Voilà 1 mois que je me suis réveillé et que nous vivons toujours à Fondcombe. Je sais très bien que nous ne pourrons pas y resté éternellement même si le seigneur Elrond m'a affirmé que nous ne le dérangions pas. Se matin je suis dans la cour avec Antoine pour l'entraîner au tir à l'arc et je doit avouer qu'il se débrouille très bien. Tout comme les autres. Au moins on garde la forme.

Moi : met bien tes jambes. Plantes tes pied dans le sol. Voilà.

Antoine : c'est bien comme ça ?

Moi : parfait. Vas y tire.

Il bande son arc et tire sur la cible. Elle se plante en pleine tête.

Moi : joli tire.

Antoine : merci. On peut essayer sur une cible en mouvement ?

Moi : si tu veux.

Je me dirige vers le mécanisme que Fred et Greg on bricolé où des cible sont en mouvement dans différentes situations. Je l'enclenche et prend mon arc.

Moi : tu ne dois jamais quitter ta cible des yeux. Je conçois que ce n'est pas facile de tiré sur quelque chose qui bouge mais tu dois anticiper ses mouvements.

Antoine : et comment tu fais pour les anticiper ?

Moi : regarde.

Je me place au milieu de la cour et fait signe à Antoine de se mettre sur le rocher et d'observer mes gestes. Les cibles se mettent à bouger. Je bande mon arc et me retourne vivement pour tire sur la première. Ma flèche se plante en plein cœur. Ensuite je me met à genoux et tire sur la deuxième. Elle se figé en pleine tête. Je peux entendre Antoine siffler se qui me fait rire. Je relève la tête et tire sur la troisième et ceci se plante en plein cœur. Je prend ma dernière flèches et tire sur la dernière cible derrière moi qui atteint la tête. Mon petit ami applaudit et je fais une révérence devant lui. Je me stop automatiquement. C'est la même position que j'avais lors de mon évaluation à Atlas avant les jeux. Je secoue la tête pour me chasser cette image de la tête.

Antoine : ça va?

Moi : oui pourquoi cet question ?

Antoine : tu a arrêté de sourire tout un coup. Didier parle moi je t'en prie.

Moi : de quoi ? Des techniques de combat ?

Antoine : non. Des Hunger Games.

Je soupire et tire le levier pour que le cible se baissent.

Moi : je ne veux pas en parler.

Antoine : c'est pour ça que je t'es laisser du temps . Mais maintenant je sens bien que quelque chose ne va pas.

Moi : Antoine...

Antoine : je sais que c'est ma faute

Moi : non ! Je t'interdis de dire ça !

Il sursaut et me regarde choqué que j'ai lever la voix ainsi.

Moi : excuse moi je n'aurai pas du crié.

Antoine : ouai tu n'aurai pas du.

Il tourne les talons et se dirige vers la cour. Je souffle et donne un coup de pied dans une pierre. Putain mais ça va encore me pourrir la vie longtemps ?!! On est plus à Atlas tout devrait être plus simple. On ne manque plus de nourriture et on est plus libre. Un cors se fait entendre dans la vallée. Je me précipité vers le premier balcon qui donne sur l'entrée de la cité. Il y a déjà Hugo, Bixente et Grégoire.

Moi : quesquil se passe?

Grégoire : on sait exactement à quelle moment du hobbit nous nous trouvons.

Moi : comment ça?

Bixente : vient voir.

J'arrive à leur côté et découvre des soldats et Elrond encerclé 14 personnes de petites taille et un vieil hommes.

Moi : la compagnie de Thorin Écu de Chêne.

Hugo : ouai. On n'est que au début de cette quête.

Grégoire : et on sait tous très bien comment ça va se finir.

Personne ne parles alors que l'on se regarde tous. Je soupire et me dirige vers notre chambre à moi et Antoine. Un bon bain va me détendre. Les servantes m'en font couler un et je reste dans l'eau une bonne heure. Je joue avec la mousse et sans m'en rendre compte j'ai dessiner un geai moqueur. Ce qui me fait légèrement rire. Je sors ensuite de l'eau et me sèche. Je me rhabille quand Antoine rentre dans la pièce.

Antoine : tu est au courant que des nains sont arrivés y a 1 h ?

Moi : ouais...

Antoine : et ça ne t'ai pas venu à l'idée de venir nous prévenir ?!

Je soupire et me tourne vers lui.

Moi : je suis désolé ça ne m'est pas venu à l'esprit. J'avais besoin de me vider la tête un petit moment.

Il ne dit rien et s'approche de moi. Il me prend les mains et l'oblige à le regarder dans les yeux.

Antoine : excuse moi pour toute à l'heure.

Moi : il n'y a rien à excuser. C'est moi qui devrait faire des efforts mais je... Je n'y arrive pas...

Antoine : mais un jour tu va y arriver. Ça se fera naturellement ne t'inquiète pas. En attendant le seigneur Elrond nous a invité à dîner avec les nains et Gandalf.

Moi : Gandalf et là ?

Antoine : oui tu ne te souviens plus de se passage là ?

Moi : non.... Il faut dire que ça fait longtemps que je n'est pas vu les films.

Antoine : allez vient ne soyons pas en retard.

Il me prend la main et nous rejoignons les autres. Nous descendons vers la salle à manger où nous entendons des voix grossières s'élever ainsi que de la musique. Les gardes nous font signe d'entrée et nous prenons une grande inspiration. Nous pénétrons dans la salle. Les nains sont installés sur une petite table ou il reste beaucoup de place pour mes joueurs. Plus loin de trouve le seigneur Elrond avec Gandalf et Thorin. J'ai un pincement au cœur en le voyant connaissant le destin tragique qui les attends lui et ses neveux.

Elrond : seigneur Deschamps vous voilà vous et vos amis. Venez vous joindre à nous avec votre compagnon.

Tout les regards se tournent vers nous et c'est la que je vois Bilbon. Je me figé sur place. Il ressemble trait pour trait à Gorgio. Mon dieu mon petit Gorgio. Je le revoit encore me sourit, me parler de sa famille, de ses coéquipiers... Et puis se moment fatidique où il... Non arrête d'y penser Didier. Antoine le remarque et me pince légèrement les côtés.

Antoine : Didier.

Moi : oui... Pardon.

Nous nous dirigeons tout les deux vers la table du seigneur Elrond. Nous saluons le roi et le magicien d'un mouvement de tête puis nous nous assyons.

Thorin : je ne savez pas que les elfes permettait aux hommes de vivre ici.

On se regarde avec Antoine. Son ton et sec et rempli de dédain.

Elrond : sachez Thorin fils de Thrain que le seigneur Deschamps et ses amis ne viennent pas de la Terre du Milieu.

Gandalf : et d'où venez vous ?

Antoine : d'un monde ou la guerre à rayé plusieurs pays des 7 continents de la surface de la terre.

Il a dit ça d'un ton tellement calme que ça ma presque fait peur.

Thorin : une guerre ?

Moi : oui même si elle n'a durée que quelque mois des millions de personnes sont mortes.

Elrond : je ne vous ai jamais demandé pourquoi cette guerre a était déclaré ?

Moi :pour diverse raison. Des choses idiotes et des catastrophe naturelle on détruits plusieurs pays. Mais 6 mois plus tard alors que nous jouions la finale

Antoine : qu'on a perdu au profit d'un pays qui a était raser 3 jours plus tôt.

Moi : Antoine ! Arrête c'est bon c'était y a 1 an !

Antoine : ouais ben tu était bien content de tuer l'autre fils de pute de Martinez dans l'arène.

Un silence s'installe où tout le monde nous fixe. Je foudroie du regard mon copain.

Antoine : pardon je... Ouais excusez moi c'est sorti tout seul.

Thorin : dans l'arène ?

Moi : suite à cette finale que nous avons malheureusement perdu, les hauts places des pus restant on créé un unique gouvernement l'Atlas. Suite à ça on pensaient tous que tout aller s'arranger mais non. Ils ont créé les alliances pour maintenir les pays restant sous leur pouvoir se qui a créé des famines et une rébellions.

Antoine : et un beau matin ils ont eu l'idée d'organiser les Hunger Games. Les jeux de la faim. Donc dans les 12 alliances ils ont tiré au sort un homme et une femme sportif de haut niveau et dans le 12 c'est mon nom qui est sorti et Didier c'est porté volontaire pour me remplacer.

Je baisse le regard et soupir. Des souvenir douloureux remontent à la surface et le ramène à se jour fatidique il y a 8 mois. Je regarde l'elfe, le magicien et le nain.

Moi : je ne voulais pas qu'il meurt...

Elrond : raconté nous Didier s'il vous plaît.

Moi : c'était il y 8 mois de ça...

L'Atlas a annoncé l'organisation des Hunger Games il y a 1 semaines et aujourd'hui les sportifs de haut niveaux hommes et femmes de l'alliance 12, nous sommes réuni dans la cour de se qui était autrefois le palais de l'Elysée. Je tien la main de Antoine qui tremble.

Moi : et ça va aller. Il vont juste prendre y nom et une goutte de ton sang.

Antoine : je te dis que c'est moi qui vais être tiré au sort.

Moi : ne dis pas de bêtise mon amour. Allez va rejoindre les autres.

Nous inscrivons nos noms et on nous prélevé une goutte de sang. Ensuite je me place du votre des hommes de plus de 50 ans. Bixente me rejoins. Il suit du regard Hugo qui se place à côté de Antoine dans les sportif entre 10 et 50 ans. On se regarde et nous soupirons. Les porte du palais s'ouvre et laisse apparaître un homme d'Atlas en costard cravate.

Lewis : bonjour et bienvenu au premier tirage au sort des tout premier Hunger Games. Comme vous le savez deux d'entre vous, une femmes et un homme, serait tiré au sort pour combattre à mort dans une arène. Commençons par les femmes.

Il se dirige vers la boule ou se trouve les prénoms écrits sur des papiers plié. Il plonge sa main dedans et en sort un. Il l'ouvre et le lit.

Lewis : Laure Manaudou.

Les femmes s'écartent pour la laisser passer.

Florent : NON !!!

Il sort du rang pour courir vers elle mais des mercenaire le retiennent et l'emmène hors de la cour.

Florent : ARRÊTEZ !! LÂCHEZ MOI !! LAURE !!

Ils sortent et nous entendons encore ses cries. Je souffle pour reprendre ma respiration. C'est ça sœur et ils vont la lui enlever pour des jeux débiles. Elle monte sur l'estrade à côté de lui et baisse la tête.

Lewis : montez madame. Voici la première tribut de l'alliance 12. Passons maintenant aux hommes.

Il se dirige vers la boule contenant nos noms. Bixente se crispe et je sens mon rythme cardiaque accélérer. Il plonge sa main et sort le nom du prochain tribut. Il l'ouvre le lit et nous regardent.

Lewis : Antoine Griezmann.

Le monde s'écroule autour de moi. Hugo regarde son coéquipier qui tremble. Il l'avait senti et je ne l'ai pas écouté. Il sort des rangs et capte mon regard. Ses yeux bleus sont rempli de larmes. C'est trop. Je sors moi ici des rangs et m'avance vers lui.

Moi : Antoine !!

Des mercenaire m'empoigne et m'éloigne de lui.

Moi : Antoine !! Arrêtez !! Je suis volontaire !! Je suis volontaire !!

Les deux mercenaires me lâche et je regarde durement Lewis.

Moi : je me porte volontaire comme tribut.

Lewis : et bien quel rebondissements mes amis. Je n'aurai jamais pensé avoir de volontaires lors de ces premier Hunger Games.

Antoine court vers moi et se jette à mon cou en pleurant. Je le sers aussi fort que possible contre moi.

Antoine : pourquoi tu as fait ça ??

Moi : je t'aime. Maintenant rejoins Hugo et les autres.

Antoine : non...

Moi : s'il te plaît.

Des mercenaires empoigne et le ramène dans son rang. Il se met à hurler à en perdre la voix.

Antoine : DIDIER !! NON!!! JE T'EN PRIE NON !!!

Entendre ses cris me brise le cœur mais je n'est pas le choix. Je monte donc sur l'estrade et fait face au aux autres athlètes de l'alliance 12.

Lewis : quel est ton nom ?

Moi : Didier Deschamps.

Lewis : et bien Didier Deschamps tu est le deuxième tribut de l'alliance 12. On peut les applaudir.

Personne n'applaudit et garde le silence. Antoine et en larmes dans les bras de Hugo. Je le remercie d'un regard quand un mercenaire me prend le bras et m'entraîne dans le palais. E ne lâche pas du regard mon petit ami jusqu'à se que les portes se fermes.

Je souffle légèrement après avoir bu une gorgée d'eau. Antoine a gardé la tête baissée. Personne ne m'a interrompu pendant mon récit.

Thorin : c'est une action noble que vous avez accompli.

Je tourne ma tête dans sa direction et lui sourit.

Moi : merci... Le fait de voir se regard que tu m'a lancé ma pousser à le faire.

Antoine : je t'aime.

Thorin : et qu'avez vous fait pour vous retrouver ici ?

Moi : très bonne question. Nous même nous ne savons pas.

Gandalf : le seigneur Elrond nous a dit que ses hommes avez abattu de dangereux personnages.

Antoine : les mercenaires qui ont bombardé le château et qui voulait notre mort enfin celle de Didier.

Thorin : vous avez du faire quelque chose de grave pour les énervé au point qu'ils veulent vous tuer.

Moi : on peut dire ça.

Au même moment les nains se mettent à chanter grâce à Bofur qui met l'ambiance et Paul ne tarde pas à le rejoindre en chantant n'importe quoi ce qui entraîne les autres dans cette chanson totalement folle. Je ne peut que rire en les voyant sourire même si je ne devrait pas vu la façon dont il les regardent. La nourriture commencent à voler et vous connaissez mes joueurs et bien c'est parti pour une bataille de nourriture.

Antoine : et attendez moi bande d'abruti.

Moi : Antoine !

Il se jeté dans la bataille au côté de Lucas. Je me tape le front et soupire. Je me tourne vers le seigneur Elrond

Moi : veillez pardonner mes amis.

Thorin : et mes guerriers. Ils ne savent pas se tenir.

Je continu à les regardé s'amuser. Cela fessait longtemps que je ne les avez pas vu autant s'amuser. Le dîner se termine et je décide de me promener un peut. J'arrive à dessus d'un escalier et découvre la fresque qui représente Sauron avec l'Anneau à son doigts, face à Isildur. C'est lui qui a ôter l'Anneau à son maître. Je me retourne et voit une statue d'elfe ou et poser sur un draps Narsil l'épée qui a couper les doigts de Sauron. Je n'ose même pas la toucher.

Antoine : je ne la pensai pas aussi belle.

Mon compagnon se place à mes côtés et regard l'épée.

Moi : même briser elle est magnifique.

Antoine : j'aimerai en avoir une comme ça pour me battre.

Moi : tu sais te battre toi maintenant ?

Je lui lance un sourire malicieux et il me donne un coup de coude.

Antoine : curieusement oui grâce à mon formidable copain.

Moi : formidable ? Carrément.

Antoine : oui carrément.

Il passe ses bras autour de la taille et me sourit. Je sourit et l'embrasse tendrement.

Moi : on devrait aller dans notre chambre.

Antoine : je te suis.

Je lui prend la main et nous courons vers notre chambre ou je me précipité pour fermer la porte.

A suivre...