Chapitre 4 : Le Départ
Antoine : tu as bientôt fini la lettre pour le seigneur Elrond ?
Moi :oui ne t'inquiète pas. Les sacs sont prêt ?
Antoine : oui je n'est pris que le strict nécessaire comme nous la demandé Gandalf. J'espère qu'il arrivera à nous faire gagner du temps.
Moi : oui tu sais très bien qu'il ne se rendront compte de notre départ qu'à l'aube.
Antoine : ça c'était avant qu'on débarque dans cette temporalité. Mais bon si tout ce passe comme c'est prévu sa devrait le faire.
Moi : exactement. Ça y est j'ai fini.
Je plie la lettre et la pose sur le lit. Il faut quand même que je le remercie pour nous avoir soigner et hébergé. Je prend un sac et nous sortons discrètement rejoindre les autres dans la cour. Dwalin s'approche de moi.
Dwalin : tenez. Gandalf ma dit qu'il vous appartenaient.
Il me tend mon arc et mes flèches. Je le remercie du regard et il me donne deux dagues. Il fait de même à Antoine et nous nous approchons de Thorin.
Thorin : bien. Tout le monde et là allons y.
Il ouvre la marche est le nains le suivent. Mes joueurs me regardent attendant mon signal et je m'engage derrière Bombur. Aussitôt ils me suivent.
Nous marchons le longs de la falaise et les premiers rayons du soleil traversé le ciel. Bilbon se retourne et regarde derrière lui Fondcombe. Je fais de même.
Thorin : maître Sacquet seigneur Deschamps ne traîner pas.
Bilbon me regarde et je lui sourit. Antoine se place à mes côtés et me prend la main. Très vite sous arrivons sur les plaines. Nous marchons en file indienne et traversons des ruisseau et des forêts. Je commence à avoir mal aux jambes en même temps cela fait 2 mois que je n'est pas autant marché.
Paul : j'ai mal au pieds !
Lucas : moi aussi. Et au bras.
Grégoire : aux bras ? Je t'avais dit de bien te tenir quand tu t'entraîne à l'épée ! Voilà le résultats.
Fili : de belles courbatures. C'est comme ça que ça rentre croyez moi.
Théo : et pourtant il n'arrive à toucher personne.
Lucas : ferme la Théo !
Je soupire et rit. Il recommence à se chamailler comme au bon vieux temps et ça m'avait manqué.
Kili : c'est deux là sont frères je parie ?
Moi :c'est exact.
Antoine : Lucas et l'aîné.
Fili : ça se voit. Il a plus d'autorité sur son petit frère.
Kili : tu n'a pas d'autorité sur moi je te signale.
Je ne peux m'empêcher de glousser. Antoine fait pareil.
Fili : c'est se qu'on va voir. Alors arrête tout de suite de m'embêter.
Kili : oh non.
Lucas : Théo arrête ça tout de suite !
Théo : il manque le mot magique grand frère.
Fili : Lucas puis je vous parler ?
Il s'approche du joueur franco espagnol et semble très vite parler de leur frangin. Antoine durit et je rit.
Kili : je crois que l'on a pas fini d'en entendre parler.
Moi : oh oui.
Les jours passent et se ressemblent. Nous avançons lentement vers les monts Brumeux. La où se trouve le royaume des gobelins et Gollum. Ainsi que l'Anneau. Je frissonne en pensant à tout ce que cela va déclencher. La nuit commence à tomber et Thorin décide que nous dormirons dans la forêt juste à coter de la chaîne de montagnes. Nous établissons le camps et Nori regarde nos provisions rien quand voyant la tête qu'il fait cela ne présage rien de bon.
Moi : quesqu'il y a ?
Nori : il ne nous reste que très peu de provision avant de commencer l'ascension des monts Brumeux.
Thorin : et bien que quelqu'un aille chasser.
Tout les nains protestent à l'unisson.
Balin : nous n'avons pas le choix. Quelqu'un doit y aller.
Moi : j'irai.
Tous se tourne vers moi.
Kili : vous seigneur Deschamps ? Mais es ce que vous savez chasser ?
Olivier : ça fait deux ans qu'il nous ramène du gibier pour nous nourrir donc oui il sait chasser.
Thorin : très bien mais prenez Gloin avec vous. Il est déconseillé de partir seul dans les bois. Les autres allumé un feu !
Gloin s'approche de moi et nous partons dans une direction au hasard. Je regarde le sol et trouve très vite des trace de sanglier et de chevreuil.
Moi : par là.
Le nain me suit aussi discrètement qu'il le peu et très vite nous tombons sur un gros sanglier.
Gloin : par ma barbe.
Moi : chut.
Je sors une flèche de mon carquois et bande mon arc. Je vise le cou du sanglier. Je bloque ma respiration et tire. La flèche se plante dans son cou et il tombe raide mort.
Gloin : joli tire.
Moi : merci. Restez ici et commencer à tirer le sanglier jusqu'au camps. Le chevreuil ne devrait pas être très loin.
Gloin : Thorin a dit de ne pas se séparé.
Je me tourne vers lui et pose mes mains sur mes hanches.
Moi : maître nains j'ai survécu seul pendant deux jours dans une forêt où des personnes chercher à me tuer. Vous voyez que je me tient devant vous vivant.
Gloin : en effet mais ici aussi des gens cherche à vous tuer.
Moi : croyez moi ils le regretteront.
Je me tourne pour suivre la piste du chevreuil sur quelque mètres et j'ai la surprise de découvrir deux belle biches. Je reprend deux flèches. Je peux les tuer en même temps. Je les vise et tire. La première touche en plein cœur et l'autre dans la carotide. Je les prend par les pattes et les tire dans la direction de Gloin qui tire tant bien que mal le sanglier.
Dwalin : encore une joli prise bravo. Nous aurons assez à mangé se soir. Grâce à vous.
Nous les ramenons au camps ou nous sommes acclamé par des cries de joie venant des nains. Bombur s'atteler a la tâche de les dépenser et je décide de l'aider avec Bixente. Nous les découpons et commençons à les faire cuire. Et bien nous nous sommes régaler. Je suis assis à côté de Antoine qui à sa tête poser sur mon épaule et regarde le feux.
Balin : demain nous atteindrons les longs Brumeux. Il faudra faire très attention. Le chemin est escarpé.
Kylian : devons nous craindre autre chose ?
Balin : pas que je sache.
Un silence s'installe. Donc il ne savent pas pour les gobelins. Génial. En même temps cela m'aurait étonné.
Antoine : chéri ?
Moi : oui ?
Antoine : chante moi la chanson.
Moi : la quelle ?
Antoine : tu sais très bien laquelle.
Moi : pas du tout.
Antoine : la balade que tu a écrite.
Ça fessait longtemps qu'il ne me l'avais pas demandé. Quand il le fessait c'est qu'il avait du mal à s'endormir. Et je crois que cette nuit c'est le cas.
Fili : de quelle chanson il parle ?
Benjamin : d'une chanson que Didier a écrite mais c'est plus une ballade on va dire.
Frédéric : que tout le monde chante.
Bilbon : vous pouvez nous la chanter s'il vous plaît ?
Mon regard se pose sur lui. Ses dernières parole me fait fondre le cœur.
Moi : ok si vous voulez.
Antoine : yes. Merci Bilbon.
Je me redresse et sourit.
Moi : veux tu veux tu
Au grand arbre me trouvé ?
Là où ils ont lynché
Leur fameux meurtrier .
Des choses étranges s'y sont vu
Moi j'aurais aimé
À minuit te voir
À l'arbre du pendu.
Veux tu veux tu
Au grand arbre me trouver ?
Là où le mort à hurler
À ça belle de filer.
Des choses étranges s'y sont vu
Moi j'aurais aimé
À minuit te voir
À l'arbre du pendu.
Veux tu veux tu
Au grand arbre me trouver ?
Pour qu'on puisse partir libre
Comme je te l'ai demander.
Des choses étranges s'y sont vu
Moi j'aurais aimé
À minuit te voir
À l'arbre du pendu.
Veux tu veut tu
Au grand arbre me trouvé ?
Le collier de l'espoir
Tu portes à mes côtés.
Des choses étranges s'y sont vu
Moi j'aurais aimé
À minuit te voir
À l'arbre du pendu.
Veux tu veux tu
Au grand arbre me trouver ?
Pour qu'on puisse partir libre
Comme je te l'ai demander.
Des choses étranges s'y sont vu
Moi j'aurais aimé
À minuit te voir
À l'arbre du pendu.
Moi et les joueurs : veux tu veux tu
Au grand arbre me trouvé ?
Là où ils ont lynché
Leur fameux meurtrier.
Des choses étranges s'y sont vu
Moi j'aurais aimé
À minuit te voir
À l'arbre du pendu.
Veux tu veux tu
Au grand arbre me trouver ?
Là où le mort à hurler
À ça belle de filer.
Des choses étranges s'y sont vu
Moi j'aurais aimé
À minuit te voir
À l'arbre du pendu.
Je regarde les mecs qui me sourit et les nains qui semble fasciner par cette chanson. En tout cas Antoine commence à s'endormir.
Bofur : cette chanson parle d'un homme qui a était pendu ?
Grégoire : oui. Au grand Chêne qui se trouve à l'Élysée à Paris. Il y a 1 an.
Hugo : pour avoir voler du pain pour nourrir sa femme et leur bébé et pour avoir essayé de fuir vers l'alliance 1.
Bilbon : et cette femme qu'est elle devenu ?
Moi : ça nous n'en savons rien.
Paul : de toute façon Atlas fait disparaître toute forme de rébellion. Aieu t'es malade Ous !!
Ousmane : faudra qu'un jour tu apprenne à la fermer Paul.
Moi : si c'est de moi que vous parler dites le moi franchement.
Antoine : vous pouvez arrêté de parler d'Atlas tout le temps... C'est fini ont est libre maintenant...
Plus personne ne parle et Gloin se racle la gorge.
Gloin : votre ami a raison. Vous êtes libre maintenant. Libre comme l'air.
Balin : et vous pouvez manger à votre faim.
Un même moment une flèche vole et vient se planter dans l'arbre juste derrière moi. Je me saisi de mon arc et les autre des haché épée ou poignard. Kili s'avance vers le feu et semble gêné.
Kili : excusez moi Didier je jouais avec mon arc et la flèche et parti toute seule. Je ne vous ai pas blessé au moins ?
Moi :non ne vous en faite pas. Vous avez juste réveillé Antoine.
Kili : vraiment désolé.
Nori : tu peux ! Tu nous a fichu une sacré frousse ! Cela aurait pu être des orcs !
Je rit tout un coup en me souvenant d'un chose. Tout les regarde d'incompréhension et tourne vers moi.
Dwalin : je ne vois pas se qu'il y a de drôle. Il a failli vous tuer !
Moi : c'est juste que se geste me rappel se que j'ai fait au juges des Hunger Games mais moi c'était intentionnel.
Bilbon : comment ça ?
Moi : oh et bien c'était le jour où tout les tribus devait passer individuellement devant les juges qui devait leurs donner une note entre 1 et 12 pour attirer les sponsors.
Je suis dans les derniers étant de l'alliance 12 avec Laure. Cet dernière ne m'a même pas adressé la parole depuis que nous sommes partis à bord de cet avion direction l'Atlas.
C'est au tour de Gorgio, le garçon de l'alliance 11. C'est un jeune espoir espagnol du 500 mètres. Il me regarde et je lui lance un sourire rassurant. Puis c'est au tour de Laure. Elle ne me lance même pas un regard et je lève les yeux aux ciel. Je me demande bien se que j'ai fait. J'attends 15 minutes puis.
Haut parleur : messieurs Didier Deschamps Alliance 12.
Je pénétré dans la salle d'entraînement où se trouve un arc, des flèches et une cible. Rien de plus facile. Je me tourne vers la loge des juges et les voit entrain de parler et de manger sans soucier de moi ! Ok ça promet.
Je prend une flèche, bande mon arc et tire en pleine tête sur la cible. Je regard en les juges mais il semble vraiment que je sois invisible. J'en tire 2 autre qui vienne se planter dans le cou et en plein cœur mais toujours aucun regard des juges. Ça commence à m'énerver. Je prend une flèche et vise le haut juge Sandford. Je tire et la flèche vient se planter dans le mur en passant à quelque centimètre de son visage. Tous se tourne vers moi ébahi et je fait une révérence.
Moi : merci pour votre considération.
Et sur ses dernières paroles je sors en reposant mon arc et mes flèches.
Fili : sérieusement tu leur a dit " merci pour votre considération"?
Moi : oui et vous auriez du voir leur tête c'était à mourir de rire.
Tout le monde rit de bon cœur. Antoine passe ses bras autour de la taille et sourit.
Antoine : tu vois tu commence à te confier.
Je l'embrasse tendrement et lui sourit.
Moi : oui ça va venir doucement.
Kili : en tout cas on sait pourquoi diomachin te déteste autant.
Moi : il n'y a pas que ça croit moi mais je n'est pas envi dent parlé se soir.
Bofur : moi j'ai une autre chanson si vous voulez pour vous endormir Antoine.
Antoine : on vous écoute Bofur.
Bofur : vous êtes prêt les gars ?
Les autres nains lui font signe que oui et tous s'éclaircissent la voix.
Bofur : au delà des montagnes embrumées
Non loin des sombres cavernes du passé
Dans l'aube bleutée
Il faut aller
En quête de l'or
Pâle et enchanté
Les pins rugissaient
Haut et fiers
Les vent gémissaient
Dans la nuit d'hiver
Rouge le feux
Sur milles lieux
Flambaient les arbres
Torches de lumières.
Antoine c'est complétement endormi. Je le pose doucement sur sa couchette et le couvre.
Moi : votre chanson ma donner dès frisson.
Bilbon : c'est la deuxième fois que je l'entend et cela m'a fait la même chose.
Kili : la tienne non plus n'était pas mal Didier. De se que j'ai entendu.
Gloin : dit donc ce n'était ton tour de garde ?
Kili : si. Pourquoi ?
Dwalin : alors quesque tu fais là à bavardé. Retourne à ton poste !
J'explose de rire en voyant sa tête. Le pauvre il venait juste s'excuser.
Kili : vous êtes vraiment pas drôle messieurs Dwalin.
Dwalin : tu va voir si je suis drôle après que tu est pris mon pieds dans le derrière garnement!
Il le regarde dégouté et retourne monter la garde. Nous rions toujours.
Thorin : assez ri. Tout le monde dort. Demain nous avons une longue route à faire.
Tous s'exécute au ordres du roi. Enfin future roi. Si j'arrive à les sauver lui est ses neveux. Antoine se sert contre moi dans son sommeil. Etonnamment se soir je m'endors rapidement. Peut être fatigué du voyage. Au moins ça m'évite de penser au jeux et ce que j'ai fait. Et puis je doit reprendre des forces car demain nous attend le combat entre les géant de pierres et les gobelins.
A suivre....
Un chapitre où chacun chante leurs chants.
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