Chapitre 4, part 2

Durant les jours qui suivirent Jamshid montra à Ihsan toutes les pièces des employés du palais et l'utilisation à faire de tous les objets du quotidien. En trois jour Ihsan devint un employé tout ce qu'il y avait de plus normal et l'eunuque ce félicita de l'adaptabilité du jeune homme. Plus encore que son intelligence, c'était sa formidable beauté qui plaisait. Ce visage particulier avait maintenant la splendeur d'un dieu tomber sur terre. Ses yeux magnifiques, une peau velouté et bronzé à souhait, une cascade de cheveux noir doux et brillant, une taille svelte, un sourire blanc aux accents charmeur, et un caractère facile à vivre, juste ce qu'il fallait d'espièglerie pour plaire au prince. Chaque fois qu'il pensait à cela l'eunuque poussait un soupir. Ses fonctions originelles étaient loin de lui manquer, il ne lui tardais pas de les retrouvé. Le retour du prince approchant Jamshid décida de passé à la deuxième étape de l'intégration d'Ihsan, baptisé Roxane, dans le vaste plan du prince.

" -Râwukhshna.

Oui ? Sourit ce dernier."

Il ne faisait plus appeler que comme ça, Roxane pour les intimes. En effet Roxan avait décidé que si le prince voulait le nommé ainsi c'était la moindre chose à faire que de répondre à ce nom.C'était le prince qui l'avait choisit pour lui, un grand honneur à n'en pas douter. Alors son nom maternel resterais un nom secret entre lui et Jamshid, il s'appelais désormais Râwukhshna.

" -Viens. Je vais te présenter quelqu'un qui va t'apprendre une chose importante.

Quoi ? Demanda-t-i assoiffé de connaissance.

La danse. Le prince veut que tu devienne un danseur. Alors je vais te présenter à un professeur. A partir de maintenant tu ira le voir tous les matin après ton petit déjeuner. C'est avec lui que tu passera les journée. Tu dois pouvoir présenter un numéro pour le retours du prince et il y a beaucoup de travail."

Roxane eut immédiatement le cœur serrer. Il attrapa la manche de son seul ami ici.

" -Mais tu viendra me voir ? Au moins une fois de temps en temps ?

Non, je suis appeler ailleurs. J'ai un autre travail, répondit froidement l'eunuque qui préférais prendre dès maintenant ses distance avec le tophet de son altesse."

Ils s'étaient trop rapprocher, sa fonction l'interdisais. Il n'était pas l'ami des gens qu'il gardait, seulement leur surveillant. Son travail c'était que personne d'autre que le prince ne le touche, pas autre chose. Râwukhshna ne devais pas croire trop en l'amitié. Ici ce n'était pas un monde de sucre et de douceur, il fallait le reconnaître, c'était un palais avec toutes les règles que ça impliquais.

" -Mais ... je voudrais que tu reste.

C'est un ordre Râwukhshna, tu dois apprendre la danse pour le prince !"

Il vit des larmes poindre aux coins des yeux de Roxane. C'était mauvais, sans doute le jeune Azérie était il plus attacher qu'il ne le croyais. Il passa comme à son habitude ses mains dans ses cheveux ébène pour le réconforter. Râwukhshna était vraiment un petit chat, ria-t-il intérieurement. Il lui faisait pensé à certaines femme de son altesse qu'il retournerais garder à partir de maintenant.

" -Tu dormira toujours dans la même chambre que moi, si tu veut nous n'aurons cas jouer un peu le soir.

Au felli et au targui ?

Les deux, si tu veux. Bon. Allez, dépêche toi. Il se trouve surement dans le salon des employé.

Merci Jamshid !"

Râwukhshna disparut alors en courant, comme à son habitude, vif comme l'éclair.Il avait bien changer le petit esclave ... Il avait pris pas mal de poids pour un labs de temps aussi court, mais ça restait raisonnable. C'est rassuré que l'eunuque rejoignit donc, non sans un pincement au cœur, la grande salle du harem.



Son altesse Shapour n'avait qu'une envie, finir les festivité au plus vite et rentrer. Laisser Jamshid n'était jamais bien simple, il fallait se rabattre sur des conseiller bien moins fiable et bien plus intéressée. Mais le pire était sans doute de devoir se résoudre à la chasteté ici, alors qu'il offrait deux de ses enfants à des hommes. Il grommela. Les mariages de filles étaient pénible. Il fallait payé la belle famille, offrir quelques cadeaux, rien de bien joyeux. Mais c'était tout de même mieux que les enterrement auquel ses voyage lui permettait d'échapper. La mortalité infantile dans le désert était un fait terrible, et pour deux fille qu'il mariait cette année, ses épouses elles avaient enterré trois enfants de 1,3 et 5 ans. Il n'avais jamais vu le premier, et ne le verrais jamais.C'était risible. Et c'est pourquoi sa descendance le laissait si indifférent. Elle même était indifférente de lui. Seul comptais dans ces épousailles la fidélité des seigneur locaux en échange de la mains de jeunes filles. C'était, pesta encore le prince,décidément mieux d'avoir des garçons. Son esprit s'évada encore,alors qu'il avalait un peu de lièvre mariné bien juteux, allant à l'objet de ses désir depuis son apparition. Roxane. Il lui tardait de mettre les mains sur ses haches, et de toucher de ses lèvre cette peau douce et pulpeuse. Excédé par le bruit ambiant qui l'empêchait de penser, il sortit sans même se retourner. Décidé à prendre le chemin du retours.



Quel ne fut pas la surprise des femmes de son altesse Shapour,lorsqu'elles virent revenir Jamshid, leur gardien le plus gentil. Ce dernier fut accueillit à bras ouvert dans l'immense salle couverte de tentures et de coussins qui embaumais bon les parfums de ces dames.

" -Jamshid !

Te voilà revenus.

Oui, soupira ce dernier.

Que t'arrive-t-il Jamshid ?

Le prince te cause encore du soucis ?

Comme toujours, se forca-t-il à sourire.

Tu nous a toutes beaucoup manquer. Si tu savais comme les hommes ici sont méchant. Il n'y a que toi qui soit gentil.

Moi, j'aimerais bien que son altesse fasse venir plus d'eunuque Touareg, nous serions mieux qu'avec ces idiot d' Égyptien et d'Arabe !"

Toutes les femmes approuvèrent et certaine, dans leur tenues fort découvertes, vinrent demander à l'eunuque de leur peigner les cheveux "comme il le faisait si bien". Pendant un moment Jamshid reçus des éloges de ces dames qui ne cessaient de se plaindre.

" -Si Shapour apprenait tout ce que vous me dites.

Tu ne dirais rien Jamshid ! N'est ce pas Chédi ?

Bien sûr, car si tu parle tu aura la tête trancher.

Vous êtes des démones.

Oui, mais il faut dire que le prince c'est Zahhak ! Il a des manières de serpent, fit une des femme en riant.

Allah tout puissant, s'il vous entendais.

Heureusement qu'il est loin, ricanèrent-elle.

Heureusement, soupira leur protecteur. Bon, que dois-je dire à ces messieurs ?

Dit leur que s'ils nous tirent les cheveux encore tu ira le dire au prince.

Dit leur que s'il ne se tiennent pas droit la prochaine fois on les accuses de viol !

Le prince leur ferait trancher la tête et ensuite ce serait votre fête. Vous ne voulez pas être corriger, je me trompe ?

C'est de la menace Jamshid, juste de la menace.

Oui, dit leur ça ! Approuvèrent-elles finalement.

Je vais leur dire.

Parfait !

Merci Jamshid !

C'est bien parce que c'est vous, hein !

On t'adore Jamshid !!"

L'eunuque s'éclipsa. Oui, il était complice des femmes du prince, mais il n'avait pas le choix. Non seulement il était trop bon, mais en plus elles connaissaient sa faute que le prince lui même ignorait. Il ne fallait pas qu'il l'apprenne. Alors c'était disons, entre eux une entente cordiale et amicale. Et puis au fond, il aimait biens'occuper d'elles. Passer sa mains dans leurs longues chevelures, les aidées au quotidien, il préférait cette détente à sont autre emplois bien plus frustrant.

Il se dirigea donc prestement vers les appartement des eunuques. Ils mangeaient tranquillement. Prenant son air le plus furieux il les fit réunir autours d'eux et les gronda en arabe pour que tous comprennent :

" -MAIS A QUOI VOUS AVEZ PENSEZ !?

Jamshid ?

Je revient de ma visite chez les femmes du princes ! Et vous savez ce qu'elle m'ont dit ?! Que vous les avez violé !

Elle mentent Jamshid ! Tu sais très bien que c'est elle qui demandent !

Et si elle le disent au prince ? Qui croira-t-il a votre avis ? Qui aura la tête trancher pour trahison ?

Mais c'est elle. On les violes pas, elle nous chauffe.

Un eunuque n'est pas censé être "chauffé". L'auriez vous oubliez tous autant que vous êtes ?!

Non ...

Alors tenez vous à carreau et soyez gentille avec elle ! Je vais les convaincre de se taire. Mais gare à vous.

Jamshid. Toi aussi tu aurais la tête couper.

Moi je n'ai pas menti ni fauter ! Maintenant je ne veut plus entendre se genre d'histoire."

Il parti en coup de vent et retourna auprès des épouses ravies. Dans les fait ( fait que ce gardaient bien de dévoilé les eunuques et les concubines aux intéressés ), la castration n'avait jamais fonctionner sur les hommes comme voulu. Elle devait empêcher jusqu'à l'érection, jusqu'au désir même. En vérité elle n'empêchait rien du tout, à la rigueur empêchait-elle les enfants -on avait jamais vu un eunuque mettre enceinte une concubine-. Et ce fait secret, tous le petit monde du harem en profitait. Les femmes se satisfaisait dans le dos de leur mari, le trompant avec ceux qui devaient les maintenir chaste. Ces dernier trop heureux de jouer se taisait. Jamshid lui, était pris dans ce petit complot qui se jouait dans le dos du prince. Il défendait ses épouses infidèle contre les castré un peu trop violent ou trop entreprenant seulement parce qu'elles savaient pour lui, pour son secret à lui seul. Quand à ses collègues, et bien dans cette affaire personne n'était à plaindre à part peut être lui. Lui qui gardais la confidence pour tous le monde, côtoyais chaque jour le prince avec ce secret sur les épaules en prime. Il avait la position la plus risquer, un véritable équilibriste. Il soupira. Les femmes du princes étaient toutes des démones, des succubes, voilà ce qu'elle était. Et c'était justement son problème principale. Son secret à lui, c'était qu'il ne parvenait pas à tomber sous les charme de ces dames, et ce même si c'était là les 13 plus belles femmes qui soient dans tout l'empire. Il n'avait pour elle ... rien que de l'amitié. Et une certaine peur sans doute, la peur de la délation.

C'était un fait, tout comme le prince, Jamshid était épris du corps des hommes.

Alors soupirant, il s'en retourna dans une partie encore plus secrète et reculé du palais, où seul lui et le prince avait accès. La où son corps souffrait des tortures de la tentation. Il se glissa dans la salle presque vide. Deux jeune homme, eux aussi, comme les femmes,presque nu, se retournèrent et firent des sourires charmeur.

" -Allah tout puissant ! Mais revoilà Jamshid !

Mais oui !"

Au finale, c'était sept des plus beau mâle de l'empire, que Jamshid devait surveillé quotidiennement. Seul. Pourtant il n'avais jamais fauté, pas une fois. Sa propre fidélité le rendais fou.Heureusement, les sept amant caché du prince ignoraient ses pulsions secrètes et le croyais, comme toute la société, incapable d'éprouver jusqu'au désir. Aussi était-il donc à la fois tiraillé, laisser tranquille, ou bien tenté à s'en rendre fou par ces messieurs. Combien de fois avait-il faillit trahir le secret des eunuques ( la capacité de pouvoir satisfaire les plaisirs de la chair ) en observant son altesse caressé ces garçons. Il se réveillait parfois en sueur la nuit, insomniaque à cause des spectres de leurs gémissement. Il secoua la tête pour chasser les images qui resurgissaient dans son esprit.

" -Vous allez tous bien ?

Oui.

Parle pour toi. Il y en as ici, qui n'arrête pas de se plaindre.

Ce n'est pas ma faute, cette ceinture de chasteté gêne.

Ne te plaint pas, c'est ça où la castration. Personnellement je n'envie pas Jamshid.

Personne n'envie Jamshid, firent des voix compatissante."

De la pitié, voilà ce qu'éprouvaient ses hommes à son égare. Une pitié désolante.

" -Aucun des esclave charger de s'occuper de vous n'a filtrer ?

Aucun. Il ne se passe jamais rien ici.

C'est bien, soupira l'eunuque. Bon ... Maintenant que je suis là on va pouvoir vous les retirer."

Les sept homme soupirèrent et pleurèrent presque de joie en voyant Jamshid sortir le trousseau. Ces clef débouclaient les serrures de leurs cage de chasteté. Seul lui et quelques personne de cet annexe du palais avait les clefs de la "délivrance" de ces hommes. Autant dire qu'ils avaient toutes les raisons d'être content du retours de leur eunuque. A son grand damne. Il les libéra un a un avant de s'éloigner pendant que ces derniers retourner à leurs occupations. Revoir ces sublimes corps nu pour la première fois depuis au moins un an ne lui réussissait toujours pas.

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