous terminons le repas et allons nous coucher. Comme la première fois je m'endors rapidement, Antoine contre moi. Mais dans la nuit on me secoue.

Antoine : chéri réveille toi.

Moi : bb je dors...

Kili : et mon vieux debout.

J'entrouvre les yeux et les voit me sourire. Je me relève légèrement et les voit tout les deux devant moi un grand sourire aux lèvres.

Moi : quesquil y a ?..

Antoine : chut.

Kili : regarde.

Il pointe du doigts l'autre bout de l'étable, là où Thorin c'est couché et dans la pénombre j'arrive à distinguer sa silhouette mais il y en a une autre à coter de lui. Ou plutôt dans ses bras.

Moi : attend c'est... Bilbon ?

Kili : ouais. Qui l'aurait cru. Mon oncle et messieurs Sacquet.

Antoine : ils sont mignons. Ils me rappel nous.

Moi : c'est vrai. Bon allez vous coucher ça ne nous regarde pas.

Kili : tu n'est pas drôle.

Moi : je sais mais comme je viens de te le dire ça ne nous regarde pas. Alors va te coucher.

Le prince nain soupire et lève les yeux aux ciel avant d'aller se recoucher. Antoine se rallonge à côté de moi et je le prend dans mes bras pour ensuite me rendormir. En mon fort intérieur je sourit. Bilbon et Thorin irait bien ensemble finalement.

A suivre...

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