Chapitre 3 : La Carte

1 semaine et passé depuis l'arrivée des nains de Erebor à Fondcombe. Je dois dire qu'ils sont assez étrange mais très rigolo. Pas plus tard que hier ils se sont baigner nu dans les fontaines. En voyant la tête des elfes je n'est pas pus m'empêcher de rire. C'était vraiment hilarant. Chaque soir nous mangeons avec eux et je sais que se soir c'est la nuit où Elrond va leur montré se que cache la fameuse carte de la montagne solitaire que cache Thorin.

Je suis pour le moment entrain de regardé le ciel bleu allongé sur un banc et tenant dans ma main la broche du geai moqueur. Je réfléchis à tout ça. Donc nous étions entrain de fuir non plutôt Grégoire nous emmener en Allemagne pour que je sois le symbole de la rébellion qui se préparer quand des hovercrafts de l'Atlas nous on pourchasser jusqu'ici dans savoir comment l'on est arriver ici. Ensuite nous sommes plonger en pleine reconquête des nains en sachant très bien ciment cela va se terminer : par le retour de Saurin, la Bataille des 5 armés, la morts de Thorin est ses neveux, la détresse de Bilbon et Tauriel. En pensant à leur souffrance mon cœur se sert. Puis tout devient évident. Nous devons être là certainement pour changer le cours des choses. Oui mais pourquoi nous spécialement ? Je soupire fortement. Ça me donne presque mal à la tête. Des bruits de pays venant vers moi me font relever la tête pour découvrir que Bilbon marche vers moi mais se stop en me voyant.

Bilbon : oh excusez moi je ne voulais pas vous déranger pendant votre sieste.

Moi : oh ce n'est rien et puis je ne dormais pas je regardais le ciel. Il est d'un bleu si pure. Je n'en avais jamais vu un auparavant.

Un petit silence s'installe ou je le sens un peut gêné.

Moi : voulez-vous vous assoir avec moi ? La vu est magnifique.

Bilbon : avec joie.

Il s'assoit a côté de moi et regarde la vue. Après un petit silence il se tourne vers moi.

Bilbon : au faite j'ai oublier votre prénom.. Je suis désolé d'être aussi maladroit

Moi : ce n'est rien. Je m'appelle Didier Deschamps et vous c'est Bilbon Sacquet ?

Bilbon : tout à fait. Enchanté de vous connaître. C'est la première fois que je vois autant d'hommes.

Moi : je veux bien vous croire c'est assez anodin. Surtout chez des elfes.

Bilbon : je suis désolé d'être aussi curieux mais vos amis nous ont parlé de votre monde. Et ils ont dit qu'ils pratiquer le foutballe

Moi : non le football. C'est un sport qui est très répandu dans notre monde. Enfin était.

Bilbon : en quoi consiste se jeux ?

Moi : vous avez 2 équipe de 11 joueurs sur un terrain avec eux cages et une balle. Et l'équipe adverse doit essayer de mettre la balle au fond des cages. Ce qui s'appelle des buts. Tout ça en 90 minutes entrecoupé d'une pose de 15 minute à la 45 -ème minutes.

Bilbon : et celle qui met le plus en but gagne. Mais si personne n'en met ou que chaque équipe à le même score ?

Moi : alors personne ne gagne. On appelle ça un match nul.

Bilbon : mais vous vous êtes plus vieux que vos amis enfin je suis désolé je ne voulais pas le dire comme ça

Moi : ce n'est rien. Moi je suis sélectionneur enfin l'entraîneur d'une équipe d'un de nos nombreux pays. J'ai étais joueurs il y a plus de 20 ans avec Bixente.

Bilbon : c'est pur ça que vous êtes toujours en forme.

Moi : on peut dire ça. Et puis mes partis de chasser à l'arc dans la forêt du domaine ont grandement contribué à ma musculature.

Bilbon : vous chassez ?

Moi : oui. J'était obligé pour nourrir mes joueurs. Il ne me reste qu'eux comme famille.

Bilbon : et vos parents ?

Moi : mon père est mort juste avant que la guerre ne soit déclaré il y a 2 ans et ma mère est morte de faim peut après.

Bilbon : toute mes condoléances.

Moi : merci.

Je continue de caressé du pouce la broche et le hobbit pose son regard sur elle.

Bilbon : elle est vraiment joli votre broche. Que représente elle ?

Moi : un geai moqueur. Un oiseau de notre monde que l'on reconnaît facilement grâce à son chant.

Je me met à siffler le sifflement et le hobbit sourit.

Bilbon : c'est un joli chant.

Moi : oui.

Je regarde la broche et sans m'en rendre compte une larme roule le long de ma joue.

Bilbon : vous pleurez.

Je passe ma main sur ma joue et voit que oui je pleurs.

Moi : excusez moi mais cette broche et le dernier cadeau que ma fait la personne que je considérait comme mon deuxième père.

Bilbon : je comprend ne vous en faite pas. Par contre je suis sincèrement désolé mais je n'est pas de mouchoir. Je les ai oublier chez moi.

Il rit et je fais de même.

Moi : ce n'est rien ne vous en faite pas.

Je pose mon regard sur lui et plus je le regarde plus il ressemble à Gorgio, il avait le même rire le même sourire même quand.... Rhô arrête de penser à ça. Je secoue ma tête pour chasser cet image de mon esprit.

Bilbon : pourquoi vous me regardez ainsi ?

Moi : je vous demande pardon ?

Bilbon : plusieurs fois ses derniers jours vous me regardiez bizarrement.

Moi : c'est parce que vous me rappelez beaucoup un petit garçon que j'ai bien connu.

Bilbon : lui aussi et mort pendant la guerre ?

Moi :non. Il est mort parce que je n'est pas su le protéger comme je devais. Il n'avait que 11 ans.

11 ans. Et Atlas la envoyé dans l'arène. À une mort certaine. Pourtant j'ai tout fait pour le protéger comme lui l'avait fait.

Bilbon : il faut ne pas avoir de cœur pour tuer un enfant.

Sa voix me sort de mes pensées.

Moi : effectivement. La personne qui l'a tuer n'avait pas de cœur.

Bilbon : il ne faut pas vous en vouloir pour sa mort. Vous avez fait de votre mieux.

Moi : mais ce n'était pas encore assez.

Bilbon : il faut que vous arrêtiez de vous mettre trop de poids sur vos épaules.

Moi : comment vous savez ça ?

Bilbon : vos amis nous ont parlé de se que vous avez fait pour eux et que vous aviez trop tendance à vous mettre beaucoup de pression pour réussir se que vous voulez entreprendre. Et que vous ne pensez jamais à vous. Votre bien être.

Ça me fait mal d'entendre ça de quelqu'un que je ne connais pas mais en même temps c'est la triste vérité. J'ai beaucoup de mal à penser à moi et c'est ça que Antoine cherche à me faire comprendre depuis que nous sommes ici. Il veut savoir se que je ressent.

Moi : merci de m'avoir dit cela. Ça me réchauffe le cœur.

Bilbon : de rien. Je vais vous laisser. Nous nous retrouverons au dîner.

Il se lève et repart dans la direction où il est venu. Je reste un moment à penser seul puis vient le dîner. J'accroche ma broche à ma tunique et rejoins les autres. Ensuite après le repas le seigneur Elrond nous invite moi, Antoine, Bixente, Hugo, Grégoire et Fred à le suivre. Il nous conduit dans une salle où se trouve Thorin Dwalin, Balin, Bilbon et Gandalf.

Thorin : que font ils ici ? Ce doit nous allons parler ne les regardes pas !

Gandalf : au contraire mon cher Thorin. Cela les concernés aussi croyez moi. Maintenant donnez la carte au seigneur Elrond !

Le nain lève les yeux aux ciel et se résigné à sortir la fameuse carte de sa poche. Il l'a tend au seigneur elfe qui la déplie.

Elrond : la montagne solitaire voilà donc votre but.

Thorin : pouvez vous déchiffrer les runes ?

L'elfe étudié la carte un petit moment avant de nous faire signe de le suivre. Nous le suivons à travers une grotte jusqu'à sous une cascade. Au bord de trouve une table en cristal où il pose la carte.

Elrond : vous étiez destiner à venir à Fondcombe Thorin Écu De Chêne, ces runes ont était tracé un soir de lune bleu et vous avez de la chance une une identique brûle au dessus de nous se soir.

Les nuages s'écartent pour laisser passer les rayons de la lune qui touchent la table en cristal. Automatiquement, en bas à gauche de la carte, des runes au couleurs de la lune apparaissent.

Elrond : voyons voir. " tenez vous auprès de la pierre grise quand la grive frappera, et le soleil couchant , avant la dernière lueur du jour de Durin, éclairera le trou de la serrure".

Bilbon : le dernier jour de Durin ?

Balin : le dernier jour de l'automne pour les nains. Il faudra se tenir la au moment exact du dernier jour de Durin. Et la porte s'ouvrira.

Elrond : ainsi et donc votre but : entrer dans la montagne.

Thorin : et alors ?

Elrond : d'aucun jugerai cela dangereux.

Antoine : par rapport au dragon ?

Tout les regards se tourne vers lui. Aie la boulette. Mon petit copain se cache du mieux qu'il peut derrière moi.

Dwalin : et eux ? De quoi es ce qu'il sont concerné par notre histoire ?

Gandalf : nous avons besoin d'eux.

Frédéric : comment ça ?

L'elfe regarde le magicien qui pose son regard sur moi et ma broche.

Gandalf : il m'avait dit que vous la porterez le jour où vous viendrez ici.

Moi : qui ça il ?

Il s'approche de moi et me prend une de mes mains. Il pose un bijoux au creux de cette dernière et je pâlit automatiquement en la reconnaissant.

Antoine : Didier quesquil y a ?

Hugo : coach ?

Bixente : mon dieu mais c'est impossible.... C'est

Moi : la gourmette qu'on a offert à Aimé pour les 20 ans de France 98.

Je la reconnaîtrai entre mille. On a fait gravé la date de la finale et son nom. On s'était tous mis ensemble pour lui offrir avant que je ne m'envole pour la Russie et que je ramène la deuxième coupe du monde. Je regarde Gandalf sous le choc.

Moi : comment....

Gandalf : j'était en route vers Bree pour retrouver Thorin il y a 8 mois de cela et je suis tombé sur un vieil qui me cherché.

Grégoire : pourquoi il vous chercher ?

Gandalf : pour me remettre se bijoux. Il savait très précisément se que je comptait faire et il m'a dit que nous aurions besoin de quelqu'un. Quelqu'un capable de rassembler derrière lui n'importe quelle race de la Terre du Milieu.

Moi : comment es ce qu'il est arrivé ici ?

Gandalf : je l'ignore malheureusement. Il m'a dit que vous comprendrez par vous même se que cela signifie.

Frédéric : Didier...

Moi : Aimé est ses énigme j'vous jure....

Bixente : il y a 8 mois... C'était juste avant les jeux et le moment où ta offert la broche.

Moi : il savait ce qui se préparer.

Gandalf : et vous aussi. Nous avons besoin de vous pour cette quête.

Dwalin : et pourquoi ? Il ne savent même pas se battre !

Hugo : ah ça si ! On sait se bagarrer ne vous en faite pas.

Antoine : exactement. La dernière fois les argentins ils avaient bien les jetons quand on leur a refait le portait.

Moi : quoi ?!!!

Mon petit ami et mon capitaine sursautent et fuient mon regard.

Antoine : bb...

Moi : vous avez fait quoi ?!!

Grégoire : tout te joueurs se sont venger de la finale perdu se qui a causer une grosse bagarre dans les vestiaires quand tu n'était pas là.

Moi : je parie que vous en êtes fier ?

Antoine : ça oui. L'autre abruti de Messi il souriez moins cet face de rat.

Hugo : et le débile de Martinez ne marchait plus droit.

Dwalin : en fait si ça c'est des combattants ! De vrai nains qui aime la bagarre et ont de l'honneur !

Thorin : mais savez vous vous battre avec des armes ?

Gandalf : le seigneur Deschamps sait manier l'arc à la perfection.

Moi : et j'ai appris à mes joueurs à en faire autant.

Grégoire : après on sait aussi poignardé, égorgé, éventré

Moi : hé stop les détails Greg !

Frédéric : c'est se qu'on a fait pendant la guerre.

Moi : oui ben stop !

Gandalf : alors Thorin qu'en pensez vous. 30 hommes de plus avec nous pour reconquérir Erebor c'est une aubaine.

Le nain nous fixe et tournevis talons après une dernière phrase.

Thorin : espérons le.

Mes amis me regarde et je souffle. Ça ne va pas être facile. Je regarde encore la gourmet de aimé puis l'attache à mon poignet. Gandalf me fixe et me sourit.

Gandalf : il m'avait dit que vous ne lâchez rien.

Moi : c'est mon caractère. Et c'est lui si ma aider à l'améliorer. Gandalf vous croyez que après tout ça nous pourrons rentré chez nous ?

Gandalf : je n'en sais rien Didier.... Si c'est votre souhait le plus cher oui.

Antoine : et pour trouver quoi ? Le château ou on a passer tellement de bon moment réduit en cendre ?! Paris en ruine ? On n'a plus de maison nulle part la bas faut se l'admettre.

Grégoire : et l'Allemagne et la rébellion Antoine.

Antoine : ils nous croyant tous mort. Atlas doit se réjouir d'avoir tuer leur symbole ! Et alors ils trouveront un espoir et une rage pour les renversé ! Et ça conduira a une autre guerre ! On avait déjà plus beaucoup de pays et de nourriture !

Je le prend dans mes bras. Il a raison sur certain point. Nous n'avons plus de chez nous. Nos familles sont mortes et désormais ils ne restent que nous pour certains joueur nous sommes leurs famille.

Gandalf : je comprendrait si toutefois vous n'acceptiez pas de nous suivre.

Moi : si on accepte. Eux ont encore un toit qui tient debout. Nous nous n'avons plus rien. Comme pour eux ont nous la pris alors que tout ce qu'on voulait c'était vivre notre vie ! Alors oui nous vous aiderons à reprendre Erebor !

Hugo : le problème c'est que l'on a pas d'armes et puis certain ne savent que se servir de poignard.

Gandalf : ne vous inquiétez pas pour ça. Je m'en charge. Maintenant aller vous reposer. Vous aurez besoin de toute vos forces croyez moi.

Oh oui on le sais. Et je sais aussi pourquoi nous sommes ici. Pour empêcher la ligné de Durin de s'éteindre. Mais d'autre question reste en suspens : pourquoi Aime nous à fait venir ici spécialement ? Quesque cela va nous apporter ?

A suivre...

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