Chapitre 14 : Lacville
Pdv Didier
Je termine de chanter ma ballade et voit que Antoine c'est endormi. Je sourit et caresse légèrement son front chaud. J'espère que ce n'est pas de la fièvre. Je le couvre mieux et caresse ses cheveux.
Tout le monde me regarde sauf Balin qui compte les pièces pour payé Bard. Thorin en face de moi à les bras croisé sur la poitrine et Bilbon assis à côté de moi.
Bilbon : il va mieux ?
Moi : son front et chaud et j'espère juste que ce n'est pas de la fièvre.
Bixente : il t'a réclamé quand Oin lui a retiré la flèche.
Moi : j'imagine bien.
Bilbon : il... Il t'en veux.
Thorin, qui suivez la conversation, Bixente et moi nous tournons vers lui.
Moi : pour avoir lancer les mutations à mes trousses ?
Bilbon : non. Pour les jeux.
Je prend un coup. Il m'a toujours dit qu'il ne m'en voulait pas de mettre porter volontaire à sa place et là j'apprends qu'il en garde une rancœur.
Bilbon : mais tu sais il souffrait alors il l'a dit sur le coup de la douleur.
Moi : je pense pas....
Thorin : Didier.... Antoine vous aime et je peux vous assurez qu'il n'a pas de rancune pour cette histoire. Il doute de ses capacités.
Moi : mais il ne doit pas. C'est le meilleur. Dans tout les domaines. En tout cas à mes yeux.
Bilbon : alors c'est ce qui compte le plus.
Bard : de quels jeux parlez vous ?
Tous le regardent.
Dwalin : cela ne vous regarde pas.
Bard : si vous parlez des Hunger Games cela m'intéresse.
Les mecs et moi on se fixent tous éberlué.
Moi : comment êtes vous au courant pour ces jeux ?
Bard : certains habitants de Lacville dont moi aidons comme nous le pouvons les réfugiés. Et certains d'entre eux m'ont parler de jeux de la faim qu'ils étaient obligés de regarder. 24 participant 1 seul vainqueur. 1 survivant. Ce qui d'ailleurs les a beaucoup marqué. Ils m'ont parlé de se vainqueur qui n'a pas hésité à abattre un homme qui l'avait voler 2 ans plus tôt.
Moi : c'est pas pour ça qu'il est mort.
Le batelier me regardent fixement.
Bard : comment pouvez vous en être sûr ? Vous n'étiez pas là.
Moi : au contraire c'est moi ce fameux vainqueur.
Il ne dit rien et détourne son regard sur le lac.
Moi : oui c'est moi qui et abattu un homme froidement. Et c'est à cause de moi que moi et mes amis ont se retrouve ici.
Grégoire : Didier...
Moi : c'est la vérité ! Maintenant Antoine et blessé et j'ai failli vous faire tuer à cause de c'est foutu chiens !
Balin : mais nous sommes vivants mon ami. Grâce à toi.
Dwalin : il as raison. Et c'est réfugiés ne doivent pas t'en vouloir.
Bard : vous êtes leurs modèles. Ou plutôt leurs espoir.
Je baisse mon regard sur Antoine qui est un peu pâle. Je le sers plus contre moi.
Moi : combien exactement sont arrivés à Lacville.
Bard : une petite centaine. Surtout des femmes et des enfants. Très peu d'hommes. Et ceux qui les accompagnés était légèrement blessé.
Paul : est-ce qu'il parle une autre langue ?
Bard : non il perle la langue commune mais avec un accent. Surtout les femmes. Les hommes essaient de leurs apprendre.
Bilbon : alors ils viennent de France ?
Olivier : difficile à dire.
Kili : mais peut être. Et si c'est vrai une petite parti de votre peuple est là avec vous.
On se regardent avec mes amis. Des français ici ce serai génial mais bon peut être que se sont des américains ou des chinois.
Tout un coup les nains se redresse et regarde derrière moi ébahie. Je me retourne et découvre, derrière le brouillard qui se dissipe, la Montagne Solitaire.
Moi : waouh...
Gloin : tiens prend tout.
Il tend sa bourse à Balin à qui il manquer quelques pièces. Certain rient. Dont moi. Mon petit ami remue légèrement et ouvre les yeux.
Moi : comment tu te sent mon cœur ?
Antoine : j'ai froid mais ça va.
Il se redresse pour se lever mais je l'en empêche.
Moi : reste assis.
Antoine : non ça va.... Je dois me mettre debout chéri s'il te plaît.
Bard : nous arrivons. Mettez vous tous au fond du bateau sous cette bâche.
L'on s'exécute et nous nous serrons les un contre les autres.
Kylian : aie ! Bouge de là Ous !
Ousmane : c'est pas moi ! C'est Bofur !
Bofur : c'est toi qui te colle à moi !
Dwalin : vous aller vous taire oui ?!
Kylian : mais
Moi : la ferme !!
Ils se taisent et mon copain se sert contre moi. J'entends Bard nous ordonner de nous taire puis parler à un homme. Puis d'autres voit se joignent eux et je reconnais celle de Alfrid, le bras droit du maître de Lacville.
Plus personne ne bouge de peur de faire du bruit. Mais vous connaissez mes joueurs. Où plutôt nos amis nains. Un éternuement retenti. C'est Bombur. Thorin qui a Bilbon contre lui me regarde et dans ses yeux je voit un ordre. Je prend mon arc et une flèche normal que je bande. Antoine me regarde horrifié.
Des pats s'approche de nous et l'on retire la bâche au dessus de nous. Aussitôt je me relève et me poste devant l'homme devant moi mon arc en main. Sauf que j'avais oublié qu'il n'était pas seul. Et tous dégainent leurs épées.
Alfrid : tiens, tiens, tiens. Notre cher Bard essayer de faire rentré des hommes et des nains illégalement. Dont un armés.
Homme : baissez votre arme !
Je le regarde mais ne bouge pas. Derrière moi Antoine se relève difficilement et pose sa main sur mon bras.
Antoine : arrête bb ça sert à rien. Ils sont trop nombreux.
Thorin : Antoine a raison Didier. Baisser votre arc. C'est un ordre.
Automatiquement je m'exécute et l'homme devant moi m'arrache mon arc et je lui donne mon carquois qu'il tend à Alfrid.
Alfrid : armé de flèche elfique. Nous avons aussi affaire à des voleurs.
Moi : c'est un cadeau qui m'a était fait pauvre tâche.
Il me fixe puis jette mon arc et les flèches à un homme puis s'approche de moi. Il me dévisage méchamment puis son regard tombe sur ma broche.
Alfrid : des réfugiés. Tu sais mon chers Bard que le maître a interdit toute affaire avec ces vermines.
Hugo : vermines toi même face de rat.
Fili : bien dit Hugo.
Il foudroie mon capitaine du regard et se dirige vers lui mais je lui barre la route.
Moi : touche à un seul de leurs cheveux et je t'explose le crâne contre le bois après t'avoir abîmé ta sale gueule.
Alfrid : vous êtes en présence
Moi : je sais qui t'ai connard. Tu me fais pas peur même ton maître.
Thorin : Didier stop! Je demande à voir vôtre maître.
Alfrid : oh mais avec joie. Emmenez les !
Ses hommes nous empoignent et nous tirent jusqu'à la maison au milieu de la ville celle du maître. Tout les habitants, intrigué, se réunissent autour de lui. Je garde Antoine contre moi et Bard se poste à mes côtés.
Moi : je suis désolé de vous avoir attiré des ennuis.
Bard : moi aussi.
La porte en face de nous s'ouvre sur le maître qui reste en haut des marches.
Maître : qui ose venir me déranger ?
Alfrid : des nains et des réfugiés voleurs et armés maître.
Moi : ont est pas des voleurs !
Bixente : Didier ferme là s'il te plaît.
Le maitre pose son regard sur moi et me pointe du doigts.
Maître : vous vous êtes le chef de cet compagnie ?
Thorin : non c'est moi.
Le roi nain s'avance et se met devant moi.
Maître : qui êtes vous ?
Thorin : mon nom et Thorin, fils de Thrain, fils de Thror. Je suis l'héritier légitime au trône d'Erebor.
Le silence s'abat sur la foule et Bard à mes côtés s'agit légèrement. Ce que je comprend. Son grand père n'a malheureusement pas réussi à tué Smaug.
Maître : vous êtes le roi sous la Montagne ?
Thorin : je le serai une fois D'Erebor repris. Et je vous promet ici et solennellement qu'une fois faites vous aurez tous une part du trésors et assez d'or pour reconstruire Esgaroth au moins dix fois.
Tous hurlent de joie et applaudissent. Bard à mes côtés s'avance.
Bard : vous tous ici n'avez vous pas oublié se qu'il c'est passé à Dale ?! Beaucoup de gens sont mort à cause de la cupidité d'un roi qui ne voyait pas plus loin que son tas d'or !
Maître : et n'est-ce pas votre ancêtre Girion qui n'a pas réussi à tuer la bête ?
Alfrid : c'est exact monseigneur. Il a tiré flèche après flèche mais n'a pas touché sa cible.
Moi : t'aurai du le faire abruti. Et t'aurai même du servir d'encas au dragon ça nous aurez éviter de voir ta sale gueule.
Il me foudroie du regard.
Maître : et qui me dit que vous tiendrai parole ?
Bilbon : moi.
Le hobbit s'avance au côté du nain qui lui sourient. Ils sont mignon comme ça.
Bilbon : vous avez ma parole qu'il tiendra sa promesse.
Moi : et moi aussi.
Je me met à leur côté.
Maître : un réfugié tiendrai parole auprès d'un future roi nain ?
Thorin : ayez un peu de respect pour mon Geai Moqueur et ses hommes qui nous ont plus d'une fois sauvé la vie.
Alfrid : Geai Moqueur ? C'est quoi encore ce titre ? Une race débile d'oiseau.
... : c'est le surnom que l'on donne à un sauveur.
Nous nous tournons vers la voix qui vient de parler. Les habitants s'écartent et un homme marchent jusqu'à nous. Je tombe des nus en le voyant et mes joueurs derrière moi crie légèrement.
Moi : Joachim...
L'ancien sélectionneur de l'équipe Allemande se tient devant nous derrière lui Mesut, Tony, Joshua, Julian, Presnel, Zinedine et Marcel arrivent.
Marcel : Didier !!!
Mon frère de cœur se jette à mon cou. Kingsley prend Pres dans ses bras et tour les autres font de même. Je voit d'autre hommes ainsi que des femmes nous regardé enfin surtout moi.
Maître : alors vous connaissez ses vermines ?
Moi : se sont nos amis et nos semblables. Pas des vermines.
Alfrid : ils nous ramène des maladies !
Thorin : ne voyez vous pas que ces personnes ont étaient mal nourris et c'est pourquoi elles sont malades. Je vous croyez plus souple cher maître.
Maître : euh.. Et bien maintenant que j'en sais plus je vous souhaite à tous la bienvenue.
Tous applaudissent. Bard lui s'en va et je le regarde partir en ayant toujours Marcel dans mes bras. Il se sépare de moi les larmes de valent ses joues.
Marcel : au putain... Je te croyais mort enfin ont vous croyait tous mort après que Clairefontaine ai était bombardé.
Moi : Greg et Fred ont piloter un hovercraft mais ont c'est crasher ici et nous avons était recueilli par le seigneur Elrond et nous voici ici avec Thorin pour reprendre leur royaume.
Joachim : content de te revoir mon vieux.
Je lui sers la main en souriant.
Presnel : coach heureux de vous revoir !
Il me faut un grand câlin ce qui me fait rire.
Moi : moi aussi Presko moi aussi.
Thorin : heureux de vous voir sourire ainsi mon ami.
Lui et Bilbon me soutient.
Moi : Thorin voici Marcel Desailly, mon frère de cœur et un de mes anciens coéquipiers, Joachim Löw, un entraîneur comme moi et Presnel un autre de mes nombreux joueur que je croyais avoir perdu.
Presnel : jamais vous ne me perdrez coach.
Antoine : malheureusement.
Presnel : oh le Grizou vient là que je te fasse la bise.
Antoine : ah non fout moi la paix.
Les deux joueurs se chamaille légèrement. Et je ne peut que rire.
Bilbon : et moi c'est Bilbon Sacquet de la Comté.
Moi : oh oui j'oubliais notre cambrioleur. Bilbon.
Joachim : et bien enchanté de faire votre connaissance à tout les deux.
Thorin : moi de même. Je suis heureux que d'autre hommes ai réussi à échappé à Atlas.
Marcel : échappé ? Vous rigoler ? C'est eux qui nous ont envoyé ici ?
Moi : quoi ?
Joachim : ouai. C'est eux qui nous ont envoyé ici avec tout les autre rebelles d'Allemagne. Pour nous punir et surtout
Il se coupe dans sa phrase en me regardant.
Moi : surtout quoi ?
Marcel : surtout pour leur plaisir sadique de nouveau Hunger Games.
Moi : tu... Tu veux dire que... Si on ai ici c'est pour....
Joachim : participer à des Hunger Games dans une arène géante.
Je ne dit rien et me frotte les bras. Sa y est ça recommence et en plus j'ai embarqué tout ceux que j'aime.
Thorin : mais ici vous avez aussi de nourriture et puis nous, nous nous battrons contre les bataillons d'Atlas et il n'y aura aucun jeux dans mon royaume. Didier.
Je le regarde dans les yeux.
Thorin : vous ne risquez plus rien ici.
Bilbon : il a raison. Vous êtes libre maintenant.
Marcel : pas ici en tout cas. On a rien le droit de faire sans qu'on nous mettent des poings dans la gueule.
Thorin : mais c'est fini. Vous faites parti de la compagnie maintenant. Rassembler les femmes et les enfants. Je veux qu'ils soient nourri et soigner.
Joachim : deux elfes s'en charge déjà.
Moi : Tauriel et Legolas.
Marcel : ouai c'est eux. J'ai envoyé Josh les chercher pour nous rejoindre.
Maître : mes amis je vous invite à un festin.
Bofur : chouette !
Presnel : allez let's go!
Mes joueurs, les nains et les hommes femmes et enfants réfugiés se dirige vers la porte de la salle mais des gardes leurs barre la route.
Thorin : laissez les passez. Ils sont avec nous.
A contrecœur ils s'écartent. Deux silhouette s'approchent de nous. Nos amis elfes.
Tauriel : ce ne sont pas des mercenaires.
Moi : oui se sont juste des personnes lambda.
Legolas : le seigneur Joachim était heureux d'apprendre que vous et vos amis étiez en vie.
Joachim : oh oui. On croyais qu'on était seul et tu est arrivé.
Thorin : allons manger et reprendre des forces. Nous partirons demain matin pour la montagne.
Nous rentrons pour rejoindre les autres qui mangent déjà et certains se font soigner par Tauriel et Oin. Je me met au coter d' Antoine qui a l'air d'aller mieux. Je l'embrasse et nous mangeons.
Plus tard je m'éclipse pour me diriger vers une maison. Une fois devant je toque à la porte qui s'ouvre sur une jeune fille.
Moi : bonjour Tilda. Je suis un ami de ton papa. Il est là ?
Tilda : oui entrez.
Elle s'écarte et j'entre. Sigrid et Bain me fixe et Bard se retourne vers moi.
Bard : quesque vous faites là ?
Moi : j'aimerai vous parlé ?
Bard : de quoi ? De la folie de votre chef ? C'est du suicide vous aller tous nous mettre en danger.
Moi : pas avec votre flèche noire.
Son visage se décompose.
Bard : comment le savez vous ?
Moi : ça n'a aucune importance de savoir comment je sais mais nous avons besoin de vous. Vous êtes le petit fils de Girion et un excellent archers.
Bard : je ne peux pas.
Moi : si vous ne tuer pas se dragon dans la montagne il viendra ici pour tout détruire. Et non je ne mens pas. Je le sais et c'est pour cela que mes amis et moi nous sommes ici. Enfin je crois.
Il regardent ses enfants puis soupire.
Bard : je vous accompagnerais. Prévenez Thorin.
Moi : bien et à demain.
Je sors après les avoir saluer. Je rejoins la petite fête donner en notre honneur mais tout les bruits cesse. Certains doivent dormir. Je rentre dans la salle où tous son coucher par terre. Je cherche Antoine du regard et le voit dormir près de Presnel et Julian. Je vais lui embrasser le front puis part à la recherche de Thorin.
Je le voit assis sur un ponton avec à ses côtés Bilbon. Oh que c'est mignon. Je me cache derrière un pilier après m'être rapprocher.
Thorin : merci d'avoir donner votre parole devant tout le monde toute à l'heure.
Bilbon : ce n'est rien. C'est normal chez nous les hobbit d'aider notre prochain.
Thorin : même des nains ?
Bilbon : surtout des nains. Des nains aussi gentil et loyale que ceux de votre compagnie. Et vous.
Thorin : moi ?
Bilbon : oui. Il faut bien vous aider même si vous le refusé inconsciemment.
Thorin : sauf si c'est vous Bilbon.
Bilbon : oh... Je... Je ne sais quoi dire Thorin.
Thorin : alors ne dites rien.
Il rapproche son visage de celui du hobbit et l'embrasse tendrement. Je plaque ma main sur ma bouche parce que j'allais hurler de joie. C'est trop mignon.
Il se sépare et je les voit rouge comme si il était un peu gêné. Puis je les voit se donner la main.
Thorin : je... Excusez moi vous devez avoir une dame hobbit qui vous attend en Comté.
Bilbon : personne ne m'attend là bas Thorin.
Ils se regardent et le semi homme pose sa tête sur son épaule et regarde le ciel. Je décide finalement aller me coucher. Je rentre dans la salle et tombe sur Legolas qui regardé aussi dans la direction de Thorin et Bilbon.
Legolas : je ne les savais pas aussi proches.
Moi : il y avait des petits signes. Je vais me coucher. Pouvez vous dire à Thorin que Bard nous rejoins dans notre mission pour aller à Erebor ?
Legolas : oui aller vous reposez mon ami vous en avez besoin.
Je lui sourit et m'allonge au côté de Antoine qui vient directement se coller à moi. Je nous couvre et ferme les yeux. Mais mon compagnon se met à trembler légèrement. Surement qu'il a froid et c'est pour ça qu'il se colle à moi. Je finis donc par m'endormir avec Antoine qui tremble toujours un peu.
A suivre...
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