Chapitre 8 : Azog Le Profanateur

En réalité Azog et pire que dans les films. Il est beaucoup plus grand et son regard beaucoup plus cruel. Antoine se tend à mes côtés. Il nous regardent et sourit en voyant le roi nain. Il prononce quelque mots dans sa langue puis plusieurs orque chevauchant des wargs se lance à l'assaut des arbres où nous nous trouvons.

Moi : Gandalf faites quelque chose !!

Je crie cette phrase en direction du magicien qui avait la paume de sa main contre sa bouche. Un papillon s'envole et il se tourne vers moi alors que je sourit. Il as prévenu les aigles mais le temps qu'ils arrivent je dois protéger tout le monde.

Gandalf : prenez tous des pommes de pains !

On s'exécute et je le voit qu'il les enflamme. Je regarde mes 3 gardiens. Il n'y a que eux pour faire des relance à la perfection.

Moi : donnez les à Hugo, Alphonse et Mike !!

Bofur : pourquoi faire ?

Moi : ils seront visé à la perfection et atteindre leurs cibles !!

Thorin : faites se qu'il dit !!

Tout le monde fait passer les pomme de pain en flamme à mes 3 gardiens. Je regarde Hugo droit les yeux.

Moi : essai de viser Azog.

Hugo : compris DD.

Et tout les 3 jeté les projectiles sur les wargs en bas. Mais aucun ne touche Azog. Comme si quelque chose le protégé. Très vite beaucoup recule mais les arbres commencent à prendre feu et à penché. Je prend la main de Antoine et met Bilbon sur mon dos.

Antoine : quelque tu fais ?!!

Moi : à mon signal tu saute vers Thorin et Dwalin !

Bilbon : mais tu est fou !!!

Moi : accroché toi bien Bilbon !

Alphonse : on a épuisé les munitions coach !!

Moi : alors sautez sur l'autre arbre !! Maintenant !!

L'arbre sur lequel on se trouve se met à tomber et nous sautons tous sur les branches de son voisin. Antoine se réceptionné à merveille ce qui n'est pas le cas pour moi. Je m'accroche comme je peux et essayer de nous hisser moi et le hobbit sur la branche.

Antoine : Didier !!

Moi : ça va aller

Bilbon : non ça je va pas du tout !! Tu n'arrive pas à remonter !

Bofur : donnez moi votre main !!

Il me la tend et je l'attrape sans hésiter. Il me hisse sur la branche et le remercie d'un sourire mais le pins se met à pencher. Et surtout à pencher en direction du vide.

Moi : on est trop lourd !

Paul : et c'est pas moi !! J'ai pas manger de KFC depuis 2 ans !!

Grégoire : Paul ferme là !! On doit descendre et vite !!

Balin : et les orques n'auront plus qu'à nous tuer !

Bixente : Gandalf vous n'avez pas une idée !!

Gandalf : accrochez vous !!

Lucas : génial c'est l'idée du siècle !

Le pins se déracine encore et nous nous retrouvons les jambes dans le vide. J'assois Bilbon sur la branche et passe mes bras autour de la taille de Antoine.

Moi : cramponne toi.

Antoine : je ne vais pas tenir longtemps.

Kili : et c'est quoi ça ?!!

Il pinte du doigts le dessus de la colline ou se trouve Azog et ses orques. Je fronce des sourcils et remarque une forme en mouvement mais qui essaye d'être invisible. Attendez. Je regarde plus en détail et voit un carré brillant. Un champs de forces protéger l'orque Pale. Et je sais très bien où j'ai vu ça. Je me relève pour m'assoir à coter de Bilbon. Je bande aussitôt mon arc et vise Azog.

Fili : vas y Didier !! Tue le !

L'orque me regarde et je plissé des yeux. Je lève mon arc en direction du ciel.

Moi : bande d'enfoirés.

Et je tire.

Ori : mais pourquoi tu as fait ça ?!!

Dwalin : je te l'avais dit Thorin que ces hommes ne savent pas se battre !!

Au même moment ma flèche atteint sa cible qui explosé en plein ciel juste au dessus d'Azog. Un robot en lambeau s'écrase juste devant eux.

Frédéric : comment tu as su ?

Kili : et c'était quoi ça Didier ?

Moi : L'Atlas avaient fait installer ses champs de forces après que j'ai tiré sur leur juges. Pour éviter d'autre accident.

Au même moment Thorin se lève et marche sur le tronc Orcrist en main. Je le regarde sans comprendre jusqu'à le voir se diriger vers Azog. Un combat s'engage entre lui et des orques. Ils les égorges, les empales et les décapites à lui tout seul. Enfin jusque se qu'Azog s'en mêle. Il fonce sur lui sur son wargs et d'un seule coup de masse le projeté a terre.

Balin : THORIN !!

Nous suivons tous se spectacle horrifié. Bilbon en tremble même. Azog se jette de nouveau sur le nain qui tombe à terre. Le wargs qu'il chevauche le prend dans sa gueule et le cris de douleurs que pousse Thorin me glace le sang. Le wargs projette Thorin à terre qui ne se relève pas.

Kili : oncle Thorin !!

Azog demande à un orque à ses côtés de couper la tête de Thorin. Et tout çà dans notre langue alors que normalement il parle le langage noire. La langue du Mordor. Aussitôt Bilbon se lève et dégaine Dard pour courir vers Thorin sans que je puisse me retenir et y aller moi. L'orque s'approche de Thorin et pose sa lame sur son cou. Le roi essaye de prendre Orcrist dans sa main mais l'orque lève son épée prêt à le décapité. Heureusement Bilbon se jeté sur lui et le plaque à terre.

Kylian : ouais !! Joli plaquage Bilbon !!

L'orque se relève mais Bilbon lui plante Dard en plein ventre. Ensuite il se relève et se met devant Thorin pour le protéger d'Azog.

Je me figé aussi sur place. Oh non pas ça non !! S'il vous plaît je ne veux pas revivre ça ! Je ne veux pas perdre un ami une deuxième fois ! Je revois encore Gorgio se tenant devant moi qui était à terre à cause d'un collet qui emprisonné mon pied droit! Je pose mon regard sur Azog mais à la place c'est Dani Alvez qui chevauche le wargs et il me lance un sourire narquois. Fils de pute tu est morts !! Une rage dévastatrice s'empare de moi et je me relève en hurlant.

Antoine : DIDIER !!

Bixente : mais qu'es que tu fous ?!!!

Je bande mon arc et tire sur le wargs qui gémis. Azog se tourne vers moi et 3 wargs me fonce dessus. Je sort trois flèches et tire. Les 3 s'effondre à mes pieds et je reprend ma course. J'arrive auprès de Thorin et prend Orcrist dans ma main pour me poster devant le hobbit. Je tremble tellement j'ai la haine.

Moi : tu ne t'approchera pas de Gorgio !!

Il me regarde et pose ses yeux sur ma broche il sourit aussitôt.

Azog : voici donc le Geai Moqueur à abattre absolument.

Je ressert mon emprise sur l'épée elfique. Comment il sait qui je suis et comment il peut parler notre langue bon sang.

Moi : espèce de fils de pute ! J'vais te crever pour ce que tu as fait à Gorgio !!

Je me jette sur lui mais un orque me barre la route. Sans hésiter je lui tranche la gorge. Son wargs me fonce dessus mais je lui met un coup d'épée dans la carotide. Le sang gicler sur moi mais je m'en fout. Je me baisse pour éviter un coup de hache d'un autre et l'éventre aussitôt. Un troisième me saute dans le dos et m'entrave les bras sauf que je me penche pour le faire rouler par terre et le tue d'une flèche en pleine tête. Je relève la mienne vers Azog qui descend de son wargs blessé. Il pointe le bras, que Thorin lui a coupé des années auparavant, et où se trouve maintenant une lame aiguisé dans ma direction. Je me met en garde et au moment de me jeter sur lui certain nains et certains de mes joueurs se jette dans la bataille. Une main me prend mon poignet et me tire vers le pin où se trouve les autres. Antoine.

Moi : lâche moi !! Antoine lâche moi bon sang !!

Antoine : arrête tes conneries Didier !! Tu est fou !!

Moi : je dois le tuer !! Je dois tuer se fils de chien de Dani Alvez !!

Il me regarde sans comprendre et se stop.

Antoine : mais... Tu la déjà tuer ! Pendant les jeux !!

Moi : je te dit qu'il est là juste sur son wargs blanc !

Antoine : mais c'est Azog !!! Didier ce n'est pas Alvez c'est Azog ! Tu a tué Alvez après qu'il est tué Gorgio !!

Je ferme les yeux pour chasser l'horrible souvenir qui remonte à la surface de ma mémoire. Le visage de Gorgio, le cris d'horreur que j'ai pousser et le sourire d'Alvez avant de se prendre une flèche de ma part en plein cœur. Je rouvre mes yeux qui sont rempli de larme de rage et me retourne pour enfoncer l'épée dans la tête d'un orque qui allait nous abattre.
Au même moment ceux rester sur le pin hurle et il se déracine complètement pour tomber dans le vide. Je ne bouge pas et vois les aigles remonter avec eux sur le dos. D'autre viennent nous aider dans la bataille et poussée les wargs dans le vide. Ensuite ils nous prennent dans leurs serres pour nous posé sur le dos d'autre. Je m'écroule complètement sur le dos de celui sur lequel je me trouve et mon compagnon pose sa main sur ma joue. Des larmes coulent toutes seule et je ferme les yeux. J'entends Fili hurler le nom de Thorin qui est inconscient. Je regarde Antoine qui me lance un sourire rassurant alors que le soleil se lève. Les aigles nous dépose sur une corniches et je tombe à genoux toujours en larmes. Thorin est déposé délicatement prêt de moi et Gandalf se précipite sur lui suivi des autres. Il pose sa main sur son front et ferme les yeux. Quelque seconde plus tard le nain ouvrent les yeux et tous soupirent de soulagement. Il se relève et regarde autour de lui.

Thorin : où est le hobbit ?!

Gandalf : Bilbon est ici et vas bien.

Il pousse le magicien et regarde durement le hobbit.

Thorin : vous ! Ne vous avez je pas dit que vous seriez un fardeau pour nous ?

Bilbon baisse la tête.

Thorin : je ne m'était jamais autant trompé de ma vie.

Et il le prend dans ses bras. Bilbon se sert contre lui puis pose son regard sur moi.

Bilbon : Didier....

Tous les regards se tourne vers moi, à genoux, rempli de sang noires, tremblant et en larmes. Antoine pose sa main sur ma joue et je ferme les yeux pour pleurez.

Antoine : amour...

Thorin : Didier.

Moi : je suis désolé !! Je lui avais promis que je le protégerai !!

Gloin : qui ?

Moi : Gorgio !!

Ori : qui est Gorgio ?!!

Bilbon : c'était le petit garçon qui me ressemblait. Pas vrai Didier ?

Je baisse la tête et pose mes mains devant mes yeux.

Moi : je lui avait jure qu'il sortirait vivant de l'arène !! Mais il est mort ! À cause de moi !!

Le jour c'est levé il y a peu de temps mais Gorgio n'est plus dans la grotte. Je me relève et prend mon arc et mes flèches. Je sors sans faire de bruit et regarde au alentour s'il n'y a personne. Je marche ensuite le long de la rivière quand j'entend un coup de canon. Je me stop et regarde autour de moi paniquer.

Moi : Gorgio ? Gorgio !!

Je me met à courir en l'appelant. Tout ce que j'espère c'est que se coup de canon n'était pas lui. Je continu de courir quand le petit garçon sort d'un buisson et cours vers moi. Je me précipite pour le prendre dans mes bras.

Gorgio : quesqu'il se passe Didier ?

Moi : j'ai entendu le canon et j'ai cru que c'était toi.

Gorgio : je vais bien. J'était juste parti nous chercher quelque oiseaux pour le petit déjeuner.

Je souffle de soulagement. Il me sourit gentiment se qui me réchauffe le cœur.

Moi : et tu en à trouver ?

Gorgio : j'aller en tuer un quand tu m'a appelé.

Moi : bon et bien allons en chasser d'autres.

Il sourit et passe devant moi. On se dirige vers des bosquets et je m'agenouille pour bander mon arc. Le petit garçon siffle 4 note fluette.

Moi : c'est le sifflement d'un geai moqueur ?

Gorgio : oui. En Espagne c'est aussi le sifflement de la fin de journée de travail. Je l'utilise aussi quand je m'entraîne secrètement. Il sifflent pour m'avertir d'un danger.

Moi : génial comme alarme. Attends je vais essayer.

Je siffle de nouveau les 4 notes et une dizaine de geai moqueur me répondent. Nous rions tout les deux.

Moi : bon ce n'est tout mais il nous faut à manger.

Gorgio : j'ai repérer un coin où il y a un tas de buissons ou peuvent se cacher des oiseaux.

Moi : allons y.

Je le suis donc jusqu'à se fameux endroit. Nous nous cachons derrière des rochers et mon ami jette une pierre se qui fait s'envoler une dizaine d'oiseaux. Je tire et en tue un.

Gorgio : ouais ! Joli tire Didier !

Moi : merci. Reste là je vais le chercher.

Je range mon arc et marche dans la direction où l'oiseau et tomber. Sauf que je n'est pas fait attention où je marché et je me prend le pied droit dans un collet. Je tombe par terre et me retrouve la tête en bas. Je me dépêche d'essayer de desserre le collet autour de ma cheville mais je tombe violement au sol après que la corde et était couper.

Dani : tu as sacrément était dur à trouvé mon salaud.

Je relève la tête vers l'ancien joueur brésilien qui me sourit méchamment. Je tâte le sol à coter de mon pour trouver mon arc qui et tomber quand jetait perché au bout du coller.

Dani : Emi sera ravi de voir ton portrait s'afficher se soir dans le ciel.

Il sort un sabre de son dos et le lève pour l'abattre sur moi mais Gorgio lui saute dessus pour le faire tomber à la renverse.

Moi : Gorgio !!

Il se relève et me jette mon arc. Je le récupère mais me figé quand je voit le sabre d'Alvez s'enfoncer dans le ventre du garçon. Un hurlement horrible ce fait entendre. Et c'est en sentant ma gorge me brûler que je comprend que c'est moi qui l'ai pousser. Dani me lance alors un sourire narquois et sans hésiter je prend un flèche dans mon carquois et lui tire en plein cœur. Il s'effondre raide mort et le coup de canon ce fait entendre. Je me relève et court vers Gorgio qui respire difficilement. Je jette un regard à sa blessure et détourne le regard.

Gorgio : Didier...

Moi : chut. Ne parle pas garde tes forces. Ça va aller. Je... Je vais appeler du secours et tout ira bien.

Gorgio : tu... Tu sais très bien qu'il... Qu'il ne viendront pas...

Moi : mais si... Venez m'aidez ! Vite !! S'il vous plaît !!

Je regarde les caméras avec mon regard suppliant et aux bord des larmes. Une petite main vient prendre la mienne et la serrée doucement. Le petit garçon me regarde droit dans les yeux.

Gorgio : Didier...

Moi : chut je t'es dit. Il faut que tu garde tes forces. Tu va te reposer et tout ira mieux. Tu rentrera chez toi et tu retrouvera ta maman et

Gorgio : tu dois gagner.... C'est toi qui doit gagner....

Moi : Gorgio.... Tu peux pas me dire ça....

Gorgio : tu dois gagner ces jeux .... Tu dois rentrer chez toi... Pour ton amoureux et ta famille.... Promet le... S'il te plaît....

Des larmes dévalent mes joues et je lui caresse doucement le front.

Moi : je peut pas faire ça Gorgio... Je peux te promettre ça alors que... Que je vais pas tenir celle de te faire sortir vivant d'ici....

Gorgio : je savais des le début que je ne gagnerai pas face à de grand champion... Mais toi oui... Tu est le meilleur... Alors s'il te plaît tiens au moins celle de gagner
..

Moi : d'accord... Je... Je gagnerai. Pour toi....

Gorgio : merci Didier .... Merci pour tout... Tu peux me chanter la chanson de toi et de tes anciens coéquipiers...?

Moi : i Will survive ?...

Gorgio : oui... S'il te plaît...

Moi :No, not I, I will survive

Oh as long as I know how to love, I know I'll stay alive

I've got all my life to live and I've got all my love to give

And I'll survive, I will survive (hey, hey)

It took all the strength not to fall apart

Just trying hard to mend the pieces of my broken heart

And I spent oh so many nights just feeling sorry for myself

I used to cry, but now I hold my head up high

La pression sur ma main se relâche et ses yeux deviennent vide de sentiments. Je lui ferme les yeux et éclates en sanglots. Je sers son petit corps contre moi, toujours en pleurant et le coup de canon retenti. Je jeté mon arc en hurlant me relève. Je porte le petit corp jusqu'à une clairière rempli de fleur blanche et en met tout autour de son corps ainsi que dans ses mains jointent. Je reste un moment à ses coter tout en pendant fort à sa mère qui a du voir sa mort à la télévision. Je me remet debout et jeté un dernier regard à Gorgio.

Moi : ils vont tous regrettés d'être nées. J'vais les massacrer jusqu'au dernier et je serai le gagnant ça je t'en fais la promesse.

Puis je retourne m'enfoncer dans les bois. Toujours en pleurant mais en pleurant des larmes de rage.

Plus personne autour de moi ne parle. Antoine et les autres, ayant vu la scène lors de la diffusion des jeux n'ose même pas me regardé. Mes pleurs se sont calmés.

Moi : et tout à l'heure face à Azog ça ma renvoyer au moment où D'Alvez a tué Gorgio. J'ai était pris d'une immense rage que je n'est pas pu contrôler. Je... Je suis désolé de mon comportement.

Thorin : vous ne devez pas.

Je regarde le nain qui s'approche de toi et posé sa main sur mon épaule.

Thorin : ne soyez pas désolé d'avoir cette rage en vous. Grâce à elle vous nous avez tous sauver.

Antoine : grâce à elle tu a réussi à venger Gorgio.

Moi : mais et la promesse que je lui ai faite qu'il sortirai vivant

Bixente : tu n'a pas pu la tenir parce qu'il t'a protéger. Sans lui tu serai mort à l'heure qu'il est.

Bilbon : et puis tu as quand même tenu la promesse de gagner.

Je lui sourit doucement et essuie mes larmes.

Thorin : ils faut du temps pour penser les blessures les plus profondes d'un guerriers mais vous aller y arriver.

Moi : merci.

Balin : merci à vous surtout. Vous avez sauvez Thorin et Bilbon.

Dwalin : vous vous êtes battu comme un vrai nain.

Je me relève fièrement et redonne Orcrist à son propriétaire.

Moi : tenez. Je n'en ai plus besoin et puis elle vous appartient.

Thorin : merci Didier. Rappelez moi se que représente votre broche ?

Je la touche du bout des doigts et sourit.

Moi : un geai moqueur.

Thorin : geai moqueur.... Mes amis permettez moi de vous présentez le geai moqueur d'Erebor.

Je le regarde surpris comme mes amis.

Moi : mais qu'es que vous venez de faire ?

Gandalf : je crois mon cher Didier que Thorin vient de vous donné un surnom.

Lucas : cool. Le geai moqueur d'Erebor ça sonne vient pour vous coach.

Antoine : il te va parfaitement bien mon cœur.

Il m'embrasse et je le sers contre moi. Je le sens se figé alors je me sépare de lui. Il regarde quelque chose au dessus de mon épaule. Je me retourne et découvre au loin la montagne solitaire. Tout le monde regarde dans la même direction que nous.

Dori : c'est bien ce que je pense.

Kili : la montagne solitaire !

Hugo : et Erebor.

Gloin : regardez !

Il pointe du doigts un corbeau volant vers la montagne.

Balin : c'est comme dans le présage.

Dwalin : Les oiseaux s'en retournent vers la montagnes.

Bilbon : je crois que nous avons passer le plus dur.

Pas si sûr mon chère Bilbon. Je regarde Gandalf qui semble regardez quelque chose avec Greg.

Moi : Greg.

Le journaliste lève son regard vers moi et je vois entre ses mains le robot sur lequel j'ai tirer hier soir.

Grégoire : il vient bien d'atlas Didier.

Kylian : et ça veut dire quoi ?

Gandalf : qu'en plus d'Azog est ses orques à notre poursuite nous avons aussi les personnes qui veulent vous tuer Didier.

Fili : et bien qu'ils viennent !

Ori : oui !! Je les attends !!

Nori : calme toi voyons !

Dwalin : personne ne s'approchera de vous Geai Moqueur. Vous et vos amis faites parti de la compagnie de Thorin Écu De Chêne.

Je regarde tout le monde et prend la main d'Antoine dans la mienne.

Moi : et bien qu'attendons nous pour aller reprendre Erebor.

A suivre...
Chapitre assez long sur la confrontation avec Azog et le traumatisme de Didier sur la mort de Gorgio

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