Chapitre 7 : Gollum
Point de vue Didier
La pluie c'est arrêté il y a 1 heure ou 2 je ne sais plus. La nuit et tombé et je suis trempé puis j'ai faim. Je soupire. Ça a l'air d'être calme en bas. Je vais pouvoir descendre . Je commence à descendre le branché quand une musique me stop et dans le ciel s'affiche le portrait des tribus mort aujourd'hui. Laure et Martinez n'en font pas parti donc ils sont vivant. Je ferme les yeux et adresse une prière silencieuse aux morts. Je reprend ma descente et une fois en bas c'est le silence complet. Pas un oiseaux pas une brise de vent. C'est vraiment silencieux. Ce qui me met mal à l'aise.
Je prend mon arc et sort une flèche. On est jamais trop prudent. Ou pas. J'entends des branches craqué derrière moi et des voix qui semblent s'approcher. Pas le temps de remonter dans l'arbre je dois me cacher. Je fonce dans un bosquet et m'allonge. Je garde mon arc et ma flèche dans ma main. J'aperçois une silhouette s'approcher et c'est le tribut de l'alliance 9. Il est paniqué et regarde partout jusqu'à se que deux autres silhouettes le rejoignent et l'une d'elle se jette sur lui. Emiliano Martinez. Je sers mes poings. Se fils de pute qui c'est foutu de nous et nous a piquer la coupe du monde. Il est accompagné de Dani Alvez. Le pauvre garçons du 9 les regardent horrifié et l'autre connard d'argentin lève sa hache et la plante dans son crâne.
Je détourne le regard de cette vision d'horreur. Le coup de canon retenti et je ferme les yeux. L'argentin se relève et regarde autour de lui. Il s'approche du pied de l'arbre où jetait quelque minute plus tôt.
Dani : y a quelqu'un qu'à grimper là haut ?
Emiliano : ouais mais il n'y est plus. Depuis peu de temps.
Il reprend sa hache en main et pointe du doigts quelque chose dans le sol.
Emiliano : là regarde. Des traces de pats. On n'a plus qu'à les suivre et un tribut en moins.
Dani : yes. Tu crois que c'est le vieux ?
Emiliano : j'espère. Si c'est lui tu me le laisse. J'ai une petite chose à réglé avec se connard de français.
C'est moi qu'il cherche l'autre pute ? Eh bien qu'il viennent mais non à 2 contre 1 c'est perdu d'avance. Je dois me barrer sans faire de bruit mais vu là où je me suis planqué c'est compliqué.
... : pss ! Pss !
Je tourne la tête vers la gauche là où vient se bruit et voit le petit Gorgio assis contre un arbre me faire signer de venir. Je rampe doucement vers lui mais les 2 abrutis s'approchent dangereusement de moi. Le petit me fait signe de me stopper et prend une pierre. Il l'a lance dans la direction opposé et les deux hommes se tournent vers l'endroit où la pierre est tombé.
Dani : oh le connard !
Emiliano : aller vient !!
Il court dans l'autre sens et je me relève pour rejoindre Gorgio.
Gorgio : ne restons pas là. Suis moi.
Il me prend la main est court vers la rivière. Parfait pour que l'on perde notre trace si on nous suis. Nous marchons dans l'eau 5 minutes puis il me conduit vers une petite grotte.
Gorgio : viens. On ne risque rien ici.
Je rentre alors qu'il allume un feu. Je m'assois sur une pierre et pose mon arc et mes flèches à coter de moi. Il réussit à allumer et feu et me tend une brochette avec un oiseau.
Gorgio : tiens tu doit avoir faim.
Moi : merci.
Je lui sourit et il me le rend.
Moi : et merci de m'avoir aidé à me sortir de se pétrin.
Gorgio : de rien. J'ai entendu la musique et j'ai vu les portrait de ceux qui sont mort aujourd'hui et c'est la que j'ai vu ses deux hommes courir après l'adolescent du 9. Je les ai suivi et je t'es trouvé. A vrai dire je serai aussi aller te chercher.
Moi : c'est très gentil de ta part.
Gorgio : mange tant que c'est chaud.
Je m'exécute et mange l'oiseau. Je pose la carcasse loin de moi après avoir fini. Le petit fait pareil et remet du bois dans le feu.
Gorgio : réchauffe toi. Tu est frigorifié et trempé.
Moi : j'ai du resté des heures en haut de cet arbre. Je voulais voir se qu'il aller se passer.
Gorgio : c'est une bonne idée mais si toi tu les vois arriver il y a le risque que eux aussi te voyant.
Un petit silence s'installe où il me fixe.
Gorgio : c'est drôlement courageux se que tu as fait pour se jeune homme.
Moi : merci.... Juste avant le tirage il m'a dit que c'est son nom qui serait tiré. Je lui ai dit que non parce que on est quand même une centaine d'homme dans l'alliance 12. Et finalement il avait raison. Quand les mercenaire l'ont fait avancer il m'a lancer un regard qui m'a figé. Je voyait la peur dans ses yeux et aussi un message. Un je t'aime rempli d'amour pour moi sachant qu'il ne reviendrait pas. Alors je me suis dit que j'aurais plus de chance que lui. Et que ça l'éviterai de voir... Ce que j'ai vu avec se jeune ados du 9. Parce que même s'il revenait il n'aurait plus jamais était le Antoine que j'ai connu.
Gorgio : je comprend et toi aussi tu ne sera plus le même quand tu rentrera au 12.
Je fronce des sourcils sans comprendre.
Moi : qui te dit que je gagnerai ces jeux ?
Gorgio : je le sais c'est tout. Moi je ne suis qu'un garçon de 11 ans promis à une grande carrière d'athlète mais je n'est pas l'âme d'un gagnant. Je n'est pas la rage de vaincre comme toi.
Il baisse la tête. Je prend une de ses petites mains dans les miennes se qui le fait relever la tête.
Moi : tu sortira de cette arène Gorgio. Crois moi. Tu auras une grande carrière enfin si les différentes compétitions reprennent un jour.
Gorgio : mais et toi ?
Moi : ne t'en fais pas pour moi d'accord ?
Gorgio : d'accord. Tu veux un peu d'eau ?
Moi : avec plaisir.
Il me tend une grosse feuille qui contient une peu d'eau. J'en bois quelque gorgé et la redonne au petit garçon.
Moi : tien bois le reste tu en as plus besoin que moi.
Gorgio : non fini la j'en est bu beaucoup par rapport à toi.
Moi : tu est le plus jeune alors fini là.
Gorgio : pourquoi tu fais ça Didier ?
Gorgio : te rationner. Je sais que dans le 12 la nourriture n'est pas abondante mais là.
Moi : c'est surtout pour les autres que je fais ça.
Gorgio : tu ne devrais pas. Toi au moins tu a la chance de manger à ta faim.
Moi : comment ça ?
Gorgio : ma vie dans l'alliance 11 et rude. On nous fait travailler jusqu'à la nuit tomber pour ramasser les récoltes que l'ont a interdiction de manger.
Moi : vous n'avez pas le droit de manger vos récoltes ?
Gorgio : non. Y a un copain à moi il en avait volé pour sa mère et bien les mercenaires l'ont retrouvé et l'on exécuté devant tout le monde.
Moi : waouh. Nous on n'a pas à se plaindre dans le 12. Enfin ils surveille à se qu'on ne fasse pas trop de braconnage.
Gorgio : ma maman c'est ce qu'elle veut faire. Braconner pour nous nourrir moi et mes petits frère. Enfin la elle doit surtout s'inquiéter pour moi. Elle se fait toujours du soucis pour moi depuis que notre père est mort.
Je le fixe un petit moment puis vient m'asseoir à coter de lui pour le prendre dans mes bras.
Moi : je la comprend tu sais. Si mon fils avait étais choisi pour se battre à mort je serai dans le même états qu'elle. Mais tu la reverra.
Gorgio : tu crois Didier ?
Moi : je vais tout faire pour te protéger et que tu sorte vivant de cette arène. Je te le promet. Maintenant va dormir un peu je vais monter la garde.
Gorgio : d'accord mais réveille moi dans 2 h.
Moi : d'accord.
Il s'allonge et je le couvre. Je prend mon arc et mes flèches pour me poster à l'entrée de la grotte. Je regarde le petit dormir à point fermé. Je regarde le ciel et écoute le moindre bruit. Je lui ai fait une promesse et je compte bien la tenir. Coûte que coûte.
J'ouvre les yeux doucement parce que ma tête me lance. Je les ouvre complètement et voit que je suis au fond du gouffre dans lequel Bilbon et moi nous sommes tombé. Bilbon ! Je me relève mais ne vois personne autour de moi. Il a du tomber plus loin.
Je me relève et prend mon arc en main. Au cas où. Je suis une galerie qui descend prudemment.
Moi : Bilbon ?
Aucune réponse évidemment. Je descend encore un peu la galerie et entend des voix au loin. Je reconnais celle de Bilbon mais la deuxième et bizarre. Oh non ! Gollum ! Je me précipite dans la direction des voix et tombe sur un lac souterrain. Je regarde un peu autour de moi et voit le hobbit et l'autre dégénèré qui jouent aux énigmes. Sauf que Gollum se rapproche bizarrement de Bilbon et que se dernier ne semble pas le remarqué. Sans hésiter je sors une flèche, bande mon arc et tire entre eux. Tout les deux sursautent et se tournent vers moi qui court en direction de Bilbon pour le protéger.
Bilbon : Didier ! Vous êtes vivant !
Moi : oui juste une mauvaise chute. Toi ne t'approche pas de lui ou la prochaine jte la loge entre les deux yeux !
Il me regarde de travers alors je sors une autre flèches et il recule. Le hobbit pose sa main sur la mienne et me regarde.
Bilbon : attendez Didier s'il vous plaît. Il me reste une énigme à poser pour qu'il puisse nous conduire à la sortie et rejoindre les autres.
Moi : on peut se débrouiller Bilbon.
Gollum : le vieille homme ment. Ils ne peuvent pas sortir d'ici sans mon aide mon précieux.
Moi : toi ferme là !
Il reculle encore puis pose son regard sur la broche du Geai moqueur que je porte sur la sangle de mon carquois. Je sers mon arc et recule légèrement.
Gollum : qu'es que c'est mon précieux sa brille ?
Moi : une broche mais ne t'approche pas je t'es dit !!
Bilbon : Didier !
Moi : il est dangereux Bilbon croyez moi.
Bilbon : mais on as besoin de lui pour sortir d'ici. Et puis je sais comment gagner.
Gollum : et si ça perd nous les mangerons tout les deux.
Je soupire. Il marque un point c'est vrai que je ne sais pas où est la sorti de toute façon. Je ressert mon emprise sur mon arc et me positionne à coter du hobbit.
Moi : si tu sais se que tu fait alors vas y.
Il me sourit et ne relève pas le fait que je les tutoyer. Il regarde l'autre taré et met sa main dans sa poche. Tout un coup je me rappelle. Bilbon a trouver l'anneau et va demander à Gollum se qu'il a dans sa poche. Comme il ne sait pas il va s'énerver et nous courir après. Je me rapproche de Bilbon pour le protéger quand sa arrivera.
Bilbon : qu'es que j'ai dans ma poche ?
Il regarde le hobbit surpris puis réfléchit.
Gollum : ce n'est pas du jeux mon précieux !
Bilbon : c'est une énigme. Alors ?
Il nous regardent de travers et commence à faire les cent pas. Il essai de réfléchir à se que l'on pourrait mettre dans une poche et je fais signe discrètement à Bilbon de reculer. Ce qu'il fait. Après avoir réfléchit il se tourne vers nous et nous lance un regard rempli de haine.
Gollum : qu'es que ça a dans sa salle petite poche ?!!!
Moi : cours !!
Je sais vous allez me dire pourquoi tu n'a pas tiré sur lui mais ces que en nous poursuivant il va nous mener droit à la sorti donc pour le moment je privilégie la fuite. Je passe entre deux rochers trois et Bilbon me suis sauf qu'il se retrouve bloqué.
Bilbon : Didier !
Moi : donne moi ta main !
Il me l'a tend. Je la lui prend et le tire vers moi. Derrière lui je vois l'autre fou furieux arriver vers nous en hurlant.
Gollum : voleurs ! Sacquet !! Voleurs !!
Je tire de toute les forces et réussi à délivrés le hobbit sauf que l'on tombe tout les deux l'un sur l'autre et que malencontreusement il passe l'anneau à son doigts. Tout un coup tout autour de nous devient noir et blanc. Mais attendez pourquoi je vit comme Bilbon quand il met l'anneau. Je regarde autour de moi et voit que ma main et posé se mon épaule se qui me rend invisible aussi ! L'autre dégénéré passe devant nous sans rien remarqué.
Moi : relevé toi et suivons le.
Bilbon : attend je... Je ne comprend pas se qu'il arrive....
Moi : c'est un anneau magique. Des que tu le passe à ton doigts tu devient invisible. Et moi par la même occasion. Mais pas le temps de t'expliquer on doit le suivre.
Il se relève et nous suivons les cris de Gollum. Je garde ma main sur son épaule pour rester invisible. Nous le voyons devant nous se stopper et se cacher alors que l'on entend des voix. Puis Gandalf passé en courant et en disant aux autres de se dépêché. Toute la compagnie passe en courant devant eux. Je chuchote à l'oreille du hobbit.
Moi : voilà la sortie. On y va.
Il s'avance mais l'autre fou bloque le passage. Bilbon dégaine Dard et approche de lui. Il pose la pointe de son épée sous son cou puis relève le bras prêt à l'abattre mais se ravisé au dernier moment. Je lui chuchote.
Moi : qu'es que tu fais ? tue le.
Bilbon : non... Il me fait pitié Didier.
Je ne dit rien et regarde Gollum c'est vrai qu'à le voir comme ça moi aussi ça me fait pitié mais si ne me tue pas c'est lui qui dira à Sauron ou se trouve l'anneau et c'est la que la guerre débutera. Je n'est pas le temps de faire quoique se soit que Bilbon recule. Il me prend la main puis court pour sauter à dessus de Gollum. Se que je fais moi aussi mais mon pied heurté sa tête et il tombe à la renversé. Aussitôt il hurle en se relevant.
Gollum : voleurs !! Sacquet de la comté !! Voleurs !!
Le hobbit n'y prête pas attention et court vers la sorti ou le soleil se couche. Nous descendons le flancs de montagnes puis on s'arrête derrière un arbre. Il retire l'anneau et tut autour de moi retrouve des couleurs. J'entends des voix un peu plus bas. Je reconnais celle en Antoine. Je regarde le hobbit qui fixe l'anneau dans la paume de sa main. Il relève la tête vers moi et je lui lance un sourire que se veux rassurant. Nous marchons vers le voix et on contourne un grand Chêne où Antoine semble se disputer avec les autres.
Bixente : Antoine calme toi aller.
Antoine : non Bixente !! J'ai failli le perdre une fois par ma faute !!
Moi : je t'es déjà dit que ce n'était pas ta faute.
Toutes les têtes se tournent dans ma direction et mon petit ami court me sauter au cou.
Antoine : tu est vivant !!
Moi : bien sur. Ne crois quand même pas qu'une petite chute va me tuer.
Thorin : vous et Bilbon avez quand même fait une sacré descente. Vous n'êtes pas blessé ? Nous pouvons faire une pause.
Bilbon : je vais très bien Thorin ne vous en faite pas.
Grégoire : à part ton bras droit Didier.
Je fronce des sourcils et regard mon bras et la blessure de la puce que l'on m'a fait pour les jeux c'est encore ouverte.
Moi : putain fais chier !!
Balin : laisser Oin soigner ça mon garçon.
Moi : ça ne sert à rien. Même le seigneur Elrond n'a rien pus faire pour la refermé cette foutu cicatrice.
Kylian : tenez coach mettez ça dessus.
Mon joueurs me tend un bande de tissu marron. Antoine le prend de mes main et me fait un bandage. Du coin de l'œil je peut observé Thorin ausculter des yeux notre cambrioleur. On dirait que le future roi s'inquiète beaucoup pour lui.
Dwalin : maintenant que nous sommes tous réuni nous pourrions reprendre notre route.
Gandalf : excellente suggestion maître Dwalin.
Au même moment nous entendons des hurlement de loups. Tout le monde se fige. Je met Antoine derrière moi et regarde vers le flancs de montagne que nous venons de descendre.
Gloin : des wargs ! Ne trainons pas ici !
Je prend la main de mon compagnon et on se met tous à courir vers des arbres alors que derrière nous des wargs nous pourchassent.
Gandalf : grimper dans les arbres vite !!
J'aide mon petit ami à grimper puis je met Bilbon sur mon dos. Thorin me fusille du regard. J'escalade jusqu'à plus haute branches et pose Bilbon à coter de Bofur.
Dwalin : par ma barbe...
Je voit le nain fixer le bas des arbres ou se trouves des wargs chevauché par des orques mais l'un d'eux m'interpelle. Il s'approche sur son wargs blanc. Je capte le regard de Thorin qui semble avoir vu un fantôme.
Lucas : oh non pas lui.
Paul : c'est qui ?
Hugo : mais tu est débile ma parole ! C'est
Thorin et moi : Azog.
A suivre...
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