Chapitre 12, part 2
Son altesse le prince Shapour passait actuellement un des rares moments qu'il accordait à sa famille. Il avait décidé aujourd'hui de dédié une petite heure à son fils aîné Moktar, celui qu'il voulait voir agenouillé son cousin Soliman fils de ce sombre idiot de Bajazet, son propre neveu. Il avait nommé son fils "l'élu" car il comptait bien le placer sur le trône impérial quand bien même lui n'y aurait pas accès. Sa ligné serait souveraine d'orient, c'était son sang qui avait le mérite. Alors il ne laisserait pas le loisir à son frère de se moquer de sa descendance, cette dernière était capable de faire ployer n'importe qui. Le jeune Moktar déjà marié à une belle jeune femme qui lui avait donné déjà deux enfant, il était en attente d'en épouser une deuxième, somme toute l'éducation de celui-là avait été bien réussi : c'était un fort garçon bien battit et droit. Shapour était fier de le voir dompté les chevaux et les hommes d'une main ferme comme il avait sût l'avoir lui même. Moktar était une grande fierté. C'est pourquoi de temps en temps il lui accordait un peu de temps seul à seul. C'était un énorme privilège d'avoir un peu d'attention d'un personnage si occupé,c'est sans doute pour cela que le jeune homme dont l'attitude était toute celle de son père était si calme en ce moment et si docile(cela ne lui ressemblait point). Il savait, comme tous, que le prince n'aimait pas perdre son temps, il appréciait donc chaque instant en sa compagnie d'autant plus qu'ils étaient rare. Actuellement Shapour avait été baladé son fils dans les volière, là où il voulait aller personnellement, et ceux malgré le demandes toutes rejeté en bloque du garçon d'aller faire un tour à cheval. Non, Shapour n'était pas si bon cavalier que son fils et il ne voulait pas s'humilier devant ce dernier c'est pourquoi il l'avait traîné dans un lieu qu'il maîtrisait à la perfection et où aucun de ses enfants n'était très à l'aise, peu habituer à y mettre les pieds: la volière des faucons. La fauconnerie était une des immenses histoire d'amour du grand vizir. Il aimait les faucons sans doute plus qu'il n'aimait les hommes , disons presque à égalité, mais un peu moins qu'il n'aimait les femmes. Ces oiseaux ils leur voyaient un regards plus tendre qu'aux humain et plus compréhensif qu'à personne. Alors qu'il n'avait jamais vu les premiers pas d'aucun de ses enfants, ni entendus leurs pleurs, leurs paroles, ni prit le temps d'en écouter aucun, il avait toujours été le seul le premier et l'unique à faire voler les faucon tout juste emplumé. Il en avait libéré certain dont les descendant survolaient tantôt le palais mais en gardait la majorité dans ses volières. Et si aucun n'avaient de nom, il était sans doute plus précieux que certains de ses bambins aux yeux de son altesse. Il caressa doucement le plumage de la nuque d'un faucon pèlerin qui la pivota surpris, faisant agiter le pompon de son capuchon. Angoissé l'oiseau attrapa brièvement le doigt de son maître dans son bec et le pinça peu fort, ce dernier ne s'en formalisa même pas et laissa l'animal joué de son index comme il l'entendait en échange de lui caressé le vaporeux plumage ardoise.
" - Mit à part ton épouse qui se remet bien de la naissance, ce dont je n'ai que faire, tu n'arien à me dire ?
Pas grand chose, non, votre altesse.
Bon ... Toujours avec tes chevaux ?
Je les aimes mon père, autant que vous n'aimer vos faucons.
Ah tu ne sais pas à quel point j'aime mes oiseaux, lui dit-il sans se détourner des perchoirs. Tu n'aime pas tes bêtes un dixième de fois comme j'aime les miennes, mais tu aime tes femmes et tes enfants et le peuple n'a pas de problèmes avec toi. Si seulement tes frères pouvaient tous être si correcte ...
Mon seigneur, mes frères n'ont rien fait de mal.
Cela dit ils n'ont rien fait de bien. Toi au moins tu me soutient militairement et tu tient les rebelles à leur place. Avec les bêtises de ta fratrie je doit toujours gérer toutes les querelles du pays.
Vous savez ils vous soutiennent de leur mieux, et vous ne leur portez pas beaucoup d'aide ou d'attention, sauf votre respect mon père, mais ...
Mais ? Demanda-t-il en regardant enfin son aîné.
Mais vos fils vous sont dévoué, vous ne leur en êtes pas très reconnaissant ...
Pas très reconnaissant ?! S'énerva le prince en toisant le garçon. Moktar fils indigne de moi, doit-je te rappelé l'effort que je fait ,dilapidant mes terres entre vous pour que vous ayez des possessions ?! Dois-je te rappeler l'égare que j'ai pour vous de vous offrir responsabilité et fortune ?! Dois je rappeler que je vous ais offert bien plus que vous ne m'avez rapporter ?! Et dois je rappeler que votre cousin Soliman qui, si vous continuez d'agir si ridiculement, montra sur le trône à votre place, n'a lui rien ?! Absolument rien !
Je le sais ... Mais cela dit lui n'a pas autant de sœur à marié ou de frères.
Oserais tu me blâmer d'avoir eu beaucoup d'enfants ?! OSERAIS TU ?!
Non ! Non ! Père j'aime ma fratrie et je sais que vous l'aimez aussi, à votre manière et que vous nous le montrez en nous offrant gracieusement la responsabilité de petits territoires. Je sais que ...
Tu voudrais que je te donne tout, n'est-ce pas ? Tout comme Bajazet va tout donner à Soliman. Va t'en. J'y réfléchirait. Disparaît j'en ai assez entendu tu m'ennuie et me cause du soucis ! Va t'en fils ingrat."
Moktar tourna les talons, en colère et humilier comme chaque fois qu'il venait voir son père et ceux malgré ses efforts incessant. Jamais il n'avait eut l'amour de ce dernier. Peut importait qu'il ai mater des soulèvements populaire que Shapour aurait dût lui même gérer ! Peut importait qu'il ait redressé la caserne de sa régions dont la débauche n'avait plus de limite ! Tout ce qu'il avait fait, rien ne comptait,et il en était de même pour chacun de ses frères marié. Son excellence était détestable ! Respecté, adulés pour sa générosité toute relative et son luxe, mais détesté pour son incommensurable orgueil et son mépris constant d'autrui. Shapour était tellement au dessus, il ne cessait de le leur rappeler, les enfonçant en leur soulignant qu'il n'était rien ni pour l'empire, ni pour leur grand père l'empereur, ni pour la couronne, ni même pour leur propre père. Ils n'étaient rien, tous autant qu'ils étaient ces garçons,pour personne pas même pour lui. Ils ne valaient rien à ses yeux si important. Ils étaient la honte du paternel qui ne cessait de les rabaissé en leur rappelant qu'ils n'étaient certainement des fruit désiré de l'amour mais seulement les immanquablement décevantes conséquences de l'acte charnelle avec ses épouses. Des produit fort fâcheux d'un éjacula mal contrôler, parce qu'il ne fallait pas être idiot : si Shapour avait autant d'enfant ce n'était pas temps parce qu'il avait beaucoup d'épouse que parce qu'il était accroc à la bête à deux dos, et qu'il contrôlait fort mal ses sensations dans les moments intense au lit. Il contrôlait si mal que Moktar se retrouvait à partager un territoire miteux entre une fratrie immense non pas pour leur faire plaisir mais bien pour se débarrasser des pénibles tâches administratives qu'imposait la gestions de la principauté. Shapour gardant les bénéfices des accords commerciaux, ne laissant pas à ses fils le loisir de les investir ou d'en jouir d'une quelque façon que ce soit, raflant tout les produits pour ne leur laisser qu'une tâche ingrate et abaissante,se repaissant dans tous les plaisirs de la débauche moderne. A tout réfléchir Moktar aurait bien échanger sa place avec Soliman. Si lui était décevant, il trouvait son père milles fois plus pathétique dans son infériorité à son aîné héritier du trône et le complexe imposant qui en ressortait constamment. Excédé le jeune homme saisit les rênes de son cheval qu'on lui avait préparer pour le départ et parti aussitôt au galop retourner par chez lui chérir ses deux adorables petites filles et son tout jeune fils. Ils'occuperait encore comme à l' habitude des problème que lui reléguerait son incapable de géniteur et de ses propres affaires,il acceptait sa condition tant qu'il était loin de cette insupportable personnage.
Shapour quand à lui ruminait en tentant de calmer ses oiseaux. Les rapaces effrayé envoyait de grands coup d'ailes en tout sens et les temporisé n'était pas évident mais le prince avait mieux à pensé : Moktar était certes un fils doué et digne de lui mais il avait également de nombreux défaut qui inquiétait son père. Il était incroyablement violent,bien plus que Shapour lui même, et réprimait les insurrections sans aucune pitié aider de son corps d'armé privé qu'il avait fait bâtir en ville. Cette militarisation bien que nécessaire pour maintenir les régions sous occupation ottoman était une énorme pompe dans les caisses de l'état. Hélas il n'y avait pas le choix :le peuple se soulevait de plus en plus souvent et de plus en plus fort, il fallait maintenir tout ça tranquille, c'était sa mission.Ce qui l'exaspérait c'était que Moktar comme tous ses frères n'étaient jamais content de leur situation. Pourtant ceux là avait des petits territoires à gérer pour s'occupé, ils étaient tous haut gradé et directeur d'une quelconque corporation. Leur père leur avait donné tout ce dont peut rêver un jeune : des terres et du pouvoir, des responsabilités. Mais non ! Ces ingrats exigeait toujours plus de lui et se jalousaient les uns les autres. C'était infernal. Le grand vizir se demandait s'il n'allait pas récupérer la direction directe de tout son territoire pour ne leur laisser qu'un pécule, ça lui causerais sans doute moins d'ennuis et ça lui faciliterais la vie. Parce que leur reléguer ce genre de tache n'avait pas eu l'effet d'alléger sa charge de travail comme escompté, bien au contraire, alors de plus en plus son altesse regrettait son choix trop généreux et trop considératif. En plusses fils étaient nombreux, à tout répartir entre eux il dilapidait la fortune royale difficilement acquise grâce au maigre commerce de la région. C'était décidément une situation à problème. Pire,il craignait que ses garçons ne lui plantent un jour un couteau dans le dos en "signe de reconnaissance", Moktar cet enfant de démon en était tout à fait capable. Qu'est-ce-qui était louper avec celui là ? Il était doué mais cruel ... Cela rendait Shapour perplexe. Décidément les aîné étaient toujours des saloperies, se dit-il. Le sien comme ceux de ses enfants et sans doute ceux du monde entier. C'est ce qu'il y a de terrible avec les enfants : ils s'imaginent que tout leur étaient dû. C'est pour cela que Shapour avait ralentit sur la procréation : ses moutards lui causaient trop de soucis. Les derniers né d'ailleurs était des accidents regrettable mais il ne s'en faisait pas trop, c'était des mioches fragiles, il y avait peut de chance qu'un jour il ait à les marié.
Ce qu'il manquait c'était une petite guerre. Oh pas ici bien sûr,mais en Perse par exemple, loin, sur le territoire de Bajazet ce serait parfait ! La guerre ça rapportait toujours beaucoup au vainqueur, ils pourraient faire venir gratuitement des produit de la richissime région en échange d'y envoyer des soldats. Ca serait idéal : ses garçons iraient au champs de bataille, guidant une armé qui le couvrirait de gloire par les moult exploits de ses fils, et si quelques-uns tombaient il serait débarrassé d'une épine du pied.La guerre, si elle arrivait, pourrait régler tout ses problèmes autant financier que d'une descendance un peu trop rebelle et nombreuse, ainsi que sa rivalité avec Bajazet qui lui serait redevable s'il ne périssait pas sur le champ de bataille. Caressant ses oiseaux Shapour se mit à rêver de grandes batailles et des conséquences pour son économie personnelle : gloire, pouvoir,vénérations, enfin une juste récompense à se mesure ! Il réparerait l'injustice de son père grâce à une guerre. Mais il fallait qu'elle ait lieu loin, pas sur ses terres où celles-ci seraient dévasté et rebâtir les villes le mènerait à la ruine.C'est pourquoi il faudrait que ces conflits aient lieux près du siège impérial. Ainsi son père Mehmet serais obliger de supplier l'aide de Shapour en soutient à Bajazet et lui même ... L'idée était certes cruelle, diabolique, il y aurait des mots, mais c'était tellement alléchant. Son excellence se promis d'y re-réfléchir à l'avenir.
C'est alors qu'il était plonger dans l'idée de monter un grand complot et de la logistique que cela nécessiterait que Jamshid entra dans la volière, visiblement anormalement en colère et nerveux. Cela sauta au visage du prince :l'eunuque n'était pas dans son état normal. Il n'était pas si neutre et calme qu'à l'habitude, il avait même l'air plutôt remonté. Qu'est-ce-qu'il pouvait bien s'être passé pour le mettre dans un tel état d'agacement ?
" - Votre altesse,pressa-t-il d'une voix sèche. Il faut que nous parlions.
Qu'y a-t-il ? Je suis de mauvaise humeur, Moktar est passé et son insolence n'a pas changer. Alors dépêche toi.
Votre humeur n'est pas le sujet, répliqua l'autre du tac au tac."
En cet instant Shapour compris que c'était très grave, Jamshid ne se serait jamais permis autrement un tel comportement avec lui alors qu'il était habituellement l'un des plus respectueux de son rang. Le seigneur s'efforça donc de se calmer et d'écouter ce qu'avait à lui dire son conseillé :
" - Je t'écoute.
Râwukhshna, siffla l'homme en tentant lui aussi de se temporisé de mieux qu'il pouvait.
Et bien ?
Vous avez été le visité hier soir, n'est-ce pas ?
Oui, et ?
Non seulement vous aviez promis de rester dans votre lit conjugale, manqua d'explosé le touareg, mais en plus vous avez été une vrai brute !"
Le prince resta coi : il rêvait? Jamshid venait vraiment de l'insulté et de lui manquer de respect? Ce dernier sembla réaliser ce qu'il avait dit car il secoua la tête et discrètement se pinça le poignet afin de se remettre les idées en place.
" - Votre altesse, veuillez excusez mon emportement mais votre favori à perdu connaissance aujourd'hui même. Je l'ai transporter à l'hospice, son état est préoccupant.
Comment ?
Laissez moi finir mon rapport s'il vous plaît. Il souffre de contusions mais nous n'avons pas put localisé les plaies interne, la seule évidence c'est qu'il y en a. Vous l'avez si fortement molesté que sa vie est actuellement menacer. Les médecins sont perplexe quand à sa survie, elle n'est pas garantit. Comprenez vous ? Siffla-t-il en retenant ses émotions et sa hargne."
Le prince comprenait très bien: il avait laissé la veiller ses passions le surpassé oubliant que Râwukhshna n'était pas solide et qu'il n'avait pas la résistance de Seth qui habituellement endurait ce genre de moment intenses. Si Seth était un ex-soldat fort et endurant, Râwukhshna était fragile comme une femme. Shapour blêmit un peu en réalisant qu'il avait malencontreusement "cassé son nouveau jouet". Maintenant la seule chose qu'il voulait savoir avec inquiétude c'est si on pouvait "réparer" cette regrettable erreur.
" - Et ... Ils peuvent le soigné et le remettre sur pied ?
Si il survie, cracha l'eunuque, ça devrait être faisable. Mais pour ça il va falloir des mesures spéciales que je vais prendre sur le champs.
Bien. fait.
A vrai dire c'est indépendant de votre choix, mon seigneur. J'emmène votre favori pour un mois hors du palais.
Comment ?!
Vous savez très bien qu'elle mesure j'utilise pour mettre en sécurité vos amants et vos épouses quand ce genre de comportements vous peiner. Je l'ai déjà fait pour protéger la grossesse de madame Fatima, et je vais réitérer pour votre favori. Jusqu'à ce qu'il aille mieux, vous ne verrez ni moi ni lui au palais.
Mais.
Votre altesse. Je ne vais pas vous réexpliquer cette procédure à chaque fois. Vous savez pourquoi je la met en place et vous savez que ce n'est pas sans raison. Vous savez également ce qui arrive quand vous m'empêcher de prendre cette mesure. Un mort ne vous à pas suffit ? Bien."
L'isolement des prétendant du prince était rare mais lorsque Jamshid la demandais ce n'était jamais sans raison ni en vain. C'était plus souvent un conseil qu'un ordre comme à présent, mais visiblement la situation était tel quel'eunuque perdait son sang-froid et son respect. La dernière fois il avait été plus calme. La dernière fois en question concernait la naissance à venir de jumeaux. Les aller venu incessant et stressant dans le harem ainsi la brusquerie du prince avait manquer par trois fois de déclencher une fausse couche. Excédé Jamshid avait dit au prince qu'il partait avec la future mère dans un lieux connu de lui seul pour lui permettre de donner naissance sans risque et qu'il la reconduirait ici le danger pour sa vie et celles des bébés écarté.C'était ce qui s'était passé : les deux étaient parti pour ne revenir que deux mois plus tard avec deux adorables enfants au palais et une femme de nouveau radieuse, en bonne santé, et joyeuse. Shapour savait que "la procédure" était efficace pour redressé la santé et le moral de ses proches, c'est pourquoi il ne s'y opposait que modérément. Ce qui le gênait c'était d'ignorer toujours la destination du groupe. Cela dit Jamshid le lui cachait pour une bonne raison : ainsi ils n'étaient pas trouver et le prince n'était pas tenté de les chercher avant que le convalescent ne soit totalement rétablit. Il soupira en se tirant les cheveux. Cette méthode n'était utiliser qu'en dernier recourt, cela signifiait quel'état de Râwukhshna était très inquiétant. La dernière fois qu'il avait protesté et ordonner à Jamshid de rester sous peine de mort, et bien la mort avait frapper. Il avait refuser que Jamshid emmène loin de lui un de ses anciens amant, celui-ci était retrouver pendu quelques jours plus tard. Shapour avait toujours regretter de ne pas avoir écouter les recommandations de son conseiller qui était toujours éclairé et mûrement réfléchit. Il aimait trop son favori pour refaire les mêmes erreurs.
" - Soit, soupira-t-il dévasté. Quand partez vous ?
Des esclaves font nos bagages en ce moment même. Nous serons parti ce soir, votre altesse, lui dit l'autre visiblement enfin calmé. Je laisse la gestion du palais à vos autres conseillé, celle de votre harem à mon second Agha et celle de la chambre des garçons au responsable des esclave du palais intérieur, comme chaque fois. Vous n'y voyez pas de problèmes.
Non ... Fait comme ça. Mais pourquoi diable ne demande tu pas de faire ça à un autre eunuque. J'ai besoin de toi ici.
Certes, mais vous n'avez confiance qu'en moi pour rester seul à seul avec vos amants et épouses ainsi que pour les défendre. Je vous écrirait. Sur ceux votre majesté ... s'inclina-t-il en une plate révérence.
Tu part déjà.
J'étais sur le départ depuis ce midi, mais je ne pouvait interrompre votre entretient avec votre fils.
Reviens vite Jamshid.
Au plus vite votre altesse."
Jamshid était hors de lui lorsqu'il avait découvert le rapport des médecins sur l'état de son protéger. Il avait été à deux doigts d'aller pourfendre le prince de son sabre mais il s'était réprimander en se demandant où était passé sa fidélité. Force été de constater qu'elle avait été dévoré par son amour pour l'azérie car désormais à ses yeux c'était ce jeune danseur qui prévalait sur tout, même sur les ordres du prince. Il s'était surpris lui même à s'imposer ainsi face à son maître mais il fallait dire que dans sa tète, à ce moment là, repassait sans cesse les blessures de Râwukhshna. Le malheureux était couvert d'ecchymoses, avait sans doutes des os cassé ou fêlé, et certains de ses organes interne étaient endommagé. On avait put le stabilisé mais ... Jamshid craignait tant pour sa vie que la première chose à laquelle il avait pensé été partir loin avec son tendre pour le mettre en lieu sûr. C'est pourquoi il avait exigé ceci, malgré que la situation ne requiert pas l'isolement du prince et du garçon mais des soins médicaux. Il ne voulait plus que ce monstre le touche, au moins pour un temps, et quitte à tout mettre en péril. Râwukhshna valait tellement plus que tout ce palais et que sa carrière, il valait davantage que la confiance que le prince lui portait. La résolution brillait dans les yeux du touareg alors qu'il tournait le dos à son maître. Sa passion avait gagner sur la fidélité, à partir de maintenant il mentirait chaque jour et chaque instant pour rendre à son protéger la vie plus douce. D'un pas décidé il retourna dans ses quartier,il y avait énormément à préparer : ses propres affaires, celle de Râwukhshna et de quoi se repéré pour se rendre là où il avait décidé de les conduire tous les deux, ainsi que du nécessaire médical, sanitaire, ou encore des vivres. Il y avait énormément à faire pour partir ce soir dans la nuit mais il était motivé par le souvenir de ce baisé qu'il avait volé sur le front de l'inconscient avant de visité le prince dans sa maudite volière. Les nerfs consolidé par sa détermination, Jamshid était près à déplacer des montagnes pour Râwukhshna alors finir de simples préparatifs ne serait qu'une formalité. Il avait hâte de partir, pour lui, pour eux...
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