Chapitre 21, part 1

Aux intéressés : il y a un lexique des phrases en langue étrangère à la fin du chapitre. Allez, bonne lecture !


Jamshid courrait au travers les couloirs du palais princier. Il manqua de percuté une domestique et s'excusa en réagençant sa charge de tissus avant de reprendre sa course. Plusieurs mois interminable depuis qu'il avait commencer ces recherches sur la situation d'Adamik qu'il menait en parallèle de ses fonctions de conseiller, d'eunuque majeur au harem des femmes, d'eunuque exclusif au harem des hommes,et le tout en tentant de comprendre la situation au sein de l'empire.Cette dernière serais son objectif suivant, il l'avait trop longtemps laissé de côté. Mais pour l'instant l'ultime priorité était de courir voir Samalai afin de peut être enfin mettre un termes aux mois d' errances psychologiques qui l'avait secoué. Tout le temps qu'avait duré son enquête le compagnon du disparut avait eu un comportement des plus tourmenté en accumulant quelques tentatives de suicides et des périodes de dépression intense, se négligeant énormément. Si aujourd'hui il n'était pas une croûte c'était grâce à la persévérances de Seth et Neil, les plus mature du groupe, qui avaient veiller sur lui et l'avait pousser à s'entretenir un minimum. Zal lui était redevenu exactement le même qu'avant l'arrivé de Râwukhshna, une couche d'arrogance en plus. Il avait recouvré cette sensualité constante et ces manières androgynes qui plaisaient plus que tout au prince, de ce fait ce dernier le couvrait de présents en tout genre. L'albinos était le plus souvent presque, voir totalement nu dans les appartements ce qui au fond avait facilité la vie aux autres amants : le persan à la peau cristalline attirait par sa nudité et la volupté de ses chairs le prince dès que ce dernier posait les pieds dans le harem au court d'une petite visite surprise. Puisque Shapour finissait presque toujours dans son lit, les autres étaient relativement épargner sans qu'il n'ai à intervenir auprès de son altesse afin de les protéger. Cela l'avait soulager un peu durant cette période charger de ne pas avoir à convaincre un noble aussi têtu de ne pas toucher untel ou untel.

Il avait conscience d'avoir beaucoup délaisser des choses d'une importance primordiale : non seulement l'empire mais aussi Ihsan. Cependant il avait tant eu à faire. Il n'avait put agir autrement à son grand regret. Et ne pouvant se poser, il n'avait put témoigner son affection à l'azérie depuis des lustres. Il s'en voulait profondément. Mais l'enquête avait été si ardus, et la grossesse multiple d'une des épouses de son altesse n'y avait rien arrangé à cause des complications qu'elle engendrais. Ciel, que son astre de nuit lui manquait, lui et son sourire calme et juvénile. Oui, dès qu'il pourrait il le rejoindrait et le couvrirais d'une affection trop longtemps contenu. Oh comme il lui manquait, son merveilleux brun aux yeux pourpres. Cela devrait attendre encore un instant. Il s'arrêta enfin devant la porte caché du harem et repris son souffle avant d'entré. Les plus ancien étaient tous dans le salon à jouer à des jeux de société et de stratégie, Iuti somnolait dans les coussin en se faisant materné par Silva qui lui passait gentiment les mains dans les cheveux. Pas de trace de Samalai ni de Râwukhshna.

« -Où est Samalai ?

Dans sa chambre, fit il une voix qu'il aurait reconnu entre milles. »

L'azérie le regardait, bras croisé, appuyé contre l'entré de sa propre suite. Son regards mi triste mi sévère donna à l'eunuque un frisson. Quel expression ! Mais il avait d'autres chats à fouetté. En passant devant son bien aimé il souffla « Je passerais. » mais ce dernier l'arrêta en le retenant par le bras :

« -Jamshid, tu m'as oublier pendant plusieurs mois, évidemment que nous allons parler.

Non je ne t'ai pas oublier voyons ...

Va faire ce pourquoi tu étais venu. Toi tu sais où me trouver n'est ce pas ...

Ih ...

Râwukhshna.

Râwukhshna, je vient tout de suite après ... D'accord ?

Je ne sais pas. Fait ton travail, c'est tout. Nous parlerons plus tard.

Oui ... A tout à l'heure mon astre.

A tout à l'heure ... mon soleil, souffla-t-il avant de le pousser doucement. »

Ainsi il n'était si contrarier qu'il le laissait pensé ? Seulement il révélait une grande maturité. Nul doute qu'il était jaloux,qu'il aurais voulu qu'on prenne soin de lui en priorité, mais il avait conscience de ce qui était important. Il était tellement gentils, tellement prévenant qu'il s'était contenus et avait accepter autant que possible le fait d'être ignorer par son bien aimé. Oh doux, si doux et si gentils Ihsan. Dès que tout ceci serait terminer il le serrerait dans ses bras.

D'un pas pressé il entra dans la chambre, Samalai était dans son lit,allongé sur le flan, les yeux ouverts mais le regards dans le vide.

« -Samalai ?

-...

J'ai des nouvelles d'Adamik. »

Il se redressa, le regards luisant et les yeux rouge. Il avait encore pleurer aujourd'hui.

« -Il est vivant. Il a réussi à fuir à Tuniz, il y travail comme employer pour un éleveur de pigeon domestique. Il à fait parvenir ça avec un arrivage du prince ... »

Samalai se jeta sur la lettre et en déchira le cachet avec empressement.Il ne voulait pas trop croire, il se demandait ce qui l'attendait. Il avait longtemps refuser de penser Adamik mort, mais sans nouvel il avait commencer à faire son deuil, difficilement. Aujourd'hui Jamshid venait de tout bousculer encore une fois ! Il lu avec avidité ... Cette écriture ... Il se mit à pleurer.

Samalai, jamal alssahra' , comme tu le sais j'ai quitter notre monde trop étroits. J'ai sauté sur la première occasion de fuir l'enfer que ta présence seul rendait plus supportable. Mais n'ai crainte je vais bien. Je ne pouvais t'emmener avec moi, sinon je l'aurais fait soit en sur. Je regrette que nos chemins se séparent mais il en est ainsi. Ne soit pas triste, je suis sûr que Jamshid veillera bien sur toi. Quand à moi je vais tenter de me reconstruire, je ne tarderais pas à te faire parvenir le fruit de ma reconversion. Je t'enverrais de mes nouvelles. Que ton courage immense et ton cœur d'or ne soit pas ternie par mon départ. Il faut vivre. Je vais où le vent me mène, j'espère qu'en rêves nos esprits trouverons le chemin l'un vers l'autre. Mon âme et mon cœur pour toujours.

Adamik.

Alors il était vivant ! Bien vivant !? Et libre, en bonne santé ? Il était loin, là où se rendais leurs rêves. Il ne vivrais plus jamais les viols et les humiliations. Il s'ouvrirais à nouveau et cesserai d'être rude avec tout le monde, aigris. Samalai laissa les larmes envahir son cœur et ses yeux. Il était tellement soulager et heureux. Adamik était sauver du prince, il ne subirais plus jamais rien de mal. Samalai serra Jamshid dans ses bras, il ne pourrait plus jamais le faire à Adamik alors l'eunuque serais sa figure de substitution. Il l'avait aider à partir loin d'ici, en sécurité, et pouvais le contacter. Jamshid savait où était Adamik, qu'il allait bien, c'était lui qui lui avait amener cette lettre de sa part. Jamshid était le lien qui l'unissait encore à son amant tant aimé. Alors il pleura dans ses bras, le serrant contre lui. Sa poitrine lui faisait si mal. Adamik était sauf ...Mais lui était enfermer à tout jamais ici, et désespérément seul. Si seul. Il souffrait le martyr. Seul le papier griffonner des mots d'Adamik le soulageais. Sa si rude et si forte écriture, à son image : bourru mais tellement aimanté et protectrice. Il huma le papier et s'imagina y trouver quelque peut son odeur. Adamik, son précieux arabe. Il était parti et l'avait laisser ici à subir les sévices sexuels du prince ! Pourtant il ne lui en voulait pas.Ce n'était pas sa faute, et il avait fait ce qui devait être fait.Il avait d'abord sauver sa vie, et il était heureux et libre à présent. Le savoir à l'extérieur et le cœur comblé suffisait à son bonheur. Mais il avait aussi très mal. Indéniablement. Seul preuve qu'ils s'aimaient encore, et seul lien : ces lettres débordant de bon sentiments, un peu timide comme toujours. C'était tout lui : un amour pudique mais puissant et passionné. Adamik vivant ... Ah son cœur était enfin soulager de la dépression et embrassait avec bonheur les ronces de l'amour solitaire. Il noya l'épaule de Jamshid de larmes qui avaient tellement de sens à la fois que lui même ne saurais lequel primait. Entre déchirure,solitude, trahison, joie, euphorie, soulagement et amour immense, il y avait tellement de sens à mettre dans ces flots d'eau salé. Rien d'étonnant à ce que ses pleurs soient si lourds.

« -Je dois te laisser Samalai ... je repasserais, d'accord ?

Il va bien n'est ce pas ?

Il va très bien.

Alors je suis soulagé. Merci...

Ce n'est rien. Allez, reprends toi. Il ne voudrais pas que tu pleurs encore davantage, hein ?

Non, tu as raison, se ressaisis un peu l'homme en essuyant ses larmes.

C'est bien. Allez, je dois y aller.

Merci Jamshid. »

L'eunuque lui souri encore une fois avant de quitter la pièce. Il aurait aimé immédiatement se jeter dans la chambre d'Ihsan et l'embrasser à perdre halène, peut être même lui faire l'amour et toutes les choses possibles et imaginables ... Seulement il y avait les autres garçons dans la salle commune et ils le regardaient déjà avec un drôle d'air pour l'excellente raison que Râwukhshna l'attendait de pied ferme, la mine sévère. L'eunuque le rejoignit mais ils restèrent sur le perron, l'habitant des lieu lui refusant l'entré de ses quartiers.

« -On peut discuter maintenant ?

On peut. Tu ne vaut pas qu'on aille en privé.

Non ici c'est bien. Les autres sont occuper ils n'écoutent pas et au moins ça va nous obliger à ne pas crier, lâcha-t-il d'un ton las et amer.

Je suis désolé ...

Presque trois mois Jamshid.

Je ...

Non, tu m'écoute. Cela fait trois mois que je t'attends, que j'attends un signe d'affection de ta part. Trois mois. Tu ne te rends donc pas compte à quel point cela peut être long ? Tu m'as délaissé complètement pendant presque trois mois Jamshid ... Juste après m'avoir affirmer que j'étais tout pour toi. Tu ne m'as pas donner un signe de vie en trois mois. Comment puis je encore y croire, à toutes tes belles paroles d'amour ? Tu m'avais dit que tu me protégerais, que tu serais là. Tu n'étais pas là ...

Ihs ...

Râwukhshna, le corrigea il encore. Ici c'est Râwukhshna et tu le sais. J'étais préparer à l'idée que ton travail prendrais du temps, que tu aurais de nombreuses choses à accomplir et ... Mais je n'étais pas prêt à être reléguer au statut de cadet de tes soucis. Je pensais que ... que tu penserais à moi. Et que même sans pouvoir me le dire tu me le ferais comprendre. Je n'attendais qu'un signe, infime ... Il n'y a rien eu ... Tu ne sais pas à quel point j'ai eu mal de ton absence et de ton dénis.

Je suis désolé, je t'aime plus que tout, tu le sais.

Si je l'ignorais tu aurais déjà perdu le droit même de me toucher. Car à toi je peut l'interdire.

Roxane ...

Pas ce nom là je t'en supplie. C'est trop de mauvais souvenirs. Si tu savais quel enfer j'ai vécu ... Non en fait le pire c'est que tu le sache pertinemment et que tu m'ai totalement ignorer. Trois mois Jamshid. Trois mois si long que j'ai crûs mourir. Mourir d'espoir, d'amour et de chagrin. Aujourd'hui je ne sais plus ... Jamshid ... Tu m'as laisser tellement longtemps ... J'étais si seul, dit il la voix larmoyante. Si seul ... Tu me manquais tellement ... Et moi je ne te manquais pas ?

Si, tu m'as manquer plus que tout. Mais ...

Mais ? Fit-il désespéré.

J'étais pris dans la recherche d'Adamik, et avec les jumeaux princiers qui vont bientôt naître ainsi que la guerre qui menace je ...

Je sais tout ça ... mais je voulais juste qu'une petite fois par moi tu me face une place parmi toutes ces choses. Si je suis ton monde, pourquoi ai-je moins d'importance que ton empire, lui même d'après ce que j'en sais, une de tes préoccupations mineur du moment. Je vaut moins que ce conflit que tu as en horreur ?

Non, évidemment que non.

Mais parle moi. Ne me réponds pas des évidences toutes faites. Parle moi Jamshid je t'en pris ... je n'en peut plus d'être face à un mur avec pour seule compagnie mes pensé. Parle moi. Dit moi des choses qui viennent de toi.

Je t'aime ... lui souffla-t-il.

Non, pas ça. Ca je l'entends tous les jours : Zal le dit au prince, Samalai le marmonne dans son sommeil, je rêve des tiens la nuit. Je l'ai trop entendus, je n'en veut pas. Je veut quelque chose de toi. Quelque chose d'unique que tu ne dirais qu'à moi. J'en ai besoin ...

Tu es mon astre de nuit, mon marcheur indigo ... Ma mie ... Mon unique ... être céleste aux yeux d' améthystes. Tu me hante, je vibre et me consume de toi. Ihsan ...

Jamshid ... Mon soleil ... Tu me manque tant ...

Vous me manquez aussi, infiniment, ennu əbbə́ləl.

Mən sizə çox darıxdım, mənim günəş. Mən sizə belə sevirəm. Tək məni tərk etməyin.

Ben tek bir saniye unutmak kuramıyorum. Sana benim güzel yıldız seviyorum. Sen benim herşeyimsin. Il me reste encore quelques choses à régler, mais bientôt je pourrais à nouveau venir te voir tous les jours. Soit patient encore un peu, s'il te plaît.

Ne soit pas trop long ... Jamshid.

Non, je te jure que ce sera vite fait. Tu vas bien ?

Ouais ... je vais bien ...

Je n'aime pas ce ton là. Tu ne doit pas me mentir, si tu vas mal il faut me le dire. N'essaie de pas de me facilité la vie, d'accord ? Ton bien être c'est aussi ma responsabilité.

Le prince est venu ... plusieurs fois, gémit il. »

Il y eut un silence et Jamshid serra les poings, révolté, avant de se calmer. Il contint de justesse un geste amoureux et protecteur.

« -Tu vas bien ?

... C'était ... Mais je ... pas de problème, c'est passé maintenant. Tout ira bien, je crois. Dit il en achevant sur un sourire terne.

Râwukhshna ...

Tu as des choses à faire n'est ce pas ? Raconte moi.

Maintenant que l'état d'Adamik est certain je ...

Il se porte bien n'est ce pas ?

Comme un charme.

Je suis jaloux, lui et dehors et loin d'ici.

Mais il n'est plus avec Samalai ...

C'est vrai, je préfère souffrir et te voir qu'être libre loin de toi. C'est pourquoi quand j'ai souffert seul j'ai eu si mal. Ne me délaisse plus jamais Jamshid.

Plus jamais.

Et donc, maintenant ?

A présent je dois me consacré au harem des femmes, mais surtout à l'empire. Les choses vont mal.

Mal ? Mal comment ?

La guerre gronde, sourde et caché dans l'ombre, elle attends son heure. Je dois au moins essayer de la stopper avant qu'elle n'éclate.

Tu va jouer les héro, sauveur du peuple ?

Tu aimerais ?

A mes yeux tu l'es déjà.

Je vais faire mon possible pour que le monde reste en paix.

Comme chaque fois, tu te sacrifie tout entier pour les autres n'est ce pas ?

Il le faut ...

Tu mérite plus d'être heureux qu'eux.

Toi aussi.

Mais moi je ne renonce pas à moi même, tu le sais. Je pense d'abord à moi même, à nous désormais aussi car tu es une part de moi, tu loge dans mon cœur. Mais toi ... En t'oubliant tu nous oublies ... Tout ça pour ton monde ?

Pour le monde, je pense que cela en vaut la peine. Seul restera le monde quand nous ne serons plus là mon bel astres, il est important de le laisser le meilleurs possible.

Quitte à ne pas le connaître, ce monde meilleurs ?

Il faut bien que quelqu'un le fasse. Je ne veut plus qu'il y ait de tragédies comme ta vie et la mienne, comme celles de tous ces pauvres gens qui connaissent la misère et la guerre.

Il y en aura toujours.

Je suis peu être utopiste, mais la vie vaut la peine qu'on se batte pour elle avec tout l'espoir du monde.

Oui ...

Alors je vais faire mon possible, et ensuite je serais égoïste et je penserais à nous. D'accord ?

Il me tarde de te savoir individualiste, quand le monde n'aura plus de problèmes, sourit finalement Râwukhshna sans vraiment y croire.

Yine zor veda etmek. Ama zamanı geldi. Canım, sen zaten beni özlüyorum. Birbirlerinden uzağa zaman çok düşük ve bizim ebedi birliğidir. güle güle

خداحافظی ..."

Et sur ces adieu, Jamshid s'éloigna, l'œil brillant de résolution.Oui, il avait le devoir de faire de ce monde une terre plus juste, et cela passait par endiguer les actions répressibles de son maître qui avait avec la force de sa simple signature semer un peu partout la haine et le chaos. L' insurrections menaçante pouvais encore être évité et avec elle un bain de sang. C'était là son premier objectif ensuite il pourrait profiter d'un peu de paix et de calme avec son bien-aimé dont l'amour lui faisait toujours brûler le cœur plus intensément que le brasier de Constantinople. Ainsi le feu de ses sentiments prouvait que son cœur, par cette passion,était même plus résistant que les merveilles du monde.



Lexique :

  ennu əbbə́ləl    :    mon bien aimé (tamasheq)

 Mən sizə çox darıxdım, mənim günəş. Mən sizə belə sevirəm. Tək məni tərk etməyin.    :    Tu me manques, mon soleil. Je t'aime tellement. Ne me laisse pas seul. (Azéri)

  Ben tek bir saniye unutmak kuramıyorum. Sana benim güzel yıldız seviyorum. Sen benim herşeyimsin.   :   Je suis incapable de t'oublier une seule seconde. je t'aime ma belle étoile, tu es mon tout. (Turc)

Yine zor veda etmek. Ama zamanı geldi. Canım, sen zaten beni özlüyorum. Birbirlerinden uzağa zaman çok düşük ve bizim ebedi birliğidir. güle güle   :    Encore une fois, il est difficile de te dire au revoir. Mais le temps est venu. Mon cher, vous me manquez déjà. Le temps loin l'un de l'autre est très faible et notre unité éternelle. au revoir. (Turc)

  خداحافظی : au revoir. (Azéri)

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