Chapitre 28, part 1
Salut salut, c'est moi de retours après une très longue absence en matière de publication. J'espère que je ne vous avait pas fait trop languir. Sur ce je ne vous retient pas trop, nous approchons de la fin. Allez , Enjoy les gens !
Dans la bâtisse ombragé, protégée du soleil, passa un courant d'air glacé comme la mort. Pourtant ni Shapour ni Jamshid n'y prit garde. Ils étaient tout deux enfermer dans un étrange silence qui durait depuis l'arrivé de l'eunuque. L'un toisait l'autre, croyant voir de la douleur, de la faiblesse. Il regardait avec pitié. L'autre avait les yeux fuyant de peur que si leurs regards ne se croisent son vis à vis comprennent ses intentions. Il le regardait avec haine.
" - Tu en as mit du temps ! Pesta Shapour.
- Excusez moi votre altesse, marmonna Jamshid qui n'en pensait pas un mot.
- Tu étais pathétique, tout à l'heure, à pleurer sur les trophées de guerre de la rébellion."
L'eunuque frissonna devant le détachement avec lequel le prince parlait de la mort de ses enfants. Il se figea, la nuque raide. Ses tremblement choqué vis à vis des réactions du prince se muèrent rapidement en une colère et un dégoût si intense qu'il faisait bouillir son corps. Son corps entier se crispa, affermissant le contacte du métal tranchant contre son poignet. Les jointures de ses poings fermé devinrent blanches tant il les serraient, ses épaules furent prises de spasmes, il retenait encore un peu cette rage qui menaçait d'exploser. Il fallait qu'il la contiennent encore un peu, juste un court instant. Il craignait qu'en la relâchant trop tôt il se mettent à hurler de colère plutôt qu'à agir d'un coup de couteau. Il avait peur que sa propre couardise le fasse échouer si prêt du but. Il hésitait encore. Et si il ne parvenait pas à donner un coup mortel ? Qu'adviendrait il ? Cette réflexion le paralysait peu à peu alors Jamshid se laissait envahir par la violence, la rage. C'était elle qui lui permettraient d'agir. Comme une marmite au feu qu'on aurait couverte, Jamshid laissait en lui monter température et pression. Son sang en ébullition, son tempérament brûlant et avide de gestes meurtriers, tout cela tenait encore dans son enveloppe. Mais plus pour très longtemps. L'inflation de toute cette colère menaçait d'exploser. Le poignard dissimulé faisait un petit cliquètement métallique discret, tremblant frémissant d'impatience avec le corps tendus de Jamshid.
Le prince était le diable en personne ! Ses enfants ! Ses pauvres garçons ! Tous mort, égorgé, humilié, lynché en place publique et traîné par les chevilles en tout sens dans la ville. Des corps profané et désarticulées de jeunes éphèbes innocents tout juste âgé de 12 ans ... Comment pouvait il, le monstre, ne pas pleurer devant cette scène ?! Et dire de telles horreurs !? Ses propres enfants ! L'eunuque en avait les yeux rouge et brillant, douloureux. Ces petits il les avaient vu grandir, ils leur avaient appris ce qu'il savait, il avait joué les percepteur. Mais aussi les pères parfois. Et leur géniteur qui les traînaient dans la boue ! Démon ! Le Touareg laissa glisser la lame et d'un mouvement vif se saisit du manche ornementé du couteau. Six pouces de métal jaillirent ainsi dans l'air, s'agitant dans un bruit de ferraille comme excité par l'appel du sang et du crime.
Devant cette inquiétante silhouette prise de spasme et armée Shapour ne cilla même pas. Jamshid n'avait jamais été et ne serait jamais un danger : il était lâche. Il était faible. Il n'était même pas un homme. C'était un chien, misérable, qui dépendait de lui pour vivre. Un chien qui n'avait jamais mordu la main du maître et jamais montrer les dents. Aujourd'hui aussi, ce n'était qu'un grognement nerveux. Il n'aurait pas le courage de mordre, ce corniaud.
Erreur grossière.
Jamshid fit volte-face le regards fou brûlant de toute la haine du monde, de la colère des villes écrasées de famines, de la colère des pauvres gens envers le fils de l'empereur, de la colère tout un monde.
"- Vous êtes la créature la plus abjecte qu'Allah ai posé sur cette terre ... marmonna inaudiblement l'eunuque.
- Qu'est ce que tu as dit ?
- Vous êtes une des réincarnation du mal en personne ! Lui aboya Jamshid."
Le prince se figea une seconde. Son secrétaire et conseiller venait il vraiment de l'insulter ? De lui hurler dessus avec une telle impolitesse ? La couverture que tout deux devaient garder lui était monté à la tête : seul lui était dignitaire du pouvoir !
" - Jamshid tu oublis ta place !
- Et vous ?
- Comment ose tu ?!
- Comment osez vous, siffla l'eunuque en avançant vers le prince d'une démarche mesuré, comment osez vous, VOUS ?!"
Il n'y réfléchissait plus, il allait exploser. Finalement il ne voulait pas juste lui donner le coup de grâce en silence, il voulait lui dire ! Tout lui dire !
" - Espèce de sale ... commença a gronder le prince.
- Comment osez vous vous prétendre fils de l'empereur !?"
Shapour perdit pendant une fraction de seconde sa grimace colérique, comme s'il venait de prendre un jet d'eau glacé sur les épaules.
" - JE NE TE PERMET PAS DE REMETTRE EN CAUSE MA PLACE DE ...
- SILENCE !! Hurla Jamshid, C'est moi qui parle ! Continua il en pointant désormais le couteau vers Shapour.
- Chien ...
- Appelez moi comme vous voulez, répondit l'autre en crachant. Vous valez moins que le pire bâtards des rues.
- Comment ?!
- Vous êtes le pire démon que la terre ai porté ! Vous êtes un monstre ! Comploteur, conspirateur, menteur, voleur, violeur, assassin ! Vous êtes prêt au fratricide, au parricide, au pire ... juste pour cette chaise que vous n'aurez JAMAIS !
- Jamshid tu n'es qu'un ...
- La couronne serais bien trop lourde pour une tête aussi misérable que la votre. Vous êtes un fou pathétique !"
Le prince analysa la pièce des yeux, cherchant une issus face à la bête devant lui. Il cherchait une solution, il fallait tuer cette vermine.
" - Vous avez amenez tous vos fils à la mort ! Des enfants !!
- Si ce n'est que ça ! Ricana le prince. Quel est le prix de la vie d'un enfant mal éduqué ? C'était de ton ressort il me semble ? Si ils n'ont pas été assez fort c'est car tu les as ramollie. Tout est de ta faute, Jamshid, ne l'oublis jamais. A passer ton temps à tous les couvrir, à tenter de protéger, de sauver les faibles ... Tu crois que je ne voyait rien ? Que je ne comprenait pas que tu essayait de me bander les yeux sur ce qui se passait ? Mais tu es idiot d'y avoir crût ! Tu n'as jamais put faire que ce que MOI je voulais bien te laisser ! Jamshid sans moi tu n'es rien ! Rien du tout ! Tu as tellement couver ces minables partout que ce sont devenus des larves et ils sont mort. Il arrivera la même chose à tout ce que tu as protéger si tu me tue ! Tu n'as put sauver que parce que je t'ai donner les moyens de le faire ! Si tu me tue alors ils sont tous mort avec moi !! Ria au éclat le prince."
Jamshid s'arrêta. A la mort du prince qu'adviendrait il du palais ? Des femmes, des enfants, des esclaves, de tout ceux qui y vivent ? Ils étaient tous enfermer dans le désert, livré à eux même sans les revenus et le titre du maître des lieux pour les protégé. Le palais et ses richesses devait déjà suscité les convoitises. Qu'adviendrait il d' Ihsan, seul face à des armées de brigands sans foi ni lois ? Eux tous là bas n'avaient rien pour se défendre, ils étaient littéralement à la merci de tous. Donc à la merci du bon vouloir du prince mais surtout dépendant de son existence.
" - Regarde toi. Tu es comme eux tous : ridicule, faible, minable. Tu comptait me tuer avec ce petit couteau ? Demanda Shapour en attrapant la lame à pleine main. Laisse moi rire, souriait-il en jetant le poignards au loin, l'arrachant des mains tremblantes de Jamshid. Toi aussi : Qu'est tu sans moi ? Rien du tout. Tu n'es plus un homme, eunuque ! Tu ne trouveras de place nul part. Tout tes savoirs personne n'en voudras. Ton seul espoir et de garder des harem toute ta vie. Mais après tout ce que tu as fait en mon nom, qui à part moi pourrais bien vouloir de toi ? Ta réputation Jamshid, c'est moi. C'est la mienne. Tout ce que tu me le reproche on te l'impute aussi. Tu voulais me tuer ? Mais en quel honneur ?
- TU LES AS TUES !!
- Faux, susurra le prince. C'est toi. Et tu le sait ... On ne parle que de toi, Jamshid, dans la rébellions : le héro qui massacra le général, engendra la débâcle des troupes de l'empereur, et tuas tous les chefs ennemis. C'est toi qui tenait le couteau dehors, pas moi. Moi je n'ai pas les mains pleines de sang. Croit tu que j'ai déjà pris une seule vie ? Jamais ... Jamshid il n'y a que toi, qui sache ce que ça fait de prendre une vie. Moi je ne l'ai jamais fait.
- MENSONGE !!
- J'ai ordonné des exécutions, certes. Mais c'est toi qui a obéit et qui est coupable. Assassin !
- Vous essayez de me retourner l'esprit ! Vous êtes complètement malade !
- Au contraire, je suis parfaitement sain sinon je serais bien incapable de te mettre dans un tel état : tu es l'esprit qui doute Jamshid. Car tu sais que tu as tords depuis le début. N'est ce pas !
- ASSEZ !! Arrête de siffler à mon oreille comme un serpent ! Cria l'eunuque."
Shapour ria devant la détresse de cette misérable créature qu'un simple discourt avait de nouveau rendus inoffensif. Tel un charognards il lui tournait autours et le harcelait, s'amusant de le voir s'écrouler peu à peu sur lui même.
" - Et toute mes épouses que tu consolais. Tu trouvais avec elle du réconfort n'est ce pas ? Elles m'ont dit que tu venait parfois pleurer chez elle. Contre des colliers, des bijoux, un peu de douceur, elles t'on toute vendus ...
-C'est FAUX !
- Tu sais que je te dis la vérité, si tu doute c'est que tu le sais. Tu venait pleurant comme un enfant dans leurs jupes ! Tu étais pitoyable. Tu ne supporte même pas la pression que fait peser ton travail sur tes épaules et tu espère me tuer ? Laisse moi rire. Ces esclaves que tu as effacé des registres pour que j' oublis leurs fautes ? Exécuté, tous jusqu'au derniers ! Et je garde le meilleurs pour la fin. Tu sais ? Adamik ... Toi qui as tant insister pour le sauver, pour que je le garde à mes côtés encore et encore ... Tu dois avoir imaginer encore un de tes plans idiots pour le maintenir en vie ? Mais tu sais ... Je l'ai retrouver. Et je lui ai fait trancher la gorge, len-te-ment.
- Mensonge !! Il écrivait d' Istanbul ! Il est en vie !!
- Qu'est ce qui te dit que c'était réel ? Dans mon palais il n'y a qu'une règle Jamshid : je vois tout, j'entends tout, je sais tout. Tu ne seras jamais loin de mes yeux, j'en ai dissimuler à chaque coin de rue, dans chaque pièce. Ils sont tous prêt à tout pour m'avoir en bonne grâce, même à me dire tout ce que je veut savoir. Et ... une dernière chose, ajouta-t-il d'une voix mielleuse tout proche de l'oreille du Touareg. Je n'aime pas l'idée que tu apprécie plus que de raison mes amants."
Jamshid eu un hoquet quand à ces mots une violente douleur se fit dans sa poitrine. Il toussa un filet de sang et regarda le manche du poignard que tenait le prince, la lame étant profondément enfoncé dans son torse. Il releva les yeux sur le sourire satisfait du prince et senti ses jambes se dérobé sous son poids.
" - Les faibles meurt Jamshid ... C'est comme ça. Je t'estimai, je pensais que tu étais plus fort et plus malin que cela ... Tant pis pour toi."
Le touareg cherchait de l'air, le sang coulait abondamment de la plaie, la douleur était atroce et il peinait à respirer. Il craignait le pire pour sa vie désormais, s'accrochant au vêtement du prince, refusant de croire qu'il avait échoué. Il ne pouvait pas mourir comme ça, pas maintenant. Si proche du but ... A cause de sa lâcheté. Il commençait à voir flou. Shapour s'agenouilla et retira le couteau dans une giclée de sang qui lui arracha un geignement de douleur.
" - Tient, je te rends ton jouet, ricana-t-il en lui mettant le couteau en mains."
Il referma les doigts tremblants de Jamshid sur l'arme, souriant de toutes ses dents.
" - Si tu savais comme j'ai hésité à te garder quand j'ai appris que tu aimais les hommes comme moi ... Mais .... Je me suis dit que les regarder tous les jours en ne pouvant même pas te faire plaisir avec eux serait très amusant. Tu as bien souffert ? C'était comment de ne pas pouvoir bander devant des corps aussi désirable ? Comment c'était, la frustration quotidienne de me voir les prendre farouchement ? Zal t'a vendus, pour un chat. J'espère que tu es fier de lui. Si tu n'avais pas été son ami il aurai bradé ton petit secret pour moins que ça. Les anciens esclaves sont prêt à tout pour vivre n'est ce pas ? Même à mentir et manipulé tout le monde ... Surtout toi qui est trop crédule, Jamshid."
Non ... On ne pouvait pas lui avoir fait ça ... pas autant, pas si souvent... Il ne se croyait pas si trahit par tous. Il les avaient aidé ... Eux jouaient sur plusieurs tableau. Il ne pouvait pas lutter en ayant été honnête. Maintenant il mourrait en apprenant que sans doute Ihsan lui même s'était joué de lui. Il sentait les larmes pleurer avec ses forces qui l'abandonnaient.
" - Celui qui te plaisait le plus c'était ce petit Azérie n'est ce pas ? Roxane ? C'est tellement facile à deviner, et tout ceux que j'ai interroger on appuyé ma petite théorie. Tu sais Jamshid, le prendre de force fut un vrai régale ! Il gémissait comme un catin, il adorait ça. Tu sais, un jour il m'a confier sur l'oreiller que parfois il aimait ça. Quel dommage que tu n'es jamais put goutter ce que ça fait, ce petit corps brûlant autours d'un gros sexe en érection.
- Connards ... gémit Jamshid en expirant bruyamment.
- Tient ? Ca ça te fait réagir ? Que je parle de Râwukhshna ? Tu as vraiment un faible pour lui alors ? Faible est juste le bon mot pour te décrire. Comment c'était ses trois mois avec lui ? A le voir malade comme un chien parce que j'avais amocher salement son corps pendant la meilleurs orgie de toute ma vie ?! Comment c'était de le remettre en forme pour que je puisse à nouveau le monter ?! Tu l'as relever juste pour moi, pour que je puisse en profiter encore, et encore, et encore, et encore ! Elle te manque ? Cette vue sur les suçons que je lui faisait partout ? Râwukhshna était vraiment le meilleurs coup de mon harem d'homme, et de loin."
Soudain dans ce tourment de frustration, cette douleur impossible, cette détresse, il y eu une illumination. En une seconde Jamshid retrouva son calme devant un constat : depuis le début Shapour mentait. Peut être avait on trahit son secret, ou alors il avait manquer de discrétion, au fond peu importait. Peut être que sa vie avait été une grande part de mensonge, que le prince lui avait beaucoup pris mais ... Il mentait. Ou plutôt il ne savait pas. En vérité Shapour ne savait pas, il n'avait jamais sût la liaison réelle qu'entretenait Jamshid et le favori. Sinon il n'aurait pas crût que l'azérie avait passé toute la durée du voyage gravement blessé. En réalité, ce troisième mois, ils l'avaient passé dans les bras l'un de l'autre. Amoureux ... Son astre de nuit ... Ihsan ... Jamshid fit un sourire apaisé, avant que son visage ne prenne une mine très malicieuse :
" - Oh oui, je confirme, grogna-t-il la bouche pleine du gout métallique du sang, c'est bien le meilleurs coup du harem."
Il y eu un silence pendant lequel il toussa, vacillant.
" - QUOI ?! Fulmina Shapour. Tu vas crever ! Alors ne fait pas le malin à me raconter des histoires pour me faire bisquer ! Tu peut parler tu n'en sait rien ! Râwukhshna est à moi !
- Vous avez son corps, mais moi j'ai son cœur. Ses baisers tendre que vous n'aurez jamais et qui valent milles fois ce que vous volez à toutes vos maîtresses, c'est à moi qu'ils sont !"
Shapour tremblait de rage, il le tira par les cheveux jusque devant son visage pour lui cracher violemment sur la joue.
" - Crevure ! Je n'y croit pas !
- Le bijoux qu'il porte depuis son retours, c'est moi qui le lui ai offert ! C'est une croix du Sud ! C'est la croix du vrai amour du désert ! Fit Jamshid en portant sa main à sa poitrine ou se trouvait son pendentif."
Le prince siffla comme un serpent et tira d'un coup sec sur le cordon pour dévoilé le médaillons parfaitement identique à celui de son favori. Alors qu'il blanchissait à vu d'œil Jamshid continua, enhardit :
" - Et il était parfaitement rétablis au bout de deux mois ! Nous avons passez un mois entier délicieux loin du palais ! Nous dormions enlacé ensemble ! Et je l'ai embrasser ! J'en rêve encore la nuit !
- Comment à tu oser ? Lâcha Shapour qui se mettait à trembler de colère.
- Une dernière chose ? Il s'appel IHSAN !!"
Le Touareg enfonça profondément la lame dans la poitrine du prince juste en face. Il n'avait plus lâcher le couteau et celui-ci s'était enfoncer presque sur le cœur, perforant un poumons. Shapour se mit à perdre du sang abondamment et à avoir du mal à respirer. Ses expirations sifflantes de haine poussèrent Jamshid à enfoncer par à-coup toujours plus la lame dans la poitrine de son ennemis. Ce dernier tenta de l'étrangler, Jamshid suffoquait. Il avait déjà perdu beaucoup de sang mais s'il venait à mourir il voulait emporter Shapour avec lui dans la tombe. Il voulait que ce dernier ne puisse jamais trouver le repos de l'âme, alors que lui à ces souvenir partirait en paix. Il voulait achever le prince, achever tout ça. Entre les doigts serré sur la gorge il continuant, remuant la lame dans les plaies :
" - Et ... les eunuques peuvent coucher avec leurs partenaire, glapit-il alors que la prise se ressaierait sous la détestation de Shapour. Ihsan ... Je ... Je lui ai fait l'amour, pendant ce séjour ... et ... ce fut merveilleux, je le reconnais volontiers.
- Juste crève, répondit Shapour en tentant avec ses dernières force de le tuer.
- On s'aime ... souri douloureusement Jamshid. Et il ne vous aime pas ... Je l'aime."
Shapour pleurait lorsqu'il rendit son dernier soupire. Il pleurait simplement, sans aucune animosité, comme si une ultime fois il pleurait pour le monde. En réalité il pleurait sans doute pour lui même, mais ses yeux pour une fois étaient non plus dur et froids comme la pierre mais simplement profondément triste. Il était juste malheureux.
Alors je Jamshid lui se laissa là, allongé sur le sol. Il expira un souffle bien-heureux. Au fond il avait tout pour partir en paix maintenant. Il serra la croix sur sa poitrine. Partir lui faisait un peu peur ... mais plus tant que cela au fond. Et puis soudain il rouvrit les yeux : Ihsan l'attendait, là bas. Mais il était déjà incapable de bouger.
Oui, je revient et je publie CA. Vous me détestez, mais c'est pas grave, moi je vous aimes quand même.
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